Les deux Corps du Christ.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

LES DEUX CORPS DU CHRIST.

 

J’aurais aimé retransmettre l’homélie du Père Raniero Cantalamessa (Le Prédicateur officiel de la Maison Pontificale du Vatican).

Je pense qu’il est important de la lire, car elle est très enrichissante et peut permettre de comprendre (surtout aux esprits les plus scientifiques) ce qui peut bien se passer lorsque l’on communie au Corps et au Sang du Christ.

J’ai souvent parlé de L’Eucharistie car il y a tellement à dire, à comprendre, à découvrir de ce grand Mystère de Dieu, qui est le plus grand miracle que Jésus est fait, qui a commencé lors de La Sainte Cène, la veille de Sa mort et se perpétue continuellement.

Jésus, Notre Dieu, s’humilie jusqu’à prendre l’apparence d’une hostie (qui voile sa véritable nature Divine que nous ne saurions voir, sans en mourir), s’immole continuellement pour notre Salut, se fait Parole pour nourrir notre esprit, nous donne Sa Chair vivante pour nourrir notre âme et Son Sang Divin pour apaiser notre soif.

Jésus se donne totalement à nous jusque dans Sa Chair et Son Sang…pour nous donner Sa Vie, pour que nous ayons la force d’aller au bout de Son Chemin qui est le seul qui conduit au Bonheur éternel, afin de nous faire héritiers de Son Royaume.

Jésus transforme, sur l’ordre d’un simple Prêtre (qu’il soit saint ou terriblement pécheur, Dieu lui obéit) une simple hostie en Sa Chair et du vin en Son Sang, vivants et réels, Chair et Sang d’un Dieu, de Notre Dieu, que nous absorbons au moment de La Communion.

(Voir, pour les plus sceptiques l’histoire du miracle de Lanciano, dont les derniers tests scientifiques prouvent que cette chair et ce sang sont bien vivants…après plus 12 siècles que le miracle a eu lieu).

http://www.christ-roi.net/index.php/Le_miracle_eucharistique_de_Lanciano.

 Lanciano1

Le miracle eucharistique de Lanciano est le plus ancien de tous ceux où les saintes Espèces furent changées en chair et en sang : il remonte, en effet, au VIIIe siècle.

Mais par les analyses qui furent faites de ses « reliques » en 1970-71 et en 1973-74, ce prodige est redevenu étonnamment actuel et jamais on n'a vu une simple tradition, qui remonte à douze siècles, confirmée par la science avec une telle netteté.

Lanciano abruzzo italia 1Lanciano, petite cité des Abruzzes, est située à 4 km environ de l'autoroute Pescara-Bari qui longe l'Adriatique, un peu au sud de Chieti.

Dans une petite église dédiée à saint Legonziano - (que l'on a voulu identifier à saint Longin, le soldat qui transperça le côté et le Coeur du Christ mort en croix) - un moine basilien, qui célébrait la messe en rite latin (Il utilisait en tout cas, comme les latins, une hostie de forme ronde et non point comme les grecs une hostie carrée de pain fermenté)…

Après la consécration se mit à douter de la présence réelle du Christ sous les saintes Espèces.

C'est alors que, sous les yeux de ce prêtre, l'hostie se changea en un morceau de chair et le vin consacré en du sang réel qui se coagula en cinq caillots irréguliers de formes et de grosseurs différentes.

 

En novembre 1970, sur les instances de l'archevêque de Lanciano, Mgr Perantoni, et du ministre provincial des conventuels des Abruzzes, et avec l'autorisation de Rome, les franciscains de Lanciano décidèrent de faire procéder à un examen scientifique de ces « reliques » qui dataient de près de douze siècles.

L'entreprise fut confiée au docteur Odoardo Linoli, chef de service à l'hôpital d'Arezzo et professeur d'anatomie, d'histologie, de chimie et de microscopie clinique, aidé du professeur Ruggero Bertelli de l'Université de Sienne. Le Dr Linoli effectua des prélèvements sur les saintes reliques le 18 novembre 1970, puis il fit les analyses en laboratoire.

 

Le 4 mars 1971, le professeur produisit un compte-rendu détaillé des diverses études qu'il avait effectuées.

