Eucharistie du Mardi 15 Juillet 2014 : Mardi de la 15ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Mardi 15 Juillet 2014 : Mardi de la 15ème semaine du Temps Ordinaire.
L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Bonaventure, Cardinal-Évêque et Docteur de l'Église (1221-1274).

Fête de Saint Jacques de Nisibe, 1er Évêque de Nisibe en Mésopotamie († vers 338-350).
Fête de la Bienheureuse Anne-Marie Javouhey, Fondatrice de la Congrégation des « Sœurs de Saint-Joseph de Cluny » (1779-1851).

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Isaïe 7,1-9… Psaume 48(47),2-3ab.3cd-4.5-6.7-8… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 11,20-24.
Commentaire de Saint Raphaël Arnaiz Baron (1911-1938), Moine Trappiste espagnol.
Autre commentaire de Frère Elie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
L'ITINÉRAIRE DE L'ÂME VERS DIEU PAR SAINT BONAVENTURE.
Autre commentaire de Frère Damien LIN Yuanheng (Singapore, Singapour).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Vittore crivelli saint bonaventure

Mardi 15 Juillet 2014 : Fête de Saint Bonaventure, Cardinal-Évêque et Docteur de l'Église (1221-1274).
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Saint Bonaventure.

Saint jacques de nisibe eveque de nisibe 351Mardi 15 Juillet 2014 : Fête de Saint Jacques de Nisibe, 1er Évêque de Nisibe en Mésopotamie († vers 338-350).
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Saint Jacques de Nisibe.

JavouheyMardi 15 Juillet 2014 : Fête de la Bienheureuse Anne-Marie Javouhey, Fondatrice de la Congrégation des « Sœurs de Saint-Joseph de Cluny » (1779-1851).
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Bienheureuse Anne-Marie Javouhey.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre d'Isaïe 7,1-9.
Au temps d'Acaz, roi de Juda, Raçône, roi de Syrie, et Pékah, roi d'Israël, montèrent contre Jérusalem pour l'attaquer, mais ils ne purent lui donner l'assaut.
Lorsqu'on apprit, au palais du roi, que l'armée syrienne avait pris position en Éphraïm, le roi et son peuple furent secoués comme les arbres de la forêt sont secoués par le vent.
Le Seigneur dit alors à Isaïe : « Avec ton fils qui s'appelle 'Un-reste-reviendra', va trouver Acaz, au bout du canal du réservoir supérieur, sur la route du Champ-du-Foulon.
Tu lui diras : 'Garde ton calme, ne crains pas, ne va pas perdre cœur devant ces deux bouts de tisons fumants, à cause de la colère bruyante du roi de Syrie et du roi d'Israël.
Oui, la Syrie a décidé ta perte, en accord avec Éphraïm et le roi d'Israël. Ils ont dit :
Marchons contre le royaume de Juda, pour l'intimider ; pénétrons chez lui pour l'obliger à se rendre, et nous lui imposerons comme roi le fils de Tabéel.
Mais voici ce que dit le Seigneur Dieu : Cela ne tiendra pas, cela ne sera pas,
car la capitale de la Syrie, c'est Damas, et le chef de Damas, ce n'est que Raçône ;
la capitale d'Éphraïm, c'est Samarie, et le chef de Samarie, ce n'est que Pékah. Or, dans soixante-cinq ans, Éphraïm, écrasé, cessera d'être un peuple. Si vous ne tenez pas à moi, vous ne pouvez pas tenir. ' »

 

Psaume 48(47),2-3ab.3cd-4.5-6.7-8.
Il est grand, le Seigneur, hautement loué,
dans la ville de notre Dieu,
sa sainte montagne, altière et belle,
joie de toute la terre.

La montagne de Sion, c'est le pôle du monde,
la cité du grand roi ;
Dieu se révèle, en ses palais,
vraie citadelle.

Voici que des rois s'étaient ligués,
ils avançaient tous ensemble ;
ils ont vu, et soudain stupéfaits,
pris de panique, ils ont fui.

Et voilà qu'un tremblement les saisit :
douleurs de femme qui accouche ;
un vent qui souffle du désert
a brisé les vaisseaux de Tarsis.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 11,20-24.
Jésus se mit à faire des reproches aux villes où avaient eu lieu la plupart de ses miracles, parce qu'elles ne s'étaient pas converties :
« Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil et la cendre en signe de pénitence.
En tout cas, je vous le déclare : Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous, au jour du Jugement.
Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu'au ciel ? Non, tu descendras jusqu'au séjour des morts ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, cette ville subsisterait encore aujourd'hui.
En tout cas, je vous le déclare : le pays de Sodome sera traité moins sévèrement que toi, au jour du Jugement. »

 

Commentaire du jour.
Saint Raphaël Arnaiz Baron (1911-1938), Moine Trappiste espagnol.
Écrits spirituels, 25/01/1937 (trad. Cerf 2008, p. 306 rev.)

