Eucharistie du Dimanche 28 Août 2016 : Vingt-deuxième Dimanche du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Dimanche 28 Août 2016 : Vingt-deuxième Dimanche du Temps Ordinaire.

L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Augustin, Évêque d'Hippone, Docteur de l'Église (354-430) et Célèbre la Solennité de sa Fête en Afrique du Nord.

(Mais la Célébration du Vingt-deuxième Dimanche du Temps Ordinaire a la préséance sur la mémoire de Saint Augustin).

Fête de Sainte Joachima de Vedruna de Mas, veuve et Fondatrice de l'institut des Carmélites de la Charité (1783-1854).
Fête de Dom Helder Camara, Prêtre Lazariste, Archevêque de Recife (1909-1999).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de l'Ecclésiastique 3,17-18.20.28-29... Psaume 68(67),4-5ac.6-7ab.10-11... Lettre aux Hébreux 12,18-19.22-24a... Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 14,1.7-14.
Commentaire de Saint Grégoire de Nazianze (330-390), Évêque et Docteur de l'Église.
DES CONFESSIONS DE SAINT AUGUSTIN.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque, o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Enric PRAT i Jordana (Sort, Lleida, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Saint augustin 22 11Dimanche 28 Août 2016 : Fête de Saint Augustin, Évêque d'Hippone, Docteur de l'Église (354-430).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Augustin, Évêque d'Hippone.

Joaquima de v morell 1903Dimanche 28 Août 2016 : Fête de Sainte Joachima de Vedruna de Mas, veuve et Fondatrice de l'institut des Carmélites de la Charité (1783-1854).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Joachima de Vedruna de Mas.

Dom helder camara 2Dimanche 28 Août 2016 : Fête de Dom Helder Camara, Prêtre Lazariste, Archevêque de Recife (1909-1999).
Il n’est pas encore Canonisé, ni Béatifié, mais c’est une grande figure de l’Église. Son procès en Béatification est en cours.

Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Dom Helder Camara.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de l'Ecclésiastique 3,17-18.20.28-29.
Mon fils, accomplis toute chose dans l’humilité, et tu seras aimé plus qu’un bienfaiteur.
Plus tu es grand, plus il faut t’abaisser : tu trouveras grâce devant le Seigneur.
Grande est la puissance du Seigneur, et les humbles lui rendent gloire.
La condition de l’orgueilleux est sans remède, car la racine du mal est en lui.
Qui est sensé médite les maximes de la sagesse ; l’idéal du sage, c’est une oreille qui écoute.

 

Psaume 68(67),4-5ac.6-7ab.10-11.
Les justes sont en fête, ils exultent ;
devant la face de Dieu ils dansent de joie.
Chantez pour Dieu, jouez pour son nom.
Son nom est Le Seigneur ; dansez devant sa face.

Père des orphelins, défenseur des veuves,
tel est Dieu dans sa sainte demeure.
À l'isolé, Dieu accorde une maison ;
aux captifs, il rend la liberté.

Tu répandais sur ton héritage une pluie généreuse,
et quand il défaillait, toi, tu le soutenais.
Sur les lieux où campait ton troupeau,
tu le soutenais, Dieu qui est bon pour le pauvre.

 

Lettre aux Hébreux 12,18-19.22-24a.
Frères, quand vous êtes venus vers Dieu, vous n’êtes pas venus vers une réalité palpable, embrasée par le feu, comme la montagne du Sinaï : pas d’obscurité, de ténèbres ni d’ouragan,
pas de son de trompettes ni de paroles prononcées par cette voix que les fils d’Israël demandèrent à ne plus entendre.
Mais vous êtes venus vers la montagne de Sion et vers la ville du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, vers des myriades d’anges en fête
et vers l’assemblée des premiers-nés dont les noms sont inscrits dans les cieux. Vous êtes venus vers Dieu, le juge de tous, et vers les esprits des justes amenés à la perfection.
Vous êtes venus vers Jésus, le médiateur d’une alliance nouvelle.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 14,1.7-14.
Un jour de sabbat, Jésus était entré dans la maison d’un chef des pharisiens pour y prendre son repas, et ces derniers l’observaient.
Jésus dit une parabole aux invités lorsqu’il remarqua comment ils choisissaient les premières places, et il leur dit :
« Quand quelqu’un t’invite à des noces, ne va pas t’installer à la première place, de peur qu’il ait invité un autre plus considéré que toi.
Alors, celui qui vous a invités, toi et lui, viendra te dire : “Cède-lui ta place” ; et, à ce moment, tu iras, plein de honte, prendre la dernière place.
Au contraire, quand tu es invité, va te mettre à la dernière place. Alors, quand viendra celui qui t’a invité, il te dira : “Mon ami, avance plus haut”, et ce sera pour toi un honneur aux yeux de tous ceux qui seront à la table avec toi.
En effet, quiconque s’élève sera abaissé ; et qui s’abaisse sera élevé. »
Jésus disait aussi à celui qui l’avait invité : « Quand tu donnes un déjeuner ou un dîner, n’invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni de riches voisins ; sinon, eux aussi te rendraient l’invitation et ce serait pour toi un don en retour.
Au contraire, quand tu donnes une réception, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles ;
heureux seras-tu, parce qu’ils n’ont rien à te donner en retour : cela te sera rendu à la résurrection des justes. »

