Eucharistie du Dimanche 26 Octobre 2014 : Trentième Dimanche du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Dimanche 26 Octobre 2014 : Trentième Dimanche du Temps Ordinaire.

Fête de la Bienheureuse Céline Chludzińska Borzęcka, Veuve, Religieuse, Co-Fondatrice (avec sa fille Hedwig) des Sœurs de la Résurrection de Notre Seigneur Jésus Christ (1833-1913).
Fête du Bienheureux Bonaventure de Potenza, Frère Mineur (1651-1711).

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de l'Exode 22,20-26… Psaume 18(17),2-3.4.20.47.51ab… Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 1,5c-10… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 22,34-40.
Commentaire de Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Johannes VILAR (Köln, Allemagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Bienheureuse celine chludzi ska borz cka 11 2

Dimanche 26 Octobre 2014 : Fête de la Bienheureuse Céline Chludzińska Borzęcka, Veuve, Religieuse, Co-Fondatrice (avec sa fille Hedwig) des Sœurs de la Résurrection de Notre Seigneur Jésus Christ (1833-1913).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Céline Chludzińska Borzęcka.

Beato bonaventura da potenza 11 2

Dimanche 26 Octobre 2014 : Fête du Bienheureux Bonaventure de Potenza, Frère Mineur (1651-1711).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Bonaventure de Potenza.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de l'Exode 22,20-26.
Quand Moïse transmettait au peuple les lois du Seigneur, il disait : « Tu ne maltraiteras point l'immigré qui réside chez toi, tu ne l'opprimeras point, car vous étiez vous-mêmes des immigrés en Égypte.
Vous n'accablerez pas la veuve et l'orphelin.
Si tu les accables et qu'ils crient vers moi, j'écouterai leur cri.
Ma colère s'enflammera et je vous ferai périr par l'épée : vos femmes deviendront veuves, et vos fils, orphelins.
Si tu prêtes de l'argent à quelqu'un de mon peuple, à un pauvre parmi tes frères, tu n'agiras pas envers lui comme un usurier : tu ne lui imposeras pas d'intérêts.
Si tu prends en gage le manteau de ton prochain, tu le lui rendras avant le coucher du soleil.
C'est tout ce qu'il a pour se couvrir ; c'est le manteau dont il s'enveloppe, la seule couverture qu'il ait pour dormir. S'il crie vers moi, je l'écouterai, car moi, je suis compatissant ! »

 

Psaume 18(17),2-3.4.20.47.51ab.
Je t'aime, Seigneur, ma force :
Seigneur, mon roc, ma forteresse,
Dieu mon libérateur, le rocher qui m'abrite,
mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire !

Louange à Dieu ! Quand je fais appel au Seigneur,
je suis sauvé de tous mes ennemis.
Et lui m'a dégagé, mis au large,
il m'a libéré, car il m'aime.

Vive le Seigneur ! Béni soit mon Rocher !
Qu'il triomphe, le Dieu de ma victoire,
Il donne à son roi de grandes victoires,
il se montre fidèle à son messie pour toujours.

 

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 1,5c-10.
Frères, vous savez comment nous nous sommes comportés chez vous pour votre bien.
Et vous, vous avez commencé à nous imiter, nous et le Seigneur, en accueillant la Parole au milieu de bien des épreuves avec la joie de l'Esprit Saint.
Ainsi vous êtes devenus un modèle pour tous les croyants de Macédoine et de toute la Grèce.
Et ce n'est pas seulement en Macédoine et dans toute la Grèce qu'à partir de chez vous la parole du Seigneur a retenti, mais la nouvelle de votre foi en Dieu s'est si bien répandue partout que nous n'avons plus rien à en dire.
En effet, quand les gens parlent de nous, ils racontent l'accueil que vous nous avez fait ; ils disent comment vous vous êtes convertis à Dieu en vous détournant des idoles, afin de servir le Dieu vivant et véritable,
et afin d'attendre des cieux son Fils qu'il a ressuscité d'entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 22,34-40.
Les pharisiens, apprenant que Jésus avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent,
et l'un d'entre eux, un docteur de la Loi, posa une question à Jésus pour le mettre à l'épreuve :
« Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? »
Jésus lui répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit.
Voilà le grand, le premier commandement.
Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Tout ce qu'il y a dans l'Écriture - dans la Loi et les Prophètes - dépend de ces deux commandements. »

 

Commentaire du jour.
Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Sermon inédit sur la lettre de Saint Jacques.

