Eucharistie du Samedi 13 Septembre 2014 : Samedi de la 23ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Samedi 13 Septembre 2014 : Samedi de la 23ème semaine du Temps Ordinaire.

L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Jean Chrysostome, Évêque et Docteur de l'Église (c. 344-407).

Fête de la Bienheureuse Marie de Jésus Lopez de Rivas, Carmélite o.c.d. (1560-1640).

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 10,14-22… Psaume 116(115),12-13.17-18… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,43-49.
Commentaire de Saint Patrick (v. 385-v. 461), Moine Missionnaire, Évêque.
HOMÉLIE DE SAINT JEAN CHRYSOSTOME AVANT SON DÉPART EN EXIL (401).
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Raimondo M. SORGIA Mannai OP (San Domenico di Fiesole, Florencia, Italie).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Johnchrysostom

Samedi 13 Septembre 2014 : Fête de Saint Jean Chrysostome, Évêque et Docteur de l'Église (c. 344-407).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Jean Chrysostome.

Marie de jesus lopez de riveraSamedi 13 Septembre 2014 : Fête de la Bienheureuse Marie de Jésus Lopez de Rivas, Carmélite o.c.d. (1560-1640).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Marie de Jésus Lopez de Rivas.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 10,14-22.
Mes bien-aimés, fuyez le culte des idoles.
Je vous parle comme à des gens réfléchis ; jugez vous-mêmes de ce que je dis.
La coupe d'action de grâce que nous bénissons, n'est-elle pas communion au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas communion au corps du Christ ?
Puisqu'il y a un seul pain, la multitude que nous sommes est un seul corps, car nous avons tous part à un seul pain.
Voyez ce qui se passe chez les Israélites : ceux qui mangent les victimes offertes sur l'autel de Dieu sont en communion avec Dieu.
Je ne prétends pas que la viande offerte aux idoles ait une valeur, ou que les idoles elles-mêmes aient une valeur.
J'affirme au contraire que les sacrifices des païens sont offerts aux esprits mauvais, et non à Dieu, et je ne veux pas que vous soyez en communion avec les esprits mauvais.
Vous ne pouvez pas en même temps boire à la coupe du Seigneur et à celle des esprits mauvais ; vous ne pouvez pas en même temps prendre part à la table du Seigneur et à celle des esprits mauvais.
Voudrions-nous provoquer la jalousie du Seigneur ? Sommes-nous donc plus forts que lui ?

 

Psaume 116(115),12-13.17-18.
Comment rendrai-je au Seigneur
tout le bien qu'il m'a fait ?
J'élèverai la coupe du salut,
j'invoquerai le nom du Seigneur.

Je t'offrirai le sacrifice d'action de grâce,
j'invoquerai le nom du Seigneur.
Je tiendrai mes promesses au Seigneur,
oui, devant tout son peuple.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,43-49.
Jésus disait à ses disciples : " Jamais un bon arbre ne donne de mauvais fruits; jamais non plus un arbre mauvais ne donne de bons fruits.
Chaque arbre se reconnaît à son fruit : on ne cueille pas des figues sur des épines ; on ne vendange pas non plus du raisin sur des ronces.
L'homme bon tire le bien du trésor de son cœur qui est bon ; et l'homme mauvais tire le mal de son cœur qui est mauvais : car ce que dit la bouche, c'est ce qui déborde du cœur.
Et pourquoi m'appelez-vous en disant : 'Seigneur ! Seigneur ! ' et ne faites-vous pas ce que je dis ?
Tout homme qui vient à moi, qui écoute mes paroles et qui les met en pratique, je vais vous montrer à qui il ressemble.
Il ressemble à un homme qui bâtit une maison. Il a creusé très profond, et il a posé les fondations sur le roc. Quand est venue l'inondation, le torrent s'est précipité sur cette maison, mais il n'a pas pu l'ébranler parce qu'elle était bien bâtie.
Mais celui qui a écouté sans mettre en pratique ressemble à l'homme qui a bâti sa maison à même le sol, sans fondations. Le torrent s'est précipité sur elle, et aussitôt elle s'est effondrée ; la destruction de cette maison a été complète. »

 

Commentaire du jour.
Saint Patrick (v. 385-v. 461), Moine Missionnaire, Évêque.
Lorica : « La Cuirasse » (cf Ep 6,14)

Fondé sur le roc

Aujourd'hui je me ceins de la force puissante de l'invocation de la Trinité, de la Foi en Dieu un et trois, le Créateur de l'univers.

