17b. LES VOCATIONS CHRETIENNES : Être Prêtre Catholique dans le plan de Dieu…4ème Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

LES VOCATIONS CHRETIENNES : Être Prêtre Catholique dans le plan de Dieu...4ème Partie.

 

QUATRIEME ET DERNIERE PARTIE.

Berger et pilote dans des temps redoutables...Ta boussole c’est l’Évangile. En lui se trouve la Vie et le Salut. Et tout y est dit.

Il s’y trouve tous les articles du Code saint, et la réponse pour les cas multiples des âmes. Et fais en sorte que les Prêtres et les fidèles ne s’en écartent pas. Fais en sorte qu’il ne vienne pas de doutes sur lui, qu’on ne l’altère pas, qu’on ne le change pas, qu’on ne le falsifie pas. L’Évangile c’est Moi-même. De ma naissance à ma mort. Dans l’Évangile se trouve Dieu. Car en lui se manifestent les œuvres du Père, du Fils, de l’Esprit-Saint. L’Évangile est amour. J’ai dit : “Ma Parole est Vie”. J’ai dit : “Dieu est charité”. Que les peuples connaissent donc ma Parole et qu’ils aient en eux l’amour, c’est-à-dire Dieu, pour avoir le Royaume de Dieu. Car celui qui n’est pas en Dieu n’a pas en lui la Vie.

Car ceux qui n’accueilleront pas la Parole du Père ne pourront être une seule chose avec le Père, avec Moi et avec l’Esprit-Saint dans le Ciel, et ils ne pourront pas appartenir au seul Bercail qui est saint comme je le veux.

Ce ne seront pas des sarments unis à la Vigne car celui qui repousse, en tout ou en partie ma Parole, est un membre dans lequel ne circule plus la sève de la Vie. Ma Parole est un suc qui nourrit, qui fait grandir et porter des fruits.

 

Tout cela vous le ferez en mémoire de Moi qui vous l’ai enseigné. J’aurais encore à vous dire sur ce dont je vous ai parlé maintenant. Mais j’ai seulement jeté la semence.

L’Esprit-Saint vous la fera germer. J’ai voulu vous donner Moi-même la semence car je connais vos cœurs et je sais comment la peur vous ferait hésiter pour des commandements spirituels, immatériels.

La peur d’une erreur paralyserait pour vous toute volonté. C’est pour cela que je vous ai parlé le premier de toutes les choses. Ensuite le Paraclet vous rappellera mes paroles et vous les développera en détail. (Jean 14 26)

Et vous ne craindrez pas car vous vous rappellerez que la première semence c’est Moi qui vous l’ai donnée. Laissez-vous conduire par l’Esprit-Saint. Si ma Main était douce pour vous conduire, sa Lumière est toute douceur. Lui c’est l’Amour de Dieu.

Ainsi, Moi je m’en vais content parce que je sais que Lui prendra ma place et vous conduira à la connaissance de Dieu. Vous ne le connaissez pas encore, bien que je vous ai tant parlé de Lui. Mais ce n’est pas votre faute. Vous avez tout fait pour me comprendre et vous êtes donc justifiés même si pendant trois années vous avez peu compris. Le défaut de Grâce vous émoussait l’esprit.

Maintenant même vous comprenez peu bien que la Grâce de Dieu soit descendue sur vous de ma croix. Vous avez besoin du Feu. Un jour j’ai parlé de cela à l’un de vous en suivant les chemins du Jourdain. L’heure est venue.

Moi je retourne vers mon Père, mais je ne vous laisse pas seuls, car je vous laisse l’Eucharistie c’est-à-dire votre Sauveur qui s’est fait nourriture pour les hommes. Et je vous laisse l’Ami : le Paraclet. Lui vous conduira. Je passe vos âmes de ma lumière à sa Lumière et Il achèvera votre formation."

 

"Et dirons-nous, ou écrirons-nous toutes tes actions ?"

"Je vous l’ai dit. L’Esprit-Saint vous conseillera sur ce qu’il est bien de dire ou de taire selon les circonstances. Vous le voyez ! Ce que j’ai accompli on le croit ou on le nie, et parfois on s’en fait une arme contre Moi, présenté comme il l’est par des mains qui me haïssent.

On m’a appelé Belzébuth, quand, comme Maître et devant tout le monde, j’ai accompli des miracles.

