Eucharistie du Dimanche 19 Janvier 2020 : Deuxième Dimanche du Temps Ordinaire (Année A).

Eucharistie du Dimanche 19 Janvier 2020 : Deuxième Dimanche du Temps Ordinaire (Année A).

Fête de Saint Joseph-Sébastien Pelczar, Évêque en Pologne, Fondateur de la Congrégation des Servantes du Sacré-Cœur de Jésus (? 1924).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre d'Isaïe 49,3.5-6... Psaume 40(39),2abc.4ab.7-8a.8b-9.10cd.11cd... Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 1,1-3... Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 1,29-34.
Commentaire de Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), Prêtre à Antioche puis Évêque de Constantinople, Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Autres commentaires de l’Abbé Joaquim FORTUNY i Vizcarro (Cunit, Tarragona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Saint joseph sebastien pelczar 11

Dimanche 19 Janvier 2020 : Fête de Saint Joseph-Sébastien Pelczar, Évêque en Pologne, Fondateur de la Congrégation des Servantes du Sacré-Cœur de Jésus (? 1924).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Joseph-Sébastien Pelczar.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre d'Isaïe 49,3.5-6.
Le Seigneur m’a dit : « Tu es mon serviteur, Israël, en toi je manifesterai ma splendeur. »
Maintenant le Seigneur parle, lui qui m’a façonné dès le sein de ma mère pour que je sois son serviteur, que je lui ramène Jacob, que je lui rassemble Israël. Oui, j’ai de la valeur aux yeux du Seigneur, c’est mon Dieu qui est ma force.
Et il dit : « C’est trop peu que tu sois mon serviteur pour relever les tribus de Jacob, ramener les rescapés d’Israël : je fais de toi la lumière des nations, pour que mon salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre. »

 

Psaume 40(39),2abc.4ab.7-8a.8b-9.10cd.11cd.
D'un grand espoir
j'espérais le Seigneur :
il s’est penché vers moi.
En ma bouche il a mis un chant nouveau,
une louange à notre Dieu.

Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice,
tu as ouvert mes oreilles ;
tu ne demandais ni holocauste ni victime,
alors j'ai dit : « Voici, je viens.

« Dans le livre, est écrit pour moi
ce que tu veux que je fasse.
Mon Dieu, voilà ce que j'aime :
ta loi me tient aux entrailles. »

Vois, je ne retiens pas mes lèvres,
Seigneur, tu le sais.
J'ai dit ton amour et ta vérité
à la grande assemblée.

 

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 1,1-3.
Paul, appelé par la volonté de Dieu pour être apôtre du Christ Jésus, et Sosthène notre frère,
à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés dans le Christ Jésus et sont appelés à être saints avec tous ceux qui, en tout lieu, invoquent le nom de notre Seigneur Jésus Christ, leur Seigneur et le nôtre.
À vous, la grâce et la paix, de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 1,29-34.
En ce temps-là, voyant Jésus venir vers lui, Jean le Baptiste déclara : « Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde ;
c’est de lui que j’ai dit : L’homme qui vient derrière moi est passé devant moi, car avant moi il était.
Et moi, je ne le connaissais pas ; mais, si je suis venu baptiser dans l’eau, c’est pour qu’il soit manifesté à Israël. »
Alors Jean rendit ce témoignage : « J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe et il demeura sur lui.
Et moi, je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau m’a dit : “Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer, celui-là baptise dans l’Esprit-Saint.”
Moi, j’ai vu, et je rends témoignage : c’est lui le Fils de Dieu. »

 

Commentaire du jour.
Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), Prêtre à Antioche puis Évêque de Constantinople, Docteur de l'Église.
Homélie sur le Baptême de Jésus-Christ et sur l'Épiphanie

« J'ai vu, et je rends ce témoignage : c'est Lui Le Fils de Dieu »

Le Christ s'est manifesté à tous non pas au moment de sa naissance mais au moment de son Baptême.
Jusqu'à ce jour-là, peu le connaissaient ; presque tous ignoraient qu'il existait et qui il était. Jean Baptiste disait : « Il y a parmi vous quelqu'un que vous ne connaissez pas » (Jn 1,26). Jean lui-même partageait cette ignorance du Christ jusqu'à son Baptême : « Je ne le connaissais pas, mais celui qui m'a envoyé baptiser dans l'eau m'a dit : 'Celui sur qui tu verras L'Esprit descendre et demeurer c'est celui-là qui Baptise dans L'Esprit-Saint' »...