Nous en tirons les conclusions essentielles :

1/ La « chair miraculeuse » est vraiment de la chair, constituée de tissu musculaire strié du myocarde.

2/ Le « sang miraculeux » est du sang véritable : l'analyse chromatographique le démontre avec une certitude absolue et indiscutable.

3/ L'étude immunologique manifeste que la chair et le sang sont bien de nature humaine et l'épreuve immunohématologique permet d'affirmer en toute objectivité et certitude que l'un et l'autre appartiennent au même groupe sanguin AB.

Cette identité du groupe sanguin peut indiquer l'appartenance de la chair et du sang à la même personne, la possibilité demeurant néanmoins d'une appartenance à deux individus différents de même groupe sanguin.

4/ Les protéines contenues dans le sang sont normalement réparties, dans un pourcentage identique à celui du schéma séro-protéique du sang frais normal.

5/ Aucune section histologique n'a révélé la trace d'infiltrations de sels ou de substances conservatrices utilisées dans l'antiquité aux fins de momification.

Certes, la conservation les protéines et des minéraux observée dans la chair et le sang de Lanciano n'est ni impossible, ni exceptionnelle : des analyses répétées ont permis de trouver des protéines dans des momies égyptiennes de 4 et 5 000 ans.

Mais il convient de souligner que le cas d'un corps momifié grâce aux procédés connus est bien différent de celui d'un fragment de myocarde laissé à l'état naturel pendant des siècles, exposé à l'action d'agents physiques atmosphériques et biochimiques.


Le professeur Linoli écarte, de même, l'hypothèse d'un faux opéré dans les siècles passés : « En effet, dit-il, à supposer que l'on ait prélevé le cœur d'un cadavre, j'affirme que seule une main experte en dissection anatomique aurait pu obtenir une "tranche" uniforme d'un viscère creux (comme on peut encore l'entrevoir sur la "chair") et tangentielle à la surface de ce viscère, comme donne à penser le cours prévalamment longitudinal des faisceaux de fibres musculaires, visible en plusieurs points dans les préparations histologiques.

De plus, si le sang avait été prélevé sur un cadavre, il se serait rapidement altéré, par déliquescence ou putréfaction. »

 

La chair et le sang miraculeux de Lanciano sont donc tels que si on les avait prélevés le jour même sur un vivant.

Or, dans l'Eucharistie, c'est bien un vivant qui se donne à nous, jésus, le ressuscité de Pâques, qui avait déclaré : « Je suis le Pain vivant descendu du ciel et ce que je donne, c'est ma chair pour la vie du monde. »

Lorsque nous communions, nous mangeons vraiment, de manière sacramentelle, une chair réelle, animée et glorieuse, et nous buvons le sang vivant de l'Homme-Dieu qui, sorti du tombeau, ne peut plus mourir.

D'autre part, la chair de Lanciano est un tissu du coeur. Or, celui-ci symbolise, plus que toute autre partie du Corps du Christ, l'amour que ce dernier nous témoigne.

Certes, en communiant, c'est le Corps tout entier du Seigneur que nous recevons sous les saintes Espèces, mais c'est d'abord Son Coeur qui se donne à nous dans le « Sacrement de Son Amour ».

Se réalise alors pour chacun de nous la parole de saint Jean : « Jésus, ayant Aimé les siens qui étaient dans le monde, les Aima jusqu'à la fin », jusqu'à sa mort sur La Croix assurément, mais surtout jusqu'à se donner à eux en nourriture, leur communiquant ainsi le bénéfice de Sa mort Rédemptrice et de Sa Vie Glorieuse.

 

Le miracle de Lanciano, attesté historiquement par une longue tradition, authentiqué par la science elle-même, a, plus encore, une portée spirituelle et mystique :

Il nous fait saisir que Le Christ est bien vivant et que son Coeur passionnément nous Aime.

Quel adjuvant par conséquent pour notre foi qu'un tel prodige ! Et comme il nous porte à rendre grâces à Celui qui nous a aimés le premier et jusqu'à nous donner sa chair et son sang en nourriture et en breuvage !

Jean 6 53-57.

