Eucharistie du Lundi 22 Mars 2021 : Lundi de la 5ème semaine de Carême.

Eucharistie du Lundi 22 Mars 2021 : Lundi de la 5ème semaine de Carême.

Fête du Bienheureux Clemens August Graf von Galen, Cardinal, surnommé « Le Lion de Münster » (1878-1946).
Fête de Sainte Léa, Dame romaine, disciple de Saint Jérôme († v. 384).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre de Daniel 13,1-9.15-17.19-30.33-62… Psaume 23(22),1-2ab.2c-3.4.5.6… Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 8,12-20.
Commentaire de Saint Clément d'Alexandrie (150-v. 215), théologien.
Autre commentaire de l’Abbé Jordi PASCUAL i Bancells (Salt, Girona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Bx clemens august graf von galen 11

Lundi 22 Mars 2021 : Fête du Bienheureux Clemens August Graf von Galen, Cardinal, surnommé « Le Lion de Münster » (1878-1946).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Clemens August Graf von Galen, Cardinal.

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Lundi 22 Mars 2021 : Fête de Sainte Léa, Dame romaine, disciple de Saint Jérôme († v. 384).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Léa, Dame romaine, disciple de Saint Jérôme.

Tous les saints 11

Les Saints du 22 Mars.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/mars/saints-saintes-et-fetes-du-jour-22.html

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de Daniel 13,1-9.15-17.19-30.33-62.
Il y avait un habitant de Babylone qui se nommait Joakim.
Il avait épousé une femme nommée Suzanne, fille d’Helkias. Elle était très belle et craignait le Seigneur.
Ses parents étaient des justes, et ils avaient élevé leur fille selon la loi de Moïse.
Joakim était très riche, et il possédait un jardin auprès de sa maison ; les Juifs affluaient chez lui, car il était le plus illustre d’entre eux.
Deux anciens avaient été désignés dans le peuple pour être juges cette année-là ; ils étaient de ceux dont le Seigneur a dit : « Le crime est venu de Babylone par des anciens, par des juges qui prétendaient guider le peuple. »
Ils fréquentaient la maison de Joakim, et tous ceux qui avaient des procès venaient les trouver.
Lorsque le peuple s’était retiré, vers midi, Suzanne entrait dans le jardin de son mari, et s’y promenait.
Les deux anciens la voyaient chaque jour entrer et se promener, et ils se mirent à la désirer :
ils pervertirent leur pensée, ils détournèrent leurs yeux pour ne plus regarder vers le ciel et ne plus se rappeler ses justes décrets.
Ils guettaient le jour favorable, lorsque Suzanne entra, comme la veille et l’avant-veille, accompagnée seulement de deux jeunes filles ; il faisait très chaud, et elle eut envie de prendre un bain dans le jardin.
Il n’y avait personne, en dehors des deux anciens qui s’étaient cachés et qui l’épiaient.
Suzanne dit aux jeunes filles : « Apportez-moi de quoi me parfumer et me laver, puis fermez les portes du jardin, pour que je puisse prendre mon bain. »
Dès que les jeunes filles furent sorties, les deux anciens surgirent, coururent vers Suzanne
et lui dirent : « Les portes du jardin sont fermées, on ne nous voit pas ; nous te désirons, sois consentante et viens avec nous.
Autrement nous porterons contre toi ce témoignage : il y avait un jeune homme avec toi, et c’est pour cela que tu as renvoyé les jeunes filles. »
Suzanne dit en gémissant : « De tous côtés, je suis prise au piège : si je vous cède, c’est la mort pour moi ; et si je refuse de céder, je n’échapperai pas à vos mains.
Mieux vaut pour moi tomber entre vos mains sans vous céder, plutôt que de pécher aux yeux du Seigneur. »
Alors Suzanne poussa un grand cri, et les deux anciens se mirent à crier contre elle.
L’un d’eux courut ouvrir les portes du jardin.
Les gens de la maison, entendant crier dans le jardin, se précipitèrent par la porte de service pour voir ce qui arrivait à Suzanne.
Quand les anciens eurent raconté leur histoire, les serviteurs furent remplis de honte, car jamais on n’avait dit pareille chose de Suzanne.
Le lendemain, le peuple se rassembla chez Joakim son mari. Les deux anciens arrivèrent, remplis de pensées criminelles contre Suzanne, et décidés à la faire mourir. Ils dirent devant le peuple :
« Envoyez chercher Suzanne, fille d’Helkias, épouse de Joakim. » On l’envoya chercher.
Elle se présenta avec ses parents, ses enfants et tous ses proches.
Tous les siens pleuraient, ainsi que tous ceux qui la voyaient.
Les deux anciens se levèrent au milieu du peuple, et posèrent les mains sur sa tête.
Tout en pleurs, elle leva les yeux vers le ciel, car son cœur était plein de confiance dans le Seigneur.
Les anciens déclarèrent : « Comme nous nous promenions seuls dans le jardin, cette femme y est entrée avec deux servantes. Elle a fermé les portes et renvoyé les servantes.
Alors un jeune homme qui était caché est venu vers elle, et a couché avec elle.
Nous étions dans un coin du jardin, nous avons vu le crime, et nous avons couru vers eux.
Nous les avons vus s’unir, mais nous n’avons pas pu nous emparer du jeune homme, car il était plus fort que nous : il a ouvert la porte et il s’est échappé.
Mais elle, nous l’avons saisie, et nous lui avons demandé qui était ce jeune homme ;
elle n’a pas voulu nous le dire. De tout cela, nous sommes témoins. » L’assemblée les crut, car c’étaient des anciens du peuple et des juges, et Suzanne fut condamnée à mort.