En effet, quelle est la raison que Jean donne pour ce Baptême du Seigneur ? C'était, dit-il, pour le faire connaître à tous.
Saint Paul le dit aussi : « Jean donnait un baptême de conversion, disant au peuple de croire en Celui qui devait venir après lui » (Ac 19,4).
Voici pourquoi Jésus reçoit le baptême de Jean. Aller de maison en maison en présentant Le Christ et dire que c'était Le Fils de Dieu, voilà qui rendait le témoignage de Jean bien difficile ; le conduire à la synagogue et le désigner comme le Sauveur aurait rendu son témoignage peu crédible.
Mais qu'au milieu d'une grande foule rassemblée au bord du Jourdain, Jésus reçoive le témoignage clairement exprimé du haut du Ciel, que L'Esprit-Saint soit descendu sur Lui sous la forme d'une colombe, voilà ce qui confirmait le témoignage de Jean sans aucun doute possible.

« Moi-même, je ne le connaissais pas » disait Jean. Qui donc te l'a fait connaître ? « C'est Celui qui m'a envoyé baptiser ».
Et qu'est-ce qu'il t'a dit ? « Celui sur qui tu verras L'Esprit descendre et reposer, c'est Lui qui Baptise dans L'Esprit-Saint ».
C'est donc L'Esprit-Saint qui révèle à tous Celui dont Jean avait proclamé les merveilles, en descendant le désigner, pour ainsi dire, de son aile.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/2eme-Dimanche-T-O-Jean1-29-34.html
Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).

« Voici l’Agneau de Dieu »

Nous lisons aujourd’hui dans l’Évangile le deuxième témoignage du Baptiste, celui qu’il rend directement à Jésus.
Toute une vision de Foi de la personne de Jésus et de son œuvre est mise en quelques versets sur les lèvres du Précurseur, puisque l’Évangéliste présente Jésus successivement comme :

  • l’Agneau de Dieu,
  • un personnage existant depuis toujours,
  • le porteur de L’Esprit-Saint, l’Élu et Le Fils de Dieu.

La figure de L’Agneau de Dieu est à elle seule un résumé de l’histoire de l’Alliance, puisqu’elle évoque à la fois : - l’agneau pascal de l’Exode, dont le sang, projeté sur les montants de la porte de chaque maison des Hébreux, protégea ceux-ci la nuit de leur délivrance, - le Serviteur souffrant, que décrit le prophète Isaïe, mené à la boucherie, tel un agneau, à cause des péchés de son peuple, - l’agneau vainqueur qui, selon les apocalypses juives, devait détruire le mal dans le monde.

Quant à la préexistence de Jésus, l’Envoyé de Dieu, c’est un thème bien johannique. Jésus ne dira-t-il pas un jour aux Pharisiens : « Avant qu’Abraham fût, moi, je suis » ? (8,58) ; et dans son entretien du dernier soir, il priera en disant : « Père, glorifie-moi auprès de Toi de cette Gloire que j’avais auprès de Toi avant que le monde ne vînt à l’existence » (17,5), ce qui rappelle l’affirmation du Prologue : « Au commencement était le Verbe » ; depuis toujours était Le Fils de Dieu.

Enfin l’Évangéliste souligne que L’Esprit, descendu sur Jésus au Baptême, est demeuré sur Lui. Jésus, par conséquent, possédait en permanence L’Esprit-Saint durant sa vie terrestre, même s’il a attendu son « Heure », l’heure de sa Passion et de sa Glorification, pour transmettre L’Esprit aux hommes venus à lui par la Foi.
Le livre d’Isaïe annonçait déjà que L’Esprit du Seigneur reposerait sur le Messie, issu du tronc de Jessé, et que Dieu mettrait L’Esprit sur son serviteur, l’Élu qui aurait toute sa faveur.

Ainsi, dès le début de l’Évangile, le Précurseur, avec insistance, tourne notre regard vers Jésus, l’Envoyé, Le Fils de Dieu, et il nous redit simplement : « Lui, rien que Lui. C’est Lui que Le Père a sanctifié et envoyé dans le monde (10,36) ; c’est Lui qu’il faut servir si vous voulez construire la paix ; c’est Lui qu’il faut aimer de toutes vos forces, de tout votre esprit, avec tout votre cœur (Dt 6,5) ; c’est Lui que Dieu vous donne comme sauveur, comme frère, comme compagnon de route ; c’est Lui qui veut tout prendre sans rien réclamer. »

Ce témoignage du Baptiste a marqué le point de départ de la Foi en Jésus, Messie et Fils de Dieu.
Les Chrétiens en ont toujours gardé le souvenir, et c’est pourquoi tant de peintres ont représenté Jean Baptiste l’index pointé vers Jésus, comme pour répéter à chaque génération de croyants ce qu’il disait à ses contemporains : « Il y a parmi vous quelqu’un que vous ne connaissez pas : c’est Lui, L’Agneau de Dieu. »

