Eucharistie du Lundi 18 Juin 2018 : Lundi de la 11ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Eucharistie du Lundi 18 Juin 2018 : Lundi de la 11ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Fête de la Vénérable Jeanne Mance, Fondatrice de l'hôpital de l'Hôtel-Dieu à Montréal et Co-Fondatrice de la ville de Montréal au Québec (1606 -? 1673).
Fête de Saint Léonce de Tripoli, Martyr (Ier siècle).
Fête de Sainte Marine de Bythinie, entrée au Monastère déguisée en garçon (? 750).
Fête de Sainte Élisabeth de Schönau, Moniale et Mystique († 1164).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Premier livre des Rois 21,1-16... Psaume 5,2-3.5-6ab.6c-7... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,38-42.
Commentaire de Saint Césaire d'Arles (470-543), Moine et Évêque.
Autre commentaire du Concile Vatican II.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Joaquim MESEGUER García (Sant Quirze del Vallès, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Jeanne mance

Lundi 18 Juin 2018 : Fête de la Vénérable Jeanne Mance, Fondatrice de l'hôpital de l'Hôtel-Dieu à Montréal et Co-Fondatrice de la ville de Montréal au Québec (1606 -? 1673).
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Vénérable Jeanne Mance.

Martyre des saints leonce hypate theodule 1

Lundi 18 Juin 2018 : Fête de Saint Léonce de Tripoli, Martyr (Ier siècle).
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Saint Léonce de Tripoli, Martyr.

Sainte marine de bythinie

Lundi 18 Juin 2018 : Fête de Sainte Marine de Bythinie, entrée au Monastère déguisée en garçon (? 750).
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Sainte Marine de Bythinie.

Santa elisabetta di schonau 1

Lundi 18 Juin 2018 : Fête de Sainte Élisabeth de Schönau, Moniale et Mystique († 1164).
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Sainte Élisabeth de Schönau.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Premier livre des Rois 21,1-16.
En ce temps-là, Naboth, de la ville de Yizréel, possédait une vigne à côté du palais d’Acab, roi de Samarie.
Acab dit un jour à Naboth : « Cède-moi ta vigne ; elle me servira de jardin potager, car elle est juste à côté de ma maison ; je te donnerai en échange une vigne meilleure, ou, si tu préfères, je te donnerai l’argent qu’elle vaut. »
Naboth répondit à Acab : « Que le Seigneur me préserve de te céder l’héritage de mes pères ! »
Acab retourna chez lui sombre et irrité, parce que Naboth lui avait dit : « Je ne te céderai pas l’héritage de mes pères. » Il se coucha sur son lit, tourna son visage vers le mur, et refusa de manger.
Sa femme Jézabel vint lui dire : « Pourquoi es-tu de mauvaise humeur ? Pourquoi ne veux-tu pas manger ? »
Il répondit : « J’ai parlé à Naboth de Yizréel. Je lui ai dit : “Cède-moi ta vigne pour de l’argent, ou, si tu préfères, pour une autre vigne en échange.” Mais il a répondu : “Je ne te céderai pas ma vigne !” »
Alors sa femme Jézabel lui dit : « Est-ce que tu es le roi d’Israël, oui ou non ? Lève-toi, mange, et retrouve ta bonne humeur : moi, je vais te donner la vigne de Naboth. »
Elle écrivit des lettres au nom d’Acab, elle les scella du sceau royal, et elle les adressa aux anciens et aux notables de la ville où habitait Naboth.
Elle avait écrit dans ces lettres : « Proclamez un jeûne, faites comparaître Naboth devant le peuple.
Placez en face de lui deux vauriens, qui témoigneront contre lui : “Tu as maudit Dieu et le roi !” Ensuite, faites-le sortir de la ville, lapidez-le, et qu’il meure ! »
Les anciens et les notables qui habitaient la ville de Naboth firent ce que Jézabel avait ordonné dans ses lettres.
Ils proclamèrent un jeûne et firent comparaître Naboth devant le peuple.
Alors arrivèrent les deux individus qui se placèrent en face de lui et portèrent contre lui ce témoignage : « Naboth a maudit Dieu et le roi. » On fit sortir Naboth de la ville, on le lapida, et il mourut.
Puis on envoya dire à Jézabel : « Naboth a été lapidé et il est mort. »
Lorsque Jézabel en fut informée, elle dit à Acab : « Va, prends possession de la vigne de ce Naboth qui a refusé de la céder pour de l’argent, car il n’y a plus de Naboth : il est mort. »
Quand Acab apprit que Naboth était mort, il se rendit à la vigne de Naboth et en prit possession.