Et que vont-ils dire maintenant, quand ils sauront que j’ai agi si surnaturellement ? Ils me blasphémeront davantage encore. Et vous serez persécutés dès le début. Taisez-vous donc jusqu’à ce que ce soit l’heure de parler."

 

"Mais si cette heure arrivait quand nous, les témoins, nous serions morts ?"

"Dans mon Église il y aura toujours des prêtres, des docteurs, des prophètes, des exorcistes, des confesseurs, des gens qui feront des miracles, qui seront inspirés, autant qu’il lui en faudra pour que les gens reçoivent d’elle ce qui est nécessaire.

Le Ciel : l’Église triomphante, ne laissera pas seule l’Église enseignante, et celle-ci viendra au secours de l’Église militante.

Il n’y a pas trois corps, il n’y a qu’un seul corps. Il n’y a pas de séparation entre elles mais communion d’amour et de fin : aimer la Charité, jouir d’elle dans le Ciel, son Royaume.

C’est pour cela encore que l’Église militante devra avec amour subvenir aux suffrages de sa partie déjà destinée à la triomphante, et qui en est encore exclue à cause de l’expiation satisfactoire des manquements absous mais pas encore entièrement payés devant la parfaite Justice Divine.

Tout, dans le Corps mystique, doit se faire dans l’amour et par l’amour. Car l’amour c’est le sang qui circule en lui.

Venez au secours des frères qui purgent leur peine. Comme j’ai dit que les œuvres de miséricorde corporelles vous acquièrent une récompense dans le Ciel, j’ai dit que de la même façon vous les procurent les œuvres spirituelles.

 

Et en vérité je vous dis que les suffrages pour les morts pour qu’ils entrent dans la paix est une grande œuvre de miséricorde dont Dieu vous bénira et dont vous seront reconnaissants ceux qui en profitent.

 

Quand, à la résurrection de la chair, tous les hommes seront rassemblés devant le Christ leur Juge, parmi ceux que je bénirai, il y aura aussi ceux qui ont eu de l’amour pour leurs frères qui se purifiaient, en offrant et en priant pour leur paix.

Je vous le dis. Pas une seule bonne action ne restera sans fruit et beaucoup auront une vive splendeur dans le Ciel sans avoir prêché, administré, accompli des voyages apostoliques, embrassé des états spéciaux, mais seulement pour avoir prié et souffert pour donner la paix à ceux qui se purifient, pour amener les mortels à la conversion.

Eux aussi, prêtres ignorés du monde, apôtres inconnus, victimes que Dieu seul voit, recevront le prix des ouvriers du Seigneur pour avoir fait de leur vie un perpétuel sacrifice d’amour pour les frères et pour la gloire de Dieu.

Je vous dis qu’en vérité on arrive à la vie éternelle par des chemins nombreux, et l’un est celui-ci, et il est si cher à mon Cœur.


Voilà maintenant, en complément, un chapitre des Révélations faites à Maria Valtorta qui devrait aider les « Prêtres » et ceux qui ont une charge dans L’Eglise à être ou à devenir tel que Dieu le voudrait.


Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta du 27 Janvier 1944 (dans les Cahiers de 1944).

C’est Jésus qui parle à Maria Valtorta :

Voici une page douloureuse à dicter, à écrire, à lire. Mais c’est la vérité et elle sera dite. Ecris. Elle est destinée aux Prêtres.

L’on accuse beaucoup les fidèles d’être peu fidèles et tièdes. L’on accuse beaucoup les hommes de ne pas avoir de charité, ni de pureté, ni de détachement des richesses, ni d’esprit de Foi.

Mais, de même que les enfants sont, à de rares exceptions près, tels que leurs parents les forment, moins par les punitions que par l’exemple, de même les fidèles sont, à part les exceptions qui existent toujours, tels que les prêtres les forment, moins par leurs paroles que par l’exemple.

Les églises disséminées au milieu des maisons de l’homme devraient être une sorte de phare et un lieu de purification. Il devrait s’en dégager une lumière douce et puissante, pénétrante et attirante qui, comme il en est de la lumière du jour, pénètre au fond des cœurs en dépit de toutes les serrures.

Voyez une belle journée d’été. Le soleil diffuse une lumière glorieuse qui embrasse la terre, si victorieuse et puissante que, même dans la pièce la mieux fermée, l’obscurité n’est jamais complète.

