Eucharistie du Jeudi 03 Septembre 2015 : Jeudi de la 22ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Jeudi 03 Septembre 2015 : Jeudi de la 22ème semaine du Temps Ordinaire.

L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Grégoire le Grand, Pape et Docteur de l'Église (540-604).

Célébration de la Fête propre pour l'Angleterre (à Malte, Fête le Mercredi après Pâques),
Mémoire obligatoire ce 03 Septembre pour l'Église universelle
Textes propres à la mémoire de Saint Grégoire le Grand :

http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-32951867.html

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,9-14… Psaume 98(97),2-3ab.3cd-4.5-6… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 5,1-11.
Commentaire de Saint Ambroise (v. 340-397), Évêque de Milan et Docteur de l'Église.
HOMELIE DE SAINT GRÉGOIRE SUR ÉZÉCHIEL.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Pedro IGLESIAS Martínez (Rubí, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Saint gregoire le grand 2

Jeudi 03 Septembre 2015 : Fête de Saint Grégoire le Grand, Pape et Docteur de l'Église (540-604).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Grégoire le Grand, Pape.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,9-14.
Frères, depuis le jour où nous en avons entendu parler, nous ne cessons pas de prier pour vous. Nous demandons à Dieu de vous combler de la pleine connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle.
Ainsi votre conduite sera digne du Seigneur, et capable de lui plaire en toutes choses ; par tout le bien que vous ferez, vous porterez du fruit et vous progresserez dans la vraie connaissance de Dieu.
Vous serez fortifiés en tout par la puissance de sa gloire, qui vous donnera toute persévérance et patience. Dans la joie,
vous rendrez grâce à Dieu le Père, qui vous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints, dans la lumière.
Nous arrachant au pouvoir des ténèbres, il nous a placés dans le Royaume de son Fils bien-aimé :
en lui nous avons la rédemption, le pardon des péchés.

 

Psaume 98(97),2-3ab.3cd-4.5-6.
Le Seigneur a fait connaître sa victoire
et révélé sa justice aux nations ;
il s'est rappelé sa fidélité, son amour,
en faveur de la maison d'Israël.

La terre tout entière a vu
la victoire de notre Dieu.
Acclamez le Seigneur, terre entière,
sonnez, chantez, jouez !

Jouez pour le Seigneur sur la cithare,
sur la cithare et tous les instruments ;
au son de la trompette et du cor,
acclamez votre roi, le Seigneur !

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 5,1-11.
En ce temps-là, la foule se pressait autour de Jésus pour écouter la parole de Dieu, tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth.
Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets.
Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon, et lui demanda de s’écarter un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : « Avance au large, et jetez vos filets pour la pêche. »
Simon lui répondit : « Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. »
Et l’ayant fait, ils capturèrent une telle quantité de poissons que leurs filets allaient se déchirer.
Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient.
A cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : « Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur. »
En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ;
et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, les associés de Simon. Jésus dit à Simon : « Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras. »
Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.

 

Commentaire du jour.
Saint Ambroise (v. 340-397), Évêque de Milan et Docteur de l'Église.
Commentaire sur l'Évangile de Luc, IV,71-76 ; SC 45 (trad. cf SC, p. 180)

« Avance au large et jetez les filets »

« Avance au large », c'est à dire dans la haute mer des débats. Y a-t-il profondeur comparable à « l'abîme de la richesse, de la sagesse et de la science du Fils de Dieu » (Rm 11,33), à la proclamation de sa filiation Divine ? ...
L'Église est conduite par Pierre dans la haute mer du témoignage, pour contempler Le Fils de Dieu ressuscité et L'Esprit Saint répandu.

Quels sont ces filets des apôtres que Le Christ ordonne de jeter ? N'est-ce pas l'enchaînement des paroles, les replis du discours, la profondeur des arguments, qui ne laissent pas échapper ceux qu'ils ont pris ?
Ces instruments de pêche des apôtres ne font pas périr leur prise, mais la conservent, la retirent des abîmes vers la lumière, conduisent des bas-fonds vers les hauteurs...