C’est pourquoi aussi, à l’Eucharistie, le Prêtre, montrant le Corps du Christ, reprend les paroles mêmes du Précurseur : « Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde ». Et tous ensemble, avant de communier, nous chantons à deux reprises : « Agneau de Dieu, prends pitié de nous ! »

La pitié de Jésus pour nous, « pauvres pécheurs », pauvres et pécheurs, se montre à la fois très douce et très forte.
Très douce, parce que Le Fils de Dieu est capable de nous rejoindre, avec son Pardon, jusqu’au milieu de notre misère, aussi bas que nous soyons tombés dans le péché, le chagrin ou la désespérance.
Très forte, parce que cette pitié de Jésus enlève - veut enlever - le péché du monde qui colle à notre cœur.
Elle est victoire sur le mal et ne nous laisse pas stagner dans le refus ou dans l’à-peu-près : elle nous met debout, elle nous met en route. Jésus, qui prend pitié, nous dit : « Viens vers Le Père ! »

« Agneau de Dieu, prends pitié de nous ! », c’est notre prière de Chrétiens à tout âge. C’est la prière des jeunes : « Toi qui sauves tous les hommes, fais de moi un frère universel. »
C’est la prière des époux Chrétiens : « Toi qui t’es donné jusqu’à l’extrême, Toi qui es mort pour nous deux, prends-nous tous deux dans ta pitié, prends notre amour dans Ton Amour, mets ton Amour au cœur du nôtre. »

C’est la prière paisible et confiante de ceux et de celles qui commencent à descendre le chemin de la vie : « Agneau de Dieu, toi qui si souvent as porté, enlevé, pardonné mes misères et mes lenteurs, donne-moi le temps de m’ouvrir à mon tour à la Miséricorde. »

C’est la prière de toute communauté, au moment où Le Christ vient unir tous les frères, toutes les sœurs, en un seul Corps : « Agneau de Dieu, vainqueur du mal, viens habiter nos différences, viens triompher de nos indifférences. Toi qui t’es livré pour nous tous, mets en nous la soif de l’unité. »
C’est l’imploration de l’Église universelle et de tous ceux qui en elle se voient contestés, calomniés, persécutés parce qu’ils témoignent de l’Évangile : « Jésus, Agneau de Dieu, Toi qui viens réunir les enfants de Dieu dispersés, Toi qui accueille l’espérance de tous les peuples et de tous les hommes de bonne volonté, donne-nous la Paix ! »

Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_16
Abbé Joaquim FORTUNY i Vizcarro (Cunit, Tarragona, Espagne).

«Voici l'Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde»

Aujourd'hui, nous entendons Jean s'exclamer «Voici L'Agneau de Dieu qui enlève les péché du monde» (Jn 1,29) quand il voit Jésus.
Qu'est-ce qu'ont dû penser ces gens? Et nous que comprenons-nous? Dans la Célébration Eucharistique nous prions tous «Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde prends pitié de nous/donne-nous la Paix».
Et le Prêtre invite les fidèles à la Communion en disant «Voici L'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde».

Soyons certains que lorsque Jean a dit «Voici L'Agneau de Dieu…» les gens ont tous compris exactement ce qu'il voulait dire, puisque "Agneau" est une métaphore à caractère messianique qu'avaient utilisé les prophètes, surtout Isaïe, et qui était bien connue de tout bon israélite.

Par ailleurs, l'agneau c'est le petit animal que les israélites offraient en sacrifice pour commémorer la Pâque, la libération de l'Égypte, le repas de Pâque consistait en un agneau.

Même les apôtres et les Pères de l'Église nous disent que l'Agneau est un symbole de pureté, de simplicité, de bonté, de mansuétude, d'innocence… et Le Christ est la Pureté, la Simplicité, la Bonté, la Mansuétude, l'Innocence.
Saint Pierre nous dit: «Vous avez été affranchis (...) mais par un Sang précieux, Celui de l'agneau sans défaut et sans tache, le Sang du Christ» (1P 1,18.19).
Saint Jean dans l'Apocalypse utilise le terme "l'Agneau" plus de trente fois pour désigner Le Christ.

Le Christ est L'Agneau qui enlève le péché du monde, qui a été immolé pour que nous ayons la Grâce.
Combattons pour vivre toujours dans la Grâce, luttons contre le péché, haïssons-le. La beauté d'une âme en grâce de Dieu est telle qu'aucun trésor ne peut l'égaler.
Elle nous rend agréables aux yeux de Dieu et dignes d'être aimés.
C'est pour cette raison que dans le « Gloire à Dieu » de la Messe on parle de la Paix qui est propre aux hommes qui aiment Le Seigneur, ceux qui sont en état de grâce.