Trois Amours, deux Commandements

Dieu ne te demande pas beaucoup de choses, car à elle seule la charité accomplit toute la Loi (Rm 13,10).
Mais cet Amour est double : Amour envers Dieu et envers le prochain... Quand Dieu te dit d'aimer ton prochain, il ne te dit pas : aime-le de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit ; mais il te dit : aime ton prochain comme toi-même.
Aime donc Dieu de tout toi-même, parce qu'il est plus grand que toi ; aime ton prochain comme toi-même, parce qu'il est ce que tu es...

Il y a donc trois objets de notre Amour ; pourquoi n'y a-t-il que deux Commandements ?
Je vais te le dire : Dieu n'a pas jugé nécessaire de t'engager à t'aimer toi-même puisqu'il n'y a personne qui ne s'aime pas soi-même.
Mais beaucoup de gens se perdent parce qu'ils s'aiment mal. En te disant d'aimer Dieu de tout toi-même, Dieu t'a donné la règle selon laquelle tu dois t'aimer.
Sans doute, tu veux t'aimer ?
Alors, aime Dieu de tout toi-même. C'est en Lui, en effet, que tu te trouveras, en évitant de te perdre en toi...
Ainsi donc, la règle selon laquelle tu as à t'aimer t'est donnée : aime celui qui est plus grand que toi, et tu t'aimeras toi-même.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,3997.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

« Maître, dans la Loi, quel est le grand Commandement ? »

Pharisiens et sadducéens se relaient pour harceler Jésus de questions pièges. Les pharisiens ont ouvert le feu : ils ont essayé de compromettre Jésus sur le terrain politique avec la demande concernant le tribut redevable à César (Mt 22, 15-22).
Mis en échec ils se sont retirés et ont laissé la place aux sadducéens. Ceux-ci ont tenté de démontrer que la doctrine de la résurrection soutenue par Notre-Seigneur est absurde ; leur argumentation s’appuyait sur le cas de figure de six frères épousant successivement la femme de leur frère défunt pour lui assurer une descendance (Mt 22, 23-33).
Le rappel des conditions de vie dans le Royaume les a obligés eux aussi à battre en retraite.

Devenus plus prudents, « les pharisiens se réunirent » et par la voix d’un légiste, ils tendent un piège bien plus subtil.
Il était de tradition que les Maîtres résument les prescriptions de la Loi autour d’un Commandement central d’où tous les autres sont sensés procéder et auquel ils devraient ramener.
Cette synthèse originale caractérisait l’enseignement de chaque Rabbi. L’exercice n’était pas facile car les quelques sentences retenues devaient proposer une synthèse fidèle de l’essentiel de la Thora.
Le « grand Commandement » auquel se réfèrent les pharisiens est donc celui qui pour Jésus s’impose de manière absolue et autour duquel il entend construire sa doctrine.
Ces messieurs espèrent bien sûr que la réponse du Rabbi sera insuffisante et qu’ils auront ainsi matière pour mettre en doute son orthodoxie.

La réponse de Notre-Seigneur est plutôt embarrassante pour le docteur, qui se trouve pris à son propre piège ; en effet, s’il reconnaît le bien-fondé de la réponse de Jésus, il est obligé d’avouer la fausseté de son attitude qui est tout sauf charitable envers son prochain !

Curieusement, Jésus ne se réfère pas à la Loi, c’est-à-dire au Décalogue, mais il rassemble un verset du Deutéronome (Dt 6, 5) et un autre du Lévitique (Lv 19, 18) pour composer un seul précepte, qui selon lui s’impose inconditionnellement.
On pourrait donc lui reprocher de ne pas répondre à la demande qui lui est adressée. Mais en fait, il dépasse la Loi vers son accomplissement dans l’Amour.
Dans les deux passages convoqués, le programme à mettre en œuvre consiste en effet à « aimer ».
Par deux fois, ce verbe est proposé au futur, non pas pour indiquer une action à venir, mais pour signifier qu’il s’agit de l’occupation principale tout au long du chemin qui conduit au Royaume.
Le futur a ici valeur d’un impératif qui vaut de manière définitive : « Cherchez Le Seigneur et sa force, sans vous lasser, recherchez son visage » (Ps 104, 4), confirmait l’Antienne d’ouverture de notre liturgie.

L’objet de cet Amour est double. Il s’agit d’abord d’aimer « Le Seigneur » et de l’aimer dans la radicalité d’un engagement de tout son être.
Conjointement et dans l’élan d’un unique Amour qui se donne résolument et sans retour, nous sommes invités à « aimer notre prochain comme nous-mêmes ».
Jésus précise que les deux Commandements sont d’égale importance, et à vrai dire n’en font qu’un, le second étant le lieu de vérification du premier.