« Maître, dit Pierre, nous avons peiné toute une nuit sans rien prendre, mais, sur ta parole, je vais lâcher les filets. »
Moi aussi, Seigneur, je sais que pour moi il fait nuit, quand tu ne me commandes pas. Je n'ai encore converti personne par mes paroles, il fait encore nuit.
J'ai parlé le jour de l'Épiphanie : j'ai lâché le filet, et je n'ai encore rien pris. J'ai lâché le filet pendant le jour.
J'attends que tu me l'ordonnes ; sur ta parole, je le lâcherai encore. La confiance en soi est vaine, mais l'humilité est fructueuse.
Eux qui jusque-là n'avaient rien pris, voici que, à la voix du Seigneur, ils capturent une énorme quantité de poissons.

 

HOMELIE DE SAINT GRÉGOIRE SUR ÉZÉCHIEL.

Fils d'homme, je fais de toi un guetteur pour la maison d'Israël.
Il faut noter que Le Seigneur désigne comme un « guetteur » celui qu'il envoie prêcher. Le guetteur se tient toujours sur la hauteur pour voir de loin tout ce qui va venir.
Et tout homme qui reçoit le poste de guetteur doit se tenir sur la hauteur par sa vie, afin de pouvoir rendre service par sa vigilance.

Combien il m'est cruel de dire ces paroles ! Car en parlant, je me frappe moi-même : je ne pratique pas la prédication comme je le devrais ; et lorsque cette prédication est suffisante, ma vie ne concorde pas avec ma parole.

Je ne nie pas ma culpabilité, je vois ma torpeur et ma négligence. Peut-être que de reconnaître ma faute m'obtiendra le pardon auprès du Juge Miséricordieux ?
Sans doute, quand j'étais au Monastère, j'étais capable de retenir ma langue des paroles inutiles et de garder presque continuellement mon esprit attentif à la Prière.
Mais, après avoir endossé le fardeau de la charge pastorale, mon esprit ne peut plus se recueillir assidûment, parce qu'il est divisé par quantité de soucis.

En effet, je suis obligé d'examiner les affaires tantôt des Églises, tantôt des Monastères, et souvent de juger la vie et les actes des personnes privées ; tantôt de m'occuper longuement de certains problèmes civiques, tantôt de gémir devant l'assaut meurtrier des barbares et de redouter les loups qui menacent le troupeau que Dieu m'a confié.
Tantôt je suis contraint de prendre des mesures pour que les secours ne manquent pas à ceux-là mêmes qui sont tenus par la règle Monastique ; tantôt je dois supporter avec patience certains pillards, et tantôt m'opposer à eux pour sauvegarder la Charité.

Lorsque l'esprit est amené à se disperser et à se déchirer par le souci d'affaires si nombreuses et si importantes, comment peut-il rentrer en lui-même afin de se recueillir entièrement pour la prédication, et ne pas renoncer au Ministère de la Parole ?
Mais, parce que les obligations de ma charge m'obligent souvent à rencontrer des hommes du monde, il m'arrive de relâcher la discipline de ma langue.
Car, si je maintiens constamment une sévérité rigoureuse, je sais que je mets en fuite les plus faibles, et je ne les attirerai jamais comme je le voudrais.
C'est pourquoi il m'arrive souvent d'écouter leurs paroles inutiles. Mais parce que je suis faible, moi aussi, je me laisse quelque peu entraîner aux discours inutiles, et je me mets à parler volontiers sur des sujets que j'avais d'abord écoutés de mauvais gré : et là où cela m'ennuyait de manquer au silence, je trouve plaisir à m'étendre.

Quel « guetteur » suis-je donc, qui ne me tiens pas posté sur la montagne de l'efficacité, mais plutôt gisant dans la vallée de la faiblesse ?
Mais le créateur et Rédempteur du genre humain est assez puissant pour me donner, malgré mon indignité, et la noblesse de la vie et l'efficacité de la prédication, car c'est pour son Amour que je me consacre totalement à sa Parole.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4313.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.

Jésus enseigne au bord du lac. La suite du récit nous laisse deviner que nous sommes le matin, au lever du jour : les pécheurs viennent de rentrer – bredouilles ! – d’une nuit de travail stérile.
Les habitants des villages environnants, venus à la rencontre des pécheurs, s’arrêtent pour écouter le Rabbi de Nazareth.
Comme leur nombre ne fait qu’accroître, Notre-Seigneur envisage de monter dans une barque afin de se tenir à quelques mètres du rivage : ce qui lui éviterait d’être bousculé par la foule, et permettrait à tous de le voir et de l’entendre.
Jésus s’adresse spontanément à Pierre, dont il vient de guérir la belle-mère. Celui-ci n’est sans doute pas insensible au choix du Maître : voilà qui effacera le souvenir de la mauvaise pêche.

