Eucharistie du Mercredi 03 Décembre 2014 : Mercredi de la 1ère semaine de l’Avent.

Eucharistie du Mercredi 03 Décembre 2014 : Mercredi de la 1ère semaine de l’Avent.

L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint François-Xavier, Jésuite, Co-Patron des Missions, Apôtre des Indes et du Japon (1506-1552).

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Isaïe 25,6-10a… Psaume 23(22),1-3a.3b-4.5.6… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 15,29-37.
Commentaire de Baudouin de Ford (?-v. 1190), Abbé Cistercien, puis Évêque.
LETTRES DE SAINT FRANÇOIS XAVIER À SAINT IGNACE (1542 et 1544).
Autre commentaire de Jean Gobeil, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Joan COSTA i Bou (Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Saint francois xavier 2Mercredi 03 Décembre 2014 : Fête de Saint François-Xavier, Jésuite, Co-Patron des Missions, Apôtre des Indes et du Japon (1506-1552).
(Co-Patron des Missions avec Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face et Saint Pierre Claver).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint François-Xavier.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre d'Isaïe 25,6-10a.
En ce jour-là, le Seigneur de l'univers, préparera pour tous les peuples, sur sa montagne, un festin de viandes grasses et de vins capiteux, un festin de viandes succulentes et de vins décantés.
Sur cette montagne, il fera disparaitre le voile de deuil qui enveloppe tous les peuples et le linceul qui couvre toutes les nations.
Il fera disparaitre la mort pour toujours. Le Seigneur essuiera les larmes sur tous les visages, et par toute la terre il effacera l'humiliation de son peuple. Le Seigneur a parlé.
Et ce jour-là, on dira : « Voici notre Dieu, en lui nous espérions, et il nous a sauvés ; c'est lui le Seigneur, en lui nous espérions ; exultons, réjouissons-nous : il nous a sauvés ! »
Car la main du Seigneur reposera sur cette montagne.

 

Psaume 23(22),1-3a.3b-4.5.6.
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d'herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles,
il me fait revivre,
il me conduit par le juste chemin
pour l'honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi,
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
Tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m'accompagnent
tous les jours de ma vie.
J'habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 15,29-37.
En ce temps là, Jésus arriva près de la mer de Galilée. Il gravit la montagne et là, il s'assit.
De grandes foules s'approchèrent de lui, avec des boiteux, des aveugles, des estropiés, des muets, et beaucoup d'autres encore ; on les déposa à ses pieds et il les guérit.
Alors la foule était dans l'admiration en voyant des muets qui parlaient, des estropiés rétablis, des boiteux qui marchaient, des aveugles qui voyaient ; et ils rendirent gloire au Dieu d'Israël.
Jésus appela ses disciples et leur dit : « Je suis saisi de compassion pour cette foule : car depuis trois jours déjà, ils restent auprès de moi et n'ont rien à manger. Je ne veux pas les renvoyer à jeun ; ils pourraient défaillir en chemin. »
Les disciples lui disent : « Où trouverons-nous dans un désert assez de pain pour rassasier une telle foule ? »
Jésus leur demanda : « Combien de pains avez-vous ? » Ils dirent : « Sept, et quelques petits poissons. »
Alors il ordonna à la foule de s'asseoir par terre.
Il prit les sept pains et les poissons; rendant grâce il les rompit, il les donnait aux disciples, et les disciples aux foules.
Tous mangèrent et furent rassasiés. On ramassa les morceaux qui restaient : cela faisait sept corbeilles pleines.

 

Commentaire du jour.
Baudouin de Ford (?-v. 1190), Abbé Cistercien, puis Évêque.
Le Sacrement de l'autel, PL 204, 690 (trad. Orval)

Le pain de la Vie éternelle

« Je suis le pain de Vie, dit Jésus ; celui qui vient à moi n'aura jamais faim, celui qui croit en moi n'aura jamais soif » (Jn 6,35)... Il exprime ainsi par deux fois le rassasiement éternel où rien ne manque plus.

La Sagesse dit pourtant : « Ceux qui me mangent auront encore faim, et ceux qui me boivent auront encore soif » (Si 24,21).
Le Christ, qui est la Sagesse de Dieu, n'est pas mangé pour rassasier dès à présent notre désir, mais pour nous faire désirer ce rassasiement ; et plus nous goûtons sa douceur, plus notre désir en est stimulé.
C'est pourquoi ceux qui le mangent auront encore faim, jusqu'à ce que vienne le rassasiement. Mais lorsque leur désir aura été comblé, ils n'auront plus faim ni soif.

