Eucharistie du Lundi 20 Novembre 2017 : Lundi de la 33ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).

Eucharistie du Lundi 20 Novembre 2017 : Lundi de la 33ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).

Fête de Saint Edmond le Martyr, roi d'Est-Anglie (841-870).
Fête de la Bienheureuse Marie-Fortunata Viti, Moniale Bénédictine à Veroli dans le Latium (1827-1922).
Fête des Bienheureuses Marie des Miracles (Ortells Gimeno), Angèle de Saint-Joseph (Françoise Loret Marti) et leurs compagnes, Clarisses et martyres († 1936).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Premier livre des Maccabées 1,10-15.41-43.54-57.62-64… Psaume 119(118), 53. 61. 134. 150. 155. 158… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,35-43.
Commentaire d’Odes de Salomon (texte Chrétien hébraïque du début du 2e siècle).
Autre commentaire de Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), Prêtre à Antioche puis Évêque de Constantinople, Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

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Lundi 20 Novembre 2017 : Fête de Saint Edmond le Martyr, roi d'Est-Anglie (841-870).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Edmond le Martyr, roi d'Est-Anglie.

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Lundi 20 Novembre 2017 : Fête de la Bienheureuse Marie-Fortunata Viti, Moniale Bénédictine à Veroli dans le Latium (1827-1922).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuse Marie-Fortunata Viti.

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Lundi 20 Novembre 2017 : Fête des Bienheureuses Marie des Miracles (Ortells Gimeno), Angèle de Saint-Joseph (Françoise Loret Marti) et leurs compagnes, Clarisses et martyres († 1936).
Pour voir leurs vies et en découvrir davantage sur elles, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureuses Marie des Miracles (Ortells Gimeno), Angèle de Saint-Joseph (Françoise Loret Marti) et leurs compagnes.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Premier livre des Maccabées 1,10-15.41-43.54-57.62-64.
De leur descendance surgit un homme de péché, Antiocos Épiphane, fils du roi Antiocos le Grand. Il avait séjourné à Rome comme otage, et il devint roi en l’année 137 de l’empire grec.
À cette époque, surgirent en Israël des hommes infidèles à la Loi, et ils séduisirent beaucoup de gens, car ils disaient : « Allons, faisons alliance avec les nations qui nous entourent. En effet, depuis que nous avons rompu avec elles, il nous est arrivé beaucoup de malheurs. »
Ce langage parut judicieux,
et quelques-uns, dans le peuple, s’empressèrent d’aller trouver le roi. Celui-ci leur permit d’adopter les usages des nations.
Ils construisirent un gymnase à Jérusalem, selon la coutume des nations ;
ils effacèrent les traces de leur circoncision, renièrent l’Alliance sainte, s’associèrent aux gens des nations, et se vendirent pour faire le mal.
Le roi Antiocos prescrivit à tous les habitants de son royaume de ne faire désormais qu’un seul peuple,
et d’abandonner leurs coutumes particulières. Toutes les nations païennes se conformèrent à cet ordre.
En Israël, beaucoup suivirent volontiers la religion du roi, offrirent des sacrifices aux idoles, et profanèrent le sabbat.
Le quinzième jour du neuvième mois, en l’année 145, Antiocos éleva sur l’autel des sacrifices l’Abomination de la désolation, et, dans les villes de Juda autour de Jérusalem, ses partisans élevèrent des autels païens.
Ils brûlèrent de l’encens aux portes des maisons et sur les places.
Tous les livres de la Loi qu’ils découvraient, ils les jetaient au feu après les avoir lacérés.
Si l’on découvrait chez quelqu’un un livre de l’Alliance, si quelqu’un se conformait à la Loi, le décret du roi le faisait mettre à mort.
Cependant, beaucoup en Israël résistèrent et eurent le courage de ne manger aucun aliment impur.
Ils acceptèrent de mourir pour ne pas être souillés par ce qu’ils mangeaient, et pour ne pas profaner l’Alliance sainte ; et de fait, ils moururent.
C’est ainsi que s’abattit sur Israël une grande colère.

