Eucharistie du Jeudi 23 Août 2018 : Jeudi de la 20ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Eucharistie du Jeudi 23 Août 2018 : Jeudi de la 20ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Sainte Rose de Lima, Vierge (1586-1617).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre d'Ézéchiel 36,23-28... Psaume 51(50),12-13.14-15.18-19... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 22,1-14.
Commentaire de Saint Jacques de Saroug (v. 449-521), Moine et Évêque syrien.
Autre commentaire du Carmel.
Autre commentaire de l’Abbé David AMADO i Fernández (Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Sainte rose de lima 11

Jeudi 23 Août 2018 : Fête de Sainte Rose de Lima, Vierge (1586-1617).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Rose de Lima.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre d'Ézéchiel 36,23-28.
Je sanctifierai mon grand nom, profané parmi les nations, mon nom que vous avez profané au milieu d’elles. Alors les nations sauront que Je suis le Seigneur – oracle du Seigneur Dieu – quand par vous je manifesterai ma sainteté à leurs yeux.
Je vous prendrai du milieu des nations, je vous rassemblerai de tous les pays, je vous conduirai dans votre terre.
Je répandrai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés ; de toutes vos souillures, de toutes vos idoles, je vous purifierai.
Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau. J’ôterai de votre chair le cœur de pierre, je vous donnerai un cœur de chair.
Je mettrai en vous mon esprit, je ferai que vous marchiez selon mes lois, que vous gardiez mes préceptes et leur soyez fidèles.
Vous habiterez le pays que j’ai donné à vos pères : vous, vous serez mon peuple, et moi, je serai votre Dieu.

 

Psaume 51(50),12-13.14-15.18-19.
Crée en moi un cœur pur, ô mon Dieu,
renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton esprit saint.

Rends-moi la joie d'être sauvé ;
que l'esprit généreux me soutienne.
Aux pécheurs, j'enseignerai tes chemins ;
vers toi, reviendront les égarés.

Si j'offre un sacrifice, tu n'en veux pas,
tu n'acceptes pas d'holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c'est un esprit brisé ;
tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 22,1-14.
En ce temps-là, Jésus se mit de nouveau à parler aux grands prêtres et aux anciens du peuple, et il leur dit en paraboles :
« Le royaume des Cieux est comparable à un roi qui célébra les noces de son fils.
Il envoya ses serviteurs appeler à la noce les invités, mais ceux-ci ne voulaient pas venir.
Il envoya encore d’autres serviteurs dire aux invités : “Voilà : j’ai préparé mon banquet, mes bœufs et mes bêtes grasses sont égorgés ; tout est prêt : venez à la noce.”
Mais ils n’en tinrent aucun compte et s’en allèrent, l’un à son champ, l’autre à son commerce ;
les autres empoignèrent les serviteurs, les maltraitèrent et les tuèrent.
Le roi se mit en colère, il envoya ses troupes, fit périr les meurtriers et incendia leur ville.
Alors il dit à ses serviteurs : “Le repas de noce est prêt, mais les invités n’en étaient pas dignes.
Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce.”
Les serviteurs allèrent sur les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, les mauvais comme les bons, et la salle de noce fut remplie de convives.
Le roi entra pour examiner les convives, et là il vit un homme qui ne portait pas le vêtement de noce.
Il lui dit : “Mon ami, comment es-tu entré ici, sans avoir le vêtement de noce ?” L’autre garda le silence.
Alors le roi dit aux serviteurs : “Jetez-le, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.”
Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus. »

 

Commentaire du jour.
Saint Jacques de Saroug (v. 449-521), Moine et Évêque syrien.
Homélie sur le voile de Moïse (trad. Guéranger rev. ; cf Delhougne, p. 295)

« Le Royaume des Cieux est comparable à un roi qui célébrait les noces de son fils »

Dans ses desseins mystérieux, le Père avait préparé une Épouse pour son Fils unique et il la lui avait présentée sous les images de la prophétie...
Moïse a écrit dans son livre que « l'homme quitterait son père et sa mère pour s'attacher à sa femme de sorte que les deux ne fassent réellement plus qu'un » (Gn 2,24).
Le prophète Moïse nous a parlé en ces termes de l'homme et de la femme pour annoncer le Christ et son Église.
Avec l'œil perçant du prophète, il a contemplé Le Christ devenant un avec l'Église grâce au mystère de l'eau : il a vu Le Christ attirer à Lui l'Église dès le sein virginal, et l'Église attirer à elle Le Christ dans l'eau du Baptême.

