Eucharistie du Dimanche 16 Décembre 2018 : Troisième Dimanche de l’Avent, de Gaudete (Année C).

Eucharistie du Dimanche 16 Décembre 2018 : Troisième Dimanche de l’Avent, de Gaudete (Année C).

Fête de Sainte Adélaïde (ou Alice), veuve et Impératrice du Saint Empire (931-999).
Fête de Saint Adon de Vienne, Évêque († 875).
Fête du Bienheureux Honoré de Biala Podlaska Kozminski, Prêtre o.f.m. cap. († 1916).
Fête de la Bienheureuse Marie des Anges (Marianna Fontanella), Vierge Moniale du Carmel (1661-1717).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de Sophonie 3,14-18… Livre d'Isaïe 12,2.4bcde.5-6… Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 4,4-7… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 3,10-18.
Dimanche de Gaudete.
Commentaire du Pape Saint Jean-Paul II.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire du Cardinal Jorge MEJÍA Archiviste et Bibliothécaire de la S.R.I. (Città del Vaticano, Saint-Siège).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

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Dimanche 16 Décembre 2018 : Fête de Sainte Adélaïde (ou Alice), veuve et Impératrice du Saint Empire (931-999).
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Sainte Adélaïde (ou Alice), veuve et Impératrice du Saint Empire.

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Dimanche 16 Décembre 2018 : Fête de Saint Adon de Vienne, Évêque († 875).
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Saint Adon de Vienne, Évêque.

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Dimanche 16 Décembre 2018 : Fête du Bienheureux Honoré de Biala Podlaska Kozminski, Prêtre o.f.m. cap. († 1916).
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Bienheureux Honoré de Biala Podlaska Kozminski.

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Dimanche 16 Décembre 2018 : Fête de la Bienheureuse Marie des Anges (Marianna Fontanella), Vierge Moniale du Carmel (1661-1717).
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Bienheureuse Marie des Anges (Marianna Fontanella).

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de Sophonie 3,14-18.
Pousse des cris de joie, fille de Sion ! éclate en ovations, Israël ! Réjouis-toi, tressaille d'allégresse, fille de Jérusalem !
Le Seigneur a écarté tes accusateurs, il a fait rebrousser chemin à ton ennemi. Le roi d'Israël, le Seigneur, est en toi. Tu n'as plus à craindre le malheur.
Ce jour-là, on dira à Jérusalem : « Ne crains pas, Sion ! Ne laisse pas tes mains défaillir !
Le Seigneur ton Dieu est en toi, c'est lui, le héros qui apporte le salut. Il aura en toi sa joie et son allégresse, il te renouvellera par son amour ; il dansera pour toi avec des cris de joie,
comme aux jours de fête. » J'ai écarté de toi le malheur, pour que tu ne subisses plus l'humiliation.

 

Livre d'Isaïe 12,2.4bcde.5-6.
Voici le Dieu qui me sauve :
j'ai confiance ; je n'ai plus de crainte,
Ma force et mon chant, c'est le Seigneur ;
il est pour moi le salut.

Rendez grâce au Seigneur,
proclamez son nom,
Annoncez parmi les peuples ses hauts faits !
Redites-le : « Sublime est son nom ! »

Jouez pour le Seigneur !
car il a fait des prodiges que toute la terre connaît.
Jubilez, criez de joie, habitants de Sion,
car il est grand au milieu de toi, le Saint d'Israël !

 

Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 4,4-7.
Frères, soyez toujours dans la joie du Seigneur ; laissez-moi vous le redire ; soyez dans la joie.
Que votre sérénité soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche.
Ne soyez inquiets de rien, mais, en toute circonstance, dans l'action de grâce priez et suppliez pour faire connaître à Dieu vos demandes.
Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce qu'on peut imaginer, gardera votre cœur et votre intelligence dans le Christ Jésus.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 3,10-18.
Les foules qui venaient se faire baptiser par Jean lui demandaient : « Que devons-nous faire ? »
Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu'il partage avec celui qui n'en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu'il fasse de même ! »
Des publicains (collecteurs d'impôts) vinrent aussi se faire baptiser et lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? »
Il leur répondit : « N'exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. »
A leur tour, des soldats lui demandaient : « Et nous, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « Ne faites ni violence ni tort à personne ; et contentez-vous de votre solde. »
Or, le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n'était pas le Messie.
Jean s'adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l'eau ; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi. Je ne suis pas digne de défaire la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et dans le feu.
Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s'éteint pas. »
Par ces exhortations et bien d'autres encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle.