« Parce qu’elles ne s’étaient pas converties »

Quels chemins tortueux faut-il parcourir pour atteindre la simplicité !... Très souvent, si nous ne pratiquons pas la vertu, c’est dû à notre manière d’être compliquée, qui rejette la simplicité.
Très souvent, nous n’arrivons pas à comprendre la grandiosité qui se cache dans un acte de simplicité.
Nous cherchons ce qui est grand dans ce qui est compliqué ; nous cherchons la magnificence des choses dans leur difficulté…

La vertu, Dieu, la vie intérieure : comme il me semblait difficile de vivre cela ! Maintenant, ce n’est pas que j’aie la vertu, ou que mes connaissances sur Dieu et la vie de l’esprit soient complètement claires, mais j’ai vu qu’on arrive à cela précisément par tout le contraire, par la simplicité du cœur et par la pureté de l’esprit…

Oui, effectivement ; pour avoir la vertu il n’est pas nécessaire de faire un plan de carrière, ni de se consacrer à de longues études ; il suffit de l’acte simple de vouloir ; il suffit souvent de la simple volonté.
Pourquoi donc n’avons-nous pas plus souvent la vertu ? Parce que nous ne sommes pas simples ; parce que nous compliquons nos désirs ; parce que, tout ce que nous voulons, notre peu de volonté nous le rend difficile.
Elle se laisse entraîner par ce qui lui plaît, par ce qui est commode, par ce qui n’est pas nécessaire, et très souvent par les désirs déréglés…
Si nous le voulions, nous serions saints, et c’est beaucoup plus difficile d’être ingénieur que d’être Saint.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,3894.html
Frère Elie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Malédiction aux villes qui ne se sont pas converties

Les villes juives auxquelles s’adresse Jésus dans l’évangile de ce jour sont celles où il a opéré de « nombreux miracles ».
Effectivement, Corazine, Bethsaïde, Capharnaüm ont vu s’accomplir la plus grande partie des miracles de Jésus… Mais leurs habitants ne se sont pas convertis et sont passés à côté de la béatitude évangélique.

Le reproche de Jésus est d’autant plus fort qu’il affirme que Tyr et Sidon, villes païennes par excellence à son époque, se seraient converties et auraient fait pénitence si elles avaient été témoins des mêmes œuvres de puissance : « Si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil et la cendre en signe de pénitence. »

Jésus en arrive même à comparer Capharnaüm, sa propre ville, à Sodome, ville païenne maudite entre toutes dans l’Ancien Testament pour sa perversité.
Pourquoi un tel jugement sur Capharnaüm ? Jésus semble donner lui-même la réponse dans la question qu’il lui adresse :
« Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu'au Ciel ? »
Ne peut-on pas lire ici une prétention de Capharnaüm à s’élever par ses propres forces jusqu’au Ciel c’est-à-dire à se faire l’égale de Dieu, à se sauver par elle-même sans Dieu ?

De son côté, Sodome, même si elle fut le théâtre de tous les vices, ne prétendait à rien et si les miracles de Jésus s’étaient opérés chez elle, elle se serait convertie. Jésus ne semble avoir aucun doute à ce sujet.

Face à ce constat qui bien qu’hypothétique n’en demeure pas moins certain, le jugement de Jésus tombe :
« Le pays de Sodome sera traité moins sévèrement que toi, au jour du Jugement. » Les villes qui n’ont pas été témoins des miracles de Jésus auront un sort moins dur que celles qui en auront bénéficié.

L’essentiel étant d’éviter le courroux de Dieu, la condition de Sodome n’en deviendrait-elle pas préférable ?
Mais le fait est que nous sommes dans la situation de Capharnaüm. Nous sommes de ceux qui ont eu la grâce de voir Jésus passer dans leur vie.
Nous avons été témoins de miracles de sa part, à commencer peut-être par celui de notre conversion.
Mais nous sommes-nous tournés davantage vers lui ?
Avons-nous grandi dans l’humilité d’avoir tout reçu de Lui, ou bien, sommes-nous restés indifférents, ingrats à ses dons ?