 

Commentaire du jour.
Saint Grégoire de Nazianze (330-390), Évêque et Docteur de l'Église.
De l'amour des pauvres, 8, 14 ; PG 35, 867, 875 (trad Orval)

« Quand tu donnes un festin, invite les pauvres »

Veillons à la santé de notre prochain avec autant de soin qu'à la nôtre, qu'il soit bien-portant ou épuisé par la maladie.
Car « nous sommes tous un dans Le Seigneur » (Rm 12,5), riches ou pauvres, esclaves ou hommes libres, bien-portants ou malades.
Pour tous, il n'y a qu'une seule tête, principe de tout — Le Christ (Col 1,18) ; ce que sont les membres du corps les uns pour les autres, chacun de nous l'est pour chacun de ses frères.

Il ne faut donc ni négliger ni abandonner ceux qui sont tombés avant nous dans un état de faiblesse qui nous guette tous.
Plutôt que de nous réjouir d'être en bonne santé, mieux vaut compatir aux malheurs de nos frères pauvres...
Ils sont à l'image de Dieu comme nous et, malgré leur déchéance apparente, ils ont gardé mieux que nous la fidélité de cette image.

En eux, l'homme intérieur a revêtu le même Christ et ils ont reçu les mêmes « arrhes de L'Esprit » (2Co 5,5) ; ils ont les mêmes lois, les mêmes Commandements, les mêmes alliances, les mêmes assemblées, les mêmes mystères, la même Espérance.

Le Christ est mort pour eux également, « lui qui enlève le péché du monde » (Jn 1,29).
Ils ont part à l'héritage de la Vie Céleste, eux qui ont été privés de beaucoup de biens ici-bas. Ils sont les compagnons des souffrances du Christ, et ils le seront de sa Gloire.

 

DES CONFESSIONS DE SAINT AUGUSTIN

Averti de revenir à moi-même, je suis entré au fond de mon cœur, sous ta conduite, Seigneur, et j'ai pu le faire, parce que tu es venu à mon secours.
Je suis entré, et avec le regard de mon âme, quel que fût son état, au-dessus de ce même regard, au-dessus de mon intelligence, j'ai vu la lumière immuable.
Ce n'était pas cette lumière ordinaire que tout le monde peut voir ; ce n'était pas non plus une lumière de même nature, mais plus puissante, qui aurait brillé de plus en plus et aurait tout rempli par son éclat.
Non, cette lumière n'était pas cela, elle était autre chose, tout autre chose. Elle n'était pas au-dessus de mon esprit comme l'huile flotte à la surface de l'eau, ni comme le ciel s'étend au-dessus de la terre.
Elle était au-dessus de moi parce qu'elle m'a crée ; j'étais au-dessous d'elle parce que créé par elle. Celui qui connaît la vérité la connaît, et celui qui la connaît, connaît l'éternité. C'est l'Amour qui la connaît !

O éternelle vérité, ô véritable charité, ô chère éternité ! Tu es Mon Dieu, je soupire après Toi jour et nuit. Quand je t'ai connu pour la première fois, tu m'as soulevé vers Toi pour me faire voir l'existence de quelque chose que je devrais voir, mais que je ne pourrais pas encore voir moi-même.
Tu as ébloui la faiblesse de mon regard par la puissance de ton rayonnement, et je frissonnais d'amour et d'effroi.
J'ai découvert que j'étais loin de Toi, dans le pays de l'exil et de la dissemblance, et il me semblait que j'entendais ta voix, venant du haut du Ciel :
« Je suis la nourriture des forts : grandis et tu me mangeras. Tu ne me changeras pas en toi, comme la nourriture de ton corps, c'est toi qui seras changé en Moi. »

Je cherchais le moyen d'acquérir la force qui me rendrait capable de vivre uni à toi, et je ne la trouvais pas.
Enfin, j'ai embrassé le Médiateur entre Dieu et les hommes, l'homme Jésus Christ, lui qui est au-dessus de tout, Dieu Béni éternellement.
C'est Lui qui nous appelle et nous dit : Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie. Il unit à la chair — puisque le Verbe s'est fait Chair — ; la nourriture que j'étais incapable de prendre, afin que ta Sagesse, par laquelle tu as tout créé, se transforme en lait pour s'adapter à notre condition d'enfants.