Messe de gaudete ou laetare

http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-14616943.html

3ème Dimanche de l’Avent (Dimanche de Gaudete)

En ce 3ème Dimanche de l’Avent (Gaudete), la Liturgie de l'Église utilise – comme pour le 4ème Dimanche de Carême (Lætare)- la couleur rose, couleur de l'aurore, qui marque, au milieu des temps de Pénitence, une pause où l'Église vise à mieux faire entrevoir la Joie qu'elle prépare (Noël ou Pâques), à donner courage pour les dernières étapes à parcourir et à rendre grâce pour les œuvres déjà accomplies.

Jésus-Christ sera « la rosée pour Israël, il fleurira comme le lys » nous a annoncé le Prophète Osée (cf : XIV, 6).
L'Introït magnifique de ce jour nous rappelle la Joie de l'Église et de ses enfants dans l'attente de l'avènement du Verbe Divin fait chair : « Gaudete in Domino semper : iterum dico, gaudete : modestia vestra nota sit omnibus hominibus : Dominus prope est. Nihil solliciti sitis : sed in omni oratione petitiones vestrae innotescant apud Deum. Ps. : Benedixisti, Domine, terram tuam : avertisti captivitatem Iacob. Gloria Patri... »
(« Réjouissez vous toujours dans Le Seigneur, je vous le répète, réjouissez-vous. Que votre douceur soit connue de tous les hommes.
Le Seigneur est proche ; ne vous inquiétez de rien, mais qu'en toutes choses vos demandes se fassent connaître à Dieu par la prière.
Ps. : Seigneur, vous avez Béni votre Terre, Vous avez ramené Jacob de captivité. Gloire au Père... ») Confiteor + Kyriale XVII + Credo VII

 

Commentaire du jour.
Pape Saint Jean-Paul II.
Angélus du 14/12/2003 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana rev.).

« Soyez toujours dans la Joie du Seigneur ; laissez-moi vous le redire : soyez dans la Joie. Le Seigneur est proche »

« Réjouissez-vous sans cesse dans Le Seigneur... Le Seigneur est proche » (Ph 4,4-5). A travers ces paroles de l'apôtre Paul, la liturgie nous invite à la Joie. Nous sommes le troisième Dimanche de l'Avent, appelé précisément « Gaudete »...

L'Avent est un temps de Joie, car il fait revivre l'attente de l'événement le plus heureux de l'histoire : la naissance du Fils de Dieu, né de la Vierge Marie.
Savoir que Dieu n'est pas loin, mais proche, qu'il n'est pas indifférent, mais plein de Compassion, qu'il n'est pas un étranger, mais un Père Miséricordieux qui veille sur nous avec Amour, dans le respect de notre Liberté — tout cela est le motif d'une Joie profonde sur laquelle les aléas des événements quotidiens n'ont pas de prise.

Une caractéristique incomparable de la Joie Chrétienne est qu'elle peut coexister avec la souffrance, car elle est entièrement basée sur l'Amour.
En effet, Le Seigneur qui est proche de nous, au point de devenir un homme, vient nous communiquer sa Joie, la joie d'aimer.
Ce n'est qu'ainsi que l'on comprend la Joie sereine des Martyrs même dans l'épreuve ou le sourire des saints de la Charité face à celui qui est dans la peine, un sourire qui ne blesse pas mais qui console.
« Réjouis-toi, comblée de Grâce, Le Seigneur est avec toi » (Lc 1,28) : l'annonce de l'Ange à Marie est une invitation à la Joie.
Demandons à la Sainte Vierge le don de la Joie Chrétienne.

 

Autre commentaire du jour.
https://www.carmel.asso.fr/3eme-Dimanche-de-l-Avent-Lc-3-10-18.html
Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).

« Que nous faut-il faire ? »

Deux grands témoins nous préparent aujourd’hui à la venue du Seigneur : le Baptiste et Saint Paul vieillissant, dans sa lettre aux Philippiens. Écoutons-les successivement pour réchauffer notre espérance à leur enthousiasme.
Jean le Baptiste est l’homme de l’urgence et de la décision ; et ses consignes viennent réveiller les croyants : « Faites des fruits dignes de votre repentir », dignes du baptême de pénitence que vous venez de recevoir.
En écho à cet appel, trois groupes viennent à lui avec la même question : « Que nous faut-il faire ? »

Aux gens ordinaires de la foule, Jean répond simplement : « partagez ! » ; et il vise en particulier le vêtement et la nourriture.
Aux collecteurs d’impôts, le Baptiste n’impose pas de quitter leur travail, mais ils ne doivent pas chercher à s’enrichir en faisant payer aux gens plus que l’occupant ne demande.
Les soldats non plus n’auront pas à renoncer à leur métier ; mais ils ne devront pas profiter de leur force et de leurs armes pour vivre aux dépens des habitants du pays ni pour calomnier et dénoncer sans scrupule.

