Eucharistie du Mercredi 06 Juin 2018 : Mercredi de la 9ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Eucharistie du Mercredi 06 Juin 2018 : Mercredi de la 9ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

L’Église fait mémoire (facultative) de la Fête de Saint Norbert de Xanten, Archevêque, Fondateur de l'Ordre des Prémontrés (1080-1134).

Fête de Saint Marcellin Champagnat, Prêtre, Fondateur des Petits Frères de Marie (1789-1840).
Fête de Saint Raphaël Guízar Valencia, Évêque de Veracruz au Mexique (1878-1938).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 1,1-3.6-12... Psaume 123(122),1-2ab.2cdef... Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 12,18-27.
Commentaire de Saint Justin (v. 100-160), philosophe, martyr.
Autre commentaire du Catéchisme de l'Église Catholique.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Federico Elías ALCAMÁN Riffo (Puchuncaví - Valparaíso, Chili).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

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Mercredi 06 Juin 2018 : Fête de Saint Norbert de Xanten, Archevêque, Fondateur de l'Ordre des Prémontrés (1080-1134).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Norbert de Xanten, Archevêque.

Saint marcellin champagnat

Mercredi 06 Juin 2018 : Fête de Saint Marcellin Champagnat, Prêtre, Fondateur des Petits Frères de Marie (1789-1840).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Marcellin Champagnat.

Saint rafael guizar valencia

Mercredi 06 Juin 2018 : Fête de Saint Raphaël Guízar Valencia, Évêque de Veracruz au Mexique (1878-1938).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Raphaël Guízar Valencia.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 1,1-3.6-12.
Paul, Apôtre du Christ Jésus par la volonté de Dieu, selon la promesse de la vie que nous avons dans le Christ Jésus,
à Timothée, mon enfant bien-aimé. À toi, la grâce, la miséricorde et la paix de la part de Dieu le Père et du Christ Jésus notre Seigneur.
Je suis plein de gratitude envers Dieu, à qui je rends un culte avec une conscience pure, à la suite de mes ancêtres, je lui rends grâce en me souvenant continuellement de toi dans mes prières, nuit et jour.
Voilà pourquoi, je te le rappelle, ravive le don gratuit de Dieu, ce don qui est en toi depuis que je t’ai imposé les mains.
Car ce n’est pas un esprit de peur que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de pondération.
N’aie donc pas honte de rendre témoignage à notre Seigneur, et n’aie pas honte de moi, qui suis son prisonnier ; mais, avec la force de Dieu, prends ta part des souffrances liées à l’annonce de l’Évangile.
Car Dieu nous a sauvés, il nous a appelés à une vocation sainte, non pas à cause de nos propres actes, mais à cause de son projet à lui et de sa grâce. Cette grâce nous avait été donnée dans le Christ Jésus avant tous les siècles,
et maintenant elle est devenue visible, car notre Sauveur, le Christ Jésus, s’est manifesté : il a détruit la mort, et il a fait resplendir la vie et l’immortalité par l’annonce de l’Évangile,
pour lequel j’ai reçu la charge de messager, d’apôtre et d’enseignant.
Et c’est pour cette raison que je souffre ainsi ; mais je n’en ai pas honte, car je sais en qui j’ai cru, et j’ai la conviction qu’il est assez puissant pour sauvegarder, jusqu’au jour de sa venue, le dépôt de la foi qu’il m’a confié.

 

Psaume 123(122),1-2ab.2cdef.
Vers toi j'ai les yeux levés,
vers toi qui es au ciel,
comme les yeux de l'esclave
vers la main de son maître.

Comme les yeux de la servante
vers la main de sa maîtresse,
nos yeux, levés vers le Seigneur notre Dieu,
attendent sa pitié.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 12,18-27.
En ce temps-là, des sadducéens – ceux qui affirment qu’il n’y a pas de résurrection – vinrent trouver Jésus. Ils l’interrogeaient :
« Maître, Moïse nous a prescrit : ‘Si un homme a un frère qui meurt en laissant une femme, mais aucun enfant, il doit épouser la veuve pour susciter une descendance à son frère.’
Il y avait sept frères ; le premier se maria, et mourut sans laisser de descendance.
Le deuxième épousa la veuve, et mourut sans laisser de descendance. Le troisième pareillement.
Et aucun des sept ne laissa de descendance. Et en dernier, après eux tous, la femme mourut aussi.
À la résurrection, quand ils ressusciteront, duquel d’entre eux sera-t-elle l’épouse, puisque les sept l’ont eue pour épouse ? »
Jésus leur dit : « N’êtes-vous pas en train de vous égarer, en méconnaissant les Écritures et la puissance de Dieu ?
Lorsqu’on ressuscite d’entre les morts, on ne prend ni femme ni mari, mais on est comme les anges dans les cieux.
Et sur le fait que les morts ressuscitent, n’avez-vous pas lu dans le livre de Moïse, au récit du buisson ardent, comment Dieu lui a dit : ‘Moi, je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob ?’
Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Vous vous égarez complètement. »