Assis dans la barque au côté du Maître, Simon a écouté comme tous les autres son enseignement ; mais au moment où il pense ramener Jésus à terre, voilà qu’avec autorité, celui-ci lui ordonne d’avancer au large pour une nouvelle partie de pèche.
On imagine sans peine son débat intérieur :
« Le Rabbi est peut-être versé dans l’interprétation des Ecritures, mais il n’y connaît décidément rien en matière de pèche : si elle fut infructueuse la nuit, qu’en sera-t-il dans la matinée ? »
En homme qui connaît son métier, Simon ne manque pas de signaler le caractère insensé de la démarche ; en partie sans doute pour se préserver du ridicule aux yeux de ses collègues, en partie aussi pour souligner auprès de Jésus la générosité de son consentement.

Aussi le miracle, totalement inattendu, va-t-il ouvrir brutalement les yeux de Simon. Il prend conscience du caractère extraordinaire de cette rencontre, qui s’est pourtant glissée au cœur de sa vie ordinaire.
Il pressent confusément que Dieu est entré dans sa vie, et réalise du même coup la distance qui le sépare de Lui.
Comme le prophète Isaïe en présence de Dieu, il se dit dans son cœur : « Malheur à moi je suis perdu, car je suis un homme aux lèvres impures, et j’ai vu Le Seigneur des armées de mes propres yeux ! » (Is 6, 5).
Comment en effet ne pas être saisi d’une frayeur sacrée en présence de celui qui commande aux abîmes ?
Dans un geste d’adoration, il tombe aux pieds de celui qu’il nomme avec vénération « Seigneur », tout en confessant son indignité de se tenir devant Lui.

Curieusement, en cet endroit précis, Saint Luc ajoute au nom de Simon celui de Pierre pour en faire un nom composé : « Simon-Pierre », c'est-à-dire Simon le Roc. Car c’est sur la Foi de Simon que Jésus construira la communauté eschatologique du Salut : « Tu es Pierre, et sur ce roc je veux édifier mon Église » (Mt 16, 18).

Il est significatif que Notre-Seigneur ait voulu initier ce cheminement de Foi en rejoignant Simon au cœur de sa vie d’artisan-pécheur.
C’est par un signe tangible, qu’il révèle à cet homme simple, sa proximité bienveillante et c’est sur l’horizon de cette manifestation évidente de la toute-puissance de sa Parole, qu’il l’invite à le suivre.

« Ne crains pas sans cesse » ; le Maître de l’histoire a fait irruption dans ta vie non pas pour t’enfermer dans la peur, mais pour commencer avec toi une histoire nouvelle :
« désormais… ». Si tu restes fidèle à ma Parole, si tu lui obéis sans hésitation comme tu viens de le faire, tu n’auras rien à craindre, car elle accomplit ce qu’elle ordonne comme tu as pu le constater aujourd’hui.

La réponse de Simon est radicale : laissant tout, c'est-à-dire son métier de pécheur, son milieu de vie, son passé, « tout », il signe un chèque en blanc, et se met à la suite de Jésus, accueillant l’élection et se confiant en la fidélité de Dieu.
« Désormais, ce sont des hommes que tu prendras », c'est-à-dire que tu arracheras à l’abîme de la mort – symbolisée par la mer – pour les tirer dans les filets de la Parole, jusqu’au rivage de la vraie Vie.

Cette mission, donnée en premier à Simon-Pierre, mais qui s’adresse également ses compagnons « Jacques et Jean, fils de Zébédée », rejoint tous les Baptisés de tous les temps, que Jésus vient rejoindre au cœur de leur Vie pour en faire des disciples.
Avons-nous reconnu personnellement cette présence discrète du Seigneur à nos côtés ? Avons-nous entendu son appel qui nous rejoint au cœur de notre vie quotidienne ? Y avons-nous répondu avec la même générosité ?
« Ne crains pas » : puisse Le Seigneur nous libérer de toutes nos peurs, afin que nous puissions répondre nous aussi : « Me voici, Seigneur, pour faire ta volonté » (He 10, 9).
Père Joseph-Marie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_202
Abbé Pedro IGLESIAS Martínez (Rubí, Barcelona, Espagne).