 

Psaume 5,2-3.5-6ab.6c-7.
Écoute mes paroles, Seigneur,
comprends ma plainte ;
entends ma voix qui t'appelle,
ô mon Roi et mon Dieu !

Tu n'es pas un Dieu ami du mal,
chez toi, le méchant n'est pas reçu.
Non, l'insensé ne tient pas
devant ton regard.

Tu détestes tous les malfaisants,
tu extermines les menteurs ;
l'homme de ruse et de sang,
le Seigneur le hait.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,38-42.
En ce temps- là, Jésus disait à ses disciples : « Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Œil pour œil, et dent pour dent’.
Eh bien ! Moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu’un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l’autre.
Et si quelqu’un veut te poursuivre en justice et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau.
Et si quelqu’un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille avec lui.
À qui te demande, donne ; à qui veut t’emprunter, ne tourne pas le dos ! »

 

Commentaire du jour.
https://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=commentary&localdate=20180618
Saint Césaire d'Arles (470-543), Moine et Évêque.
Sermons au peuple, n° 23, 4-5, s’inspirant de Saint Augustin ; SC 243 (trad. SC p. 51 rev.)

« Moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant »

« Si quelqu'un observe toute la Loi mais s'il est en faute sur un seul point, le voilà en infraction par rapport à l'ensemble de la Loi » (Jc 2,10).
Quel est cet unique précepte, sinon le vrai Amour, la Charité parfaite ? C'est d'elle que l'apôtre Paul a dit aussi : « Une seule formule contient toute la Loi en sa plénitude : tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Ga 5,14)…

Car la vraie Charité est patiente dans l'adversité et modérée dans la prospérité. Elle est forte dans les souffrances pénibles, joyeuse dans les bonnes œuvres, parfaitement en sûreté dans la tentation.
Elle est très douce entre vrais frères, très patiente parmi les faux. Elle est innocente au milieu des embûches ; elle gémit au milieu des malfaisances ; elle respire dans la Vérité.
Elle est chaste en Suzanne mariée, en Anne veuve, en Marie vierge (Dn 13,1s; Lc 2,36). Elle est humble dans l'obéissance de Pierre et libre dans l'argumentation de Paul.

Elle est humaine dans le témoignage des Chrétiens, Divine dans le Pardon du Christ. Car la vraie Charité, frères très chers, est l'âme de toutes les Écritures, la force de la prophétie, la charpente de la connaissance, le fruit de la Foi, la richesse des pauvres, la vie des mourants.
Gardez-la donc fidèlement ; chérissez-la de tout votre cœur et de toute la force de votre esprit (cf Mc 12,30).

 

Commentaire du jour.
Concile Vatican II.
Message aux jeunes

« Moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant »

C'est au Nom du Dieu juste et bon et de Son Fils Jésus que nous vous exhortons, jeunes gens et jeunes filles du monde entier, à élargir vos cœurs aux dimensions du monde, à entendre l'appel de vos frères et à mettre hardiment à leur service vos jeunes énergies.
Luttez contre tout égoïsme. Refusez de laisser libre cours aux instincts de violence et de haine qui engendrent les guerres et leur cortège de misères.
Soyez généreux, purs, respectueux, sincères. Et construisez dans l'enthousiasme un monde meilleur que celui de vos aînés !

L'Église vous regarde avec confiance et avec amour. Riche d'un long passé toujours vivant en elle, et marchant vers la perfection humaine dans le temps et vers les destinées ultimes de l'histoire et de la vie, elle est la vraie jeunesse du monde.
Elle possède ce qui fait la force et le charme des jeunes : la faculté de se réjouir de ce qui commence, de se donner sans retour, de se renouveler et de repartir pour de nouvelles conquêtes.
Regardez-la et vous retrouverez en elle le visage du Christ, le vrai héros, humble et sage, le prophète de la Vérité et de l'Amour, le compagnon et l'ami des jeunes.
C'est bien au Nom du Christ que nous vous saluons, que nous vous exhortons et nous vous Bénissons.