Je t'ai aimée bien tard, Beauté si ancienne et si nouvelle, je t'ai aimée bien tard ! Mais voilà : tu étais au-dedans de moi quand j'étais au-dehors, et c'est dehors que je te cherchais ; dans ma laideur, je me précipitais sur la grâce de tes créatures.
Tu étais avec moi, et je n'étais pas avec toi.
Elles me retenaient loin de toi, ces choses qui n'existeraient pas si elles n'existaient en toi. Tu m'as appelé, tu as crié, tu as vaincu ma surdité ; tu as brillé, tu as resplendi, et tu as dissipé mon aveuglement ; tu as répandu ton parfum, je l'ai respiré et je soupire maintenant pour Toi ; je t'ai goûtée, et j'ai faim et soif de Toi ; tu m'as touché et je me suis enflammé pour obtenir la Paix qui est en Toi.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/22eme-Dimanche-T-O-C.html
Frère Jean-Christian Lévêque, o.c.d. (Carmel).

La dernière place

La dernière place, ce n’est pas une place où l’on cesse d’être soi-même, mais où l’on est humblement soi-même devant Dieu. Ce n’est pas une place où l’on se déprécie, mais où on apprécie toutes choses selon Dieu.
À la dernière place, on n’est pas au-dessous de tout, mais au service de tous.

On peut avoir de grandes responsabilités, beaucoup de relations, un travail aux avant-postes, et en même temps choisir la dernière place, quand on accepte d’œuvrer au poste que d’autres fuient, quand on continue à servir malgré les malveillances ou les incompréhensions, quand on reste en vue, exposé, disponible, alors qu’on voudrait se cacher et être un peu à soi-même.

On choisit la dernière place lorsqu’on choisit de ne pas se positionner par rapport aux autres comme celui ou celle qui a droit à des égards spéciaux, à une confiance particulière, comme celui ou celle qui a déjà son petit carton sur la table de Dieu.

On opte pour la dernière place, la place modeste, quand on ne se donne pas à soi-même un rang parmi les frères, quand on se contente, sans amertume, de la place offerte par eux dans leur estime ou leur affection.

À la dernière place, on laisse au Maître toute l’initiative, pour le cas où il voudrait s’avancer en disant : « Mon ami, approche-toi, monte plus haut ! »
La dernière place, c’est celle où l’on se perd soi-même de vue, attentif que l’on est à ce que le Maître va dire ou va faire ; c’est celle où l’on se contente de Jésus et de son amitié, sans frustrations, sans regrets, sans tristesse ; c’est celle où l’on consent à être dérangeable, et où les projets de l’homme s’effacent toujours joyeusement derrière le projet de Dieu.

À la dernière place nous n’attendons plus d’être valorisés, sinon par le regard du Christ, ami et compagnon ; nous ne cherchons plus à occuper un espace dans le souvenir ou les visées de qui que ce soit, hormis Dieu qui est pour nous le trésor et donc le lieu de notre cœur.

Nous nous trouvons tout heureux déjà d’avoir pu entrer et d’avoir part au festin, même en bout de table, puisque c’est la table du Seigneur.
La dernière place, c’est notre Nazareth, où nous retrouvons Marie, servante et pauvre d’elle-même, tout adorante et riche de Dieu ; et à l’école de Marie, chaque fois que dans le travail du Seigneur ou la vie fraternelle une dernière place se présente, loin de nous attrister, loin de nous impatienter ou de rester paralysés par le ressentiment, nous avons la joie de dire, ce qui plaît tant à Dieu : « Cette dernière place me revient de droit ; elle me revient par Amour du Sauveur ».
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_198
Abbé Enric PRAT i Jordana (Sort, Lleida, Espagne).

«Remarquant que les invités choisissaient les premières places»

Aujourd'hui, Jésus nous donne une leçon magistrale: ne cherchez pas la première place: «Quand tu es invité à des noces, ne va pas te mettre à la première place» (Lc 14,8). Jésus-Christ sait que nous aimons nous mettre en premier lieu: dans les actes publiques, dans les rencontres amicales, à la maison, à table...
Il connaît bien notre tendance à nous surestimer par arrogance. Pire encore! Par orgueil mal dissimulé.
Soyons alertés contre les honneurs!, puisque «le cœur prend racine là ou il trouve la possibilité de jouissance» (Saint Léon I, le Grand).

