Eucharistie du Lundi 08 Octobre 2012 : Lundi de la 27ème semaine du Temps Ordinaire. Fête de Sainte Pélagie, la Pénitente (430-457).

Eucharistie du Lundi 08 Octobre 2012 : Lundi de la 27ème semaine du Temps Ordinaire. Fête de Sainte Pélagie, la Pénitente (430-457).

 

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Evangile) :

Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates 1,6-12… Psaume 111(110),1-2.7-8.9.10c… Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 10,25-37. 

Commentaire de Saint Grégoire de Nysse (v. 335-395), moine et évêque.

COMMENTAIRE DE SAINT AMBROISE SUR CAÏEN ET ABEL : « Rendre grâce et prier pour tous les hommes ».

Autre commentaire de l’Abbé Ivan LEVYTSKYY CSsR (Lviv, Ukraine).

Autre commentaire du Frère Lluís SERRA i Llançana (Roma, Italie).

Autre commentaire de la Paroisse de la Vallée de L’Aisne.

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Lundi 08 Octobre 2012 : Fête de Sainte Pélagie, la Pénitente (430-457). 

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Sainte Pélagie, la Pénitente.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates 1,6-12.
Frères, je trouve vraiment étonnant que vous abandonniez si vite celui qui vous a appelés par la grâce du Christ, et que vous passiez à un autre Évangile.
En fait, il n'y en a pas d'autre : il y a seulement des gens qui jettent le trouble parmi vous et qui veulent renverser l'Évangile du Christ.
Eh bien ! si un jour quelqu'un, même nous, même un ange du ciel, vient annoncer un Évangile différent de l'Évangile que nous vous avons annoncé, qu'il soit maudit !
Nous l'avons déjà dit, et je le répète encore : si quelqu'un vient vous annoncer un Évangile différent de celui que vous avez reçu, qu'il soit maudit !
Est-ce que, maintenant, je veux me faire approuver par les hommes, ou bien par Dieu ? Est-ce que c'est aux hommes que je cherche à plaire ? Si j'en étais encore à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur du Christ.
Frères, il faut que vous le sachiez, l'Évangile que je proclame n'est pas une invention humaine.
Ce n'est pas non plus un homme qui me l'a transmis ou enseigné : mon Évangile vient d'une révélation de Jésus Christ.

 

Psaume 111(110),1-2.7-8.9.10c.
De tout cœur je rendrai grâce au Seigneur
dans l'assemblée, parmi les justes.
Grandes sont les œuvres du Seigneur ;
tous ceux qui les aiment s'en instruisent.

Justesse et sûreté, les œuvres de ses mains,
sécurité, toutes ses lois,
établies pour toujours et à jamais,
accomplies avec droiture et sûreté !

Il apporte la délivrance à son peuple ;
son alliance est promulguée pour toujours :
saint et redoutable est son nom.
À jamais se maintiendra sa louange.

 

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 10,25-37.
Pour mettre Jésus à l'épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : « Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? »
Jésus lui demanda : « Dans la Loi, qu'y a-t-il d'écrit ? Que lis-tu ? »
L'autre répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. »
Jésus lui dit : « Tu as bien répondu. Fais ainsi et tu auras la vie. »
Mais lui, voulant montrer qu'il était un homme juste, dit à Jésus : « Et qui donc est mon prochain ? »
Jésus reprit : « Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ; ceux-ci, après l'avoir dépouillé, roué de coups, s'en allèrent en le laissant à moitié mort.
Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l'autre côté.
De même un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l'autre côté.
Mais un Samaritain, qui était en voyage, arriva près de lui ; il le vit et fut saisi de pitié.
Il s'approcha, pansa ses plaies en y versant de l'huile et du vin ; puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui.
Le lendemain, il sortit deux pièces d'argent, et les donna à l'aubergiste, en lui disant : 'Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai. '
Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l'homme qui était tombé entre les mains des bandits ? »
Le docteur de la Loi répond : « Celui qui a fait preuve de bonté envers lui. » Jésus lui dit : « Va, et toi aussi fais de même. »

 

Commentaire du jour.
Saint Grégoire de Nysse (v. 335-395), moine et évêque.
Homélie 15 sur le Cantique des Cantiques ; PG 44, 1085-1087 (trad. Canevet, Cerf 1992, p. 194).

« Le bon Samaritain ».