Alors elle cria d’une voix forte : « Dieu éternel, toi qui pénètres les secrets, toi qui connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent,
tu sais qu’ils ont porté contre moi un faux témoignage. Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait de tout ce que leur méchanceté a imaginé contre moi. »
Le Seigneur entendit sa voix.
Comme on la conduisait à la mort, Dieu éveilla l’esprit de sainteté chez un tout jeune garçon nommé Daniel,
qui se mit à crier d’une voix forte : « Je suis innocent de la mort de cette femme ! »

Tout le peuple se tourna vers lui et on lui demanda : « Que signifie cette parole que tu as prononcée ? »
Alors, debout au milieu du peuple, il leur dit : « Fils d’Israël, vous êtes donc fous ? Sans interrogatoire, sans recherche de la vérité, vous avez condamné une fille d’Israël.
Revenez au tribunal, car ces gens-là ont porté contre elle un faux témoignage. »
Tout le peuple revint donc en hâte, et le collège des anciens dit à Daniel : « Viens siéger au milieu de nous et donne-nous des explications, car Dieu a déjà fait de toi un ancien. »
Et Daniel leur dit : « Séparez-les bien l’un de l’autre, je vais les interroger. »
Quand on les eut séparés, Daniel appela le premier et lui dit : « Toi qui as vieilli dans le mal, tu portes maintenant le poids des péchés que tu as commis autrefois
en jugeant injustement : tu condamnais les innocents et tu acquittais les coupables, alors que le Seigneur a dit : “Tu ne feras pas mourir l’innocent et le juste.”
Eh bien ! si réellement tu as vu cette femme, dis-nous sous quel arbre tu les as vus se donner l’un à l’autre ? » Il répondit : « Sous un sycomore. »
Daniel dit : « Voilà justement un mensonge qui te condamne : l’Ange de Dieu a reçu un ordre de Dieu, et il va te mettre à mort. »
Daniel le renvoya, fit amener l’autre et lui dit : « Tu es de la race de Canaan et non de Juda ! La beauté t’a dévoyé et le désir a perverti ton cœur.
C’est ainsi que vous traitiez les filles d’Israël, et, par crainte, elles se donnaient à vous. Mais une fille de Juda n’a pu consentir à votre crime.
Dis-moi donc sous quel arbre tu les as vus se donner l’un à l’autre ? » Il répondit : « Sous un châtaignier. »
Daniel lui dit : « Toi aussi, voilà justement un mensonge qui te condamne : l’Ange de Dieu attend, l’épée à la main, pour te châtier, et vous faire exterminer. »
Alors toute l’assemblée poussa une grande clameur et bénit Dieu qui sauve ceux qui espèrent en lui.
Puis elle se retourna contre les deux anciens que Daniel avait convaincus de faux témoignage par leur propre bouche. Conformément à la loi de Moïse, on leur fit subir la peine que leur méchanceté avait imaginée contre leur prochain :
on les mit à mort. Et ce jour-là, une vie innocente fut épargnée.