Aujourd'hui je me ceins de la force de l'Incarnation du Christ et de son Baptême, de la force de sa Crucifixion et de sa mise au tombeau, de la force de sa Résurrection et de son Ascension, de la force de sa venue au jour du Jugement.

Aujourd'hui je me ceins de la force de l'Amour des séraphins, dans l'obéissance des anges, dans le service des archanges, dans l'espérance de la Résurrection en vue de la récompense, dans les prières des patriarches, dans les prophéties des prophètes, dans la prédication des apôtres, dans la fidélité des confesseurs, dans l'innocence des vierges saintes, dans les actions de tous les justes.

Aujourd'hui je me ceins de la force des Cieux, de la lumière du soleil, de la clarté de la lune, de la splendeur du feu, de l'éclat de l'éclair, de la rapidité du vent, de la profondeur de la mer, de la stabilité de la terre, de la solidité des pierres.

Aujourd'hui je me ceins de la force de Dieu pour me guider, de la puissance de Dieu pour me soutenir, de la Sagesse de Dieu pour m'instruire, de l'œil de Dieu pour me garder, de l'oreille de Dieu pour m'entendre, de la Parole de Dieu pour parler pour moi, de la main de Dieu pour me guider, du chemin de Dieu pour me précéder, du bouclier de Dieu pour me protéger, des armées de Dieu pour me sauver des filets des démons, des séductions des vices, des penchants de la nature, et de tous ceux qui me veulent du mal...

Christ avec moi, Christ devant moi, Christ derrière moi, Christ en moi, Christ au-dessous de moi, Christ au-dessus de moi, Christ à ma droite, Christ à ma gauche, Christ à mon lever, Christ à mon coucher, Christ dans chaque cœur qui pense à moi, Christ dans chaque bouche qui me parle, Christ dans chaque œil qui me regarde, Christ dans chaque oreille qui m'entend.

Aujourd'hui je me ceins de la force puissante de l'invocation de la Trinité, de la Foi en Dieu un et trois, le Créateur de l'univers.

 

HOMÉLIE DE SAINT JEAN CHRYSOSTOME AVANT SON DÉPART EN EXIL (401)

Les vagues sont violentes, la houle est terrible, mais nous ne craignons pas d'être engloutis par la mer, car nous sommes debout sur le roc.
Que la mer soit furieuse, elle ne peut briser ce roc ; que les flots se soulèvent, ils sont incapables d'engloutir la barque de Jésus.
Que craindrions-nous ? Dites-le-moi.
La mort ? Pour moi, vivre, c'est Le Christ, et mourir est un avantage. L'exil ? La Terre appartient au Seigneur, avec tout ce qui la remplit.
La confiscation des biens ? De même que nous n'avons rien apporté dans ce monde, nous ne pourrons rien emporter.
Les menaces du monde, je les méprise ; ses faveurs, je m'en moque. Je ne crains pas la pauvreté, je ne désire pas la richesse ; je ne crains pas la mort, je ne désire pas vivre, sinon pour vous faire progresser.
C'est à cause de cela que je vous avertis de ce qui se passe, et j'exhorte votre charité à la confiance.

N'entendez-vous pas cette parole du Seigneur : Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d'eux ?
Et là où un peuple aussi nombreux est uni par le lien de la Charité, Le Seigneur ne sera pas présent ?
J'ai sa garantie : est-ce à ma propre force que je fais confiance ? Je possède sa Parole : voilà mon appui, voilà ma sécurité, voilà mon havre de paix.
Que l'univers se soulève, je possède cette Parole, j'en lis le texte : voilà mon rempart, voilà ma sécurité.
Quel texte ? Je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin des temps.

Le Christ est avec moi : que vais-je craindre ? Même si les flots de la mer ou la colère des puissants s'élèvent contre moi, tout cela est aussi peu de chose pour moi qu'une toile d'araignée.
Et sans l'amour que j'ai pour vous, je n'aurais pas refusé de partir aujourd'hui même. Car je ne cesse de dire : Seigneur, que ta volonté soit faite.
Non pas ce que veut un tel ou un tel, mais ce que tu veux. C'est là ma citadelle, c'est là mon roc inébranlable, c'est là mon appui solide.
Que la volonté de Dieu se fasse. S'il veut que je reste ici, je rends grâce. Quel que soit le lieu où il me veuille, je le Bénis.