L'Époux et l'Épouse ont été ainsi totalement unis d'une manière mystique ; voilà pourquoi Moïse, le visage voilé (Ex 34,33), a contemplé Le Christ et l'Église ; il a appelé l'un « homme » et l'autre « femme », pour éviter de montrer aux Hébreux la réalité dans toute sa clarté...
Le voile devait encore recouvrir ce mystère pour un temps ; personne ne connaissait la signification de cette grande image ; on ignorait ce qu'elle représentait.

Après la Célébration de leurs noces, Paul est venu. Il a vu le voile étendu sur leur splendeur, et l'a soulevé pour révéler Le Christ et son Épouse au monde entier.
Il a montré que c'était bien eux que Moïse avait décrits dans sa vision prophétique. Exultant d'une joie divine, l'apôtre a proclamé : « Ce mystère est grand » (Ep 5,32). Il a révélé ce que représentait cette image voilée que le prophète appelait l'homme et la femme : « Je le sais, dit-il, c'est Le Christ et son Église qui ne sont plus deux mais un seul » (Ep 5,31 ).

 

Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/28eme-Dimanche-T-O-Mt-22-1-14.html
Carmel.

« Tout est prêt : venez au repas de noce ! »

L’Évangile de ce jour est un texte qui peut être difficile à comprendre, spécialement le dernier paragraphe où l’un des convives se fait éconduire par le roi.
Dans un premier temps, nous pouvons faire une lecture historique de ce texte. Nous reconnaissons dans cette page de l’Évangile le drame de l’alliance dans l’Ancien Testament, au cours des siècles, Le Seigneur a invité son peuple à entrer en alliance avec Lui, à partager son Amour.
Cette invitation est ici figurée par l’invitation au repas de noces, un repas de fête où l’alliance est célébrée entre son fils et l’humanité.

Malheureusement, les hommes ont souvent répondu à l’invitation divine par l’indifférence, le mépris et même le rejet des prophètes.
Cependant l’invitation à entrer en alliance demeure, et le refus de quelques-uns a permis d’ouvrir l’invitation à un plus grand nombre.
Cette large ouverture des noces nouvelles dans la nouvelle alliance est une joie pour chacun de nous, et un motif de reconnaissance pour Dieu Notre Père.
Cela ne doit pas nous amener à porter un jugement sur ceux qui ont refusé d’entrer en alliance.
D’autant plus que le rejet de l’homme qui n’avait pas revêtu les vêtements de noces doit nous mettre en garde contre notre propre attitude.

Le roi condamne sévèrement l’homme qui est entré sans avoir les vêtements adéquats pour la Célébration.
Mais nous pouvons nous poser la question de savoir comment un invité de la dernière heure, rencontré au détour d’un chemin, aurait-il eu le temps de revêtir un costume de fête ?
Il ne faut pas s’arrêter au caractère invraisemblable de cette histoire.
Mais être ouvert à la lecture symbolique.
Ici le vêtement de noce est à comprendre comme le symbole des œuvres de notre conversion. Nous devons exprimer extérieurement ce que nous avons accueilli intérieurement dans la Foi. Nous trouvons aussi cette image du vêtement dans le livre de l’Apocalypse où il est dit que le vêtement de lin, dont sont revêtus les Saints, c’est leurs bonnes actions (Ap 19,8).

Saint Jérôme commente aussi ce passage de l’Évangile dans ce sens lorsqu’il dit : « À lui seul, cet homme personnifie tout ce que le mal rassemble. Le vêtement des noces, ce sont les préceptes du Seigneur, les œuvres accomplies selon la loi et l’Évangile qu’est le vêtement de l’homme nouveau. »
Heureux sommes nous d’être invités au repas du Seigneur ! Nous connaissons cette invitation que le Prêtre lance après l’Agneau de Dieu.
Cette invitation nous concerne particulièrement nous qui avons entendu l’invitation du Seigneur, et qui sommes ici rassemblés.
Elle est aussi adressée à cette foule innombrable, la foule précisément de ceux qui ont revêtu le vêtement des bonnes œuvres, la foule de ceux qui vont participer au repas de l’Agneau.

Oui, ils sont innombrables les invités au repas du seigneur. Chacune de nos Eucharisties est comme une annonce et même une anticipation de ce grand repas de noces. Les noces du fils du roi, du fils bien-aimé du Père, les noces du Christ qui épouse l’humanité.