 

Psaume 23(22),1-2ab.2c-3.4.5.6.
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d'herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l'honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m'accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j'habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 8,12-20.
En ce temps-là, Jésus disait aux pharisiens : « Moi, je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie. »
Les pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même, ce n’est donc pas un vrai témoignage. »
Jésus leur répondit : « Oui, moi, je me rends témoignage à moi-même, et pourtant mon témoignage est vrai, car je sais d’où je suis venu, et où je vais ; mais vous, vous ne savez ni d’où je viens, ni où je vais.
Vous, vous jugez de façon purement humaine. Moi, je ne juge personne.
Et, s’il m’arrive de juger, mon jugement est vrai parce que je ne suis pas seul : j’ai avec moi le Père, qui m’a envoyé.
Or, il est écrit dans votre Loi que, s’il y a deux témoins, c’est un vrai témoignage.
Moi, je suis à moi-même mon propre témoin, et le Père, qui m’a envoyé, témoigne aussi pour moi. »
Les pharisiens lui disaient : « Où est-il, ton père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Il prononça ces paroles alors qu’il enseignait dans le Temple, à la salle du Trésor. Et personne ne l’arrêta, parce que son heure n’était pas encore venue.

 

Commentaire du jour.
Saint Clément d'Alexandrie (150-v. 215), théologien.
Stromates (trad. Ephata III, p. 1386 alt.)

« Je suis la Lumière du monde »

Quand Toi, Seigneur Jésus, tu me conduis à la Lumière, et que je trouve Dieu grâce à Toi, et que de Toi je reçois Le Père, je deviens ton cohéritier (Rm 8,17), puisque tu n'as pas rougi de m'avoir comme frère (He 2,11).
Enlevons donc l'oubli de la vérité, enlevons l'ignorance ; et ayant dissipé les ténèbres qui nous enveloppent comme un nuage sur les yeux, Contemplons le Dieu véritable, en proclamant : « Salut, Lumière véritable ! »

Car la Lumière s'est levée sur nous qui avons été plongés dans les ténèbres et enfermés dans l'ombre de la mort (Lc 1,79), Lumière plus pure que le soleil, et plus belle que cette vie d'ici bas.
Cette Lumière est la Vie éternelle, et ils vivent, tous ceux qui y participent. La nuit fuit la lumière et, se cachant par peur, cède au jour du Seigneur.
La Lumière qui ne peut être éteinte s'est répandue partout, et l'Occident a rejoint l'Orient. Voilà ce que signifie la « Création nouvelle ».
En effet, le soleil de Justice (Ml 3,20) qui illumine toutes choses resplendit sur tout le genre humain, à l'exemple de son Père qui fait lever son soleil sur tous les hommes (Mt 5,45) et les arrose de la rosée de la Vérité.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/II_45
Abbé Jordi PASCUAL i Bancells (Salt, Girona, Espagne).

«Moi, je suis la Lumière du monde»

Aujourd'hui, Jésus nous donne une définition de Lui-même qui remplit de sens la Vie de ceux qui, comme nous, veulent Le suivre en dépit de leurs imperfections: «Je suis la Lumière du monde» (Jn 8,12).
La personne de Jésus, ses enseignements, sa vie sont une Lumière qui éclaire toute notre existence, dans les bons moments comme dans les souffrances et les contradictions.

Qu’est-ce que cela signifie? Que quelles que soient les circonstances où nous nous trouvions: travail, relations avec les autres, relations avec Dieu, joies et peines… nous pouvons nous demander: —que fit Jésus dans ce genre de situation?; nous pouvons toujours chercher dans l’Évangile et répondre: —Je ferai pareil!
Jean-Paul II a justement intégré dans le Saint Rosaire —cet “Évangile en résumé”, comme il le rappelle lui-même— les mystères de la vie publique de Jésus, qu’il a appelés “mystères de la Lumière”.
Ainsi, dit le Pape, «c’est Lui qui, déclaré Fils bien-aimé du Père lors du Baptême dans le Jourdain, annonce la venue du Royaume, dont Il témoigne par ses œuvres et dont Il proclame les exigences».

Jésus est la Lumière; qui Le suit «ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la Lumière de la Vie» (Jn 8,12).
En tant que disciples, Le Seigneur nous invite aussi à être une lumière pour le monde; à porter la Lumière de l’Espérance au milieu des violences, de la méfiance et de la peur de nos frères; à porter la Lumière de la Foi au milieu de l’obscurité, des doutes et des interrogations; à porter la Lumière de l’Amour au milieu de tant de mensonges, de rancœurs et de passions.