Ce peut être un rayon fin comme un cheveu de bébé, ce peut être un point qui tremble sur un mur, ce peut être une poussière d’or qui danse dans l’air, mais il y a, dans cette pièce, un petit signe de lumière qui témoigne que Le soleil de Dieu resplendit au-dehors.

 

Il en va de même des cœurs les plus barricadés. S’il se dégageait, des églises disséminées parmi les maisons, une « lumière » comme celle que Je vous ai donnée pour signe, ô prêtres que J’appelle « lumière du monde » (Je vous ai appelés ainsi quand Je vous ai crées) un fil, un point, une poussière de lumière y pénètrerait.

Cela suffirait à rappeler qu’il existe « une Lumière » sur le monde, à donner aux cœurs faim de lumière, de « cette Lumière ».

Mais combien y a-t-il d’églises dont il émane une lumière vive au point de forcer les portes fermées des cœurs et d’y pénétrer pour porter Dieu, Dieu qui est Lumière ???

Vous, curés, prêtres et moines, vous tous que J’ai appelés à Me porter dans les cœurs, combien y a-t-il d’âmes, dans vos églises, qui soient enflammées de Charité au point d’arriver à vaincre le gel des âmes et à porter dans les cœurs des hommes L’Amour de Dieu et L’Amour pour Dieu, pour Dieu qui est Charité ???

 

Les hommes pris dans leurs souffrances (et Je suis seul à savoir combien elles sont nombreuses) devraient pouvoir considérer leur église comme une mère sur le sein de laquelle on va pleurer et entendre des mots de réconfort après avoir raconté tous ses problèmes, avec la certitude d’être écouté et compris.

Leurs souffrances sont différentes des vôtres, ou du moins les vôtres devraient être différentes des leurs, car vous devriez uniquement souffrir des peines provoquées par votre zèle pour Votre Seigneur Dieu qui n’est pas assez aimé, pour les fidèles qui se perdent, pour les pécheurs qui ne se convertissent pas : Ce sont celles-ci, et nulle autre, qui devraient être vos souffrances.

 

Car, en vous appelant, Je ne vous ai pas indiqué un palais, une table, une bourse, une famille, mais « une Croix », Ma Croix, sur laquelle Je suis mort nu, sur laquelle J’ai expiré seul, sur laquelle Je suis monté après m’être détaché, dépouillé de tout, et même de Ma pauvreté qui était richesse comparée à Ma misère de condamné à qui il ne reste plus que l’échafaud fait d’un peu de bois, de trois clous et d’une poignée d’épines tissées en couronne.

Tout cela pour dire à tous (et à vous en particulier) que les âmes sont sauvées par Le Sacrifice, par La Générosité dans Le Sacrifice qui va jusqu’au dépouillement total et absolu des affections, du confort, du nécessaire, de la vie.  

 

Les hommes, dans leurs moments d’obscurités provoqués par tant de causes, qui ne proviennent pas toujours de leur volonté propre mais sont imposées par la volonté d’autrui, par un ensemble de circonstances qui les incitent à croire à l’Erreur ou à douter de Dieu, les hommes donc, devraient trouver en vous des porteurs de Lumière, de Ma Lumière, des hommes compatissants comme Le Bon Samaritain, des maîtres comme Votre Maître, des pères comme Votre Père.

 

La terre, corrompue par tant de choses, fermente comme un corps en décomposition qui contamine les âmes par sa puanteur de péché.

Mais les cœurs seraient purifiés si les églises disséminées parmi les maisons étaient des encensoirs où un prêtre vit avec ardeur et brûle d’Amour, et la puanteur du monde serait contrebalancée par Le Parfum de Dieu suintant du cœur des prêtres qui vivent dans un état de totale « fusion » avec Dieu et s’anéantissent en Dieu au point d’être uniquement comme Moi, qui suis dans Le Saint-Sacrement à la disposition de l’homme à tout moment.

En effet, Moi, Dieu, J’y suis sans fatigues, sans orgueil, sans résistance.

 

De tels prêtres, des prêtres parfaits, ressemblent au soleil. Ils aspirent les âmes au Ciel comme s’il s’agissait de gouttes d’eau, ils les purifient dans l’atmosphère du Ciel.

Elles deviennent alors comme des nuages qui se dissolvent délicatement en rosée bénéfique pendant la nuit, discrètement, pour porter un peu de fraîcheur sur les plaies et sur la soif brûlante des âmes, ces pauvres fleurs blessées par tant de choses.