 

« C'est là mon bien-aimé, c'est là mon ami, filles de Jérusalem » (Ct 5,16). L'Épouse du Cantique montre celui qu'elle cherchait en disant : « Voici celui que je cherche, celui qui pour devenir notre frère est monté du pays de Juda. Il est devenu l'ami de celui qui était tombé aux mains des brigands : il a guéri ses plaies avec de l'huile, du vin et des pansements ; il l'a fait monter sur sa propre monture ; il l'a fait reposer dans l'hôtellerie ; il a donné deux pièces d'argent pour son entretien ; il a promis de donner à son retour ce qui aurait été dépensé en plus pour accomplir ses ordres ».

Chacun de ces détails a une signification bien évidente.

Le docteur de la Loi tentait le Seigneur et voulait se montrer au-dessus des autres ; dans son orgueil il faisait fi de toute égalité avec les autres, disant : « Qui est mon prochain ? »

Le Verbe alors lui expose, sous forme d'un récit, toute l'histoire sainte de la miséricorde : il raconte la descente de l'homme, l'embuscade des brigands, l'enlèvement du vêtement incorruptible, les blessures du péché, l'envahissement par la mort de la moitié de notre nature (puisque notre âme est restée immortelle), le passage inutile de la Loi (puisque ni le prêtre ni le lévite n'ont soigné les plaies de celui qui était tombé aux mains des brigands).

« Il était en effet impossible que le sang des taureaux et des boucs efface le péché » (He 10,4) ; seul pouvait le faire celui qui a revêtu toute la nature humaine -- des Juifs, des Samaritains, des Grecs -- en un mot, de toute l'humanité.

Avec son corps, qui est la monture, il s'est rendu dans le lieu de la misère de l'homme. Il a guéri ses plaies, l'a fait reposer sur sa propre monture, et il a fait pour lui de sa miséricorde une hôtellerie, où tous ceux qui peinent et ploient sous le fardeau trouvent le repos (Mt 11,28).

 

COMMENTAIRE DE SAINT AMBROISE SUR CAÏEN ET ABEL

« Rendre grâce et prier pour tous les hommes »

Offre à Dieu un sacrifice d’action de grâce et accomplis tes vœux au Très-Haut. Louer Dieu, c’est manifester à Dieu un désir, et payer sa dette. Aussi met-on au-dessus des autres ce Samaritain qui, guérit de sa lèpre sur l’ordre du Seigneur avec neuf compagnons, fut le seul à revenir vers le Christ pour glorifier Dieu et lui rendre grâce. Jésus a dit à son propos : Il ne s’est trouvé personne pour revenir rendre grâce à Dieu, sauf cet étranger ! Et il lui dit : Relève-toi, va ; ta Foi t’a sauvé.

Le Seigneur Jésus t’a donné un enseignement divin sur la bonté du Père, qui sait donner de bonnes choses, afin que tu les demandes à celui qui est bon. Il t’a invité à prier attentivement et fréquemment, non pas pour que ta Prière se prolonge dans l’ennui, mais pour qu’elle se renouvelle dans l’assiduité. Lorsque la prière est trop longue, elle se répand bien souvent dans le vide mais, lorsqu’elle devient rare, la négligence nous envahit.

Ensuite il avertit que, si tu demandes pardon pour toi-même, tu songes à l’accorder le plus possible aux autres afin d’appuyer ta demande par l’éloquence de ta conduite. L’Apôtre aussi enseigne à prier sans colère ni dispute afin que ta prière ne connaisse ni trouble ni interruption. Il nous enseigne aussi à prier en tout lieu, puisque le Sauveur dit : Entre dans ta chambre.

Mais comprends bien qu’il ne s’agit pas de la chambre formée de murs où ton corps va s’enfermer. Il s’agit de la chambre qui est en toi, où sont enfermées tes pensées, où demeurent tes sentiments. Cette chambre de ta Prière est partout avec toi, et partout elle est dans un secret qui n’a pas d’autre témoin que Dieu.

Apprends qu’il faut prier avant tout pour le peuple, c’est-à-dire pour tout le corps, pour tous les membres de ta mère, et c’est la marque de la Charité mutuelle dans l’Église. Car, si tu demandes pour toi, ta demande ne vaudra que pour toi. Et si chacun prie seulement pour soi, celui qui prie est moins agréable à Dieu que celui qui intercède pour les autres. Mais si chacun prie pour tous, tous alors prient pour chacun.

En conclusion, si tu demandes pour toi seulement, tu seras seul, nous l’avons dit, à demander pour toi. Mais si tu demandes pour tous, tous demanderont pour toi. Et en effet, toi-même tu es en tous.

Ainsi, c’est un grand profit que les Prières de chacun obtiennent pour chacun aucune prétention, mais une plus grande Humilité, et un fruit plus abondant.