 

Autre commentaire du jour.
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Eh bien ! Moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant

Reconnaissons que les antithèses du Sermon sur la Montagne nous confrontent cruellement à nos limites. La barre est haute, très haute ; sans doute trop haute pour nous.
Certes nous percevons tous les limites de la loi du Talion : « œil pour œil, dent pour dent » (Ex 21, 24).
L’apparente justice qui consiste à exiger une peine identique à celle qu’on a subie, débouche inévitablement sur des débordements incontrôlables.
Lorsque la roue de la violence est mise en branle, qui l’arrêtera ? Il suffit de relire la Genèse et le développement des grands conflits internationaux pour se rendre compte qu’on n’établit pas la paix en exigeant que l’autre souffre tout autant que ce qu’il a fait subir : du bourreau à la victime et retour, le mal est doublé.

Mais pourquoi chercher des exemples sur la scène internationale : n’est-ce pas ce que nous vérifions au quotidien dans nos relations professionnelles ou familiales ?
Si nous revendiquons que l’autre ait payé « jusqu’au dernier centime » avant d’enterrer la hache de guerre, la paix demeurera fragile, et à la moindre étincelle, la violence ressurgira.
Mais alors comment faire pour établir la paix ?
« Et bien moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant » - nous répond Jésus. Voilà la première étape : refuser de s’engager dans la spirale de la violence en ripostant à l’offense qui nous est faite.
Pas facile de justifier une telle attitude, car rien ne prouve que l’adversaire ne va pas profiter de ce qu’il risque d’interpréter comme de la faiblesse, pour récidiver !

Le mobile du renoncement auquel Jésus nous exhorte, réside dans le changement de regard que nous sommes invités à poser sur notre prochain - fût-il « méchant ».
A la lumière de l’Évangile nous découvrons que tout homme est un frère, car tous nous sommes enfants d’un même Père, qui « fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes » (Mt 5, 45).

Pour entrer dans la logique du discours sur la Montagne, il nous faut passer d’une évaluation de notre prochain fondée exclusivement sur son comportement passé ou présent, à une évaluation qui s’inscrit sur l’horizon du dessein d’Amour de Dieu sur lui.

En d’autres termes, il nous faut apprendre à entrer dans le regard d’espérance que Dieu porte sur chacun de nous : « Dans les Cieux, il nous a comblés de sa Bénédiction spirituelle en Jésus-Christ.
En Lui, il nous a choisis avant la Création du monde, pour que nous soyons, dans l’Amour, saints et irréprochables sous son regard.
Il nous a d’avance destinés à devenir pour Lui des fils par Jésus-Christ » (Ep 1, 4-5). Ce n’est que dans la mesure où nous nous laissons cette parole transformer nos cœurs, que nous sommes rendus capables de vivre les exigences des antithèses du Sermon sur la Montagne.

« "Pas de paix sans Justice, pas de justice sans Pardon" écrivait Jean-Paul II, résumant l’attitude que Jésus nous demande d’adopter. La véritable Justice n’est pas celle qui réclame la condamnation de l’offenseur, mais celle qui rend celui-ci juste en lui accordant notre Pardon.
C’est ainsi, Seigneur, que tu as agi à notre égard : donne-nous dans L’Esprit-Saint, la force de faire de même. »
Père Joseph-Marie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_100
Abbé Joaquim MESEGUER García (Sant Quirze del Vallès, Barcelona, Espagne).

«Je vous dis de ne pas riposter au méchant»

Aujourd'hui, Jésus nous enseigne que l'on dépasse la haine avec le Pardon. La loi du talion était à l'époque une mesure de progrès car elle limitait le droit à la vengeance à une proportion équilibrée: on ne pouvait faire au prochain que ce qu'il nous avait fait, sinon on était coupable d'injustice, voilà ce que signifie l'aphorisme de la loi du talion.
Il s'agit d'un progrès quoique limité, puisque Le Christ dans l'Évangile affirme le besoin de surmonter ce désir de vengeance avec l'Amour, ainsi l'a-t-il exprimé Lui-même sur la Croix lorsqu'Il a intercédé pour ses bourreaux: «Père, pardonne-leur: ils ne savent pas ce qu'ils font» (Lc 23,34).

Néanmoins, le Pardon doit être accompagné de la Vérité. Nous ne devons pas pardonner uniquement parce que nous sommes incompétents et complexés.
Souvent les gens confondent l'expression “tendre l'autre joue” avec l'abandon de nos droits légitimes.
Ce n'est pas cela. “Tendre l'autre joue” signifie dénoncer et interpeller celui qui a commis l'injustice avec un geste ou une action pacifique mais ferme, comme en disant: «Tu m'as frappé sur la joue, est-ce que tu veux aussi me frapper sur l'autre? Est-ce que ce que tu fais te semble correct?».
Jésus a répondu avec calme et sérénité au serviteur insolent du grand prêtre: «Si j'ai mal parlé, montre ce que j'ai dit de mal; mais si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu?» (Jn 18,23).