 

Ils aspirent : Pour aspirer (les âmes) à soi, il faut avoir une grande force. Seul un très vif Amour pour Le Seigneur et pour Le Prochain peuvent le procurer.

Si vous êtes bien établis en Dieu, en haut, tout en haut au-dessus de la terre, vous pouvez, si vous le voulez, attirer les âmes à vous, c’est-à-dire à Dieu, en qui vous vivez.

C’est une entreprise qui exige générosité et constance. Le moindre battement de cil doit servir ce but. Toutes vos actions doivent tendre à cela.

Il est des regards qui peuvent convertir un cœur quand Dieu y brille.

 

Ils se dissolvent : Se sacrifier, de toutes les manières, en secret, en apportant aux âmes desséchées Le Rafraîchissement Céleste qui se répand si doucement qu’elles ne savent pas à quel moment cela a eu lieu, mais elles se découvrent humides.

Exactement comme le fait la rosée qui tombe, silencieuse et pudique, pendant que tout repose (les hommes, les animaux et les fleurs), lave l’air des impuretés du jour, désaltère et couvre de perles les plantes et les feuillages.

 

Sacrifice, Sacrifice, Sacrifice, ô prêtres !!! Prière, Prière, Prière, ô pasteurs !!!

 

Je vous ai appelés « pasteurs ». Je ne vous ai appelés ni « solitaires » ni « capitaines ». Le solitaire vit par lui-même. Le capitaine marche à la tête des siens.

Mais le « pasteur » se tient au milieu de son troupeau et le surveille. Il ne s’isole pas, car le troupeau se disperserait. Il ne marche pas à la tête, car les tête-en-l’air du troupeau resteraient à l’écart du chemin, à la proie des loups et des voleurs.

 

A moins d’être fou, le pasteur vit au milieu de son troupeau, il l’appelle, le regroupe, il va inlassablement de l’avant à l’arrière.

Il le précède dans les difficultés, qu’il examine en premier et aplanit le plus possible. Il rend sûrs les passages malaisés par ses efforts, puis il reste à l’endroit difficile pour surveiller le passage de ses brebis.

S’il voit que l’une d’elles est apeurée ou faible, il la prend sur les épaules et lui fait traverser l’endroit dangereux. Il ne s’enfuit pas si le loup vient, mais il se jette sur lui devant ses brebis et les défend, quand bien même il devrait mourir pour les sauver.

Il s’immole pour elles, pour assouvir la faim du fauve, de sorte qu’il ne se sente plus le besoin de dévorer.

Que de fauves s’en prennent aux âmes !!! Le pasteur ne se perd pas en vains discours avec les passants, il ne si distrait pas avec des choses qui ne sont pas de sa compétence.

Il s’occupe de son troupeau, et voilà tout.

 

Maintenant observez : Ne vous semble-t-il pas lire le chapitre 8 d’Ezéchiel ???

Première idole : La jalousie.

Vous devriez être entièrement Charité, n’est-ce pas ??? Charité pour inciter les autres à en faire preuve.

Or, qu’êtes-vous ??? Jaloux les uns des autres. Vous vous offensez si un laïc vous critique. Mais ne vous critiquez-vous pas l’un l‘autre, et souvent injustement ??? Le supérieur critique les inférieurs. L’inférieur critique les supérieurs. Vous êtes jaloux si l’un de vous attire l’attention, réussit mieux, ou devient plus riche.

Cela devrait vous faire horreur, mais c’est au contraire ce que vous enviez le plus.

Or est-ce que J’étais riche, Moi, Le Prêtre Eternel ??? Soyez donc parfaits et vous serez remarqués et loués, car seul La Louange de Votre Dieu devrait vous tenir à cœur.

Soyez parfaits et vous réussirez dans L’Unique but digne de votre habit sacerdotal : Celui d’amener des âmes à Dieu.

 

Seconde idole (il s’agit plutôt de nombreuses idoles): Les diverses hérésies qui remplacent en vous le culte que vous devriez rendre.

Vous aussi, à l’instar des 70 anciens cités par Ezéchiel, vous encensez chacun votre idole préférée.

Vous le faites dans l’obscurité, dans l’espoir que l’œil de l’homme ne le verra pas. Mais il vous voit, et vous le scandalisez. Car les fidèles, et les hommes en général, ressemblent aux enfants qui paraissent ne pas observer, mais ne cessent d’épier de l’œil et de l’oreille les plus grands qu’eux.