La première lecture tirée de l’Exode est on ne peut plus claire à ce propos : Dieu se situe explicitement du côté de l’immigré, de la veuve et de l’orphelin dont il prend la défense de manière enflammée, « car Moi, je suis compatissant ».
Une Compassion active qui culmine dans l’incarnation du Verbe, venu partager notre condition humaine afin de nous introduire dans sa condition Divine.

Pourtant Notre-Seigneur nous invite à respecter une priorité : pour aimer comme il convient notre prochain, il nous faut d’abord nous enraciner dans l’Amour de Dieu et nous attacher à Lui « de tout notre cœur, de toute notre âme et de toute notre pensée ».
Ce n’est que lorsque nous serons ainsi totalement décentré de nous-mêmes vers celui qui est notre Source et notre Fin, que nous pourrons aimer notre prochain « en esprit et vérité » (cf. Jn 4, 23-24), c’est-à-dire dans la chasteté d’un Amour non possessif et dans la liberté du don et du service gratuits.
La Charité Chrétienne est tout autre chose qu’une philanthropie : elle est consentement à l’action de L’Esprit de Jésus-Christ en nous, travaillant à l’instauration du Royaume.

Jean-Paul II souhaitait ardemment que « le monde redécouvre que le Christianisme est la religion de l’Amour ».
Et comment pourrait-il le découvrir si ce n’est grâce au témoignage de l’engagement des Chrétiens au service de leurs frères ?
Avant lui, Paul VI soulignait déjà que notre monde a davantage besoin de témoins que de maîtres ; et s’il écoute les maîtres, c’est parce qu’ils sont avant tout des témoins.

C’est bien ce qu’écrivait Saint Paul aux Chrétiens de Thessalonique : il ne les invite pas seulement à répéter ce qu’il a dit, mais à imiter son comportement.
C’est ainsi qu’ils demeureront « un modèle pour tous les croyants » (2nd lect.).
En effet, si leur prédication de la Parole « en Macédoine et dans toute la Grèce » porte tant de fruit, c’est parce que leur Foi s’est répandue en œuvres de Charité, bien plus éloquentes que tous les discours.
Seule une Foi qui se met en peine, atteste que nous sommes « convertis à Dieu en nous détournant des idoles, afin de servir Le Dieu vivant et véritable, et afin d’attendre des Cieux Son fils qu’il a ressuscité d’entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient » (Ibid.).
En ce Dimanche des Missions, puissions-nous mieux prendre conscience que l’annonce de notre Foi et le témoignage de notre Espérance, commencent par une vie de service, en cohérence avec l’Évangile que nous confessons.

« “Je t’aime Seigneur ma force, mais augmente ma Charité ; Seigneur mon roc, ma forteresse, je m’appuie sur Toi, mais fais grandir ma Foi ; Dieu mon libérateur, mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire, je suis sûr de Toi, mais arrache-moi à mes peurs” (cf. Ps 17), et accorde-moi dans L’Esprit Saint, l’audace d’une vrai conversion, d’un amendement sincère de ma vie, afin qu’en t’aimant plus que tout et en te servant en mes frères, je devienne un vrai disciple de Jésus, et un témoin crédible de la Bonne Nouvelle du Salut que tu nous envoies proclamer à tous les hommes ».
Père Joseph-Marie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_268
Abbé Johannes VILAR (Köln, Allemagne).

Tu aimeras Le Seigneur Ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. (…) Tu aimeras ton prochain comme toi-même

Aujourd'hui, l'Église nous fait un résumé de notre “option vitale” («Tout ce qu'il y a dans l'Écriture —dans la Loi et les Prophètes— dépend de ces deux Commandements»: Mt 22,40). Saint Matthieu et saint Marc mettent cette phrase sur les lèvres de Jésus-Christ; Saint Luc, sur celles d'un pharisien.
À chaque fois, c'est un dialogue.
Il est probable que le Seigneur ait posé plusieurs fois semblables questions. Jésus répond avec le début du Shemá, formule composée à partir de deux citations du Deutéronome et d'une des Nombres, que les juifs fervents récitaient au moins deux fois par jour:
«Écoute Israël! Le Seigneur Ton Dieu (…)».
En la récitant, l'on prend conscience de Dieu dans l'activité quotidienne, tout en se rappelant le plus important: aimer Dieu par-dessus tous nos “petits dieux” et le prochain comme soi-même.
Plus tard, à la fin de la dernière Cène, et par l'exemple du lavement des pieds, Jésus énoncera un “Commandement nouveau”: aimer comme Il nous aime, avec cette “force Divine” (cf. Jn 14,34-35).