« Ceux qui me mangent auront encore faim. » Cette parole peut aussi s'entendre du monde futur, car il y a dans le rassasiement éternel comme une sorte de faim qui ne vient pas du besoin mais du Bonheur.
Le rassasiement n'y connaît pas de satiété ; le désir n'y connaît pas de gémissements. Le Christ, toujours admirable dans sa beauté est aussi toujours désirable, « lui que les anges désirent Contempler » (1P 1,12).
Ainsi, alors même qu'on le possède, on le désire ; alors même qu'on le tient, on le cherche, selon qu'il est écrit : « Sans relâche cherchez sa face » (Ps 104,4).
Il est en effet toujours cherché, celui qui est aimé pour être possédé à jamais.

 

LETTRES DE SAINT FRANÇOIS XAVIER À SAINT IGNACE (1542 et 1544).

Nous sommes allés à des villages de néophytes, Baptisés voici peu d’années. Cette région n’est absolument pas habitée par les Portugais, car elle est très stérile et très pauvre.
Les Chrétiens indigènes, privés de Prêtres, ne savent rien, sinon qu’ils sont Chrétiens. Il n’y personne pour leur célébrer les Sacrements ; personne pour leur enseigner le Symbole, le Pater, l’Ave Maria, ni les Commandements de Dieu.

Depuis que je suis venu ici, je n’ai pas arrêté : je parcourais activement les villages, je baptisais tous les enfants qui ne l’avaient pas encore été.
Aussi ai-je régénéré un nombre immense de bébés qui, comme on dit, ne savaient pas distinguer leur droite de leur gauche.
Quand aux enfants, ils ne me laissaient ni réciter l’office Divin, ni manger ni me reposer tant que je ne leur avais pas enseigné une Prière.
Alors j’ai commencé à saisir que le Royaume des Cieux appartient à ceux qui leur ressemblent.

Aussi, comme je ne pouvais sans impiété repousser une requête aussi pieuse, en commençant par la confession de Foi au Père, au Fils et à L’Esprit Saint, je leur inculquais le Symbole des Apôtres, le Pater noster et l’Ave Maria.
J’ai remarqué qu’ils étaient très doués ; s’il y avait quelqu’un pour les former à la Foi Chrétienne, je suis sûr qu’ils deviendraient de très bons Chrétiens.

Dans ce pays, quantité de gens ne sont pas Chrétiens uniquement parce qu’il n’y a personne aujourd’hui pour en faire des Chrétiens.
J’ai très souvent eu l’idée de parcourir toutes les universités d’Europe, et d’abord celle de Paris, pour hurler partout d’une manière folle et pousser ceux qui ont plus de doctrine que de Charité, en leur disant : « Hélas, quel nombre énorme d’âmes, exclu du Ciel par votre faute, s’engouffre dans l’enfer ! »

De même qu’ils se consacrent aux belles-lettres, s’ils pouvaient seulement se consacrer aussi à cet apostolat, afin de pouvoir rendre compte à Dieu de leur doctrine et des talents qui leur ont été confiés !

Beaucoup d’entre eux, bouleversés par cette pensée, aidés par la méditation des choses Divines, s’entraîneraient à écouter ce que Le Seigneur dit en eux et, en rejetant leurs ambitions et leurs affaires humaines, ils se soumettraient tout entiers, définitivement, à la volonté et au décret de Dieu.
Oui, ils crieraient du fond du cœur : « Seigneur, me voici ; que veux-tu que je fasse ? Envoie-moi n’importe où tu voudras, même jusque dans les Indes. »

 

Autre commentaire du jour.
http://villaloyola.com/fr/node/27
Jean Gobeil, s.j., La Villa Loyola, dirigée par les Jésuites de Sudbury.

Il prit les sept pains et les poissons; rendant grâce il les rompit, il les donnait aux disciples, et les disciples aux foules.

Jésus s’assoit: c’est la position des rabbins pour enseigner. On mentionne cette position avant le Sermon sur la Montagne et avant le sermon en Paraboles.
Jésus est le Maître qui enseigne.
En ajoutant la mention qu’il est sur une montagne, Matthieu fait allusion au fait qu’il est le nouveau Moïse
Il apporte la Parole de Dieu. Saint Jean dira: Il est la Parole de Dieu.

On dépose des malades à ses pieds: il les guérit. La foule est dans l’admiration et les gens rendent gloire à Dieu. La chose étonnante est que c’est après les guérisons que Jésus dit: J’ai pitié de cette foule.

Au-delà des besoins des malades, il voit un autre besoin encore plus grand que les maladies. Dans la foule qui est venue l’écouter, il y a une faim de la parole et de la présence de Dieu. C’est de cette faim dont Jésus a pitié.