Alors Jésus leur dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la Chair du Fils de L’Homme et ne buvez Son Sang, vous n’aurez pas la vie en vous.

Qui mange Ma Chair et boit Mon Sang a La Vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour. Car Ma Chair est vraiment une nourriture et Mon Sang vraiment une boisson.

Qui mange Ma Chair et boit Mon Sang demeure en Moi et Moi en lui. De même que Le Père, qui est vivant, m’a envoyé et que je vis par Le Père, de même celui qui Me mange, lui aussi vivra par Moi ».

Nous continuons À nous demander « Où est Dieu ? », alors qu’il est avec nous

Commentaire de l’Évangile du Saint Sacrement du Corps et du Sang du Christ

Les deux Corps du Christ

Dans la deuxième lecture saint Paul (1 Corinthiens 10 16) nous présente l'Eucharistie comme mystère de communion : « La coupe ... que nous bénissons, n'est-elle pas communion au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas communion au corps du Christ ? »

Communion signifie échange, partage. Maintenant, la règle du partage est la suivante : ce qui est à moi est à toi et ce qui est à toi est à moi.

Essayons d'appliquer cette règle à la communion eucharistique et nous verrons « l'énormité » de la chose.

Qu'est-ce qui est vraiment « à moi » ? La misère, le péché sont les seules choses qui m'appartiennent exclusivement.

Et que possède Jésus sinon la sainteté, la perfection et toutes les vertus ?

La communion consiste alors dans le fait que je donne à Jésus mon péché et ma pauvreté et que lui me donne sa sainteté. Le « merveilleux échange », comme le définit la liturgie, se réalise.

Nous connaissons différents types de communion. La communion entre la nourriture que nous mangeons, et nous-mêmes est très profonde car la nourriture devient chair de notre chair et sang de notre sang. J'ai entendu des mères dire à leurs enfants qu'elles serraient contre elles et qu'elles embrassaient : « Je t'aime tellement que je te mangerais ! »

 

Il est vrai que la nourriture n'est pas une personne vivante et intelligente avec laquelle nous pouvons échanger des pensées et des marques d'affection mais supposons un instant que la nourriture elle-même soit vivante et intelligente, n'aurait-on pas dans ce cas la parfaite communion ?

C'est précisément ce qui se passe dans la communion eucharistique. Dans ce passage de l'Évangile (Jean 6 51…6 55-56), Jésus dit : « Je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel ... ma chair est la vraie nourriture... celui qui mange ce pain vivra éternellement ».

Ici, la nourriture n'est pas une simple chose mais une personne vivante. Il s'agit de la communion la plus profonde, même si c'est aussi la plus mystérieuse.

 

Voyons ce qui se passe dans la nature, dans le domaine de la nutrition. C'est le principe vital le plus fort qui assimile le moins fort. C'est le végétal qui assimile le minéral ; c'est l'animal qui assimile le végétal.

Cette loi vaut aussi pour les relations entre l'homme et le Christ. C'est le Christ qui nous assimile à lui ; nous nous transformons en lui, non lui en nous.

Un célèbre matérialiste athée a dit : « L'homme est ce qu'il mange ». Sans le savoir, il a donné une excellente définition de l'Eucharistie.

Grâce à elle, l'homme devient vraiment ce qu'il mange, c'est-à-dire corps du Christ !

 

Mais lisons la suite du texte de saint Paul (1 Corinthiens 10 17) : « Puisqu'il y a un seul pain, la multitude que nous sommes est un seul corps, car nous avons tous part à un seul pain ».

Il est évident que dans ce deuxième cas le mot « corps » n'indique plus le corps du Christ né de Marie mais « nous tous », ce corps du Christ plus grand qui est l'Église.

Ceci signifie que la communion eucharistique est toujours également communion entre nous. En mangeant tous de l'unique nourriture, nous formons un seul Corps.

 

Qu'est-ce que cela implique ? Que nous ne pouvons pas être en communion authentique avec le Christ si nous sommes divisés entre nous, si nous nous haïssons, si nous ne sommes pas prêts à nous réconcilier.

Si tu as offensé un frère, disait saint Augustin, si tu as commis une injustice contre lui, et vas ensuite recevoir la communion comme si de rien n'était, peut-être plein de ferveur pour le Christ, tu ressembles à une personne qui voit venir vers elle un ami qu'elle n'a pas vu depuis longtemps.

