Eucharistie du Lundi 02 Septembre 2019 : Lundi de la 22ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).

Eucharistie du Lundi 02 Septembre 2019 : Lundi de la 22ème semaine du Temps Ordinaire (Année impaire).

Fête de Sainte Ingrid de Skänninge, Princesse suédoise, Fondatrice et Prieure d’un Monastère Dominicain (1282).
Fête des Bienheureux Martyrs de Septembre, victimes de la Révolution française († 1792).
Fête du Bienheureux André Grasset de Saint-Sauveur, canadien Martyr de la Révolution française (? 1792).
Fête du Bienheureux Brocard, Prieur des Ermites au Mont Carmel (? 1231).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 4,13-18… Psaume 96(95),1-2a.2b-3.4-5a.11-12a.12b-13ab… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 4,16-30.
Commentaire d’Origène (v. 185-253), Prêtre et Théologien.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé David AMADO i Fernández (Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

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Illustration Sankta Ingrid av Skänninge, icône peinte par Djordje Cavkor,
Site internet de la paroisse de Linköping en Suède.

Lundi 02 Septembre 2019 : Fête de Sainte Ingrid de Skänninge, Princesse suédoise, Fondatrice et Prieure d’un Monastère Dominicain (1282).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur elle, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Ingrid de Skänninge.

Massacre chatelet 1792

Lundi 02 Septembre 2019 : Fête des Bienheureux Martyrs de Septembre, victimes de la Révolution française († 1792).
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Bienheureux Martyrs de Septembre.

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Lundi 02 Septembre 2019 : Fête du Bienheureux André Grasset de Saint-Sauveur, canadien Martyr de la Révolution française (? 1792).
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Bienheureux André Grasset de Saint-Sauveur.

Brocard

Lundi 02 Septembre 2019 : Fête du Bienheureux Brocard, Prieur des Ermites au Mont Carmel (? 1231).
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Bienheureux Brocard.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 4,13-18.
Frères, nous ne voulons pas vous laisser dans l’ignorance au sujet de ceux qui se sont endormis dans la mort ; il ne faut pas que vous soyez abattus comme les autres, qui n’ont pas d’espérance.
Jésus, nous le croyons, est mort et ressuscité ; de même, nous le croyons aussi, ceux qui se sont endormis, Dieu, par Jésus, les emmènera avec lui.
Car, sur la parole du Seigneur, nous vous déclarons ceci : nous les vivants, nous qui sommes encore là pour la venue du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui se sont endormis.
Au signal donné par la voix de l’archange, et par la trompette divine, le Seigneur lui-même descendra du ciel, et ceux qui sont morts dans le Christ ressusciteront d’abord.
Ensuite, nous les vivants, nous qui sommes encore là, nous serons emportés sur les nuées du ciel, en même temps qu’eux, à la rencontre du Seigneur. Ainsi, nous serons pour toujours avec le Seigneur.
Réconfortez-vous donc les uns les autres avec ce que je viens de dire.

 

Psaume 96(95),1-2a.2b-3.4-5a.11-12a.12b-13ab.
Chantez au Seigneur un chant nouveau,
chantez au Seigneur, terre entière,
chantez au Seigneur et bénissez son nom !

De jour en jour, proclamez son salut,
racontez à tous les peuples sa gloire,
à toutes les nations ses merveilles !

Il est grand, le Seigneur, hautement loué,
redoutable au-dessus de tous les dieux :
néant, tous les dieux des nations !

Joie au ciel ! Exulte la terre !
Les masses de la mer mugissent,
la campagne tout entière est en fête.

Les arbres des forêts dansent de joie
devant la face du Seigneur, car il vient,
car il vient pour juger la terre.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 4,16-30.
En ce temps-là, Jésus vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.
On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :
L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés,
annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.
Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.
Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. »
Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Ils se disaient : « N’est-ce pas là le fils de Joseph ? »
Mais il leur dit : « Sûrement vous allez me citer le dicton : “Médecin, guéris-toi toi-même”, et me dire : “Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm ; fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !” »
Puis il ajouta : « Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays.
En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ;
pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère.
Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien. »
À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux.
Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas.
Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin.

 

Commentaire du jour.
Origène (v. 185-253), Prêtre et Théologien.
Homélies sur Saint Luc, n° 32, 3-6, (trad. SC 87, p. 389s rev.)