Jean Paul II nous urgeait à vivre dans la Paix que l'Agneau a obtenue pour nous: «Engagez-vous à vivre en état de grâce. Jésus est né à Bethléem précisément pour cela (…), vivre en état de grâce est la dignité suprême, c'est la Joie ineffable, c'est la garantie de Paix, c'est un idéal merveilleux».

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2020-01-19/Voici-l'Agneau-de-Dieu-qui-enleve-le-peche-du-monde

 

HYMNE : VOICI LA NUIT

Voici la nuit,
L'immense nuit des origines.
Et rien n'existe hormis l'Amour,
Hormis l'Amour qui se dessine :
En séparant le sable et l'eau,
Dieu préparait comme un berceau
La Terre où il viendrait au jour.

Voici la nuit,
L'heureuse nuit de Palestine,
Et rien n'existe hormis l'Enfant,
Hormis l'Enfant de vie divine :
En prenant chair de notre chair,
Dieu transformait tous nos déserts
En Terre d'immortels printemps.

Voici la nuit,
L'étrange nuit sur la colline,
Et rien n'existe hormis le Corps,
Hormis le Corps criblé d'épines :
En devenant un crucifié,
Dieu fécondait comme un verger
La Terre où le plantait la mort.

Voici la nuit,
La sainte nuit qui s'illumine,
Et rien n'existe hormis Jésus,
Hormis Jésus où tout culmine :
En s'arrachant à nos tombeaux,
Dieu conduisait au jour nouveau
La Terre où il était vaincu.

Voici la nuit,
La longue nuit où l'on chemine,
Et rien n'existe hormis ce lieu,
Hormis ce lieu d'espoirs en ruines :
En s'arrêtant dans nos maisons,
Dieu préparait comme un Buisson
La Terre où tomberait le Feu !

 

HYMNE : Ô PÈRE DES SIÈCLES DU MONDE

Ô Père des siècles du monde,
Voici le dernier-né des jours
Qui monte
À travers nous, à la rencontre
Du Premier-né de ton amour.

C’est lui qui pour toi fit éclore,
C’est lui qui devant toi chantait
L’aurore,
Quand il n’était pas d’homme encore
Pour avoir part à sa beauté.

Par lui tout demeure en genèse,
Nos jours dans leur vieillissement
Se dressent
À leur éveil vers sa jeunesse,
Car il se lève à l’Orient.

C’est lui qui sans cesse ranime,
C’est lui qui sur les temps maintient
Cette hymne
Émerveillée dès l’origine
Devant l’ouvrage de tes mains.

Voici la nouvelle lumière
Montant au plus secret des corps ;
Ô Père,
Envoie le souffle sur la terre
Du Premier-né d’entre les morts.

 

HYMNE : PEUPLES, CRIEZ DE JOIE

Peuples, criez de joie
Et bondissez d’allégresse :
Le Père envoie son Fils
Manifester sa tendresse ;
Ouvrons les yeux :
Il est l’image de Dieu
Pour que chacun le connaisse.

Loué soit notre Dieu,
Source et Parole fécondes :
Ses mains ont tout créé
Pour que nos cœurs lui répondent ;
Par Jésus Christ,
Il donne l’être et la vie :
En nous sa vie surabonde.

Loué soit notre Dieu
Qui ensemence la terre
D’un peuple où son Esprit
Est plus puissant que la guerre ;
En Jésus Christ,
La vigne porte du fruit
Quand tous les hommes sont frères.

Loué soit notre Dieu
Dont la splendeur se révèle
Quand nous buvons le vin
Pour une terre nouvelle ;
Par Jésus Christ,
Le monde passe aujourd’hui
Vers une gloire éternelle.

Peuples, battez des mains
Et proclamez votre fête :
Le Père accueille en lui
Ceux que son Verbe rachète ;
Dans l’Esprit Saint
Par qui vous n’êtes plus qu’un,
Que votre joie soit parfaite !

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu éternel et tout-puissant, qui régit l'univers du Ciel et de la Terre : exauce, en ta Bonté, les prières de ton peuple et faits à notre temps la Grâce de la Paix.

 

Parole de Dieu : (Ez 36, 25-27)... (Office des Laudes).
Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. De toutes vos souillures, de toutes vos idoles, je vous purifierai. Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau.
J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai en vous mon esprit : alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes Commandements et vous y serez fidèles.

 

Parole de Dieu : (2 Th 2, 13-14)... (Office des Vêpres).
Nous devons continuellement rendre grâce à Dieu pour vous, frères aimés du Seigneur, car Dieu vous a choisis dès le commencement, pour être sauvés par L’Esprit qui sanctifie et par la Foi en la Vérité.
C’est à cela qu’il vous a appelés par notre Évangile, à posséder la Gloire de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Date de dernière mise à jour : 19/01/2020

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