Notre réponse à L'Amour de Dieu. Qui est La Très Sainte Vierge Marie ???...1ère Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

Notre réponse à L'Amour de Dieu. Qui est La Très Sainte Vierge Marie ?

 

Ma deuxième réflexion est sur notre réponse à l’Amour de Dieu avec en exemple l’Amour de Sainte Marie de Magdala (Marie-Magdeleine) et de Saint Jean de Zébédée (l’évangéliste) pour Jésus.

Puis nous nous pencherons sur La Très Sainte Vierge Marie (la nouvelle Eve), sur son Amour pour Dieu et son Amour pour nous.

 

Dieu (Père, Fils et Saint Esprit) doit devenir notre unique Amour, nous devons apprendre à l’aimer de plus en plus, avec tout notre être, d’un Amour totale et sans limite.

Quand Lui deviendra notre Unique Amour, L’Amour de Notre Vie, Celui après qui tout notre être court, alors Notre Âme sera envahit, débordera, de Son Amour. Ce sera comme un fleuve débordant qui jaillira de Notre Cœur, pour se déverser sur notre Prochain (conjoint, enfants, familles, amis, proches, collègues, voisins, etc…ceux que Dieu met sur notre route).

 

Pour ceux qui voudront vivre en couple, vos âmes tournées vers Dieu dans un total élan d’Amour, en acceptant d’offrir votre conjoint à Dieu dans le sacrement du mariage, seront envahies par L’ Amour de Dieu qui se déversera dans votre âme (qui ne fera plus qu’une seule âme devant Dieu) dans un torrent d’Amour, de Miséricorde et de Compassion dont le fruit sera vos enfants, que Le Seigneur pourra vous donner afin de les aimer, de les élever dans la droiture, la justice et l’Amour de Dieu, et de leur faire découvrir combien Dieu nous Aime, les Aime.

Pour ceux qui seront célibataires (par vocation, par engagement, par consécration ou par les évènements de la vie), vos âmes tournées vers Dieu dans un élan total d’Amour, seront envahies par l’ Amour de Dieu qui se déversera, à travers leur âme, sur leurs prochains et ceux que Le Seigneur leur confie.

Alors, notre Amour sera un véritable Amour, un Amour pur, sincère qui viendra de toute notre âme, baignée dans l’ Amour de Dieu pour nous et de nous pour Dieu, et non pas un amour faux qui vient de notre chair qui nous a rendu esclave de notre corps et de nos sens.


Aimons Dieu comme Marie-Magdeleine partie de très grande pécheresse et arrivée au sommet de l’Amour :

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 8, chapitre 11 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé)… (8.11) 

 Demande de Marie-Magdeleine à Jésus…peu après la Résurrection de Lazare, son frère.

"Alors, brûle-moi, Seigneur. Je te le demande en grâce."

"Ne te suffit-elle pas la force d'amour que tu possèdes ?"

"C'est trop peu, Seigneur. Elle pouvait servir pour aimer des hommes, pas pour Toi qui es le Seigneur infini."

"Mais justement parce que je suis tel, il serait alors nécessaire d'avoir un amour sans limites..."

"Oui, mon Seigneur. C'est cela que je veux. Que tu mettes en moi un amour sans limites."

"Marie, le Très-Haut, qui sait ce qu'est l'amour, a dit à l'homme : "Tu m'aimeras de toutes tes forces". Il n'exige pas davantage, car Il sait que c'est déjà un martyre d'aimer avec toutes ses forces…"

"N'importe, mon Seigneur. Donne-moi un amour infini pour t'aimer comme tu dois être aimé, pour t'aimer comme je n'ai aimé personne."

"Tu me demandes une souffrance semblable à un bûcher qui brûle et consume, Marie. Il brûle et se consume lentement... Penses-y."

"Il y a si longtemps que j'y pense, mon Seigneur, mais je n'osais te le demander. Maintenant je sais combien tu m'aimes. Maintenant vraiment je sais à quel point tu m'aimes, et j'ose te le demander. Donne-moi cet amour infini, Seigneur."

 

Jésus la regarde. Elle est devant Lui, encore amaigrie par les veilles et la souffrance, avec un vêtement modeste et une coiffure simple, comme une fillette sans malice, avec un visage pâle où s'allume le désir, les yeux suppliants et pourtant déjà étincelants d'amour, déjà plus séraphin que femme. C'est vraiment la contemplatrice qui demande le martyre de la contemplation absolue.

Jésus lui dit un seul mot après l'avoir bien regardée, comme pour mesurer sa volonté : "Oui"

"Ah ! Mon Seigneur ! Quelle grâce de mourir d'amour pour Toi !" elle tombe à genoux pour baiser les pieds de Jésus.