«Avance au large»

Aujourd'hui, encore, nous sommes surpris de constater que ces pécheurs furent capables de quitter leur travail, leur famille et de suivre Jésus («laissant tout, ils le suivirent»: Lc 5,11) précisément au moment où Celui-ci se présente à leurs yeux comme un collaborateur d'exception dans le négoce qui assure leur subsistance.
Si Jésus de Nazareth nous faisait la même proposition, en notre XXIe siècle…, aurions-nous le courage de ces hommes? Serions-nous capables de saisir où est le véritable gain?

Nous, Chrétiens, nous croyons que Le Christ est éternel présent; par conséquent, ce Christ qui est ressuscité demande, non plus à Pierre, à Jean ou à Jacques, mais à Georges, à Emmanuel ou à Paula, à chacun de ceux qui le confessent comme leur Seigneur, Il demande, je le répète, sur la base du texte de Luc, de le prendre dans la barque de notre Vie, car Il veut se reposer à nos côtés;
Il nous demande de le laisser se servir de nous, de lui permettre de nous montrer vers où orienter notre existence pour être féconds au milieu d'une société nécessiteuse de la Bonne Nouvelle, dont elle s'éloigne pourtant chaque fois davantage.

La proposition est attirante, il ne nous manque qu'à savoir et à vouloir nous défaire de nos craintes, de nos préjugés et de mettre le cap vers des eaux plus profondes ou, ce qui revient au même, vers des horizons plus lointains que ceux qui limitent notre médiocre quotidien fait d'angoisses et de découragements.
«Celui qui peine sur la route, pour peu qu'il avance, se rapproche du but; celui qui court hors du chemin, plus il court, plus il s’éloigne du but» (Saint Thomas d'Aquin).

«Duc in altum», «Avance au large» (Lc 5,4): Ne restons pas sur les bords d'un monde qui vit en se regardant le nombril!
Notre navigation sur les mers de la Vie doit nous emmener à jeter l'ancre dans la terre promise, fin de notre traversée vers ce Ciel espéré, cadeau du Père mais aussi —indivisiblement— travail de l'homme —le tien, le mien— au service des autres dans la barque de l'Église.
Le Christ connaît bien les fonds, tout dépend de nous: ou bien le port de notre égoïsme, ou bien ses horizons à Lui.

 

Hymne : Ouvre mes yeux, Seigneur

Ouvre mes yeux, Seigneur,
Aux merveilles de ton amour.
Je suis l’aveugle sur le chemin ;
Guéris-moi, je veux te voir.

Ouvre mes mains, Seigneur,
Qui se ferment pour tout garder.
Le pauvre a faim devant ma maison ;
Apprends-moi à partager.

Fais que je marche, Seigneur,
Aussi dur que soit le chemin.
Je veux te suivre jusqu’à la croix ;
Viens me prendre par la main.

Fais que j’entende, Seigneur,
Tous mes frères qui crient vers moi.
À leur souffrance et à leurs appels,
Que mon cœur ne soit pas sourd !

Garde ma foi, Seigneur :
Tant de voix proclament ta mort !
Quand vient le soir, et le poids du jour,
Ô Seigneur, reste avec moi.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui prend soin de ton peuple et le gouvernes avec Amour, écoute la Prière du Pape Saint Grégoire ; accorde ton Esprit de Sagesse aux hommes chargés de conduire l'Église ; que les progrès de ton peuple Saint fassent la Joie éternelle de ses pasteurs.

 

Parole de Dieu : (Rm 8, 35.37)… (Office des Laudes).
Qui pourra nous séparer de l’Amour du Christ ? La détresse ? L’angoisse ? La persécution ? La faim ? Le dénuement ? Le danger ? Le supplice ?
En tout cela nous sommes les grands vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés.

 

Parole de Dieu : (1 P 5, 5b-7)… (Office des Vêpres).
Revêtez-vous tous d’humilité dans vos rapports les uns avec les autres. En effet Dieu s’oppose aux orgueilleux, aux humbles il accorde sa grâce.
Tenez-vous donc humblement sous la main puissante de Dieu pour qu’il vous élève quand le jugement viendra.
Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis puisqu’il s’occupe de vous.

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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