Eucharistie du Jeudi 10 Septembre 2020 : Jeudi de la 23ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Eucharistie du Jeudi 10 Septembre 2020 : Jeudi de la 23ème semaine du Temps Ordinaire (Année paire).

Fête de Saint Nicolas de Tolentino, Frère de l'Ordre des Ermites de Saint-Augustin (+ 1305).
Fête de Saint Aubert, Évêque d'Avranches, Fondateur de l’Abbaye du Mont Saint-Michel en Normandie (+ 725).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 8,1b-7.11-13… Psaume 139(138),1-2.3b.13-14ab.23-24… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,27-38.
Commentaire de Jean Tauler (v. 1300-1361), Dominicain à Strasbourg.
Autre commentaire de Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Jaume AYMAR i Ragolta (Badalona, Barcelona, Espagne).
Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Saint nicolas de tolentino 11

Jeudi 10 Septembre 2020 : Fête de Saint Nicolas de Tolentino, Frère de l'Ordre des Ermites de Saint-Augustin (+ 1305).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Nicolas de Tolentino.

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Jeudi 10 Septembre 2020 : Fête de Saint Aubert, Évêque d'Avranches, Fondateur de l’Abbaye du Mont Saint-Michel en Normandie (+ 725).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Aubert, Évêque d'Avranches.

Tous les saints 11

Les Saints du 10 Septembre.
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/septembre/saints-saintes-et-fetes-du-jour-20.html

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 8,1b-7.11-13.
Frères, au sujet de la nourriture qui a été offerte aux idoles, je sais bien que nous avons tous la connaissance nécessaire ; mais cette connaissance nous gonfle d'orgueil, tandis que l'amour fait œuvre constructive.
Celui qui croit connaître quelque chose ne connaît pas encore comme il faudrait ;
mais celui qui aime Dieu, celui-là est vraiment connu de Dieu.
Allons-nous donc manger de cette viande offerte aux idoles ? Nous savons que les idoles ne sont rien du tout ; il n'y a pas de dieu sauf le Dieu unique.
Bien qu'il y ait en effet, au ciel et sur la terre, des êtres qu'on appelle des dieux - et il y a une quantité de « dieux » et de « seigneurs » -
pour nous, en tout cas, il n'y a qu'un seul Dieu, le Père, de qui tout vient et vers qui nous allons ; et il n'y a qu'un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous existons.
Mais tout le monde n'a pas cette connaissance de Dieu : certains ont été jusqu'ici habitués aux idoles, et ils croient faire un geste d'idolâtrie en mangeant de cette viande ; comme leur conscience est faible, ils se sentent coupables.
Et la connaissance que tu as va faire périr le faible, ce frère pour qui le Christ est mort.
Ainsi, en péchant contre vos frères, et en blessant leur conscience qui est faible, vous péchez contre le Christ lui-même.
C'est pourquoi, si une question d'aliments doit faire tomber mon frère, je ne mangerai plus jamais de viande, pour ne pas faire tomber mon frère.

 

Psaume 139(138),1-2.3b.13-14ab.23-24.
Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais !
Tu sais quand je m'assois, quand je me lève ;
de très loin, tu pénètres mes pensées.
Tous mes chemins te sont familiers.

C'est toi qui as créé mes reins,
qui m'as tissé dans le sein de ma mère.
Je reconnais devant toi le prodige,
l'être étonnant que je suis.

Scrute-moi, mon Dieu, tu sauras ma pensée
éprouve-moi, tu connaîtras mon cœur.
Vois si je prends le chemin des idoles,
et conduis-moi sur le chemin d'éternité.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 6,27-38.
Jésus déclarait à la foule : « Je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent.
Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient.
A celui qui te frappe sur une joue, présente l'autre. A celui qui te prend ton manteau, laisse prendre aussi ta tunique.
Donne à quiconque te demande, et ne réclame pas à celui qui te vole.
Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux.
Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment.
Si vous faites du bien à ceux qui vous en font, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs en font autant.
Si vous prêtez quand vous êtes sûrs qu'on vous rendra, quelle reconnaissance pouvez-vous attendre ? Même les pécheurs prêtent aux pécheurs pour qu'on leur rende l'équivalent.
Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Dieu très-haut, car il est bon, lui, pour les ingrats et les méchants.
Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux.
Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés.
Donnez, et vous recevrez : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira aussi pour vous. »

 

Commentaire du jour.
Jean Tauler (v. 1300-1361), Dominicain à Strasbourg.
Sermon 39, pour le 4ème dimanche après la Trinité (trad. Cerf 1991, p. 308s).