 

"Lève-toi, Marie, prends ces fleurs. Ce seront celles de tes noces spirituelles. Sois douce comme le fruit de l'amandier, pure comme sa fleur et lumineuse comme l'huile que l'on extrait de son fruit quand on l'allume, et parfumée comme cette huile quand saturée d'essences on la répand dans les banquets ou sur la tête des rois, parfumée par tes vertus. Alors vraiment tu répandras sur ton Seigneur le baume qui Lui sera infiniment agréable."

Marie prend les fleurs mais ne se lève pas de terre et embaume à l'avance par son amour avec ses baisers et ses larmes répandues sur les pieds de son Maître.

 

Aimons Dieu comme Jean de Zébédée (l’évangéliste) d’un Amour Pur et Vrai, désireux de s’instruire dans la science de Dieu (de découvrir qui est Dieu ???).

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 2, chapitre 8 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé)… (2.8)

Jésus dit :

Jean de Zébédée est un être pur. Il est " le Pur " au milieu de mes disciples. Son âme est une fleur dans un corps angélique. Lui m'appelle avec les paroles de son premier maître et me demande de lui donner la paix.

Mais la paix, il la possède en lui-même par la pureté de sa vie et je l'ai aimé à cause de la pureté qui resplendit en lui. C'est à elle que j'ai confié mes enseignements, mes secrets, la Créature qui m'était la plus chère.

Il a été mon premier disciple, il m'a aimé dès le premier instant qu'il m'a vu. Son âme s'était fondue avec la mienne du jour où il m'avait vu passer le long du Jourdain et qu'il avait vu le Baptiste me montrer. Même s'il ne m'avait pas rencontré ensuite à mon retour du désert, il m'aurait cherché jusqu'à ce qu'il me trouve.

En effet, celui qui est pur est humble et désireux de s'instruire dans la science de Dieu et il va, comme l'eau vers la mer, vers ceux en qui il voit des maîtres de la doctrine céleste." 

 

J'insiste sur la valeur de la Pureté. La Chasteté est toujours source de lucidité pour la pensée. La Virginité affine et puis maintient la sensibilité de l'intelligence et des affections à un degré de perfection que seul celui qui est vierge expérimente.

Il y en a tant qui ne gardent qu'une fidélité matérielle, mais sont infidèles par leur pensée qui regrette et désire ce qu'elle a sacrifié. Ceux-là ne sont vierges qu'à moitié. Si la chair est intacte, le cœur ne l'est pas.

Il fermente, ce cœur, il bouillonne; il émet des fumées sensuelles d'autant plus raffinées et condamnables qu'elles sont des créations de la pensée qui caresse, paît et fait fourmiller les imaginations d'assouvissements illicites pour ceux qui sont libres et plus qu'illicites pour ceux qui ont fait un vœu.

C'est alors l'hypocrisie du vœu. Il y a l'apparence mais il manque la réalité. En vérité je vous dis que si quelqu'un vient à Moi avec un lys abîmé par la volonté d'un brutal et qu'un autre vient avec un lys intact matériellement mais souillé par le débordement d'une sensualité caressée et cultivée pour en remplir les heures de solitude, le premier, je l'appelle " vierge " et je dénie cette qualité au second.

Et, au premier je donne la double couronne de la virginité et du martyre à cause de sa chair blessée et de son cœur couvert de plaies par une mutilation qu'il n'a pas voulue. 


Aimons Dieu comme Jean de Zébédée (l’évangéliste) d’un Amour Humble et Bon.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 2, chapitre 11 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé)… (2.11)

A propos de cette vision, Jésus me dit ce matin : "Je veux que toi et que tous vous remarquiez l'attitude de Jean; en un de ses côtés qui échappe toujours. Vous l'admirez parce que pur, aimant, fidèle, mais vous ne remarquez pas qu'il fût grand en humilité.

Lui, à qui l'on doit la venue de Pierre vers Moi, il tait modestement ce point particulier. L'apôtre de Pierre, et par conséquent le premier de mes apôtres, ce fut Jean.

Le premier à me reconnaître, le premier à m'adresser la parole, le premier à me suivre, le premier à m'annoncer.

Et pourtant, voyez ce qu'il dit : "André, frère de Simon, était un des deux qui avaient entendu les paroles de Jean et avaient suivi Jésus. Le premier sur qui il tomba fut son frère Simon à qui il dit: 'Nous avons trouvé le Messie' et il le mena à Jésus". (Jean 1 40-42).

 

Avec sa justice, en plus de sa bonté, il sait que André est embarrassé de n'avoir qu'un caractère renfermé et timide, qui voudrait tant agir; mais qu'il ne réussit pas à faire, et il veut que soit transmis à la postérité le souvenir de son bon vouloir.