C’est l’ascèse de tous les jours, au niveau de l’avoir et du pouvoir, mais ce n’est qu’une des facettes de la spiritualité du Précurseur, car son désir de probité et de générosité s’enracine, en profondeur, dans une humilité radicale devant Dieu, devant le plan de Dieu et devant Celui qui va le mettre en œuvre : « Lui vous plongera dans L’Esprit-Saint ».
La toute première ascèse du Baptiste est de rester à sa place dans le dessein de Dieu, à sa place de précurseur du Messie ; mais pour lui, nous le savons, c’était beaucoup plus une Joie qu’un effort : « il faut qu’Il croisse, et que moi je diminue ! ».

La grandeur d’âme du Baptiste sera de garder cette humilité et ce réflexe d’effacement même quand il verra Jésus choisir un style d’action tout différent du sien.
Pour l’instant il se représente le Messie un peu à sa propre image : vannant le blé à la grande pelle et brûlant la menue paille dans un feu jamais éteint.
En réalité ce Messie « plus fort que lui » mettra tous ses disciples à l’école de sa douceur.

Avec Saint Paul notre ascèse de l’Avent, sans cesser d’être pratique et réaliste, va descendre dans notre cœur jusqu’à la racine de nos décisions et de nos comportements.
Ce sera avant tout l’ascèse de la Joie, de la Joie ancrée dans la Pâque de Jésus et maintenue courageusement, en dépit des épreuves et des incertitudes, familiales ou communautaires, en dépit également de nos désarrois personnels devant la maladie, l’incompréhension ou la solitude.
Une sœur joyeuse, une maman joyeuse, joyeuse malgré tout, quel soleil dans la communauté, quelle espérance dans le cœur des enfants !
« Réjouissez-vous sans cesse dans Le Seigneur, je vous le redis, insiste Saint Paul, réjouissez-vous ! »

Et il ajoute, pour faire bonne mesure : « n’entretenez aucun souci ».
Ce sera l’ascèse de la confiance, si onéreuse pour nous qui voulons tout garder en mains, notre propre destin et celui de notre communauté.
Le secret, selon Saint Paul, est de tout demander, et de faire de Dieu le confident de tous nos besoins et de toutes nos craintes.
Car nous passons notre vie à craindre, alors que « Le Seigneur est proche », à portée de Foi, à portée de prière.

Au fond, l’une des ascèses les plus nécessaires, pour notre cœur inquiet et trop souvent triste, est de laisser venir la Paix de Dieu, cette Paix qui, selon Saint Paul, va « monter la garde » à l’entrée de notre cœur et maintenir nos pensées « dans Le Christ Jésus ».

Tant de négatif pénètre dans nos sentiments, dans nos souvenirs, dans notre regard sur demain ; tant de lassitude ou d’amertume se glisse parfois dans nos gestes ou dans nos paroles ; tant de retours sur le passé nous paralysent ou dévitalisent notre prière !

Le Seigneur est proche, Le Seigneur vient. Déjà il nous a choisis, déjà il nous a appelés. Déjà chaque jour il nous ouvre sa Vie.
Comment pourrions-nous oublier d’être heureux ?

Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/I_21
Cardinal Jorge MEJÍA Archiviste et Bibliothécaire de la S.R.I. (Città del Vaticano, Saint-Siège).

Il vient, Celui qui est plus puissant que moi.

Aujourd'hui la Parole de Dieu nous présente, en plein Avent, le Saint Précurseur de Jésus-Christ: Saint Jean-Baptiste.
Comme le dit le début de la Lettre aux Hébreux (1,1), Dieu Le Père a prévu de préparer à maintes reprises et sous maintes formes la venue, c'est-à-dire l'Avent, en notre chair de Son Fils, né de la Vierge Marie. Les patriarches, les prophètes et les rois préparèrent son avènement.
Voyons ses deux généalogies, dans les Évangiles de Matthieu et de Luc. Il est le descendant d'Abraham et de David. Moïse, Isaïe et Jérémie ont annoncé sa venue et décrit son mystère. Mais, comme le dit la liturgie (Préface de sa fête), Saint Jean-Baptiste put le désigner du doigt, et il lui revint -mystérieusement!- de réaliser le Baptême du Seigneur.
Il fut le dernier témoin de sa venue. Et il le fut par sa vie, par sa mort et par sa parole. Comme celle de Jésus, sa naissance a été annoncée et préparée, selon l'Évangile de Luc (chap. 1 et 2). Son Martyre, victime de la faiblesse d'un roi et de la haine d'une femme perverse, prépare aussi celui de Jésus.
Aussi a-t-il reçu l'extraordinaire éloge de Jésus que nous lisons dans les Évangiles de Matthieu et de Luc (cf. Mt 11,11; Lc 7,28): «Parmi les enfants des femmes, il n'en pas surgi de plus grand que Jean le Baptiste».
Mais face à tout cela, qu'il ne pouvait ignorer, il reste un modèle d'humilité: «Je ne suis pas digne de défaire la courroie de ses sandales» (Lc 3,16), nous dit-il aujourd'hui. Et, selon Saint Jean (3,30): «Il faut que Lui grandisse et que moi je décroisse».
Écoutons aujourd'hui sa Parole, qui nous exhorte au partage de nos biens et au respect de la Justice et de la dignité de tous.
Préparons-nous ainsi à recevoir Celui qui vient maintenant nous sauver et qui reviendra «juger les vivants et les morts».

