41. La Brebis perdue (et L'Enfant Prodigue)...4ème Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

LA BREBIS PERDUE (et L’ENFANT PRODIGUE)…4ème Partie.

 

QUATRIEME PARTIE.

Voyons maintenant, plus en profondeur comment Jésus agit avec « la brebis égarée », avec quel Amour, avec quelle Compassion, avec quelle Tendresse, avec quelle Prévenance, Il l’entoure, souffrant de ses souffrances et pleurant de ses désespoirs et de ses offenses ???

 

Parabole de l’enfant prodigue. (Luc 15 11-32).

Nous en avons un aperçu au travers de la parabole de « L’enfant prodigue » où le père vient chaque jour voir si son fils qui était perdu, est enfin de retour.

(Ces deux paraboles se complétant parfaitement…le fils parti rappelant l’image de la brebis égarée).

 

Plus nous nous sommes enfoncé dans le péché, plus nous sommes enserré dans ses ronces et ses épines, sans pouvoir nous en sortir et nous en délivrer (Satan ne veut pas lâcher ses proies, et au contraire, veut les enserrer encore plus dans ses griffes), plus Jésus nous Aime d’un Amour compatissant et Souffrant, et veut nous délivrer de cette prison qui nous étouffe, car Il nous Aime tous d’un Amour fou, et veut nous faire partager Son Royaume.

(Voir comment le père accueille le fils prodigue à son retour, alors que celui-ci ne venait chercher qu’un simple emploi, reconnaissant sa trahison et son péché…Le Père fait tuer « le veau gras » et fait une fête immense…car le fils qui était perdu est de retour !!!).

 

Cela m’amenant à préciser un point important de cette parabole sur « l’enfant prodigue ».

Le Père, bien que souffrant de voir Son fils parti, plongé dans la pourriture du péché grâce à l’argent (aux dons et aux bienfaits, pourrait-on dire) qu’il a reçu, bien que venant chaque jour voir s’il était de retour avec un élan du cœur souffrant, mais pleins d’espérance, n’a à aucun moment enfreint la liberté de son fils.

 

Son fils était parti gaspiller sa fortune au milieu des prostituées, une fois sans ressource, ne voulant pas aller vers son père (Dieu, notre Père), de désespoir s’est mis au niveau des cochons, mangeant leur nourriture et dormant avec eux, mais son père l’a toujours laissé libre (car Dieu nous laisse notre liberté totale et entière…nous ne voulons pas de Lui…Il s’en va, nous laissant seul avec nos désirs, nos envies et notre péché…comme notre désespoir).

Nous rejetons Dieu. Dieu s’en va selon notre désir. Et c’est Satan qui prend la place en exacerbant la convoitise et les désirs de notre chair.

Le Père attend que le fils veuille bien revenir vers lui et s’il revient, même timidement, mais avec regret et sincérité…alors Il le prend dans Ses bras, et Il fait une grande fête.


Le Père attend avec Compassion et espérance le retour (ou simplement un geste de retour, voir un simple mais véritable appel au secours), alors Il se précipite à la rencontre du fils prodigue, sans même attendre son arrivée à la maison du Père.


Mais le Père ne va pas vers le fils tant qu’il demeure dans son péché et s’y complait. Si le fils veut rester dans son péché, si par désespoir et orgueil, il refuse le moindre geste en direction du Père…alors le Père, tout en souffrant atrocement de ce déchirement, laissera le fils à sa liberté de rester seul, en proie à Satan, se suicider de désespoir (comme pour Judas).

 

En effet, le fils est parti parce qu’il ne voulait plus voir son père et pouvoir, enfin libre, faire la fête et gaspiller toute la fortune dont il avait droit (concrètement, comme je l’avais dit dans ma Réflexion n°11 : Les Dons de Dieu, cette fortune peut très bien être notre corps et sa beauté, notre intelligence et sa capacité à dominer les autres…).

Et le père, qui Aime son fils, respecte son choix et ne va pas au milieu des orgies de son fils pour faire un scandale et prendre son fils par la peau du cou pour le ramener à la maison… mais, tous les jours, il attend son retour, et viens voir si au loin, même très loin, il ne l’apercevrait pas.

 

Nous ne voulons plus entendre parler de Dieu, nous ne voulons plus de ses Commandements, nous voulons récupérer pour nous les Dons qu’Il nous a fait, en faire des orgies avec et nous rouler dans la gadoue avec notre chair corrompue, alors Dieu disparaît de notre vie.


Il ne se montre plus et nous laisse faire tout ce que nous voulons…mais Il est toujours là, à scruter la route, à nous attendre pour voir si un jour, même de très loin, avec un simple regard vers Lui, un simple regret vers Lui, un simple appel au secours vers Lui, nous aurions commencé à prendre le chemin qui conduit vers Dieualors là, même de très loin, Il court vers nous, nous comble de Sa Joie, de Ses Baisers, de Son Amour et de Sa Tendresse et Il dit à tous Ses Saints :

« Allez lui donner un bon bain chaud, lavez-le, soulagez ses blessures, donnez-lui de beaux habits, préparez le veau gras…car Mon Fils qui était mort est de retour ».