 

Commentaire du jour.
Saint Justin (v. 100-160), philosophe, martyr.
Traité sur la Résurrection, 2.4.7-9 (trad. OC, Migne, 1994, p. 345s)

« Je crois à la Résurrection de la chair » (Credo)

Ceux qui sont dans l'erreur disent qu'il n'y a pas de Résurrection de la chair, qu'il est impossible en effet que celle-ci, après avoir été détruite et réduite en poussière, retrouve son intégrité.
Toujours d'après eux, le Salut de la chair serait non seulement impossible, mais même nuisible : ils blâment la chair, dénoncent ses défauts, la rendent responsable des péchés ; ils disent donc que si cette chair doit ressusciter, ses défauts aussi ressusciteront...
En plus, le Sauveur a dit : « Lorsqu'on ressuscite d'entre les morts, on ne se marie pas, mais on est comme les anges dans les cieux ».
Or les anges, disent-ils, n'ont pas de chair, ils ne mangent ni ne s'unissent. Donc, disent-ils, il n'y aura pas de Résurrection de la chair... 

Qu'ils sont aveugles, les yeux du seul intellect ! Car ils n'ont pas vu sur terre « les aveugles voir, les boiteux marcher » (Mt 11,5) grâce à la Parole du Sauveur..., pour nous faire croire qu'à la Résurrection la chair ressuscitera complète.
Si sur cette terre il a guéri les infirmités de la chair et il a rendu au corps son intégrité, combien plus le fera-t-il au moment de la Résurrection, afin que la chair ressuscite sans défaut, intégralement...
Ces gens-là me paraissent ignorer l'action divine dans son ensemble, à l'origine de la Création, dans la fabrication de l'homme ; ils ignorent pourquoi les choses terrestres ont été faites.

Le Verbe a dit : « Faisons l'homme à notre image et ressemblance » (Gn 1,26)... Il est évident que l'homme, modelé à l'image de Dieu, était de chair.
Alors quelle absurdité de prétendre méprisable, sans aucun mérite, la chair modelée par Dieu selon sa propre image !
Que la chair soit précieuse aux yeux de Dieu, c'est évident parce que c'est son œuvre. Et parce que là se trouve le principe de son projet pour le reste de la Création, c'est ce qu'il y a de plus précieux aux yeux du Créateur.

 

Commentaire du jour.
Catéchisme de l'Église Catholique.
§ 988-994

« Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants »

« Je crois à la Résurrection de la chair » : le Credo chrétien –- profession de notre Foi en Dieu Le Père, Le Fils et Le Saint Esprit, et dans son action créatrice, salvatrice et sanctificatrice –- culmine en la proclamation de la Résurrection des morts à la fin des temps, et en la Vie éternelle.
Nous croyons fermement, et ainsi nous espérons, que de même que Le Christ est vraiment ressuscité des morts, et qu'il vit pour toujours, de même après leur mort les justes vivront pour toujours avec Le Christ ressuscité et qu'il les ressuscitera au dernier jour.
Comme la sienne, notre Résurrection sera l'œuvre de la Très Sainte Trinité... Le terme « chair » désigne l'homme dans sa condition de faiblesse et de mortalité. La « Résurrection de la chair » signifie qu'il n'y aura pas seulement, après la mort, la Vie de l'âme immortelle, mais que même nos « corps mortels » (Rm 8,11) reprendront Vie.

Croire en la Résurrection des morts a été dès ses débuts un élément essentiel de la Foi Chrétienne.
« Une conviction des Chrétiens : la Résurrection des morts ; cette croyance nous fait vivre » (Tertullien)...
La Résurrection des morts a été révélée progressivement par Dieu à son peuple. L'espérance en la Résurrection corporelle des morts s'est imposée comme une conséquence intrinsèque de la Foi en un Dieu Créateur de l'homme tout entier, âme et corps.
Le Créateur du Ciel et de la Terre est aussi Celui qui maintient fidèlement son alliance avec Abraham et sa descendance.
C'est dans cette double perspective que commencera à s'exprimer la Foi en la Résurrection...