« Une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante »

Notre Seigneur mentionne quatre sortes de mesures qui seront données à l’homme : une bonne mesure, une mesure comble, une mesure pressée et une mesure débordante… Comprenez d’abord ce qu’est la bonne mesure.
Elle consiste en ce que l’homme tourne sa volonté vers Dieu, vive selon les Commandements de Dieu et de la Sainte Église…, dans la pratique des Sacrements et le regret des péchés…, qu’il aime Dieu et son prochain…
Voilà une Vie vraiment Chrétienne…; on peut l’appeler le strict nécessaire… Quand l’homme débute dans la Vie spirituelle, il se propose de bonnes pratiques extérieures, telles que prières, prostrations, jeûnes et autres formes particulières de dévotion.
Puis, c’est la mesure comble qui lui est donnée, à savoir un exercice intérieur, intime, par lequel l’homme met tout son zèle à chercher Dieu dans son tréfonds, car c’est là qu’est le Royaume de Dieu (Lc 17,21).
Mes enfants, cette Vie est aussi différente de la première, que courir est différent d’être assis…

Vient ensuite la mesure tassée et pressée : c’est l’Amour ruisselant. Cet Amour tire tout à lui, toutes les bonnes œuvres, toute vie, toute souffrance.
Il amène en son vase tout ce qui se fait de bien dans le monde, de la part de tous les hommes, bons ou mauvais…; tout est dans la Charité…
L’Amour absorbe tout le bien qui se trouve au Ciel dans les anges et dans les Saints, les souffrances des martyrs.
Il attire en soi tout ce qu’ont de bon en elles toutes les créatures du Ciel et de la Terre, dont une si grande part se perd ou du moins semble perdue ; la Charité ne le laisse pas perdre…

Vient ensuite la mesure débordante. Cette mesure est si pleine, si abondante, si généreuse qu’elle déborde de toute part.
Notre Seigneur touche d’un doigt le vase, aussitôt la plénitude de dons monte rapidement au-dessus de tout ce que le vase avait recueilli en lui-même et au-dessus de lui-même… Tout est répandu et tout est perdu en Dieu et devenu un avec Lui.
Dieu s’aime dans de tels hommes, il opère toutes leurs œuvres en eux… C’est ainsi que la mesure des cœurs débordants se répand sur toute l’Église.

 

Autre commentaire du jour.
Frère Dominique, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Je vous le dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent

Jésus ne nous demande pas de maîtriser la violence qui est en nous ni de renoncer à nous venger. D’autres le font.
Il ne nous rappelle pas non plus que Dieu veut pardonner à tous les hommes. Nous le savons bien, nous qui avons déjà bénéficié de son pardon.
Jésus va beaucoup plus loin : « aimez vos ennemis ». Assurément, cet amour dépasse nos capacités humaines !

Mais voyons la question du point de vue de l’humanité. La demande de Jésus apparaît alors très réaliste car elle tient compte du fait que dans le monde il existe trop de violence, trop d’injustice, et que par conséquent on ne peut dépasser cette situation qu’en lui opposant un plus d’amour, un plus de bonté.
Ce « plus » vient de Dieu : sa miséricorde, faite chair en Jésus, qui seule peut faire basculer le monde du mal vers le bien, à partir de notre consentement à vivre ce commandement du Seigneur.

C’est à ce prix que nous sortirons du cercle vicieux de la violence qui tient l’humanité prisonnière.
La vengeance appelle indéfiniment la vengeance et la surenchère de violence.
Le Seigneur nous montre ainsi l’issue que nous cherchons : le pardon libère l’homme et rend possible l’exercice de la seule vraie Justice : celle qui respecte la dignité de chacun, celle qui fonde la paix, celle que Dieu exerce et qu’il nous invite à exercer, en véritables « fils du Très-Haut ».