Jésus n’est pas en train de nous dire que la voie choisie par Sodome est meilleure que celle adoptée par Capharnaüm.
Il n’est pas non plus en train de dire qu’il vaudrait mieux ne pas l’avoir rencontré. Non ! Jésus nous dit aujourd’hui encore que c’est vraiment une grâce de l’avoir vu venir chez nous. Mais comment y avons-nous répondu ?

A travers un style prophétique dans ce qu’il a de plus percutant, Jésus veut en fait nous exhorter à entrer dans un regard de Foi sur notre vie pour y reconnaître son action et proclamer sa Seigneurie.
Car nous nous sommes peut-être tellement bien habitués à sa présence que nous ne le reconnaissons même plus à l’œuvre chez nous, que nous n’en faisons même plus cas.

Et ne plus faire attention à notre Sauveur ne conduit-il pas peu à peu à une attitude d’autosuffisance similaire à celle de Capharnaüm qui prétendait s’élever jusqu’au Ciel ?

« Seigneur, renouvelle en ce jour notre regard de Foi sur ta présence agissante au cœur de nos existences.
Que nous puissions proclamer que tu es Notre Seigneur et Notre Sauveur et nous approprier ainsi le Salut que tu es venu nous apporter. »
Frère Elie.

 

L'ITINÉRAIRE DE L'ÂME VERS DIEU PAR SAINT BONAVENTURE

Le Christ est le chemin et la porte, l'échelle et le véhicule ; il est le propitiatoire posé sur l'arche de Dieu et le mystère caché depuis le commencement.

Celui qui tourne résolument et pleinement ses yeux vers Le Christ en le regardant suspendu à la Croix, avec Foi, Espérance et Charité, dévotion, admiration, exultation, reconnaissance, louange et jubilation, celui-là célèbre la Pâque avec Lui, c'est-à-dire qu'il se met en route pour traverser la mer Rouge grâce au bâton de la Croix.
Quittant l'Égypte, il entre au désert pour y goûter la manne cachée et reposer avec Le Christ au tombeau, comme mort extérieurement mais expérimentant — dans la mesure où le permet l'état de voyageur — ce qui a été dit sur la Croix au larron compagnon du Christ : Aujourd'hui avec moi tu seras dans le paradis.

En cette traversée, si l'on veut être parfait, il importe de laisser là toute spéculation intellectuelle.
Toute la pointe du désir doit être transportée et transformée en Dieu. Voilà le secret des secrets, que personne ne connaît sauf celui qui le reçoit, que nul ne reçoit sauf celui qui le désire, et que nul ne désire, sinon celui qui au plus profond est enflammé par L'Esprit Saint que Le Christ a envoyé sur la Terre. Et c'est pourquoi l'Apôtre dit que cette mystérieuse Sagesse est révélée par L'Esprit Saint.

Si tu cherches comment cela se produit, interroge la Grâce et non le savoir, ton aspiration profonde et non pas ton intellect, le gémissement de ta Prière et non ta passion pour la lecture interroge l'Époux et non le professeur, Dieu et non l'homme, l'obscurité et non la clarté ; non point ce qui luit mais le feu qui embrase tout l'être et le transporte en Dieu avec une onction sublime et un élan plein d'ardeur.
Ce feu est en réalité Dieu Lui-même dont la fournaise est à Jérusalem. C'est Le Christ qui l'a allumé dans la ferveur brûlante de sa Passion.
Et seul peut le percevoir celui qui dit avec Job : Mon âme a choisi le gibet, et mes os, la mort. Celui qui aime cette mort de la Croix peut voir Dieu ; car elle ne laisse aucun doute, cette parole de vérité : L'homme ne peut me voir et vivre.

Mourons donc, entrons dans l'obscurité, imposons silence à nos soucis, à nos convoitises et à notre imagination.
Passons avec Le Christ crucifié de ce monde au Père. Et quand Le Père se sera manifesté, disons avec Philippe : Cela nous suffit.
Écoutons avec Paul : Ma grâce te suffit.
Exultons en disant avec David : Ma chair et mon cœur peuvent défaillir : le roc de mon cœur et mon héritage, c'est Dieu pour toujours.
Béni soit le Seigneur pour l'éternité, et que tout le peuple réponde : Amen, amen.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_137
Frère Damien LIN Yuanheng (Singapore, Singapour).

«"Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde!" »

Aujourd'hui, Le Christ réprimande deux villes de Galilée, Corazine et Bethsaïde à cause de leur manque de Foi: "Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, … les gens se seraient convertis" (Mt 11,21).
Jésus Lui-même témoigne en faveur des villes phéniciennes, Tyr et Sidon: elles auraient fait pénitence avec une grande humilité si elles avaient vu les merveilles du pouvoir divin.