En quelque lieu que je sois, vous y êtes aussi : le corps ne se sépare pas de la tête, ni la tête du corps.
Si nous sommes éloignés par la distance, nous sommes unis par la Charité et la mort elle-même ne pourra couper ce lien.
Si mon corps vient à mourir, mon âme restera vivante et se souviendra de mon peuple. ~

Vous êtes mes concitoyens, vous êtes mes pères, vous êtes mes frères, vous êtes mes enfants, vous êtes mes membres, vous êtes mon corps, vous êtes ma lumière, et même vous êtes plus doux pour moi que la lumière.
En effet, la lumière du soleil ne m'apporte rien de comparable à ce que m'apporte votre charité.
Le soleil m'est utile à présent, mais votre charité me prépare une couronne pour l'avenir.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,3954.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Chaque arbre se reconnaît à son fruit

Jésus vient de dénoncer l’hypocrisie des scribes et des pharisiens. Se tournant vers ses disciples, il les invite à un exercice de discernement.
Certes, il faut tout mettre en œuvre pour faire ce que disent les chefs religieux, car « ils enseignent dans la chaire de Moïse » ; mais il ne faut surtout pas les prendre pour modèles, car « ils disent et ne font pas » (Mt 23, 2-3).

Mais comment se prémunir de l’hypocrisie de ceux qui ont le pouvoir ? Ils disposent en général de suffisamment de moyens pour cacher leurs comportements inavouables et paraître impeccables aux yeux du monde.
Aussi les gens simples se laissent-ils prendre à leurs pièges comme les oiseaux aux filets de l’oiseleur.

Pour répondre à cette question implicite, Jésus donne un critère sûr, qui exige seulement de savoir attendre le moment opportun avant de se prononcer.
Pour juger de la qualité d’un arbre, il suffit de patienter jusqu’à ce qu’il porte son fruit, et d’évaluer ce dernier.
Jésus suggère donc que l’hypocrite - même le plus habile à cacher sa malice - finit toujours inévitablement par se trahir.
Comme sa parole et son action procèdent d’un cœur mauvais, ses œuvres ne sauraient être fécondes, même lorsqu’elles se présentent sous les aspects des plus respectables.

Par cette comparaison, Notre-Seigneur ne se contente pas de mettre ses disciples en garde contre l’hypocrisie des pharisiens : il les renvoie aussi à leur propre conscience.
Car s’ils l’appellent « Seigneur », ils devraient en toute logique « faire ce qu’il dit », c'est-à-dire « mettre ses paroles en pratique ».
S’ils n’agissent pas ainsi, ils se rendent à leur tour coupable d’hypocrisie, puisque leur affirmation au grand jour, ne correspond pas à leur attitude intérieure : ils proclament Jésus « Seigneur », mais gardent en fait la seigneurie de leur vie.
Impossible dans ces conditions de produire de « bons fruits ».

Bien plus : cette division est comme une lézarde qui court le long de la muraille de leur maison intérieure ; aussi celle-ci ne résistera-t-elle pas aux intempéries de la vie.
Dans l’adversité, lorsque tombent les masques et qu’il n’est plus temps de paraître, l’effondrement du personnage qu’ils se sont laborieusement construits sera total.

Par contre, celui qui s’efforce de vivre en disciple du Christ Seigneur, construit son unité intérieure par et dans son obéissance à sa Parole.
Au plus fort des tempêtes de la vie, il demeure focalisé sur celui qui a fait alliance avec lui, et engage toutes ses forces à lui demeurer fidèle, sûr que le bon droit finit toujours par triompher.
Comme dans le cas du serviteur de Dieu Job, les contradictions et malheurs ne font que mettre en valeur sa patience et sa fidélité à toutes épreuves, car il sait qu’il a mis sa confiance dans le Dieu juste et Sauveur, qui ne saurait l’abandonner.

« Seigneur, nous sommes loin d’avoir réalisé cette unification intérieure, fruit d’une appartenance et d’une soumission radicales à toi, unique Seigneur et Sauveur de nos vies.
Nos cœurs hélas sont doubles : devant les exigences de ta Parole, nous louvoyons de compromission en compromission ; de nos lèvres nous te choisissons comme notre Maître, alors que nous ne te rendons même pas compte de la gestion de notre vie.

Prends patience avec nous, Seigneur ; libère-nous de notre attachement à notre volonté propre ; et ne permet pas que nous mettions ta Parole en balance avec la nôtre.
Que le ridicule de cette présomption nous conduise au repentir et à la conversion, afin que nous puissions “venir à toi, écouter tes paroles et les mettre en pratique”, manifestant ainsi concrètement que tu es l’unique Seigneur de nos vies, le Rocher sur lequel nous voulons construire notre avenir, maintenant et à jamais. »
Père Joseph-Marie

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_213
Abbé Raimondo M. SORGIA Mannai OP (San Domenico di Fiesole, Florencia, Italie).