Il veut qu’André semble le premier apôtre du Christ auprès de Simon bien que sa timidité et son effacement auprès de son frère lui aient apporté un échec dans son apostolat.

 

Qui, parmi ceux qui font quelque chose pour moi sait imiter Jean et ne se proclame pas lui-même apôtre incomparable ?

Ils ne réfléchissent pas que leur réussite vient d'un ensemble de choses, qu'il ne s'agit pas seulement de sainteté, mais aussi d'audace humaine, de chance, du fait de se trouver près d'autres moins hardis ou moins chanceux, mais peut-être plus saints qu'eux-mêmes.

 

Dans une belle réussite, ne vous glorifiez pas comme si le mérite n'en revenait qu'à vous. Louez Dieu, patron des ouvriers apostoliques. Ayez le regard limpide et le cœur sincère pour remarquer et donner à qui de droit les applaudissements qui lui reviennent.

Un regard limpide pour remarquer les apôtres qui réalisent l'holocauste et qui sont les premiers vrais leviers dans le travail des autres.

Dieu seul les voit, ces timides qui semblent ne rien faire et sont au contraire ceux qui dérobent au Ciel le feu qui anime les audacieux.

Un cœur sincère doit dire : Moi je travaille, mais celui-ci a plus d'amour que moi, prie mieux que moi, s'immole comme moi je ne sais le faire et comme Jésus a dit : 'Entre dans ta chambre et enferme-toi dans le secret pour prier en secret'. Moi qui vois son humble et sainte vertu, je veux la faire connaître et dire : 'Moi, je suis l'instrument actif; lui, la force qui me meut parce que, greffé comme il l'est sur Dieu, c'est par son canal que je reçois la force d'en Haut".

 

Et la Bénédiction du Père qui descend pour récompenser l'humble qui s'immole en silence pour procurer la force aux apôtres, descendra aussi sur l'apôtre qui reconnaît sincèrement l'aide surnaturelle et silencieuse qui lui vient de l'humble, et le mérite de cet humble que les hommes superficiels ne remarquent pas.

Recueillez-en tous l'enseignement.

Jean est mon préféré ? Oui, mais n'a-t-il pas encore cette ressemblance avec Moi ? Pur, aimant, obéissant, mais humble aussi.

Je me mirais en lui et en lui je voyais mes vertus. Je l'aimais, pour cette raison comme un second Moi-Même.

Je voyais sur lui le regard du Père qui le reconnaissait pour un petit Christ. Et ma Mère me disait : "En lui, j'ai le sentiment d'avoir un second fils. Il me semble Te voir, Toi, reproduit en lui qui n'est qu'un homme."

 

Oh ! La Pleine de Sagesse, comme Elle t'a connu, ô mon aimé ! Les deux azurs de vos cœurs de parfaite pureté se sont fondus en un voile unique pour me faire une protection d'amour et sont devenus un seul amour, avant déjà que je donne la Mère à Jean et Jean à la Mère.

Ils s'étaient aimés pour s'être reconnus semblables: fils et frères du Père et du Fils."

 

Alors, nous aurons des ailes pour rechercher Sa Parole, pour nous nourrir de Lui (dans l’Eucharistie quotidienne) en mangeant son Corps et laissant son Sang, mélangé aux Larmes de Sa Très Sainte Mère, purifier Notre âme, pour lui rendre des sacrifices qui Lui seront agréables, pour apprendre à aimer de son Amour, à pardonner avec Sa Miséricorde, à demander pardon pour nos offenses chaque fois que nous chutons, à réparer le mal que nous avons pu faire, à souffrir en Union avec Sa Croix, et à faire en toute chose ce qui peut Lui plaire. 

Peut-être vous dites-vous que pour aimer Dieu de cette manière, il faudrait le découvrir et découvrir son Amour pour nous (et cela malgré toutes les souffrances que nous vivons), sinon comment aimer sans le connaître d’abord.

 

Mais je répondrais que pour le connaître d’abord, il faut désirer dans son cœur, vraiment et sincèrement, le connaître et le découvrir...découvrir qu’Il est vivant aujourd’hui, dans chacun de vos cœurs, de vos vies, qu’Il souffre pour nous et bien plus que nous.

Si vous vous dites : « plus tard » ou « je n’ai pas le temps » ou « je n’ai pas envi » ou pleins d’autres excuses, Dieu ne se montrera pas. Si votre cœur et votre esprit sont pleins de critiques, moqueries ou négations en demandant des preuves mais sans vraiment y prêter une réelle et vraie attention (cherchant plutôt une autre occasion de se moquer), etc…, Dieu ne se montrera pas.  C’est un Dieu patient, mais qui ne s’impose pas. Il attend votre désir.