Personne n'est heureux de recevoir une bonne réprimande.
En effet, il doit être particulièrement douloureux de se faire réprimander par Le Christ, Lui qui nous aime d'un cœur infiniment miséricordieux.
Simplement, il n'y a pas d'excuse, il n'y a pas d'immunité quand on est réprimandé par la Vérité même. Recevons donc chaque jour, avec humilité et responsabilité, l'appel de Dieu à la conversion.

Il faut noter également que Le Christ ne tourne pas autour du pot. Il met ses auditeurs face à la vérité.
Nous devons analyser la façon dont nous parlons du Christ aux autres. Souvent, nous aussi nous devons lutter contre le respect que nous avons pour les personnes afin de mettre nos amis face aux vérités éternelles, telles que la mort et le jugement final.

Le Pape François décrit Saint Paul, sciemment, comme un "fauteur de troubles": "Le Seigneur veut que nous allions toujours plus loin…que nous ne nous réfugions pas dans une vie tranquille ni dans des structures obsolètes (…)".
Et Paul dérangeait en prêchant Le Seigneur. Mais il allait de l'avant, car il avait dans son for intérieur cette attitude Chrétienne qu'est le zèle apostolique. Il n'était pas un "homme de compromis". Ne fuyons pas notre devoir de charité!

Vous trouverez peut-être, comme moi, les paroles de San Joseph Marie Escrivá édifiantes: "(…) il s'agit de parler comme un sage, comme un Chrétien, mais de façon accessible à tous".
Nous ne pouvons pas nous endormir sur nos lauriers – nous accommoder- afin d'être entendus de tous, mais au contraire nous devons demander la Grâce d'être des instruments du Saint Esprit, afin de situer pleinement chaque homme et chaque femme face à la Vérité Divine.

 

Hymne : Un chant rassemble dans la nuit

Un chant rassemble dans la nuit
Les voix dispersées :
L'Église a devancé l'aurore
Et fait monter vers le Seigneur
L'espoir du monde.

L'hymne de joie et de douleurs,
Qui naît aujourd'hui
Rejoint la mystérieuse offrande,
Où Jésus Christ veut, de sa croix,
Signer l'alliance.

C'est dans le Fils que nous pouvons,
Marqués par l'Esprit,
Donner notre parole au Père,
Et c'est en lui que Dieu répond
Au cri des hommes.

Nous attendons face à l'Orient
Les signes du Jour:
Jésus doit revenir en gloire,
Et l'amour seul peut dans nos vies
Gagner sa Pâque.

 

Hymne : Sans fin, Seigneur, Dieu Notre Père

Sans fin, Seigneur, Dieu notre Père,
Sans fin, Seigneur, nous te louerons :
La terre exulte d’allégresse ;
Béni sois-tu, Dieu des vivants !

L’oiseau reçoit sa nourriture,
La fleur se pare de beauté ;
Tu aimes toute créature,
Tu sais le prix de nos années.

Sans fin, ton Verbe en nos paroles,
Sans fin, Seigneur, te chantera ;
L’amour s’éveille en nos cœurs d’hommes
Au nom du Fils, ton bien-aimé.

Tu es, Seigneur, notre lumière,
Toi seul nous sauves de la mort ;
Ton Fils offert à tous les peuples
Est pour chacun le Pain vivant.

Heureux les hommes qui t’adorent,
Le monde ouvert à ton amour ;
L’Esprit déjà te nomme Père :
Un jour, Seigneur, nous te verrons.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Accorde-nous, Dieu tout-puissant, tandis que nous célébrons l'anniversaire de Saint Bonaventure, de mettre à profit les richesses de son enseignement, et de prendre en exemple sa brûlante Charité.

 

Parole de Dieu : (1 Jn 4, 14-15)… (Office des Laudes).
Nous qui avons vu, nous attestons que Le Père a envoyé Son Fils comme Sauveur du monde. Celui qui proclame que Jésus est Le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu.

 

Parole de Dieu : (Rm 12, 9-12)… (Office des Vêpres).
Que votre amour soit sans hypocrisie. Fuyez le mal avec horreur, attachez-vous au bien. Soyez unis les uns aux autres par l’affection fraternelle, rivalisez de respect les uns pour les autres.
Ne brisez pas l’élan de votre générosité, mais laissez jaillir L’Esprit ; soyez les serviteurs du Seigneur.
Aux jours d’espérance, soyez dans la Joie ; aux jours d’épreuve, tenez bon ; priez avec persévérance.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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