La parabole de l’invité négligent nous avertit contre une réponse qui ne serait pas véritablement totale de notre part.
Nous ne pouvons pas participer aux noces de l’agneau sans chercher à revêtir notre cœur de Tendresse, de Bonté, d’Humilité et de Douceur, de Patience.
Le vêtement de noces signifie notre transformation en réponse à l’invitation.

Par sa conduite et par ses bonnes œuvres, l’invité aux noces s’ajuste à la grandeur de celui qui l’a appelé, à l’honneur qui nous est fait d’entrer en communion avec Dieu.
Nous répondons par une généreuse transformation de notre conduite, nous poursuivrons notre transformation intérieure et extérieure inaugurée par notre nouvelle naissance dans la Foi au jour de notre Baptême.
Nous ne pouvons pas vraiment répondre à l’invitation du Seigneur sans chercher à correspondre à cette invitation.
Et vous avez certainement remarqué que durant l’Eucharistie à de nombreuses reprises nous demandons Pardon au Seigneur.
C’est une façon de reconnaître que notre préparation à l’accueil du don de Dieu est bien imparfaite en nos vies.
Nous ne sommes pas à la hauteur d’une telle invitation, mais nous nous confions à la Miséricorde de Dieu et nous désirons y répondre de mieux en mieux chaque jour.
Et comme le rappelait la première lecture que nous avons entendue, quelquefois notre préparation peut ressembler au franchissement de montagne qui demande de la peine.
Mais cette peine est bien payée, l’Eucharistie est un repas extraordinaire préparé par le Dieu qui nous sauve.
Tous les hommes sont invités sans distinction, sans privilège d’origine. Mais on ne peut s’approcher du Seigneur sans chercher à lui plaire, c’est-à-dire à nous revêtir du Christ, en accomplissant comme lui ce qui plaît au Père.

Nous ne pouvons pas prendre part au repas du Seigneur sans prendre part aussi à son œuvre d’Amour en ce monde.
La communion avec Le Seigneur suscite la communion avec nos frères en Église et en humanité.
Notre participation à l’Eucharistie est liée à une manière de vivre au fil des jours où nous tissons ainsi le vêtement de nos noces que nous Célébrerons avec Le Seigneur.
Heureux sommes-nous si nous participons ainsi au festin des noces de l’Agneau.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_184
Abbé David AMADO i Fernández (Barcelona, Espagne).

«Mon repas est prêt, mes bœufs et mes bêtes grasses sont égorgés; tout est prêt: venez au repas de Noce»

Aujourd'hui, la parabole de l'Évangile nous parle du festin du Royaume des Cieux. C'est une image récurrente dans la prédication de Jésus. Il s'agit d'un festin de noces qui aura lieu à la fin des temps et qui signifie l'union de Jésus à son Église.
L'Église est l'épouse du Christ qui parcourt le monde mais qui à la fin s'unira à son Bien aimé pour toujours.
Dieu Père lui a préparé ce festin et Il veut que nous participions à ce festin. Il invite tous les hommes à s'y rendre: «Venez au repas de noce» (Mt 22,4).

Cette parabole, par contre, a une fin tragique, car beaucoup «n'en tinrent aucun compte et s'en allèrent, l'un à son champ, l'autre à son commerce» (Mt 22,5).
Pour cela la Miséricorde de Dieu se rapproche des personnes de plus en plus lointaines. C'est comme un fiancé qui va se marier et qui invite ses parents et amis, mais ceux-ci ne veulent pas venir, donc il fait appel à ses connaissances, collègues de travail et voisins, mais ceux-ci font aussi des excuses; finalement, il s'adresse à tous ceux qu'il voit dans la rue car il a préparé un banquet et il voudrait avoir des invités à table.
C'est pareil pour Le Seigneur.

Il se peut, aussi que les différents personnages qui font partie de cette parabole représentent nos états d'âme.
Par la Grâce du Baptême nous devenons amis de Dieu et avec Jésus, nous devenons les cohéritiers: nous avons donc une place réservée au banquet.
Si nous oublions notre position en tant que fils de Dieu, Dieu nous traite toujours en amis et continue à nous inviter.
Si nous laissons mourir en nous la Grâce, alors nous devenons des gens dans la rue, des passants sans rien à voir avec les choses du Royaume. Mais Dieu continue toujours à nous inviter.

L'appel arrive à n'importe quel moment. C'est par invitation. Personne n'a droit à celle-ci. C'est Dieu Lui-même qui nous aperçoit et nous invite: «Venez au repas de noce».
C'est une invitation que nous devons accepter par nos paroles et par nos actes.
C'est pour cela qu'un invité mal habillé sera expulsé: «Mon ami, comment es-tu entré ici, sans avoir le vêtement de noce» (Mt 22,12).