 

Autre commentaire de ce jour.

Abbé Ivan LEVYTSKYY CSsR (Lviv, Ukraine).

«Que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle?»

 

Aujourd'hui, le message évangélique montre le chemin de la vie: «Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, (…) et ton prochain comme toi-même» (Lc 10,27).

Et parce que Dieu nous a aimé le premier, il nous porte vers l’union avec Lui. La bienheureuse Thérèse de Calcutta dit: «Nous avons besoin de cette union intime avec Dieu dans notre vie quotidienne.

Et comment y parvenir? À travers la Prière».

En étant unis à Dieu, nous commençons à nous rendre compte qu’avec Lui tout est possible, même l’amour du prochain.
Quelqu’un a dit que le chrétien entre dans une église pour aimer Dieu et qu’il en sort pour aimer son prochain.

Le Pape Benoît XVI souligne que le programme du chrétien —le programme du bon Samaritain, le programme de Jésus— est «un cœur qui voit».

Voir et s’arrêter! Dans la parabole deux personnes aperçoivent le nécessiteux, mais ne s’arrêtent pas. C’est pourquoi le Christ reprochait aux pharisiens: «Vous avez des yeux et vous ne voyez pas» (Mc 8,18). Le Samaritain, au contraire, voit et s’arrête, il a pitié et sauve ainsi la vie du nécessiteux et la sienne.
Quand le fameux architecte catalan Antoine Gaudi fut heurté par un tramway, ceux qui passaient par là ne s’arrêtèrent pas pour aider ce vieillard blessé. Il n’avait sur lui aucun papier et par son aspect il ressemblait à un mendiant. Si ces gens avaient su qui était ce prochain, ils auraient fait la queue pour l’aider.
Quand nous faisons le bien, pensons que nous le faisons pour notre prochain mais aussi pour Le Christ: «Je vous l’assure, tout ce que vous avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait» (Mt 25,40).

Et mon prochain, dit Benoît XVI, c’est toute personne qui a besoin de moi et que je puis aider. Si chacun, voyant son prochain dans le besoin, s’arrêtait et prenait soin de lui, ne serait-ce qu’une fois par jour ou par semaine, la crise diminuerait et le monde deviendrait meilleur. «Rien de tel comme les bonnes œuvres pour nous faire semblable à Dieu» (Saint Grégoire de Nisse).

 

Autre commentaire de ce jour.

Frère Lluís SERRA i Llançana (Roma, Italie).

« Celui qui a fait preuve de bonté envers lui ».

 

Aujourd'hui, un maître de la loi pose une question à Jésus, que nous nous sommes peut-être déjà posée: «Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle?» (Lc 10,25).

C'était une question avec une double intention, car il voulait mettre Jésus à l'épreuve. Le maître répond sagement en lui disant ce qui est écrit dans la loi, c'est-à-dire, aimer Dieu et aimer son prochain comme soi-même (cf. Lc 10,27).

La clé c'est aimer. Si nous cherchons la vie éternelle, nous savons que «ce qui demeure aujourd'hui, c'est la Foi, l'Espérance et la Charité; mais la plus grande des trois, c'est la Charité» (cf. 1Co 13,13).

Quels que soient nos projets dans la vie et notre spiritualité, si leur centre n'est pas l'amour, ils nous éloignent du vrai sens de notre existence.

Un point de référence important est l'amour que l'on a pour soi-même, que nous oublions parfois. Nous pouvons aimer Dieu et notre prochain uniquement à partir de notre propre identité.
Le maître de la loi va encore plus loin et demande à Jésus: «Et qui donc est mon prochain?» (Lc 10,29).

La réponse lui arrive par le biais d'une histoire, une parabole, une histoire courte, sans formules compliquées, mais dont le contenu est important.

Le modèle du prochain est un samaritain, c'est-à-dire, quelqu'un qui est marginalisé, un exclu du peuple juif.

Un prêtre de la loi et un lévite continuent leur chemin sans s'arrêter en voyant cet homme roué de coups et blessé.

Ceux qui semblent être plus près de Dieu sont ceux qui sont le plus éloignés du prochain. Le maître de la loi évite de prononcer le mot “samaritain” pour lui indiquer celui qui s'est comporté comme un prochain envers le blessé et dit: «Celui qui a fait preuve de bonté envers lui» (Lc 10,37).
La proposition de Jésus est claire: «Va, et toi aussi fais de même». Ce n'est pas une conclusion théorique du débat, mais une invitation à vivre la réalité de l'Amour, qui est beaucoup plus qu'un sentiment abstrait, car il s'agit d'une façon d'agir qui vainc les discriminations sociales et qui surgit du fond du coeur de la personne.