Or, ne savez-vous pas que, si l’homme ne vous voit pas, Dieu vous voit ???

Pourquoi donc encensez-vous la puissance de l’or ou celle de l’homme ???

Est-ce que, du haut de Mon Trône, Je ne vois pas trop de Mes prêtres être occupés à passer leur temps (ce temps que Je leur donne pour qu’ils le consacrent à leur mission Sacerdotale) en commerces humains susceptibles d’accroître leur bien-être ???

Si, Je le vois.

Est-ce que Je ne vois pas (et cela m’écoeure) trop de Mes prêtres abjurer Ma Loi pour obéir à la loi des vauriens dans l’espoir d’en obtenir honneurs et profits ??? Si, Je le vois.

 

Oh, les prêtres qui se mêlent de politique !!! Ces membres actuels du sanhédrin !!! Qu’ils se rappellent cependant quel fut le destin du sanhédrin, précisément de la main de ceux aux pieds desquels ils avaient prosternés leur conscience et violés Ma Loi. Je ne dis rien de plus. Ceci de la part des hommes.

Le reste viendra plus tard de la part du Juge Eternel et Juste.

 

Troisième idole : La sensualité.

Oui, il y a aussi celle-là. Je n’en dis pas davantage par respect pour mon « porte-parole ». Mais que chacun s’examine lui-même pour voir si une déesse païenne n’occupe pas la place des uniques créatures féminines qu’un prêtre est autorisé à se rappeler avec Amour : Ma Mère et la leur.

Pensez que vous me touchez, que vous me recevez. Cela suffit.

Ne mettez pas Le Très-Pur au contact d’une chair salie par La Luxure.

 

Quatrième idole : L’adoration de l’orient.

Les sectes. Oui, cela aussi. Ne devrais-je pas porter sur beaucoup d’entre vous un regard de mépris et apostropher beaucoup comme Je l’ai fait envers les pharisiens et les docteurs de Mon époque ???

Ne devrais-je pas susciter des « lumières » parmi les laïcs qui m’aiment plus que bon nombre d’entre vous, par pitié pour les âmes que vous laissez dans le froid, dans l’obscurité, dans l’impureté, par pitié pour les âmes pour lesquelles vous n’êtes pas la voie qui mène à Dieu mais un sentier qui porte vers le bas ???

Comment osez-vous répéter Ma Parole et prêcher Ma Loi quand cette Parole et cette Loi sont votre condamnation ???

Que celui qui est pur le devienne encore davantage, et que celui qui ne l’est pas le devienne.

 

L’humanité se trouve à un grand carrefour. Deux routes en partent : L’une monte vers Dieu, L’autre descend et mène à Satan.

Un roc se trouve à ce carrefour : C’est vous. Si vous agissez en rempart et si vous exhortez à prendre la première, Satan ne fera pas irruption et les âmes seront poussées vers Dieu.

Mais si vous êtes les premiers à rouler sur la pente de Satan, vous entraînerez l’humanité vers les horreurs de L’Antéchrist, en en anticipant l’échéance.

Or, s’il doit venir, malheur à ceux qui en avancent la venue et la prolongent, car il cessera d’exister à l’heure fixée de toute éternité.

Par conséquent, le temps de sa demeure sera d’autant plus long et le nombre des âmes qui se perdent d’autant plus nombreuses.

Or chacune d’elles sera vengée, souvenez-vous en. Car, si votre Dieu voit mourir le passereau, comment peut-il ne pas voir une âme qui meurt ???

J’en demanderai raison à ses meurtriers, quels qu’ils soient, et Je les condamnerai.

 

Comme vous pouvez le voir celui qui se sent appelé à devenir Prêtre (ou celui qui l’est déjà) a une grande tâche qui lui est confiée par Dieu. Elle est très exigeante, très prenante et constamment attaquée dans le monde où nous vivons, monde que nous définissons comme « laïc » … et où nous ne voulons pas entendre parler de Dieu …sauf pour le critiquer ….ou demander à L’Eglise de cautionner nos péchés !!!

Nous serions tout à fait d’accord si L’Eglise faisait un brassage de toutes les religions (les autres religions le font bien…comme le mariage des Prêtres, etc…), ainsi que de tous nos désirs actuels...afin que tous nos fantasmes puissent recevoir son approbation...sûr nous-même que nous ne péchons jamais...alors que nous naviguons d’idoles en idoles...ne nous tournant vers Dieu...que lorsque cela va mal...et l’accusant de tous nos maux !!!