Elle court à sa rencontre, lui jette les bras autour du cou et se hisse sur la pointe des pieds pour l'embrasser sur le front ... Mais elle ne se rend pas compte qu'en faisant ce geste, elle lui marche sur les pieds avec des chaussures à clous.

En effet, nos frères, souvent les plus pauvres et les plus abandonnés, sont les membres du Christ, sont ses pieds encore posés sur la terre.

En nous donnant l'hostie le prêtre dit : « Le corps du Christ », et nous répondons : « Amen ! ». Maintenant nous savons à qui nous disons « Amen », c'est-à-dire oui, je t'accueille : pas seulement Jésus, le Fils de Dieu, mais aussi notre prochain.

 

Dans la Fête Dieu il y a quelque chose de triste que je ne peux pas ne pas mentionner. Il existe des formes de maladie mentale qui empêchent le malade de reconnaître les personnes de son entourage. Il continue à crier pendant des heures : « Où est mon fils ? Où est ma femme ? Pourquoi ne vient-il pas ? »

Alors que son fils ou sa femme est peut-être là, à lui serrer la main et lui répéter : « Je suis là, tu ne me vois pas ? Je suis avec toi ! ». C'est aussi ce qui se passe avec Dieu.

Nos contemporains cherchent Dieu dans le cosmos ou l'atome ; ils discutent pour savoir s'il y a eu un créateur au commencement du monde.

Nous continuons à nous demander « Où est Dieu ? » et nous ne nous rendons pas compte qu'il est avec nous, qu'il s'est fait nourriture et boisson pour être encore plus intimement uni à nous.

 

Jean Baptiste devrait répéter tristement : « Au milieu de vous il y a quelqu'un que vous ne connaissez pas ».

La Fête Dieu est née précisément pour aider les chrétiens à prendre conscience de cette présence du Christ au milieu de nous, pour tenir éveillé que Jean-Paul II appelait « l'émerveillement eucharistique ».

 Père Raniero CANTALAMESSA o.f.m

 

Le Prochain...que de fois on l’insulte, on se moque de lui, on le critique...alors que nous devrions être plein d’Amour, de Miséricorde et de Compassion pour lui.

Dans une précédente Réflexion n°18 : Tu Aimeras ton Prochain, j’ai rappelé qu’il est bon de prendre conscience de qui est notre Prochain et si nous l’aimons vraiment.

Jésus nous le rappelle aussi dans un passage de Ses Révélations à Maria Valtorta.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 6, chapitre 136 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé… 

Jésus parle de la charité aux apôtres. 

En effet si Dieu sur le Sinaï a donné le commandement d'aimer le Dieu très Saint et le prochain en un unique précepte, il est clair qu'il n'y a pas deux préceptes que l'on puisse pratiquer indépendamment l'un de l'autre,mais qu'ils sont un seul précepte.

Et, comme il ne me suffit jamais de vous former à cette sublime vertu, la plus grande de toutes, celle qui s'élève avec l'esprit au Ciel, car elle est la seule qui subsiste au Ciel, j'insiste sur cette vertu; âme de toute la vie de l'esprit qui perd la vie s'il perd la Charité parce qu'il perd Dieu.

Comprenez-moi. Supposez qu'un jour à votre porte, viennent frapper deux époux très riches pour demander l'hospitalité pour toute leur vie.

Pourriez-vous dire : "Nous acceptons l'époux, mais nous ne voulons pas de l'épouse" sans vous entendre répondre par l'époux : "Cela ne peut être, car je ne puis me séparer de la chair de ma chair.

Si vous ne voulez pas l'accueillir, moi non plus, je ne puis m'arrêter chez vous, et je m'en vais avec tous les trésors auxquels je vous aurais fait participer" ?

Lorsque, pendant L’Eucharistie, l’hostie et le vin deviennent, par les mains du Prêtre, Corps et Sang du Christ (Une précision importante : même une brindille de miette de l’hostie est alors Le Corps en entier du Christ avec Son Sang, qui circule dans Son Corps), comme nous le rappelle si bien le Père Cantalamessa…

Le Corps du Christ, que nous absorbons, contient toute L’Eglise…

Car Jésus est la tête et le Corps de L’Eglise (1 Corinthiens 12 47 : Or, vous êtes, vous, le Corps du Christ, et membres, chacun à sa place).