Chaque arbre se reconnaît à son fruit

Aujourd'hui, Le Seigneur nous surprend en faisant sa propre “publicité”. Je ne veux “scandaliser” personne en disant cela.
C'est notre publicité d'ici-bas qui rapetisse les choses grandes et surnaturelles. Quand, par exemple, on nous promet qu'en quelques semaines quelqu'un peut perdre au moins cinq ou six kilos en employant un produit déterminé (ou d’autres promesses de ce genre), nous sommes conduits à envisager la publicité d'un œil soupçonneux.
Quand, au contraire, quelqu'un possède un “produit” cent pour cent efficace et –à l'instar de notre Seigneur– ne cherche pas à le vendre, mais demande seulement de le croire en le prenant pour guide et modèle d'un genre de vie déterminé, alors cette “publicité” ne doit pas nous surprendre; elle nous paraîtra la plus légitime du monde.
Jésus n'a-t-Il pas été le plus grand “publicitaire” lorsqu'Il a dit de Lui-même «Je suis le chemin, la vérité et la vie» (Jn 14,6)?

Aujourd'hui Il affirme: «Tout homme qui vient à moi, qui écoute mes paroles et qui les met en pratique» est prudent, il «ressemble à un homme qui bâtit une maison», «il a creusé très profond, et il a posé les fondations sur le roc» (Lc 6,47-48), pour obtenir une construction solide et ferme, capable d’affronter le mauvais temps.
Mais si celui qui construit n'a pas cette prudence, il finira par trouver un tas de ruines et, s'il est à l’intérieur quand survient la pluie torrentielle, il y perdra et sa maison et sa vie.

Mais il ne suffit pas de s'approcher de Jésus, il faut écouter avec la plus grande attention ses enseignements et, surtout, les mettre en pratique.
Car même le curieux s'approche de Lui, tout comme l'hérétique, l'historien ou le philologue. Ce n'est qu'en nous approchant, en écoutant et, surtout, en pratiquant la doctrine de Jésus, que nous bâtirons l'édifice de la sainteté Chrétienne, pour l'exemple des fidèles qui cheminent en ce monde et pour la Gloire de l'Église Céleste.

 

Hymne : Par la mort du Premier-né sur la colline.

(Veille de la Fête de la Croix Glorieuse).

Par la mort du Premier-né sur la colline
Portant le bois et la flamme du bûcher,
Jésus Christ, nous te bénissons.
Par la mort du Bon Pasteur dans les épines,
Agneau pascal dont le cœur est transpercé,
Jésus Christ, nous te glorifions.
Par la mort du Bien-Aimé, hors de sa vigne,
Pour qu'il changeât l'homicide en héritier,
Dieu vainqueur, ton Église t'acclame.

Par le Bois qui a chanté le chant des noces
Du Dieu vivant épousant l'humanité,
Jésus Christ, nous te bénissons.
Par le Bois qui fait lever en pleine force
Le Fils de l'homme attirant le monde entier,
Jésus Christ, nous te glorifions.
Par le Bois où s'accomplit le sacerdoce
Du seul Grand Prêtre, immolé pour le péché,
Dieu vainqueur, ton Église t'acclame.

Arbre saint qui touche au ciel depuis la terre
Pour que le Dieu de Jacob soit exalté,
Jésus Christ, nous te bénissons.
Grand vaisseau qui nous arrache à la colère
En nous sauvant du déluge avec Noé,
Jésus Christ, nous te glorifions.
Tendre Bois qui adoucit tes eaux amères
Et fait jaillir la fontaine du Rocher,
Dieu vainqueur, ton Église t'acclame.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, force de ceux qui espèrent en Toi, tu as donné à l'Évêque Saint Jean Chrysostome une merveilleuse éloquence et un grand courage dans les épreuves ; accorde-nous la grâce de suivre ses enseignements pour avoir la force d'imiter sa patience.

 

Parole de Dieu : (Ph 2, 14-15)… (Office des Laudes).
Faites tout sans récriminer et sans discuter ; ainsi vous serez irréprochables et purs, vous qui êtes des enfants de Dieu sans tache au milieu d’une génération égarée et pervertie, où vous brillez comme les astres dans l’univers.

 

Parole de Dieu : (1 Co 1, 23-24)… (Office des Vêpres).
Nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les peuples païens. Mais pour ceux que Dieu appelle, qu’ils soient Juifs ou Grecs, ce Messie est Puissance et Sagesse de Dieu.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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