Les pharisiens et bien des contemporains du Seigneur espéraient la Résurrection. Jésus l'enseigne fermement.
Aux sadducéens qui la nient il répond : « Vous ne connaissez ni les Écritures ni la puissance de Dieu, vous êtes dans l'erreur ».
La Foi en la Résurrection repose sur la Foi en Dieu qui « n'est pas un Dieu des morts, mais des vivants ».
Mais il y a plus : Jésus lie la Foi en la Résurrection à sa propre personne : « Je suis la Résurrection et la Vie » (Jn 11,25).
C'est Jésus Lui-même qui ressuscitera au dernier jour ceux qui auront cru en Lui et qui auront mangé son Corps et bu son Sang (Jn 6,40.54).

 

Autre commentaire du jour.
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants.

Pour les saducéens, soutenir la Foi en la Résurrection ne peut être pris au sérieux. Ils entreprennent ainsi de montrer à Jésus que la vision matérialiste d’une Vie après la vie est absurde. L’histoire de la veuve qu’ils inventent le montre.
Mais, pour faire leur réfutation, il aurait suffit de donner à cette femme deux maris seulement, qu’elle en ait eu sept n’ajoute rien au raisonnement.
L’exagération montre l’ironie et le mépris des saducéens envers les pharisiens.

Jésus ne soutient pas cependant cette conception matérialiste. Il le leur concède sans détour : il est impossible de réduire la Vie après la mort à une continuation de la vie terrestre.
Dans l’au-delà, on ne se marie pas, on n’est pas mariés comme on l’est sur la Terre, on est alors comme des anges dans les Cieux.
Le mariage ne se termine pas complètement avec la mort, il est transfiguré, spiritualisé. Finalement, les saducéens ont commis la même erreur que les pharisiens en se servant eux aussi d’anthropomorphisme et de rationalisme.

En somme, Jésus s’éloigne d’un code de Loi détaché de la vie, répondant à tout de façon intemporelle et presque inhumaine.
Il nous invite au contraire à entendre un Dieu qui invite à la rencontre, un Dieu qui parle aux hommes dans leur histoire personnelle et particulière.
Le Seigneur s’adresse à chaque homme et le nomme. Il est Le Dieu de la Vie, Le Dieu des vivants, Le Dieu qui fait vivre.
La Résurrection n’est pas un concept, une idée qui décrit et explique l’au-delà, mais un don fait à tous ceux qui veulent vivre de la Vie de Dieu. Maintenant.
Car la vie ou la mort se joue dans la rencontre avec Le Dieu de la Vie, maintenant. Nous sommes ainsi invités à faire l’expérience inouïe qu’au cœur de toutes les morts où nous nous sommes laissés enfermer, l’appel à la Vie de Dieu nous rejoint et nous sauve.
Frère Dominique.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_84
Abbé Federico Elías ALCAMÁN Riffo (Puchuncaví - Valparaíso, Chili).

«Il n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants»

Aujourd'hui, la Sainte Eglise, par le biais de la Parole du Christ, nous met face à la réalité de la Résurrection ainsi qu'aux propriétés des corps ressuscités.
En effet, l'Évangile nous raconte la rencontre de Jésus avec les saducéens, qui ne croyaient pas à la Résurrection et qui en évoquant l'hypothèse d'un fait très recherché, lui exposent un problème concernant la Résurrection des morts.

Ils font allusion à une femme veuve sept fois de suite, et lui demandent «de qui sera-t-elle l'épouse, puisque les sept l'ont eue pour femme?» (Mc 12,23).
Ils cherchent ainsi à mettre Jésus et sa doctrine dans l'embarras. Mais Le Seigneur rejette cette notion en leur disant que «Lorsqu'on ressuscite d'entre les morts, on ne se marie pas, mais on est comme les anges dans les Cieux» (Mc 12,25).

Et saisissant l'occasion Jésus confirme l'existence de la Résurrection en leur citant les paroles de Dieu à Moïse dans le récit du buisson ardent: «Moi, je suis Le Dieu d'Abraham, Le Dieu d'Isaac, Le Dieu de Jacob», et ajoute «Il n'est pas Le Dieu des morts, mais des vivants» (Mc 12,26-27).
Là Jésus leur reproche leur erreur, car ils ne comprennent ni les Écritures ni la Puissance Divine, en effet, cette Vérité avait été révélée dans l'Ancien Testament: les anciens Isaïe, la mère des Macabées, Job et les autres anciens l'avaient déjà enseignée.

Saint Augustin décrivait ainsi la Vie d'éternelle et amoureuse communion: «Là-bas tu ne seras ni limité ni réduit car tu posséderas tout, tu auras tout et ton prochain aura tout également, car toi et lui ne serez qu'un, et ce tout unique aura aussi Celui à qui vous appartenez tous les deux».