Il est pourtant une résistance à vaincre pour accomplir la Volonté de Notre Seigneur. Il demande en effet : « à celui qui te frappe sur une joue, présente l'autre » (faut-il se résigner au mal ?), et encore : « ne réclame pas à celui qui te vole » (faut-il laisser le mal arriver à ses fins ?). Si nous comprenons bien qu’il nous faut renoncer à la rancune et à la vengeance, devons-nous accepter également de renoncer à la justice ?

Il n’en est pas question. Le pardon s’oppose bien à la rancune et à la vengeance, mais il ne s’oppose pas à la justice.
Cependant la justice doit être complétée par le pardon qui guérit les blessures et qui rétablit en profondeur les rapports humains perturbés.
Réclamer au voleur ce qu’il a pris est la simple justice. Ne pas le faire est lui apprendre, en transformant le vol en don, que le chemin de la fraternité est encore accessible et toujours préférable.
A quoi bon voler celui qui est prêt à offrir et à accueillir ? A quoi bon se faire des ennemis quand la fraternité peut être vécue ?
Pardonner construit donc une humanité plus profonde et plus riche, capable de refléter l’Amour inconditionnel de Dieu pour les hommes.
C’est aussi ce que nous laisse entrevoir Jésus quand il dit : « votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Dieu très-haut ».

C’est ainsi qu’il nous faut accueillir l’affirmation de Jésus : « Donnez, et vous recevrez une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira aussi pour vous ».
Il ne s’agit pas de redouter que Dieu refuse de nous pardonner, nous avons expérimenté que son pardon est premier.
Mais pardonner comme Dieu nous y invite, nous aide à pénétrer le mystère de son Amour pour nous.
C’est par le Pardon que Dieu nous apprend à aimer comme lui-même aime. Nous aurons ainsi de moins en moins de mal à nous exposer à son Pardon et à l’accueillir dans sa plénitude.
La mesure dont nous nous servons pour les autres, servira aussi pour nous.

L’enseignement que nous donne Jésus en ce jour est donc radicalement nouveau et unique. Il est à lui seul une vraie révolution, la révolution de ceux qui choisissent de lutter contre le mal en n’utilisant que les armes de la Vérité et de la Charité.
Ces moyens ne sont pas des moyens humains, ils ne sont accessibles qu’à ceux qui se confient eux-mêmes, uniquement et sans réserve, à la Bonté miséricordieuse de Dieu.
Aussi, Seigneur, donne-nous d’accueillir ton Pardon de manière à ce qu’il renouvelle la face de la Terre.
Manifeste que nous sommes les « fils du Très-Haut ». Donne-nous d’être miséricordieux comme Toi seul est Miséricordieux.
Frère Dominique

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_211
Abbé Jaume AYMAR i Ragolta (Badalona, Barcelona, Espagne).

Soyez miséricordieux comme Votre Père est Miséricordieux

Aujourd'hui, dans l'Évangile, par deux fois Le Seigneur nous dit d’aimer nos ennemis. Et, tout de suite, Il nous précise trois fois comment: faites du bien à ceux qui vous haïssent, souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient.
C'est une besogne qui semble difficile à accomplir: comment pouvons-nous aimer ceux qui ne nous aiment pas?
Pire encore, comment pouvons-nous aimer ceux qui nous maudissent? Aimer de cette façon est un don de Dieu, mais il faut que nous soyons toujours ouverts à Lui.
D'ailleurs, et humainement parlant, le plus sage est d'aimer nos ennemis: l'ennemi aimé se verra apaisé; l'aimer peut être la condition pour qu'il cesse d'être notre ennemi.

Et Jésus continue à dire: «À celui qui te frappe sur une joue, présente l'autre» (Lc 6,29). Il pourrait sembler un excès de soumission.
Mais, qu'est-ce que Jésus fit lorsqu'un des gardes lui donna une gifle lors de sa Passion? Certainement, il n'a pas contré.
Au contraire, Il lui répliqua si fermement, plein de charité, qu'Il a fait réfléchir à ce garde tellement exaspéré:
«Si j'ai mal parlé, montre ce que j'ai dit de mal; mais si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu?» (Jn 18,22-23).

Dans tous les religions il y a une règle d'or: «Ne fais pas aux autres ce qui tu n'aimerais pas qu'on te fasse».
Cependant, Jésus est le seul à la formuler en positive: «Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux» (Lc 6,31).