Ce que Jésus fera maintenant sera un signe de ce qu’il veut faire pour satisfaire cette faim. Il commence par la faim matérielle en fournissant une nourriture qui ne s’épuise pas.
Moïse dans le désert avait obtenu la manne, une nourriture venue du Ciel, pour les Israélites qui souffraient de la faim.
Jésus est celui qui va apporter la vraie nourriture venue du Ciel dont les sept pains et les poissons ne sont qu’une image.
Ce sera une nourriture abondante comme l’indiquent les sept corbeilles de restes.

Pour que la leçon soit bien claire pour les disciples et pour ceux qui viendront après eux, Jésus emploie un geste qu’on ne peut pas ne pas reconnaître.
Ce geste a quatre éléments: Jésus prend la nourriture, il rend grâce, il rompt la nourriture, il la donne aux disciples.
C’est un geste liturgique qui sera repris à la dernière Cène pour l’institution de l’Eucharistie.

Même le mot Eucharistie (eucharistèsas) est employé ici pour rendre grâce. La seule différence est qu’à la dernière Cène, c’est Jésus qui distribue le pain.
Ici, Jésus fait faire la distribution par les disciples, ce qu’il continue à faire dans l’Église.

Jésus est le Maître qui apporte la Parole du Père. Mais avec cette Parole, il apporte sa Présence qui restera même après son départ.
Jean Gobeil, s.j.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4035.html
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.

De grandes foules s'approchèrent de lui, avec des boiteux, des aveugles, des estropiés, des muets, et beaucoup d'autres encore…

Ils vinrent à Jésus « avec des boiteux, des aveugles, des estropiés, des muets, et beaucoup d'autres infirmes ». Quelle énumération. Toutes les maladies du monde affluent vers le médecin de l’homme. « Et il les guérit », tout simplement. La scène est saisissante.

L’évangéliste ne précise pas explicitement que Jésus enseignait, quant à Jésus il dit seulement d’eux : « ils sont avec moi ».
L’humanité a tellement crié sa détresse vers le Ciel, sa venue constitue une telle attente, que le Messie annoncé semble être reconnu à sa seule présence. L’attente ouvre les yeux du cœur. Tous affluent vers lui, à commencer par les plus pauvres. Jésus est avec eux à la fois direct et simple : « et il les guérit ».

Savons-nous reconnaître la présence du Messie parmi nous ? Notre préparation à Noël ne devrait-elle pas être avant tout un réapprentissage de la pauvreté ?
Que nous ayons des pauvretés, voire que nous soyons des pauvres, n’est pas pour nous surprendre, nous l’expérimentons si souvent.
Mais notre pauvreté nous rend-elle proche de Jésus ?

Autrement dit, n’appelons-nous pas facilement pauvretés nos limites, les irritantes frontières de notre puissance ?
Or ces limites sont notre chance de nous ouvrir aux autres et à l’Autre, au Messie. Ainsi, notre vraie pauvreté est d’abord celle de ne pas savoir accueillir.
Jésus est pauvre : il reçoit ceux qui affluent vers lui, il ne retient pas sa vie, il donne sans calculer. Il guérit.

Ce temps de préparation doit donc être un temps où nous osons la rencontre de l’autre, de l’homme avec sa misère. Tel est le chemin de l’éloignement de soi. Tel est le chemin du rapprochement de Dieu.

Dieu rejoint l’homme dans sa misère. On ne découvre sa pauvreté qu’une fois le consentement donné à ses limites, le choix posé de mettre des limites qui créent un espace pour l’autre et permettent l’épanouissement de la vie.
Limite au temps de travail, limite au temps de parole, limite à l’envahissement de l’espace, limite aux revendications.
Petites morts du quotidien qui ouvrent à la vie. Ainsi allégés, nos cœurs apparaissent avec leurs vraies infirmités, celles qui nous font prendre notre place dans le cortège qui monte vers Jésus sur la montagne.
Les muets qui ne louent jamais Dieu ; les aveugles qui ne discernent pas les signes de l’Esprit ; les sourds qui se ferment à la Parole de Dieu ; les boiteux qui ne marchent pas droit sur les chemins de l’Évangile.

Ce jour-là, l’enseignement de Jésus était dans son accueil de nos pauvretés, dans la manifestation de sa pauvreté. C’était un enseignement par l’exemple. Puis vint le temps de la mise en pratique.
Pauvrement, sept pains et quelques petits poissons lui sont offerts ; il les Bénit et il demande à ses disciples de les distribuer.
Il nous faut apprendre à donner le peu que nous avons et à recevoir simplement le peu qu’on nous donne. C’est de cette manière que Le Seigneur comble les foules de ceux qui s’avancent vers Lui. C’est à ce signe que notre cœur devient capable de reconnaître la présence de Jésus sur nos routes.