« Tous avaient les yeux fixés sur Lui »

« À Nazareth, le jour du sabbat, dans la synagogue, Jésus se leva pour faire la lecture. Déroulant le livre, il tomba sur ce passage d'Isaïe : 'L'Esprit du Seigneur est sur Moi, il m'a consacré par l'onction' » (61,1).
Ce n'est pas un simple hasard mais une intervention de la Divine Providence si Jésus a déroulé ce livre et a trouvé dans le texte le chapitre qui prophétisait à son sujet.
S'il est écrit : « Un moineau ne tombe pas dans le filet sans la volonté du Père, les cheveux de votre tête... sont tous comptés » (Mt 10,29-30), serait-ce un effet du hasard que le choix du livre d'Isaïe... exprimait le Mystère du Christ ?...
En effet, ce texte rappelle Le Christ... Car Jésus dit : « Il m'a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres ».
« Les pauvres » désignent les païens. De fait, ils étaient pauvres, eux qui ne possédaient absolument rien : ni Dieu, ni Loi, ni prophètes, ni justice, ni aucune autre vertu.
C'est pour ce motif que Dieu l'a envoyé comme messager auprès des pauvres, pour « annoncer la libération, aux captifs la délivrance »...
Y a-t-il un être plus opprimé et plus meurtri que l'homme, avant qu'il soit libéré et guéri par Jésus ?...

« Après avoir lu cela et roulé le livre, Jésus le rendit et s'assit ; et tout le monde dans la synagogue avait les yeux fixés sur lui. »
Même en ce moment, si vous le voulez..., dans notre assemblée, vous pouvez fixer les yeux sur le Sauveur.
Si vous dirigez le regard le plus profond de votre cœur vers la Contemplation de la Sagesse, de la Vérité, du Fils unique de Dieu, vous avez les yeux fixés sur Jésus.
Bienheureuse assemblée dont l'Écriture atteste que tous avaient « les yeux fixés sur Lui » !

Que je voudrais que cette assemblée puisse recevoir un témoignage semblable ! Que tous, catéchumènes et fidèles, femmes, hommes et enfants, y aient les yeux... du cœur occupés à regarder Jésus !
Quand vous le regarderez, sa Lumière rendra votre visage plus lumineux, et vous pourrez dire : « La Lumière de ta face, Seigneur, a laissé sur nous son empreinte » (Ps 4,7 LXX).

 

Autre commentaire du jour.
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux.

Dans la synagogue de Nazareth, Jésus vient de lire le passage du rouleau d’Isaïe qui le désigne comme le Messie, l’Oint de Dieu sur qui repose L’Esprit du Seigneur, envoyé pour annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres, guérir les malades et porter la joie aux affligés.

« Aujourd’hui s’accomplit à vos oreilles ce passage de l’Écriture » (Lc 4, 21). Ces paroles de Jésus ne sauraient laisser indifférents ceux qui l’écoutent. Ce Jésus, fils de Joseph, ils le connaissent si bien. Ils l’ont vu grandir, réparer avec son père les charrues ou bien les barques des pécheurs du lac de Galilée…
Et maintenant il se déclare prophète ! Ils le connaissent si bien.

« Aucun prophète n'est bien accueilli dans son pays » : Jésus a perçu les pensées de ses concitoyens. Mais, il ne s’arrête pas à ce constat.
Il va mettre en évidence la racine de leur refus de reconnaître en lui le prophète ultime annoncé en Isaïe 61.
Pour ce faire, il va répondre à leur revendication par un signe attestant sa messianité et en reprenant deux épisodes de l’Ancien Testament : celui d’Élie et de la veuve de Sarepta et celui d’Elysée et de Naaman le Syrien.

Ces récits présentent deux grands prophètes d’Israël, Élie et Élysée, à un moment où ils sont envoyés par Le Seigneur porter soulagement et guérison à des païens.
En fait, ces deux passages de l’Écriture révèlent à Israël sa véritable mission : manifester aux nations l’Amour gratuit et universel de Dieu.
Dieu appelle Israël à être signe pour tous les peuples « étrangers » de sa générosité et de sa grandeur, signe qui les amènera à s’attacher, comme Naaman, à Lui, l’unique vrai Dieu.
Cette vocation universelle du peuple élu trouve bien en Jésus son accomplissement car en Lui, Dieu se révèle à tout homme comme son Seigneur et son Sauveur.