Nous, loin de douter de la Parole des Écritures et de la puissance miséricordieuse de Dieu, nous adhérons à cette Vérité d'Espérance avec tous nos esprits et nos cœurs, nous sommes heureux de ne pas rester frustrés par notre soif de Vie entière et éternelle, ce dont nous sommes assurés en Dieu Lui-même, dans sa Gloire et dans sa Joie.
Face à cette invitation divine il ne nous reste qu'à faire accroître notre désir de voir Dieu, et espérer vivement d'être avec Lui pour régner avec Lui éternellement.

 

HYMNE : O TOI, L'AU-DELÀ DE TOUT

Ô toi, l'au-delà de tout,
   n'est-ce pas là tout ce qu'on peut chanter de toi ?
Quelle hymne te dira, quel langage ?
   Aucun mot ne t'exprime.
À quoi l'esprit s'attachera-t-il ?
   Tu dépasses toute intelligence.
Seul, tu es indicible,
   car tout ce qui se dit est sorti de toi.
Seul, tu es inconnaissable,
   car tout ce qui se pense est sorti de toi.
Tous les êtres,
   ceux qui parlent et ceux qui sont muets,
   te proclament.
Tous les êtres,
   ceux qui pensent et ceux qui n'ont point la pensée,
   te rendent hommage.
Le désir universel,
   l'universel gémissement tend vers toi.
Tout ce qui est te prie,
   et vers toi tout être qui pense ton univers
   fait monter une hymne de silence.
Tout ce qui demeure, demeure par toi ;
   par toi subsiste l'universel mouvement.
De tous les êtres tu es la fin ;
   tu es tout être, et tu n'en es aucun.
Tu n'es pas un seul être,
   tu n'es pas leur ensemble.
Tu as tous les noms, et comment te nommerai-je,
   toi le seul qu'on ne peut nommer?
Quel esprit céleste pourra pénétrer les nuées
   qui couvrent le ciel même?
Prends pitié,
Ô toi, l'au-delà de tout,
   n'est-ce pas tout ce qu'on peut chanter de toi?

 

HYMNE : Ô FILS UNIQUE, JÉSUS CHRIST

Ô Fils unique, Jésus Christ, 
Nous contemplons en ton visage 
La gloire dont tu resplendis 
Auprès de Dieu avant les siècles. 

Les tiens ne t’ont pas reconnu, 
Et les ténèbres te repoussent ; 
Mais donne à ceux qui t’ont reçu 
De partager ta plénitude. 

Toi qui habites parmi nous, 
Ô Verbe plein de toute grâce, 
Enseigne-nous la vérité, 
Transforme-nous en ton image. 

À toi, la gloire, ô Père saint, 
À toi, la gloire, ô Fils unique, 
Avec l’Esprit consolateur, 
Dès maintenant et pour les siècles.

 

HYMNE : À LA MESURE SANS MESURE

À la mesure sans mesure
De ton immensité,
Tu nous manques, Seigneur.
Dans le tréfonds de notre cœur
Ta place reste marquée
Comme un grand vide, une blessure.

À l’infini de ta présence
Le monde est allusion,
Car tes mains l’ont formé.
Mais il gémit, en exilé,
Et crie sa désolation
De n’éprouver que ton silence.

Dans le tourment de ton absence,
C’est toi déjà, Seigneur,
Qui nous as rencontrés.
Tu n’es jamais un étranger,
Mais l’hôte plus intérieur
Qui se révèle en transparence.

Cachés au creux de ton mystère,
Nous te reconnaissons
Sans jamais te saisir.
Le pauvre seul peut t’accueillir,
D’un cœur brûlé d’attention,
Les yeux tournés vers ta lumière.

 

Oraison du matin (Office des Laudes)Propre à Saint Norbert.
Pour le service de ton Église, Seigneur, tu as voulu que l’Évêque Saint Norbert soit un homme de prières et un vrai pasteur ; par son intercession, daigne assurer à ton peuple les hommes qui le guideront selon ta volonté et le conduiront jusqu’au Salut.

 

Parole de Dieu : (Tb 4,15a.16a.18a.19a.c)... (Office des Laudes).
Ce que tu n’aimes pas, ne le fais à personne. Donne de ton pain à celui qui a faim et des vêtements à ceux qui sont nus. Prends conseil de toute personne avisée.
En toute occasion, Bénis Le Seigneur Ton Dieu et demande-lui de rendre droits tes chemins. Garde en mémoire ces instructions et qu’elles ne s’effacent pas de ton cœur.

 

Parole de Dieu : (Jc 1, 22.25)... (Office des Vêpres).
Mettez la Parole en application, ne vous contentez pas de l’écouter : ce serait vous faire illusion.
Au contraire, l’homme qui se penche sur la loi parfaite, celle de la Liberté, et qui s’y tient, celui qui ne l’écoute pas pour l’oublier mais l’applique dans ses actes, heureux sera-t-il d’agir ainsi.

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