 

Psaume 119(118),53.61.134.150.155.158.
Face aux impies, la fureur me prend, car ils abandonnent ta loi.
Les pièges de l'impie m'environnent, je n'oublie pas ta loi.
Rachète-moi de l'oppression des hommes, que j'observe tes préceptes.
Ceux qui poursuivent le mal s'approchent, ils s'éloignent de ta loi.
Le salut s'éloigne des impies qui ne cherchent pas tes commandements.
J'ai vu les renégats : ils me répugnent, car ils ignorent ta promesse.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,35-43.
Alors que Jésus approchait de Jéricho, un aveugle mendiait, assis au bord de la route.
Entendant la foule passer devant lui, il s’informa de ce qu’il y avait.
On lui apprit que c’était Jésus le Nazaréen qui passait.
Il s’écria : « Jésus, fils de David, prends pitié de moi ! »
Ceux qui marchaient en tête le rabrouaient pour le faire taire. Mais lui criait de plus belle : « Fils de David, prends pitié de moi ! »
Jésus s’arrêta et il ordonna qu’on le lui amène. Quand il se fut approché, Jésus lui demanda :
« Que veux-tu que je fasse pour toi ? » Il répondit : « Seigneur, que je retrouve la vue. »
Et Jésus lui dit : « Retrouve la vue ! Ta foi t’a sauvé. »
À l’instant même, il retrouva la vue, et il suivait Jésus en rendant gloire à Dieu. Et tout le peuple, voyant cela, adressa une louange à Dieu.

 

Commentaire du jour.
Odes de Salomon (texte Chrétien hébraïque du début du 2e siècle).
§ 21 (trad. Hamman, DDB 1981, p.43)

« Il suivait Jésus en rendant Gloire à Dieu »

J'ai levé les bras au ciel, 
vers la grâce du Seigneur. 
Il a jeté mes chaînes loin de moi ; 
mon protecteur m'a élevé 
selon sa grâce et son salut. 

J'ai dépouillé l'obscurité 
et revêtu la lumière. 
J'ai trouvé des membres qui ne connaissaient 
ni peine ni angoisse ni douleur. 

La pensée du Seigneur m'a beaucoup secouru, 
ainsi que sa communion incorruptible. 
Sa lumière m'a exalté, 
j'ai marché en sa présence, 
et m'approcherai de lui, 
le louant et le glorifiant. 
Mon cœur a débordé, 
il a envahi ma bouche, 
il a jailli sur mes lèvres. 
L'exultation du Seigneur et sa louange 
épanouissent mon visage. 

Alléluia !

 

Commentaire du jour.
Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), Prêtre à Antioche puis Évêque de Constantinople, Docteur de l'Église.
Homélies sur l'Évangile de Matthieu, n°66,1 (trad. Véricel, Les Pères commentent,  p. 277)

« Jésus, fils de David, aie pitié de moi ! »

Regardons ces aveugles de Jéricho dans l'Évangile de Matthieu : ils valent mieux que beaucoup de ceux qui y voient clair. Ils n'avaient personne pour les guider, ils ne pouvaient voir Jésus s'approcher ; et pourtant ils s'efforçaient d'arriver jusqu'à lui.
Ils se mirent à crier à haute voix ; on cherchait à les faire taire : ils criaient plus fort. Ainsi en est-il de l'âme énergique ; ceux qui veulent l'arrêter redoublent son élan.

Le Christ permet qu'on cherche à les faire taire, pour que leur ferveur se montre mieux et pour t'apprendre qu'ils étaient bien dignes d'être guéris.
C'est pourquoi il ne leur demande pas s'ils ont la Foi, comme il le faisait souvent : leurs cris et leurs efforts pour s'approcher de Lui suffisaient pour montrer leur Foi.
Apprends par là, mon cher ami, que, malgré notre bassesse et notre misère, si nous allons à Dieu de tout cœur, nous pourrons obtenir par nous-mêmes ce que nous demandons.
En tout cas, regarde ces deux aveugles ; ils n'avaient qu'un disciple pour les protéger, beaucoup leur imposaient silence ; et pourtant ils ont réussi à triompher des empêchements et à parvenir jusqu'à Jésus.
L'Évangéliste ne signale en eux aucune qualité exceptionnelle de vie : leur ferveur a tout remplacé.

Imitons-les,-nous aussi. Même si Dieu ne nous accorde pas tout de suite ce que nous demandons, même si bien des gens cherchent à nous détourner de la prière, ne cessons pas de l'implorer.
Car c'est ainsi que nous attirerons le mieux les faveurs de Dieu.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,4387.html
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.

« Que veux-tu que je fasse pour toi ? » Il répondit : « Seigneur, que je retrouve la vue. »

Jéricho, ultime étape avant le terme du voyage qui mène Jésus à Jérusalem. Une foule nombreuse l’accompagne, lui ouvre le chemin, le presse de toute part.
Sans doute sont-ils nombreux à rêver de lendemains heureux. Jésus incarne les espoirs de ceux qui attendent le départ de l’envahisseur romain, de ceux qui voudraient voir restaurée la royauté, de ceux enfin qui veulent que ça change.