Sauf que L’Eglise Catholique Romaine est L’Eglise que Jésus-Christ, Lui-même, a instauré pour servir l’unique Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit et amener les âmes au Royaume où Le Père les attend pour un Bonheur éternel et Infini !!!

Ce n’est pas n’importe quelle religionElle est unique !!!

 

Comme vous pouvez le voir, que nous ayons le désir et la vocation de nous marier (que nous ayons, selon l’expression «  trouvé l’âme sœur » ou pas encore) ou que nous désirions devenir Prêtre (ou encore Religieux), et que nous ayons mené jusqu’alors une vie de péchés loin de Dieu et de Ses Commandements ou relativement Chrétienne (voir pour certain déjà profondément Chrétienne), il nous faut commencer par le commencement et retrouver toutes les bases de Notre Foi, et de notre Amour pour Dieu.

Les différentes Réflexions que j’ai écrites peuvent vous y aider fortement, et si vous vivez tout ce qui est dit dedans, vous aurez déjà bien avancé sur Le Chemin d’Amour de Dieu.

Vous pourrez ainsi témoigner par ce que vous êtes, par votre vie, par vos partages et par vos enseignements de L’Amour de Dieu pour tous les hommes (sans exception !!!).

Bien sûr, ces Réflexions ne sont pas suffisantes (elles sont juste une base) et doivent se compléter par une étude approfondie de La Bible et des Enseignements de La Sainte Eglise Catholique, en totale obéissance avec ce qu’Elle nous enseigne. 

Comme vous le voyez, vous qui voulez devenir Prêtre (ou qui l’êtes déjà), quelque soit votre passé, pour devenir (ou être) le Prêtre tel que Dieu le désire, il faut absolument commencer par se convertir constamment, regretter sincèrement nos fautes pour ne plus y tomber, rechercher constamment à découvrir toujours plus « Qui est DIEU, de quel Amour Il nous Aime et qu’elles sont Ses exigences pour trouver Le Bonheur promis » au travers des différents écrits et enseignements de L’Eglise et des Saints, afin d’être celui qui saura Aimer et porter secours à toutes les brebis égarées et souffrantes en devenant « le porte parole » de Dieu.

Pour cela, il faut que Dieu soit au centre de votre vie (à tout instant du jour et de la nuit...on ne peut être ni Prêtre ni Chrétien à mi-temps !!!).

Pour cela il faut que La Prière soit au centre de votre vie (à tout instant du jour et de la nuit …en laissant votre cœur ouvert à Dieu en permanence...Lui enseignera notre sub-conscient pendant notre sommeil).

 

Pour cela il faut que Marie soit au centre de votre vie (Marie épouse et mère de Dieu qui nous a été donné pour Mère et pour modèle de vie, d’humilité, de pureté, de miséricorde, de compassion, d’abandon dans les mains de Dieu, d’obéissance et d’Amour pour Dieu).

 

Pour cela il faut que L’Amour pour Dieu vous imprègne tellement que vous deveniez des amoureux fous de votre Prochain, qu’il soit riche ou pauvre, bon ou méchant, fragile ou fort, plein d’amour ou plein de haine …sachant reprendre celui qui risque de s’égarer loin de Dieu (même s’il est riche, puissant et influant) et soulager celui qui souffre (même s’il est rejeté par les autres).

 

Comme « Le Bon Berger », le Prêtre saura prendre soin du troupeau qui lui est confié pour qu’il puisse paître en toute quiétude, avec suffisamment de nourriture pour tous (celle pour le corps, mais aussi et surtout celle pour l’âme : la nourriture spirituelle…et sans qu’elle soit galvaudée ou empoisonnée pour favoriser certains ou faciliter notre tranquillité !!!) …il saura veiller à ce que l’enclos soit en bon état partout afin d’empêcher les loups de venir attraper les brebis les plus fragiles (et à l’abri des regards) ou les brebis de partir s’égarer hors de l’enclos … risquant de tomber dans tous les pièges extérieurs, ainsi que sur des loups affamés.

 

Comme « Le Bon Berger », il saura se mettre entre ses brebis et les loups qui auraient réussis à percer l’enclos et rentrer dedans. Il ne laissera pas ses brebis affronter ces loups, mais c’est lui qui les affrontera, s’il le faut, au péril de sa vie.