Mais lorsque Jésus évoque les deux épisodes relatifs à Élie et Élysée, Saint Luc nous dit que « dans la synagogue, tous devinrent furieux. »
Les juifs de Nazareth n’ont donc pas compris que le fait d’avoir été choisis par Dieu ne devait en rien les couper des autres nations, bien au contraire...

En fait, ils se sont refermés sur leur élection c’est-à-dire sur eux-mêmes : Dieu nous a choisis, nous et personne d’autre.
Ce Dieu est le nôtre, nous le connaissons bien, tellement bien que nous l’avons réduit à ce que nous avons pu saisir un tant soit peu de lui.
Ce qui peut-être nous dépasse – sa révélation aux païens par exemple – nous l’avons exclu. En fait, nous nous sommes fait notre Dieu.
Et c’est vrai que cela est tellement facile lorsque l’on croit avoir mérité peut-être son élection. On s’approprie tellement cette élection qu’à travers elle, on s’approprie celui qui en est à l’origine.
Mais au fond, n’est-ce pas là aussi parfois notre attitude vis à vis du Seigneur Jésus ? Cela vaut sans doute la peine de nous interroger.

Le Seigneur veut faire de nous les porteurs de la Bonne Nouvelle de son Amour et de sa réconciliation auprès de ceux qui sont le plus éloignés de lui. Il veut ouvrir nos cœurs aux dimensions du sien.
Cette « opération », à cause de notre péché qui nous replie sur nous-mêmes, provoquera en nous sûrement des combats, des luttes violentes où Dieu pourra peut-être se trouver pris à partie.
Mais dans l’Évangile, Jésus nous laisse déjà entrevoir sa victoire. Il passe sans crainte au milieu de nos égoïsmes.
Il trace un sillon au milieu de nos cœurs. Il ouvre une brèche au cœur de tous nos repliements narcissiques.

A travers cette ouverture nous percevons au loin une colline : le Golgotha. En son sommet, la Croix, l’ultime déchirure qui ouvre les portes du Ciel et donne accès à la Vie éternelle. Il nous faudra mourir à nous-mêmes pour renaître à la Vie. Alors, nos cœurs pourront rayonner de l’Amour que Dieu porte à tout homme.

« Seigneur conduis-nous sur ce chemin de conversion pour que chaque matin de notre vie puisse devenir une aube pascale qui célèbre et annonce le Salut que tu es venu apporter à tout homme.
Comment pourrions-nous retenir pour nous-mêmes le don que Le Père nous a fait en toi, son Fils bien-aimé ! »
Frère Élie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_199
Abbé David AMADO i Fernández (Barcelona, Espagne).

«Cette Parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit»

Avec ces paroles, Jésus commente dans la synagogue de Nazareth le texte d'Isaïe: «L'Esprit du Seigneur est sur Moi parce que Le Seigneur m'a consacré par l'onction» (Lc 4,18).
Ces paroles ont une signification qui dépasse le moment exact auquel elles furent prononcées. L'Esprit Saint habite dans la plénitude à l'intérieur du Christ et c'est Lui qui le transmet aux croyants.

Mais, en plus, toutes les paroles de l'Évangile ont une actualité qui est éternelle. Elles sont éternelles car elles ont été prononcées par l'Éternel, et elles sont toujours d'actualité car Dieu fait qu'elles s'accomplissent à toute époque.
Quand nous écoutons la Parole de Dieu nous devons la recevoir non pas comme un discours humain, mais comme une parole qui a le pouvoir de nous transformer.
Dieu ne parle pas à nos oreilles, il parle à notre cœur. Tout ce qu'Il dit est profondément rempli de Sagesse et d'Amour.
La Parole de Dieu est une source inépuisable de Vie: «Ce que nous en comprenons est bien moindre que ce que nous en laissons, comme des gens assoiffés qui boivent à une source» (Saint Ephrem).
Ses paroles sortent du Cœur de Dieu. Et, de ce même Cœur, du sein de la Trinité Jésus, Verbe du Père, est venu aux hommes.