 

Ainsi Jésus (dans ses Révélations à Maria Valtorta) explique la conversion de Marie-Magdeleine (Jésus s’est retrouvée sur sa route grâce aux prières, aux souffrances et aux sacrifices de ses proches...mais c’est dans son cœur qu’a commencé le désir de Dieu) :

 

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 4, chapitre 99 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé)… (4.99)

Toujours, ô Maria, je viens quand quelqu'un "applique son cœur à comprendre". Je ne suis pas un Dieu dur et sévère. Je suis la Miséricorde vivante, et plus rapide que la pensée, je viens vers celui qui se tourne vers Moi.

Même pour la pauvre Marie de Magdala, si plongée dans son péché, je suis venu rapidement avec mon esprit dès que j'ai senti s'élever en elle le désir de comprendre. Comprendre la lumière de Dieu et son état de ténèbres. Et pour elle, je me suis fait Lumière.

Je parlais à beaucoup de gens ce jour-là (Parabole de La brebis perdue, (4.94. Luc 15 4-7)), mais en vérité je parlais pour elle seule.

Je ne voyais qu'elle qui s'était approchée, poussée par la fougue d'une âme qui se révoltait contre la chair qui la tenait assujettie.

Je ne voyais qu'elle avec son pauvre visage en détresse, avec son sourire contraint qui cachait, sous une apparence de sécurité et de joie trompeuse qui était un défi au monde et à elle-même, sa grande peine intérieure.

Je ne voyais qu'elle, bien plus enserrée par les ronces que la brebis égarée de la parabole, elle qui se noyait dans le dégoût de sa vie venu à la surface comme ces vagues profondes qui amènent avec elles l'eau du fond.

Je n'ai pas dit de grandes paroles, ni abordé un sujet indiqué pour elle, pécheresse bien connue, pour ne pas la mortifier et pour ne pas la contraindre à fuir, à rougir d'elle-même ou à venir.

Je l'ai laissée tranquille. J'ai laissé ma parole et mon regard descendre en elle et y fermenter pour faire de cette impulsion d'un moment, son glorieux avenir de sainte.

J'ai parlé par une de mes plus douces paraboles : un rayon de lumière et de bonté qui se répandait justement pour elle.

 

Et, ce soir-là (peu de temps après, dans la maison du pharisien Simon (4.97. Luc 7 36-50)), alors que je mettais le pied dans la maison du riche orgueilleux chez qui ma parole ne pouvait fermenter en gloire future parce que tuée par l'orgueil pharisaïque, je savais déjà qu'elle serait venue après avoir tant pleuré dans la pièce où elle avait péché et qu'à la lumière de ses pleurs était  déjà décidé son avenir.

Les hommes, brûlés par la luxure, en la voyant entrer ont tressailli en leur chair et ont laissé pénétrer le soupçon en leur pensée.

Tous l'ont désirée, sauf les deux "purs" du banquet : Jean et Moi. Tous ont cru qu'elle venait poussée par un de ces probables caprices qui, vraie possession démoniaque, la jetaient dans des aventures imprévues.

Mais Satan était désormais vaincu. Et tous ont pensé, envieux, en voyant qu'elle ne se tournait pas vers eux, qu'elle venait pour Moi.

 

L'homme salit toujours même les choses les plus pures quand il est seulement homme de chair et de sang. 

Seuls les purs voient juste parce qu'il n'y a pas en eux de péché pour troubler la pensée. Mais que l'homme ne comprenne pas, cela ne doit pas effrayer, Maria. Dieu comprend et cela suffit pour le Ciel.

La gloire qui vient des hommes n'augmente pas d'un gramme la gloire qui est le sort des élus dans le Paradis. Souviens-t’en toujours.

 

La pauvre Marie de Magdala a toujours été mal jugée dans ses bonnes actions. Elle ne l'avait pas été dans ses mauvaises actions parce que c'étaient des bouchées de luxure offertes aux vicieux.

Critiquée et mal jugée à Naïm, dans la maison du pharisien, critiquée et accablée de reproches à Béthanie, dans sa maison . (Onction de Béthanie : Jean 12 1-8, Matthieu 26 6-13)

 

Mais Jean, qui dit une grande parole, donne la clef de cette dernière critique: "Judas... parce qu'il était voleur". Moi je dis: "Le pharisien et ses amis parce qu'ils étaient luxurieux".

Voilà, vois-tu ? L'avidité de la sensualité et l'avidité de l'argent élèvent la voix pour critiquer une bonne action. Les bons ne critiquent pas. Jamais. Ils comprennent.

Mais, je le répète, peu importe les critiques du monde. Ce qui importe, c'est le Jugement de Dieu.

 

            EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

 

                                                    PIERRE

 

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA DEUXIEME PARTIE.

(Voir sous-page de ce dossier).

 

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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