En effet, qui nous dit qu'il n'y a pas des collègues avec plus de mérites ou avec une catégorie personnelle plus grande?
Il ne s'agit guère d'un fait sporadique, mais de l'attitude bien assumée de nous juger les plus intelligents, les plus importants, ceux qui ont plus de mérites ou plus de discernement; ambition qui suppose une conception étroite sur nous-mêmes et sur tout ce qui nous entoure.

En réalité, Jésus nous invite à la pratique de la contrition parfaite, consistent à ne pas nous juger ni à juger les autres, ainsi qu'à prendre conscience de notre insignifiance individuelle dans le concert global du cosmos et de la vie.

C'est pourquoi, Le Seigneur, nous propose que, par précaution, nous choisissions la dernière place car, si nous ignorons la vraie réalité intime d'autrui, nous n'ignorons pas notre petitesse dans le grand spectacle de l'univers.
Conséquemment, nous placer en dernier lieu est le plus prémuni. Ne fût-ce que Le Seigneur, qui nous connaît tous à fond, viendrait à nous dire: «‘Cède-lui ta place’, et tu irais, plein de honte, prendre la dernière place» (Lc 14,9).

Dans cette même ligne de pensée, le Maître nous invite à nous mettre humblement au côté de ceux que Dieu préfère: les pauvres, les estropiés, les aveugles, les boiteux, en nous mettant à leur hauteur jusqu'à nous trouver au beau milieu de ceux que Dieu aime avec une tendresse spéciale, aussi bien qu'à surmonter tout le dégoût et honte de devoir partager notre table et notre amitié avec eux.

 

Hymne : Immensité d'amour

Immensité d'amour
Où le nôtre se perd,
Toi qui es notre nuit,
Notre désert,
Au plus loin de toi-même,
À distance infinie,
Seigneur, tu nous emmènes
Vers la source du jour.

Quand la plus haute voie
Les conduit en passion,
La blessure du cœur
Est l'aiguillon
Des enfants qui s'arrachent
À l'exil intérieur,
Mais savent d'autres marches
À l'encontre de toi.

Hors ces chemins perdus,
S'accomplit maintenant,
Au creuset du désir,
Ton jugement.
La douleur nous transperce
Comme un feu sans merci ;
Son glaive ouvre une brèche
Au profond du refus.

Et désormais plus rien
Ne disjoint notre soif
De la source jaillie
Auprès de toi.
Le voyage nocturne
Lentement se poursuit
Vers l'aube où se consume
Notre amour dans le tien.

 

Hymne : Peuples, criez de joie

Peuples, criez de joie
Et bondissez d’allégresse :
Le Père envoie son Fils
Manifester sa tendresse ;
Ouvrons les yeux :
Il est l’image de Dieu
Pour que chacun le connaisse.

Loué soit notre Dieu,
Source et Parole fécondes :
Ses mains ont tout créé
Pour que nos cœurs lui répondent ;
Par Jésus Christ,
Il donne l’être et la vie :
En nous sa vie surabonde.

Loué soit notre Dieu
Qui ensemence la terre
D’un peuple où son Esprit
Est plus puissant que la guerre ;
En Jésus Christ,
La vigne porte du fruit
Quand tous les hommes sont frères.

Loué soit notre Dieu
Dont la splendeur se révèle
Quand nous buvons le vin
Pour une terre nouvelle ;
Par Jésus Christ,
Le monde passe aujourd’hui
Vers une gloire éternelle.

Peuples, battez des mains
Et proclamez votre fête :
Le Père accueille en lui
Ceux que son Verbe rachète ;
Dans l’Esprit Saint
Par qui vous n’êtes plus qu’un,
Que votre joie soit parfaite !

 

Oraison du matin (Office des Laudes)...(Propre à Saint Augustin).
Renouvelle, Seigneur, dans Ton Église, L'Esprit dont tu as comblé l'Évêque Saint Augustin, pour que, remplis de ce même Esprit, nous n'ayons soif que de Toi, source de la vraie Sagesse, et ne cherchions que Toi, auteur de l'éternel Amour.

 

Parole de Dieu : (Ez 36, 25-27)... (Office des Laudes).
Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. De toutes vos souillures, de toutes vos idoles, je vous purifierai. Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau.
J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai en vous mon Esprit : alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes Commandements et vous y serez fidèles.

 

Parole de Dieu : (2 Th 2, 13-14)... (Office des Vêpres).
Nous devons continuellement rendre grâce à Dieu pour vous, frères aimés du Seigneur, car Dieu vous a choisis dès le commencement, pour être sauvés par L’Esprit qui sanctifie et par la Foi en la Vérité.
C’est à cela qu’il vous a appelés par notre Évangile, à posséder la Gloire de Notre Seigneur Jésus-Christ.

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