Cette règle d'or est le fondement de la morale. Saint Jean Chrysostome, en commentant ce strophe, nous enseigne: «mais il y a en plus, car Jésus n'a pas dit seulement: ‘souhaitez-vous du bien les uns aux autres’, mais aussi ‘faites le bien aux autres’»; c'est pour cela qu'il ne faut pas que la règle d'or proposé par Jésus reste un simple souhait, mais il nous faut la transformer en faits tangibles.

 

Autre commentaire sur l'Évangile de ce jour et la correspondance dans Maria Valtorta.
https://jesusaujourdhui.com/2020-09-10/Soyez-misericordieux

 

HYMNE : EN TOUTE VIE LE SILENCE DIT DIEU

En toute vie le silence dit Dieu, 
Tout ce qui est tressaille d'être à lui !
Soyez la voix du silence en travail, 
Couvez la vie, c'est elle qui loue Dieu !

Pas un seul mot, et pourtant c'est son Nom 
Que tout sécrète et presse de chanter :
N'avez-vous pas un monde immense en vous ? 
Soyez son cri, et vous aurez tout dit.

Il suffit d'être, et vous vous entendrez 
Rendre la grâce d'être et de bénir ;
Vous serez pris dans l'hymne d'univers, 
Vous avez tout en vous pour adorer. 

Car vous avez l'hiver et le printemps, 
Vous êtes l'arbre en sommeil et en fleurs ;
Jouez pour Dieu des branches et du vent,
Jouez pour Dieu des racines cachées. 

Arbres humains, jouez de vos oiseaux, 
Jouez pour Lui des étoiles du ciel
Qui sans parole expriment la clarté ; 
Jouez aussi des anges qui voient Dieu.

 

HYMNE : TU ES VENU, SEIGNEUR

Tu es venu, Seigneur,
Dans notre nuit,
Tourner vers l’aube nos chemins ;
Le tien pourtant reste caché,
L’Esprit seul nous découvre
Ton passage.

Pour nous mener au jour,
Tu as pris corps
Dans l’ombre humaine où tu descends.
Beaucoup voudraient voir et saisir :
Sauront-ils reconnaître
Ta lumière ?

Nous leur disons : « Voyez
Le grain qui meurt !
Aucun regard ne l’aperçoit ;
Mais notre cœur peut deviner
Dans le pain du partage
Sa présence. »

Puis nous portons vers toi,
Comme un appel,
L’espoir des hommes d’aujourd’hui.
Mûris le temps, hâte le jour,
Et que lève sur terre
Ton Royaume !

 

HYMNE : JOIE ET LUMIÈRE DE LA GLOIRE ÉTERNELLE DU PÈRE

R/ Joie et lumière
De la gloire éternelle du Père,
Le Très-Haut, le Très-Saint !
Ô Jésus Christ !

Oui, tu es digne d’être chanté
Dans tous les temps par des voix sanctifiées,
Fils de Dieu qui donnes vie :
Tout l’univers te rend gloire.

Parvenus à la fin du jour,
Contemplant cette clarté dans le soir,
Nous chantons le Père et le Fils
Et le Saint-Esprit de Dieu.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Nous t'en prions, Dieu de Miséricorde, sur les hommes qui n'ont pas reçu ta Lumière, fais lever ton soleil, Jésus, Le Christ, Notre Seigneur.
Lui qui règne avec Toi et Le Saint-Esprit pour les siècles des siècles.

 

Parole de Dieu : (1 P 4, 10-11)… (Office des Laudes).
Ce que chacun de vous a reçu comme don de la Grâce, mettez-le au service des autres, comme de bons gérants de la Grâce de Dieu sous toutes ses formes : si quelqu’un a le don de parler, qu’il dise la Parole de Dieu ; s’il a le don du service, qu’il s’en acquitte avec la force que Dieu communique.
Ainsi, en toute chose, Dieu recevra sa Gloire par Jésus-Christ.

 

Parole de Dieu : (1 P 3, 8-9)… (Office des Vêpres).
Que tout le monde vive parfaitement uni, plein de sympathie, d’amour fraternel, de tendresse, de simplicité.
Ne rendez pas le mal pour le mal, ni l’insulte pour l’insulte ; au contraire, appelez sur les autres la Bénédiction puisque, par vocation, vous devez recevoir en héritage les Bénédictions de Dieu.

Date de dernière mise à jour : 10/09/2020

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