Encore plus que le Chrétien qui est montré du doigt par ceux qui critiquent L’Eglise, le Prêtre doit être un exemple et un témoin irréprochable (aux yeux de Dieu) de vertu, de sagesse, d’humilité, de Don de Soi, d’Amour et de Compassion pour Dieu, pour Ses Commandements d’Amour, pour Son Eglise, pour son Prochain et pour lui-même en tant que représentant et porteur de Dieu (pas comme serviteur de ses sens et de ses péchés).

 

Le Prêtre doit être sans concession (pour lui-même comme pour les autres) vis-à-vis du péché et du respect des Commandements de Dieu et de L’Eglise(et en leur étant complètement et amoureusement soumis)…Le Prêtre ne peut (par exemple) permettre que des fidèles vivent dans le péché et le concubinage (donc la luxure et l’adultère) et aillent tranquillement communier en mangeant le Corps très Pur de Jésus !!!,…mais le Prêtre doit aussi être plein d’Amour, de Compassion et de Miséricorde aussi bien pour ses brebis blessées que pour celles qui se sont égarées sur les chemins du mal afin de les ramener, elles aussi dans son enclos afin de pouvoir les soigner (l’intransigeance sans la miséricorde éloigne de Dieu au lieu de ramener à Dieu...et la condamnation (comme le jugement) ne nous appartient pas …ils n’appartiennent qu’à Dieu …et ne sera qu’après notre mort sur terre).

 

Le Prêtre non seulement ne peut exclure, mais il doit être plein d’Amour (L’Amour de Dieu) aussi bien pour les victimes et les exclus, les pauvres et les mendiants, les sans abris et sans travail que pour leur bourreaux, condamnant leurs fautes, mais les appelant à revenir demander pardon, se repentir et se faire soigner par Dieu, et cela avec la plus grande Miséricorde.

 

Le Prêtre est « Prêtre » tout le temps, de jour comme de nuit, 7 jours sur 7 et 365 jours par ans. Il n’est pas comme les travailleurs en période de travail, puis en période de vacances ou de week-end !!!

Il se ressource en permanence auprès de Dieu et de La Très Sainte Vierge Marie dans La Prière, et quand il n’est pas sur le terrain, il porte auprès de Dieu les âmes qui lui sont confiées…et même lorsqu’il dort, il confie ses brebis à Dieu, souffrant de leurs souffrances, heureux de leurs joies, pleurant avec celles qui pleurent, implorant Dieu de toucher le cœur de celles qui se sont égarés et louant Dieu pour celles qui reviennent …et demandant à Dieu de guérir les blessures de ses brebis malades.

 

Pour ceux qui choisissent Le Mariage comme pour Les Prêtres, Dieu doit être Leur Amour…et cet Amour rejaillit sur leurs conjoints, leurs enfants et leurs familles pour ceux qui se marient …et cet Amour rejaillit sur leurs paroissiens, leurs communautés et sur toutes les brebis qui leurs sont confiés, pour les Prêtres.

Pour cela, le Prêtre doit être au cœur des prières de chacun, afin que Dieu l’éclaire, le guide, le conduise et le soutienne en lui donnant les forces dont il aura besoin.

 

Pour les Prêtres comme pour les couples, je vous confie ma prière pour chacun :

« Que Le Feu de l’Amour de Dieu embrase votre âme et que ses Flammes détruisent toutes les impuretés pouvant s’y trouver et fassent s’élever vers Le Ciel, vers Son Trône toutes nos bonnes actions et nos actes d’Amour ».

 

Votre âme ainsi purifiée, que Dieu veille sur elle et la protège, guérisse ses blessures, la conduise et la guide, la mène sur des chemins de Conversion, de Repentance, de Réparations, de Miséricorde, de Compassion, de Sainteté, de Perfection de L’Amour et de Sacrifices agréables à Dieu. »

Et que Dieu accorde à chaque famille vivant selon L’Amour de Dieu, de nombreux enfants qui désireront devenir de Saints Prêtres, de Saints Religieux, de Saintes Religieuses et de Saintes personnes Consacrées à Dieu.

 

Vous pouvez voir, en complément à cette Réflexion, celle que j’ai écrite par la suite :

Prière pour les Vocations.

 

         EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES

 

                                                    PIERRE

 

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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