Comme toile de fond de tous les mystères de la Lumière, le Pape souligne les paroles de Marie aux noces de Cana: «Faites ce qu’il vous dira» (Jn 2,5).
C’est là le chemin pour que Jésus soit Lumière du monde et que nous éclairions de cette même clarté.

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2021-03-22/Je-suis-la-lumiere-du-monde

 

HYMNE : QUE PASSE LA CHARRUE

Que passe la charrue
Sur nos landes rebelles,
Sur nos terres en friche !
La Parole ira s’y planter,
Promesse pour le pauvre,
Et pauvreté offerte au riche.

Au feu tout le bois mort,
Que la flamme s’étende
Aux chardons, aux épines !
Et leurs cendres pourront servir
À féconder la terre
Où la Parole prend racine.

Que tombe sur nos sols
De poussière et de roche
Une pluie généreuse !
On verra les feuilles pointer
Et les bourgeons éclore
De la Parole qui nous creuse.

Advienne le soleil
Et vers lui que s’élance
La poussée de la sève !
La Parole nourrit son fruit
D’amour et de justice
Dans la louange qui l’achève.

 

HYMNE : EN QUELS PAYS DE SOLITUDE

En quels pays de solitude,
Quarante jours, quarante nuits,
Irez-vous, poussés par l’Esprit ?
Qu’il vous éprouve et vous dénude !
Voyez : les temps sont accomplis,
Et Dieu vous convoque à l’oubli
De ce qui fut vos servitudes.

Sur quels sommets d’incandescence
Entendrez-vous le Bien-Aimé
Vous parlant depuis la nuée ?
Qu’il vous prépare à ses souffrances !
Suivez Jésus transfiguré :
Demain, il sera crucifié
En signature d’Alliance.

Ne forez plus vos puits d’eau morte :
Vous savez bien le don de Dieu
Et quelle est sa grâce, et son jeu :
Il vous immerge, il vous rénove !
La vie s’élève peu à peu,
Les champs sont dorés sous vos yeux :
Embauchez-vous où Dieu moissonne !

Pourquoi rester sur vos ornières.
Baissant vos fronts d’aveugles-nés ?
Vous avez été baptisés !
L’amour de Dieu fait tout renaître.
Croyez Jésus : c’est l’Envoyé !
Vos corps à son corps sont branchés :
Prenez à lui d’être lumière.

Déjà vos tombes se descellent
Sous la poussée du Dieu vivant.
Regardez : Jésus y descend !
Appelez-le : Il vous appelle.
Venez dehors ! C’est maintenant
Le jour où la chair et le sang
Sont travaillés de vie nouvelle !

 

HYMNE : DITES-NOUS D’OÙ SOUFFLE LE VENT

Dites-nous d’où souffle le vent
et quel signe s’annonce
car nous cherchons le Dieu vivant
pour lui faire réponse.

Nous savons qu’il descend ici
et qu’il tient table ouverte
au plus intime de la nuit :
que l’ombre ne vous déconcerte !

N’est-il pas le soleil levant
qui la disperse et qui délivre ?
Dieu, notre Dieu, s’est fait mendiant
et demande à nous vivre.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui nous comble de Bénédictions par la richesse infinie de ta Grâce, fais-nous quitter ce qui ne peut que vieillir, fais-nous entrer dans ce qui est nouveau, et nous serons préparés à la Gloire du Royaume.

 

Parole de Dieu : (Jr 11, 19-20)… (Office des Laudes).
Moi, j’étais comme un agneau docile qu’on emmène à l’abattoir, et je ne savais pas ce qu’ils préparaient contre moi.
Ils disaient : « Coupons l’arbre à la racine, retranchons-le de la terre des vivants, afin qu’on oublie jusqu’à son nom. »
Seigneur de l’univers, toi qui juges avec Justice, qui scrutes les reins et les cœurs, fais-moi voir la vengeance que tu leur infligeras, car c’est à Toi que je confie ma cause.

 

Parole de Dieu : (Rm 5, 8-9)… (Office des Vêpres).
La preuve que Dieu nous aime, c’est que Le Christ est mort pour nous, alors que nous étions encore pécheurs.
À plus forte raison, maintenant que le Sang du Christ nous a fait devenir des justes, nous serons sauvés par Lui de la colère de Dieu.

Date de dernière mise à jour : 22/03/2021

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