Le mystère de Noël auquel nous nous préparons, est un mystère de simplicité. Il requiert un dépouillement volontaire et un abandon confiant à la volonté de celui qui, trois jours durant, accueille et guérit.
Il faut nous y préparer car nous aurons à marcher vers la grotte de la même manière que les pauvres de cet Évangile ont eu à marcher vers le rocher où le Sauveur était assis.
Dieu descend jusqu’à nous pour nous élever jusqu’à Lui.
Alors, unissant nos voix aux foules dans l’admiration, nous chanterons avec les anges du Ciel la Gloire du Dieu qui vient à nous pour tout sauver.
Frère Dominique

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/I_06
Abbé Joan COSTA i Bou (Barcelona, Espagne).

‘Combien de pains avez-vous?’. Ils dirent: ‘Sept, et quelques petits poissons’

Aujourd'hui nous contemplons dans l'Évangile la multiplication des pains et des poissons. «De grandes foules —nous raconte l'évangéliste Matthieu— vinrent à lui» (Mt 15,30) au Seigneur.
Des hommes et des femmes qui ont besoin du Christ, des aveugles, des boiteux et beaucoup d'autres infirmes, ainsi que ceux qui les accompagnent.
Nous aussi nous avons besoin du Christ, de sa Tendresse, de son Pardon, de sa Lumière, de sa Miséricorde...
En Lui nous trouvons la plénitude de tout ce qui est humain.

L'Évangile d'aujourd'hui nous fait aussi nous rendre compte qu'il est nécessaire que des hommes conduisent les autres vers Jésus-Christ.
Ceux qui amènent les infirmes à Jésus pour qu'Il les guérisse sont l'image de tous ceux qui savent que la plus grande preuve de charité envers le prochain c'est de l'approcher du Christ, source de toute Vie.
Une vie de Foi exige, donc, la sainteté et l'apostolat.

Saint Paul nous exhorte à avoir les mêmes dispositions que Le Christ Jésus (cf. Ph 2,5). Notre récit nous montre son Cœur: «J'ai pitié de cette foule» (Mt 15,32). Il ne peut pas les abandonner car ils sont affamés et fatigués.
Le Christ cherche l’homme dans le besoin et il feint de le rencontrer par hasard. Que le Seigneur est bon! Et que nous sommes importants à ses yeux!
Quand il y songe, le cœur humain se dilate plein de gratitude, d'admiration et d'un désir sincère de conversion.

Ce Dieu fait homme, tout-puissant et qui nous aime passionnément, et dont nous avons besoin en tout et pour tout —«car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire» (Jn 15,5)— a aussi, paradoxalement, besoin de nous: telle est la signification des sept pains et des quelques petits poissons dont il se servira pour nourrir une grande foule.
Si nous savions à quel point Jésus s'appuie sur nous, et la valeur que possède à Ses yeux tout ce que nous faisons, pour aussi peu que ce soit, nous lui montrerions chaque fois mieux notre plus entière reconnaissance.

 

Hymne : Vienne la rosée sur la Terre

Vienne la rosée sur la terre,
Naisse l’espérance en nos cœurs,
Brille dans la nuit la lumière
Bientôt va germer le Sauveur.
Au désert un cri s’élève
Préparez les voies du Seigneur.

Berger d’Israël, tends l’oreille,
Descends vite à notre secours ;
Et nos yeux verront tes merveilles,
Nos voix chanteront ton amour.
Fille de Sion, tressaille,
Le Seigneur déjà vient vers toi.

Réveille, ô Seigneur, ta vaillance,
Établis ton règne de paix ;
Que les peuples voient ta puissance,
Acclament ton Nom à jamais.
L’univers attend ta gloire,
Et nous préparons ton retour.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Tu as voulu, Seigneur, que la prédication de Saint François Xavier appelle à toi de nombreux peuples d'Orient ; accorde à tous les Baptisés le même zèle pour la Foi et fais que ton Église se réjouisse d'avoir, partout dans le monde, de nouveaux enfants.

 

Parole de Dieu : (Is 7 14b-15)… (Office des Laudes).
Voici que la jeune femme est enceinte, elle enfantera un fils, et on l’appellera Emmanuel, (c’est-à-dire : Dieu avec nous). De crème et de miel il se nourrira, et il saura rejeter le mal et choisir le bien.

 

Parole de Dieu : (1 Co 4, 5)… (Office des Vêpres).
Ne portez pas de jugement prématuré, mais attendez la venue du Seigneur, car il mettra en lumière ce qui est caché dans les ténèbres, et il fera paraître les intentions secrètes.
Alors, la louange qui revient à chacun lui sera donnée par Dieu.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

Ajouter un commentaire