Il faut se décider à pratiquer vraiment ce doux Commandement –plus qu'un Commandement, c'est une élévation, une capacité– dans nos rapports avec les autres : hommes et choses, travail et repos, esprit et matière, car tout a été créé par Dieu.

Par ailleurs, en étant imprégnés d'Amour de Dieu, qui nous atteint dans tout notre être, nous sommes rendus capables de répondre “Divinement” à cet Amour.
Dieu Miséricordieux ne se contente pas d'enlever le péché du monde (cf. Jn 1,29), Il nous divinise, nous “participons” (seul Jésus est Le Fils par nature) de la nature Divine; nous sommes fils du Père dans Le Fils par L'Esprit Saint.
Dans le sillage des Pères de l'Église, Saint Josémaria aimait à parler de “divinisation”. Saint Basile écrivait par exemple: «Tout comme les corps clairs et transparents, quand ils reçoivent la lumière, irradient à leur tour la lumière, ainsi reluisent ceux qui ont été illuminés par L'Esprit.
Cela implique le don de la grâce, la joie interminable, la permanence en Dieu… et le but suprême: la Divinisation».
Poursuivons-le!

 

Hymne : Ô Père des siècles du monde

Ô Père des siècles du monde,
Voici le dernier-né des jours
Qui monte
À travers nous, à la rencontre
Du Premier-né de ton amour.

C’est lui qui pour toi fit éclore,
C’est lui qui devant toi chantait
L’aurore,
Quand il n’était pas d’homme encore
Pour avoir part à sa beauté.

Par lui tout demeure en genèse,
Nos jours dans leur vieillissement
Se dressent
À leur éveil vers sa jeunesse,
Car il se lève à l’Orient.

C’est lui qui sans cesse ranime,
C’est lui qui sur les temps maintient
Cette hymne
Émerveillée dès l’origine
Devant l’ouvrage de tes mains.

Voici la nouvelle lumière
Montant au plus secret des corps ;
Ô Père,
Envoie le souffle sur la terre
Du Premier-né d’entre les morts.

 

Hymne : Peuples, criez de joie

Peuples, criez de joie
Et bondissez d’allégresse :
Le Père envoie son Fils
Manifester sa tendresse ;
Ouvrons les yeux :
Il est l’image de Dieu
Pour que chacun le connaisse.

Loué soit notre Dieu,
Source et Parole fécondes :
Ses mains ont tout créé
Pour que nos cœurs lui répondent ;
Par Jésus Christ,
Il donne l’être et la vie :
En nous sa vie surabonde.

Loué soit notre Dieu
Qui ensemence la terre
D’un peuple où son Esprit
Est plus puissant que la guerre ;
En Jésus Christ,
La vigne porte du fruit
Quand tous les hommes sont frères.

Loué soit notre Dieu
Dont la splendeur se révèle
Quand nous buvons le vin
Pour une terre nouvelle ;
Par Jésus Christ,
Le monde passe aujourd’hui
Vers une gloire éternelle.

Peuples, battez des mains
Et proclamez votre fête :
Le Père accueille en lui
Ceux que son Verbe rachète ;
Dans l’Esprit Saint
Par qui vous n’êtes plus qu’un,
Que votre joie soit parfaite !

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu éternel et tout-puissant, augmente en nous la Foi, l'Espérance et la Charité ; et pour que nous puissions obtenir ce que tu promets, fais-nous aimer ce que tu commandes.

 

Parole de Dieu : (Ez 36, 25-27)… (Office des Laudes).
Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. De toutes vos souillures, de toutes vos idoles, je vous purifierai. Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau.
 J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai en vous mon esprit : alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes Commandements et vous y serez fidèles.

 

Parole de Dieu : (2 Th 2, 13-14)… (Office des Vêpres).
Nous devons continuellement rendre grâce à Dieu pour vous, frères aimés du Seigneur, car Dieu vous a choisis dès le commencement, pour être sauvés par L’Esprit qui sanctifie et par la Foi en la Vérité.
C’est à cela qu’il vous a appelés par notre Évangile, à posséder la Gloire de Notre Seigneur Jésus Christ.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

Ajouter un commentaire