Sur le bord de cette route, Jésus va opérer un miracle, le dernier dans l’Évangile de Luc. Un aveugle sera le bénéficiaire. Un pauvre. Un exclu. Un de ceux qui sont comptés pour rien et laissés sur le bord des chemins de la société.
Il dépend des autres pour tout, absolument tout, même pour sa rencontre avec Jésus.
Il ne voit rien venir, il ne sait pas que Jésus est là, il entend seulement la foule qui s’avance et s’agite.

Cette foule, au départ, réagit bien. Elle renseigne cet aveugle qui n’a rien, même pas un nom. Mais ce relais ne sera pas longtemps coopérant.
Preuve sans doute que ce n’est pas Jésus que la foule mettait en avant mais elle-même, elle qui l’entoure, elle qui l’accompagne, elle qui rêve de partager bientôt son pouvoir. Aussi il n’est pas question pour elle de laisser du terrain, elle marque sa possession.

L’aveugle, lui, n’a rien à perdre. Il crie avec force. Il a compris que le Messie est là : « Fils de David ! ». C’est le Sauveur qu’il interpelle. Il l’a vu avec les yeux de la Foi. Il sait qu’il sera entendu de celui que rien n’arrête, pas même la mort, quand il s’agit d’aller chercher ses frères en détresse. La foule ne sera pas un obstacle longtemps.

En effet, Jésus donne un ordre, elle s’écarte. La rencontre a lieu. « Que veux-tu que je fasse pour toi ? – Seigneur, que je voie ! ».
Voilà un récit presque ironique... Le seul qui a vu ce qu’il y avait à voir demande le don de la vue.
Mais peut être demande-t-il autre chose, lui qui a reconnu le Messie veut maintenant voir sa gloire se manifester. Aussi suit-il Jésus vers Jérusalem, vers le lieu de sa Passion.

Cette guérison a ceci de singulier qu’elle ne se limite pas à une rencontre, à un miracle favorisant celui qui se soumet à l’audace de la Foi.
Car lorsque cet homme se met à voir et à rendre gloire à Dieu, « tout le peuple, voyant cela, adressa ses louanges à Dieu ».
La foule aussi a vu. Elle aussi a cru. A présent, elle ne gère plus son parcours en compagnie de Jésus, elle glorifie Le Seigneur.
Saint Luc ne l’appelle plus la foule, mais « le peuple », le peuple de Dieu. Cette transformation n’est peut-être pas le moindre effet de ce miracle.

Cet Évangile est donc plein d’espérance pour nous tous qui formons la foule de ceux qui suivent Le Christ quotidiennement, bien décidés à l’accompagner jusqu’au terme de son voyage.
Il est un appel à nous dessaisir de notre rôle de relais entre Le Seigneur et les hommes, car nous risquerions de faire obstacle à la grâce.
Mais cet Évangile est aussi un rappel de l’importance de cette mission d’annoncer le passage du Christ parmi les hommes : « Jésus ordonna qu’on le lui amène ». Jésus veut que nous l’annoncions, Jésus ordonne que nous lui amenions tous nos frères humains, en commençant par les plus pauvres.
C’est par cette mission d’évangélisation au quotidien qu’il nous rend à tous notre dignité, qu’il nous constitue en peuple de Dieu, qu’il fait de nous les membres de son Corps, participants de sa gloire.
Frère Dominique.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_298
Abbé Antoni CAROL i Hostench (Sant Cugat del Vallès, Barcelona, Espagne).

«Ta Foi t'a sauvé»

Aujourd'hui, l'aveugle Bartimée (cf. Mc 10,46) nous donne une leçon de Foi, exprimée avec une franche simplicité devant Le Christ.
Cela nous ferait du bien de nous répéter de temps en temps la phrase de Bartimée «Jésus Fils de David aie pitié de moi!» (Lc 18,37).
Il est tellement profitable pour notre âme de nous sentir indigents! En fait, nous le sommes, mais malheureusement nous ne le reconnaissons pas assez.
Et… bien sûr quand nous le faisons nous nous ridiculisons. Ainsi que nous prévient Saint Paul: «Qu'as-tu que tu ne l'aie pas reçu? Et si tu l'as reçu, pourquoi te glorifies-tu comme si tu ne l'avais pas reçu?» (1Co 4,7).

Bartimée n'a pas honte de se ridiculiser. Très souvent, la société, la culture de ce que l'on qualifie comme "politiquement correct", voudrait nous faire taire: avec Bartimée ils n'ont pas réussi. Il ne s'est pas "froissé".
Même s'ils «l'interpellaient pour le faire taire. Mais lui criait de plus belle: ‘Fils de David, aie pitié de moi!’» (Lc 19,39) Quelle merveille! Cela nous donne envie de dire: Merci Bartimée pour ton exemple!