Nous voyons donc quelle doit être la conduite du Chrétien: ne jamais chercher la vengeance, mais rester ferme, être ouvert au Pardon et dire les choses clairement.
Certes ce n'est pas un talent très facile, mais c'est le seul moyen de mettre une halte à la violence et mettre en évidence la grâce divine face à un monde qui bien souvent manque de grâce.
Saint Basile nous conseil de prendre garde car: «La différence de conduite vous attire à vous et à votre adversaire des noms différents. Dans l'esprit de tout le monde, lui est un homme porté à injurier, vous, une âme grande; lui, un homme violent et emporté, vous, un homme doux et paisible.
Il se repentira de ses discours, vous, vous ne vous repentirez jamais de votre vertu».

 

HYMNE : DIEU, CE MONDE ÉTAIT ENCORE ABSENT

Dieu, ce monde était encore absent 
Que déjà, depuis toujours,
Toi, Parole en nos commencements, 
Tu portais le poids des choses.
Toi qui penses, toi qui crées, 
L'univers en toi repose. 

Dieu, quand l'homme eut habité le temps, 
Y jetant ses propres cris,
Toi, Parole en nos événements, 
Tu déroules notre histoire.
Toi qui juges, toi qui sauves, 
Jésus Christ nous dit ta gloire.

Dieu, nos fleuves vont charriant leurs eaux, 
Ignorant des lendemains,
Toi qui tiens déjà le dernier mot, 
Tu connais le Jour et l'Heure.
Toi qui aimes, qui accueilles, 
Tu prépares la Demeure.

 

HYMNE : SPLENDEUR JAILLIE DU SEIN DE DIEU

Splendeur jaillie du sein de Dieu,
Lumière née de la lumière,
Avant que naisse l’univers
Tu resplendis dans les ténèbres. 

Nous t’adorons, Fils bien-aimé,
Objet de toute complaisance ;
Le Père qui t’a envoyé
Sur toi fait reposer sa grâce. 

Tu viens au fond de notre nuit
Pour tous les hommes de ce monde ;
Tu es la source de la vie
Et la lumière véritable. 

À toi, la gloire, ô Père saint,
À toi, la gloire, ô Fils unique,
Avec l’Esprit consolateur,
Dès maintenant et pour les siècles.

 

HYMNE : Ô DIEU QUI FIS JAILLIR DE L'OMBRE

Ô Dieu qui fis jaillir de l'ombre
Le monde en son premier matin,
Tu fais briller dans notre nuit
La connaissance de ta gloire.

Tu es l’image de ton Père
Et la splendeur de sa beauté.
Sur ton visage, ô Jésus Christ,
Brille à jamais la joie du monde.

Tu es toi-même la lumière
Qui luit au fond d’un lieu obscur.
Tu es la lampe de nos pas
Sur une route de ténèbres.

Quand tout décline, tu demeures,
Quand tout s’efface, tu es là !
Le soir descend, tu resplendis
Au cœur de toute créature.

Et quand l’aurore qui s’annonce
Se lèvera sur l’univers,
Tu régneras dans la cité
Où disparaissent les ténèbres.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, Roi du Ciel et de la Terre, dirige et sanctifie, ordonne et gouverne aujourd'hui nos cœurs et nos corps, nos pensées, nos paroles et nos actions : fais-nous suivre ta Volonté et tes ordres afin qu'ici-bas et pour toujours nous vivions, par ta Grâce, libres et sauvés.
Toi qui règnes pour les siècles des siècles.

 

Parole de Dieu : (Jc 2, 12-13)... (Office des Laudes).
Parlez et agissez comme des gens qui vont être jugés par une loi de liberté. Car le Jugement est sans Miséricorde pour celui qui n’a pas fait miséricorde, mais la Miséricorde se moque du Jugement.

 

Parole de Dieu : (Jc 4, 11-12)... (Office des Vêpres).
Frères, cessez de dire du mal les uns des autres ; dire du mal de son frère ou juger son frère, c’est dire du mal de la Loi et juger la Loi.
Or, si tu juges la Loi, tu n’en es plus le fidèle sujet, tu en es le juge.
Un seul est à la fois législateur et Juge, celui qui a le pouvoir de sauver et de perdre. Pour qui te prends-tu donc, toi qui juges ton prochain ?

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