Saint Jean de la Croix nous rappelle que: «Au crépuscule de notre vie nous serons jugés sur l'Amour».

 

Autre commentaire de la Paroisse de la Vallée de L’Aisne.

http://vallee-aisne60.cef.fr/Lundi-de-la-27eme-semaine-annee-paire.html#evenement3490.

Pour mettre Jésus à l’épreuve, un docteur de la Loi lui posa cette question : « Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle ? »

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Jésus lui demanda : « Dans la Loi, qu’y a-t-il d’écrit ? Que lis-tu ? » L’autre répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. »

Jésus lui dit : « Tu as bien répondu. Fais ainsi et tu auras la vie. »

Nous laissons L’Esprit Saint attirer notre regard sur cette situation proposée par Jésus maître plein de Bonté à l’égard de ce docteur de la Loi.

Il venait pour le mettre à l’épreuve. Jésus transforme cette relation de celui qui voulait le prendre au piège en apportant douceur et tendresse.

Pour mettre Jésus dans l’embarras le docteur de la loi pose des questions ! Quelles questions posons-nous à Jésus ? Pourquoi ? Entrons dans ce dialogue du docteur de la loi et de Jésus. Jésus va répondre par une histoire. Des bandits ont attaqué un homme le laissant à demi-mort. Nous prenons le temps de creuser cette Parole de Dieu. Je pourrais être cet homme à demi-mort tombé aux mains des bandits !

 

Mais lui, voulant montrer qu’il était un homme juste, dit à Jésus : « Et qui donc est mon prochain ? »

Jésus reprit : « Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ; ceux-ci, après l’avoir dépouillé, roué de coups, s’en allèrent en le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l’autre côté. De même un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l’autre côté. Mais un Samaritain, qui était en voyage, arriva près de lui ; il le vit et fut saisi de pitié. Il s’approcha, pansa ses plaies en y versant de l’huile et du vin ; puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. Le lendemain, il sortit deux pièces d’argent, et les donna à l’aubergiste, en lui disant : ’Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai.

Les bandits qui ont attaqué cet homme le laissant à demi-mort le laisse en danger. Nous savons combien la nuit est difficile dans cette situation.

Nous comprenons le besoin que quelqu’un soit avec lui pour attendre le jour. « Le Prêtre et le Lévite » passent leur chemin.

 

Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l’homme qui était tombé entre les mains des bandits ? »

Le docteur de la Loi répond : « Celui qui a fait preuve de bonté envers lui. » Jésus lui dit : « Va, et toi aussi fais de même.

Nous contemplons Jésus dans sa réponse, il voit cet homme, Il est saisi de pitié, s’approche, il va se laisser toucher, panser ses plaies.

Il va verser du vin pour purifier, de l’huile pour guérir ». Comme ce n’est pas suffisant, Il le prend sur son dos, sur sa propre monture, et le conduit à l’auberge.

Jésus vient sauver l’humanité à demi-morte, il prend soin d’elle car elle est blessée ! Nous reconnaissons l’attitude de Jésus : « Il fut saisi de pitié, nous donnera la vie par sa Passion ! » La question du docteur de la Loi : « Maître, que dois-je faire pour avoir part à la vie éternelle » trouve là sa réponse !

Est-ce que je peux me mettre dans cette attitude ? Il me faut entrer dans la tendresse de Jésus. L’Église, à la suite de Jésus est le lieu où Dieu prend soin de l’humanité blessée. A partir de cet homme blessé, ce docteur de la loi va évoluer. Jésus a éclairé sa demande à propos de la Vie éternelle.

Nous demandons à Jésus la Grâce d’avoir une attitude bonne vis à vis de nos frères.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).

Seigneur, Roi du Ciel et de la Terre, dirige et sanctifie, ordonne et gouverne aujourd'hui nos cœurs et nos corps, nos pensées, nos paroles et nos actions : fais-nous suivre ta volonté et tes ordres afin qu'ici bas et pour toujours nous vivions, par ta grâce, libres et sauvés.

Toi qui vit et règnes pour les siècles des siècles.

 

Parole de Dieu : (Jc 2, 12-13)… (Office des Laudes).

Parlez et agissez comme des gens qui vont être jugés par une loi de Liberté. Car le Jugement est sans miséricorde pour celui qui n’a pas fait Miséricorde, mais la Miséricorde se moque du Jugement.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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