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://us3.campaign-archive.com/?e=b033ba685c&u=bbaf519c73482457368060b5b&id=be529c9a07

 

HYMNE : Ô VIENS, JÉSUS, Ô VIENS, EMMANUEL

Ô viens, Jésus, ô viens, Emmanuel, 
Nous dévoiler le monde fraternel 
Où ton amour, plus fort que la mort, 
Nous régénère au sein d’un même corps.

R/ Chantez, chantez, il vient à notre appel
combler nos cœurs, Emmanuel.

Ô viens, Berger que Dieu nous a promis, 
Entends au loin ton peuple qui gémit ; 
Dans la violence il vit son exil, 
De ses souffrances quand renaîtra-t-il ? 

Ô viens, Jésus, et dans la chair blessée, 
Fleuris pour nous, racine de Jessé ; 
Près de l’eau vive, l’arbre planté 
Soulève jusqu’à Dieu le monde entier. 

Ô viens, Jésus, tracer notre chemin,
Visite-nous, Étoile du matin,
Du fond de nos regards fais monter
L’éclat soudain du jour d’éternité.

 

HYMNE : UNE VOIX PARCOURT LA TERRE

Une voix parcourt la terre, 
Dieu s’approche dans la nuit ; 
La semence de lumière 
Donne enfin son fruit. 

Voici l’heure du Royaume, 
L’arbre mort a refleuri ; 
Mais devant le Fils de l’homme, 
Qui pourra tenir ? 

À l’Orient son jour se lève, 
Nul n’échappe à sa venue ; 
Sa Parole comme un glaive 
Met les cœurs à nu. 

Seul le pauvre trouve grâce,
Seul le pauvre sait aimer :
Dieu l’invite à prendre place
Près du Fils aîné. 

Et l’Agneau des sources vives,
Dieu fait chair en notre temps,
Chaque jour, sous d’humbles signes,
Vient à nos devants. 

Offre-lui tes mains ouvertes,
Prends son corps livré pour toi ;
Son amour sera ta fête,
Donne-lui ta foi. 

Marche encore vers la Ville
Où tes yeux verront l’Agneau,
Cherche en lui la route à suivre,
Viens au jour nouveau !

 

HYMNE : VIENS BIENTÔT, SAUVEUR DU MONDE

Viens bientôt, Sauveur du monde,
Lève-toi, clarté d’en haut ;
Vrai soleil du jour nouveau,
Viens percer la nuit profonde. 

Ta naissance dans l’histoire
Transfigure nos tourments
En douleurs d’enfantement
Où, déjà, surgit ta gloire. 

Vois le mal et la souffrance
Et tant d’hommes chancelants
Dans l’immense enchaînement
Du mépris et des violences.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Tu le vois, Seigneur, ton peuple se prépare à Célébrer la naissance de Ton Fils ; dirige notre joie vers la Joie d'un si grand mystère, pour que nous fêtions notre Salut avec un cœur vraiment nouveau.

 

Parole de Dieu : (Rm 13, 11-12)… (Office des Laudes).
C’est le moment, l’heure est venue de sortir de votre sommeil. Car le Salut est plus près de nous maintenant qu’à l’époque où nous sommes devenus croyants.
La nuit est bientôt finie, le jour est tout proche. Rejetons les activités des ténèbres, revêtons-nous pour le combat de la Lumière.

 

Parole de Dieu : (Ph 4, 4-5)… (Office des Vêpres).
Soyez toujours dans la Joie du Seigneur ; laissez-moi vous le redire : soyez dans la Joie. Que votre sérénité soit connue de tous les hommes.
Le Seigneur est proche.

Date de dernière mise à jour : 16/12/2018

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