C'est pour cela que chaque jour, quand nous entendons l'Évangile, nous devons nous dire ce que disait Marie: «qu'il me soit fait selon votre Parole» (Lc 1,38) et là Dieu nous répondra:

Cette Parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit. Mais, pour que cette Parole soit efficace sur nous, il faut nous détacher de tout préjugé. Les contemporains de Jésus ne l'ont pas compris parce qu'ils le regardaient avec les yeux humains: «N'est-ce pas là le fils de Joseph?» (Mc 4,22).
Ils voyaient l'humanité du Christ mais ils n'ont jamais constaté sa Divinité. A chaque fois que nous écoutons la Parole de Dieu, au-delà du style littéraire, de la beauté du texte ou de la particularité de la situation, nous devons savoir que c'est Dieu Lui-même qui nous parle.

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://us3.campaign-archive.com/?e=078dfcefda&u=bbaf519c73482457368060b5b&id=47a7a8943f

 

HYMNE : ESPRIT DE DIEU, TRÈS PUR AMOUR

Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
Le temps nous tient, la chair nous dure,
Esprit de feu, très pur Amour !

Cœur du Très-Haut, soleil du Christ,
Console-nous du grand hiver ;
Transforme avec nous l’univers,
Vigne de grâce, Hôte infini !

Esprit de Dieu, très pur Amour,
dans notre nuit obscure ;
La soif nous tient, la mort nous dure,
Esprit de vie, très pur Amour !

Notre âme attend, notre âme a faim,
Sage conseil, ô Vérité,
De voir dans la pleine clarté
Le fruit parfait de tes desseins !

Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
Destin nous tient, douleur nous dure,
Esprit de paix, très pur Amour !

Unique Amour, fais-nous ta proie,
Plie notre orgueil, panse nos plaies ;
De ta vigueur viens nous brûler,
Souffle de Dieu, Flamme de joie !

Esprit de Dieu, très pur Amour,
Descends dans notre nuit obscure ;
La chair nous tient, le temps nous dure,
Esprit du ciel, très pur Amour !

 

HYMNE : UN JOUR NOUVEAU COMMENCE

Un jour nouveau commence, 
Un jour reçu de toi, 
Père, 
Nous l’avons remis d’avance 
En tes mains, tel qu’il sera. 

Émerveillés ensemble, 
Émerveillés de toi, 
Père, 
Nous n’avons pour seule offrande 
Que l’accueil de ton amour. 

Marqués du goût de vivre, 
Du goût de vivre en toi, 
Père, 
Nous n’avons pas d’autres vivres 
Que la faim du pain rompu. 

Comment chanter ta grâce, 
Comment chanter pour toi, 
Père, 
Si nos cœurs ne veulent battre 
De l’espoir du Corps entier ? 

Le jour nouveau se lève 
Le jour connu de toi, 
Père ; 
Que ton Fils dans l’homme achève 
La victoire de la croix !

 

HYMNE : FRAPPE À MA PORTE

Frappe à ma porte, 
Toi qui viens me déranger. 
Frappe à ma porte, 
Tu viens me ressusciter.

R/ Je ne sais ni le jour ni l’heure, 
Mais je sais que c’est toi, Seigneur.

Frappe à ma porte 
Tout le vent de ton Esprit. 
Frappe à ma porte 
Le cri de tous mes frères.

Frappe à ma porte
Le cri de tes affamés.
Frappe à ma porte
La chaîne du prisonnier.

Frappe à ma porte,
Toi, la misère du monde.
Frappe à ma porte
Le Dieu de toute ma joie.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu qui nous a fait parvenir au début de ce jour, sauve-nous aujourd'hui par ta puissance : que nos cœurs ne s'abandonnent pas au péché mais que, par nos pensées, nos paroles et nos actes, nous cherchions la Justice du Royaume.

 

Parole de Dieu : (Jr 15, 16)… (Office des Laudes).
Quand je rencontrais tes paroles, Seigneur, je les dévorais ; elles faisaient ma Joie, les délices de mon cœur, parce que ton Nom a été invoqué sur moi, Seigneur, Dieu de l’univers.

 

Parole de Dieu : (1 Th 2, 13)… (Office des Vêpres).
Voici pourquoi nous ne cessons de rendre grâce à Dieu. Quand vous avez reçu de notre bouche la Parole de Dieu, vous l’avez accueillie pour ce qu’elle est réellement : non pas une parole d’hommes, mais la Parole de Dieu qui est à l’œuvre en vous, les croyants.

Date de dernière mise à jour : 02/09/2019

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