 

HYMNE : QU'IL SOIT BÉNI

Qu'il soit béni, qu'il vienne,
Le Roi, notre Seigneur !
Ouvrez, ouvrez vos portes,
Ne fermez plus vos cœurs !
Il vient à nous sans faste,
Grandeur ni majesté,
Vêtu comme le pauvre
Dans son humilité !

Qu'il soit béni, qu'il vienne,
Le Roi, notre Seigneur !
Entendez-le qui parle,
Sortez tous de l'erreur !
Malheur à l'homme riche
S'il ne veut écouter
Le Christ de la Promesse
Qui vient nous racheter !

Qu'il soit béni, qu'il vienne,
Le Roi, notre Seigneur !
Il montre à tous les humbles
La face du Sauveur !
A lui sont en partage
La gloire et le pouvoir,
Ce qu'à la fin des âges
Les peuples pourront voir !

Qu'il soit béni, qu'il vienne,
Le Roi, notre Seigneur !
Il donne aux misérables
La paix du Bon Pasteur,
Il est doux. Il est humble.
Son joug sera léger!
Et c'est lui qui nous mène
Jusqu'à la liberté !

 

HYMNE : PÈRE DU PREMIER MOT

Père du premier mot 
jailli dans le premier silence 
où l'homme a commencé, 
Entends monter vers toi, 
comme en écho, 
nos voix 
mêlées aux chants que lance 
ton Bien-Aimé.

Père du premier jour 
levé sur les premières terres 
au souffle de l'Esprit, 
Voici devant tes yeux, 
comme en retour, 
le feu 
qui prend au cœur des frères 
de Jésus Christ.

Père du premier fruit
gonflé de la première sève
au monde ensemencé,
Reçois le sang des grains
qui ont mûri,
et viens
remplir les mains qui cherchent
ton Premier-né.

 

HYMNE : Ô PÈRE, SOURCE DE L’AMOUR

Ô Père, 
Source de l’amour, 
Tu nous as gardés en ce jour 
Dans ta tendresse. 
Si je n’ai pas compris ta voix, 
Ce soir je rentre auprès de toi, 
Et ton pardon me sauvera 
De la tristesse. 

Seigneur,
Étoile sans déclin,
Toi qui vis aux siècles sans fin,
Près de ton Père !
Ta main, ce jour, nous a conduits,
Ton corps, ton sang nous ont nourris :
Reste avec nous en cette nuit,
Sainte lumière. 

Seigneur,
Esprit de vérité,
Ne refuse pas ta clarté
À tous les hommes.
Éteins la haine dans les cœurs,
Et que les pauvres qui ont peur
D’un lendemain sans vrai bonheur
En paix s’endorment. 

Seigneur,
Reviendras-tu ce soir
Pour combler enfin notre espoir
Par ta présence ?
La table est mise en ta maison
Où près de toi nous mangerons.
Pour ton retour, nous veillerons
Pleins d’espérance.

 

Oraison du matin (Office des Laudes)... Propre à Sainte Rose de Lima.
Dieu qui a inspiré à Sainte Rose de Lima un si grand Amour qu’elle a tout quitté pour s’attacher à Toi seul dans une austère pénitence, accorde-nous, par son intercession, de suivre ici-bas les chemins de la vraie Vie, pour goûter au Ciel des Joies inépuisables.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Donne à ceux qui te prient, Seigneur, l'abondance de ta Grâce. Avec ton aide, qu'ils suivent les Commandements pour y trouver dès maintenant leur Bonheur, pour en recevoir, dans l'éternité, ta Joie.

 

Parole de Dieu : (Rm 8, 18-21)... (Office des Laudes).
J’estime qu’il n’y a pas de commune mesure entre les souffrances du temps présent et la Gloire que Dieu va bientôt révéler en nous.
En effet, la Création aspire de toutes ses forces à voir cette révélation des fils de Dieu. Car la Création a été livrée au pouvoir du néant, non parce qu’elle l’a voulu, mais à cause de celui qui l’a livrée à ce pouvoir.
Pourtant, elle a gardé l’espérance d’être, elle aussi, libérée de l’esclavage, de la dégradation inévitable, pour connaître la Liberté, la Gloire des enfants de Dieu.

 

Parole de Dieu : (Col 1, 23)... (Office des Vêpres).
Par la Foi, tenez, solides et fermes ; ne vous laissez pas détourner de l’Espérance que vous avez reçue en écoutant l’Évangile proclamé à toute créature sous le Ciel.

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