Et ça vaut la peine de faire comme lui, car Jésus écoute. Il écoute toujours! Même au milieu du vacarme que certains font autour de nous. La confiance simple -sans égards- de Bartimée désarme Jésus et lui arrache le cœur: «Jésus s'arrêta et ordonna qu'on le lui amène. Quand il se fut approché, Jésus lui demanda: ‘Que veux-tu que je fasse pour toi?’» (Lc 18, 40-41) Devant une telle Foi Jésus ne tourne pas autour du pot!… et Bartimée non plus: «Seigneur, que je voie!» (Lc 18,41)
Et aussitôt dit, aussitôt fait: «Vois. Ta Foi t'a sauvé». En effet, «…la Foi, si elle est forte, protège toute la maison» (Saint Ambroise), c'est-à-dire: elle peut tout.

Il est tout, Il nous a tout donné. Alors que pouvons-nous faire face à Lui sinon lui donner une réponse remplie de Foi? Et cette réponse de la Foi équivaut à se laisser "trouver" par ce Dieu qui -poussé par son Amour de Père- nous cherche depuis toujours.
Dieu ne s'impose pas à nous, mais Il passe tout près de nous souvent: apprenons la leçon de Bartimée… et ne Le laissons pas passer sans L'arrêter.

 

HYMNE : DIEU, CE MONDE ÉTAIT ENCORE ABSENT

Dieu, ce monde était encore absent 
Que déjà, depuis toujours,
Toi, Parole en nos commencements, 
Tu portais le poids des choses.
Toi qui penses, toi qui crées, 
L'univers en toi repose. 

Dieu, quand l'homme eut habité le temps, 
Y jetant ses propres cris,
Toi, Parole en nos événements, 
Tu déroules notre histoire.
Toi qui juges, toi qui sauves, 
Jésus Christ nous dit ta gloire.

Dieu, nos fleuves vont charriant leurs eaux, 
Ignorant des lendemains,
Toi qui tiens déjà le dernier mot, 
Tu connais le Jour et l'Heure.
Toi qui aimes, qui accueilles, 
Tu prépares la Demeure.

 

Hymne : Splendeur jaillie du sein de Dieu

Splendeur jaillie du sein de Dieu,
Lumière née de la lumière,
Avant que naisse l’univers
Tu resplendis dans les ténèbres.

Nous t’adorons, Fils bien-aimé,
Objet de toute complaisance ;
Le Père qui t’a envoyé
Sur toi fait reposer sa grâce.

Tu viens au fond de notre nuit
Pour tous les hommes de ce monde ;
Tu es la source de la vie
Et la lumière véritable.

À toi, la gloire, ô Père saint,
À toi, la gloire, ô Fils unique,
Avec l’Esprit consolateur,
Dès maintenant et pour les siècles.

 

Hymne : Ô Dieu qui fis jaillir de l'ombre

Ô Dieu qui fis jaillir de l'ombre
Le monde en son premier matin,
Tu fais briller dans notre nuit
La connaissance de ta gloire.

Tu es l’image de ton Père
Et la splendeur de sa beauté.
Sur ton visage, ô Jésus Christ,
Brille à jamais la joie du monde.

Tu es toi-même la lumière
Qui luit au fond d’un lieu obscur.
Tu es la lampe de nos pas
Sur une route de ténèbres.

Quand tout décline, tu demeures,
Quand tout s’efface, tu es là !
Le soir descend, tu resplendis
Au cœur de toute créature.

Et quand l’aurore qui s’annonce
Se lèvera sur l’univers,
Tu régneras dans la cité
Où disparaissent les ténèbres.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Que ta Grâce inspire notre action, Seigneur, et la soutienne jusqu’au bout, pour que toutes nos activités prennent leur source en Toi et reçoivent de Toi leur achèvement.
Par Jésus-Christ, Ton Fils, Notre Seigneur et Notre Dieu, qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen.

 

Parole de Dieu : (2 Th 3, 10b-13)… (Office des Laudes).
Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus ! Or, nous apprenons que certains parmi vous vivent dans l’oisiveté, affairés sans rien faire.
À ceux-là, nous adressons dans le Seigneur Jésus-Christ cet ordre et cet appel : qu’ils travaillent dans le calme pour manger le pain qu’ils auront gagné.
Quant à vous, frères, ne vous lassez pas de faire le bien.

 

Parole de Dieu : (Col 1, 9b-11)… (Office des Vêpres).
Nous demandons à Dieu de vous combler de la vraie connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle.
Ainsi votre conduite sera digne du Seigneur, et capable de toujours lui plaire ; par tout ce que vous ferez de bien, vous porterez du fruit et vous progresserez dans la vraie connaissance de Dieu.
Vous serez puissamment fortifiés par la puissance de sa Gloire, qui vous donnera la persévérance et la patience.

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