Cela signifie que lorsque nous avons communiés au Corps et au Sang du Christ, Jésus vient en nous, dans notre âme pour la purifier et la nourrir, avec Son Père et L’Esprit-Saint puisqu’Il ne fait qu’un avec eux (Dieu, Un et Trin), avec Marie Sa Mère et Notre Mère, avec les Anges et avec tout le Ciel.

En effet, tous ceux qui sont au Ciel dans Le Royaume de Dieu, font partis du Corps du Christ, puisqu’ils sont les membres de L’Eglise Glorieuse.

Cela signifie aussi que tous ceux qui souffrent dans Le Feu Purificateur du Purgatoire, viennent en nous lorsque nous communions au Corps du Christ, car ils sont les membres de L’Eglise Souffrante.

Cela signifie enfin, que tous ceux qui font partis de L’Eglise sur Terre (mais aussi tous les incroyants, ceux qui sont loin, les pécheurs, les malades, les rejetés, etc…, comme vient de le dire le Pape Benoît XVI aux J.M.J. de Madrid dans son discours pour appeler les séminaristes à vivre comme l’a montré Jésus), viennent en nous lorsque nous communions au Corps du Christ, car ils sont membres de L’Eglise Militante.

Par voie de conséquence, lorsque nous Communions, nous nous nourrissons de Dieu et avec Lui, nous accueillons Le Ciel, Le Purgatoire et toute la Terre.

Alors, nous comprenons une infime partie de ce grand Mystère qui nous mets en lien les uns avec les autres…et où toute notion d’espace disparaît.

Mon frère ou ma sœur que j’offre à Dieu et pour qui je Prie Le Seigneur de venir à son secours…d’un seul coup, n’est plus à l’autre bout de la ville, voir même au bout du monde, mais il est à côté de moi, dans mon âme, près de Dieu.

 

Nous comprenons aussi, que, ayant en moi, Dieu et toute L’Eglise sur Terre et au Purgatoire, chacune de mes actions va avoir de l’influence sur mes frères et sœurs de l’Eglise en Christ.

Si j’agis tel que Dieu le désire, mon âme recevra La Paix de Dieu…et tous ceux qui auront pénétrés mon âme car faisant partis du Corps Mystique du Christ, en tant que Eglise Militante ou Souffrante…recevront cette Paix et La Bénédiction de Dieu.

Si j’agis en rejetant Dieu et Ses Commandements, en suivant les désirs de ma chair et donc de Satan, Dieu quittera mon âme, la laissant dans la souffrance…et tous ceux qui auront pénétrés mon âme…subiront cette Souffrance, cette absence de Dieu et les attaques de Satan.

 

Cela est bien-sûr valable pour toute L’Eglise Militante sur Terre, comme L’Eglise Souffrante au Purgatoire…qui attend nos Prières et notre Amour…pour les soulager de leurs souffrances.

Nous, sur Terre, nous faisons partis de L’Eglise Militante, et ceux qui, une fois mort, ont rejoint Le Ciel, font partis de L’Eglise Glorieuse et nous soutiennent dans nos combats par leurs Prières pleine d’Amour tournées vers Dieu en notre faveur, car ils nous Aiment et veulent notre Salut (en agissant, par leurs Prières, concrètement dans nos vies).

Tous ceux qui sont morts et ont besoins de se Purifier avant de rentrer au Ciel, souffrent atrocement au Purgatoire, à cause de leur amour tiède qu’ils ont vécu sur Terre et à cause de l’absence de Dieu dans ce lieu de Purification.

Ils sont L’Eglise souffrante et ont besoins de nous, de nos Prières, de nos offrandes, de nos messes, de notre Amour pour soulager leurs souffrances (et ainsi Aimer à leur place et pour eux).

En remerciements, une fois au Ciel dans L’Eglise Glorieuse, ils seront nos meilleurs avocats auprès de Dieu.  


EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                                   PIERRE

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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