 

Saint Paul nous le dit aussi dans ce passage du Nouveau Testament : Romains 5 20.

« Là où le péché s’est multiplié, La Grâce a surabondé ».

 

Dieu est tout le contraire de Satan.

Dieu est Amour, et pour qu’il y ait Amour, il faut qu’il y ait La liberté, notre Liberté.


Satan est Haine, et avec la Haine se trouve l’absence de Liberté et l’esclavage.

Lorsque nous nous sommes laissés prendre dans ses griffes, il ne nous lâche plus, et au contraire nous enserre de plus en plus pour nous étouffer dans le désespoir et la mort (après les orgies et les fastes, l’enfant prodigue, suite à une famine, n’a plus d’argent,donc plus de femmes, plus de pouvoir, plus d’amis…vient alors le désespoir et la chute de plus en plus bas jusqu’à devenir cochon (dormant et mangeant avec eux leur nourriture) au milieu des cochons (ce qui pour les juifs, était la pire des choses)…puis le suicide…seul un désir de repentir (même très faible, mais sincère) vers Dieu peut l’empêcher…et Dieu nous attend…pour faire la fête, nous redonnant la place de fils que nous avions (donnez-lui les plus beau habits, car mon fils qui était mort est de retour).

 

N’est-ce pas ce qui se passe pour chacun de nous, lorsque nous demandons à Dieu notre part d’héritage pour le quitter et aller nous vautrer dans le péché (Satan nous fait miroiter la Gloire, la Puissance, le Sexe…puis nous retire tout, pour nous entraîner dans le désespoir) !!!

 

N’est-ce pas ce que nous ressentons lorsque nous disons : « J’aimerais bien me détacher de telle ou telle chose, de tel ou tel vice, de telle ou telle habitude…je sens que cela me fait du mal…mais je n’arrive pas à m’en défaire !!! ».

Seul notre désir de repentance et de revenir vers Dieu peut nous sauver...car alors Dieu revient vers nous et nous délivre, Satan ne pouvant rien contre Dieu. 

 

Extrait de ma Réflexion n°11 : Les Dons de Dieu.

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 3, chapitre 40 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

Dans la cuisine de Pierre. Instruction et annonce de la capture du Baptiste.
 

Voilà l’explication de cette parabole donnée aux apôtres par Jésus :

Jésus dit :

Dieu ne vous fait pas violence dans votre pensée ni non plus dans votre sanctification. Vous êtes libres.

Mais Il vous rend la force. Il vous délivre de la domination de Satan. A vous de reprendre le joug infernal, ou de mettre à votre âme des ailes d'ange.

Tout dépend de vous pour me prendre comme frère pour que je vous guide et vous nourrisse d'une nourriture immortelle.

 

Et n’oublions pas une chose, nous sommes les Fils de Dieu, pas de Satan.

C’est Le Père qui a crée notre âme (qui est éternelle) dans Son Royaume et, sous l’action de L’Esprit Saint, l’a mise sur terre, dans notre corps alors que nous étions encore dans le ventre de notre maman.

Le Fils, Lui, s’est sacrifié pour nous sauver, car nous étions perdu à cause de la faute du péché originel, et par Son Sacrifice, Il nous ouvre à nouveau La porte du Royaume de Dieu en lavant notre âme par Son Sang.

A nous de choisir, durant notre courte vie sur terre, si nous acceptons d’être Fils de Dieu et d’avoir part à l’héritage qu’Il veut nous donner, ou si nous le rejetons pour aller nous vautrer avec Satan…qui n’espère que cela…pour nous entraîner à notre perte dans Son royaume où n’existe que Haine et Souffrance (éternelle...puisque notre âme est éternelle).

 

Satan ne nous a pas crée, n’a pas crée notre âme…mais cherche par tous les moyens à la récupérer et à la voler à Dieu…et pour cela, il est prêt à nous promettre « la lune », à répondre à tous nos désirs (les plus malsains, ceux de notre chair, ceux d’orgueil, d’égoïsme, de luxure, d’avarice, etc…) les plus cachés en nous, les plus secrets, les plus inavouables…mais tellement désirables, une fois la honte dépassée !!!

Et comme il est menteur…cela ne l’engage pas trop…et amène ceux qui le suivent, après un court instant de jouissance, à la haine et au désespoir, puis du désespoir au meurtre et enfin au suicide et à la mort éternelle…ce qu’il veut pour nous entraîner dans son Royaume de Haine et de Souffrance, et nous enlever à Dieu !!!

(La suprême tentation. Satan dit : « Tout ceci est à moi…je te le donne, je te donne tout ce que tu désires, à condition que tu t’agenouilles devant Moi !!!...une fois agenouillé devant lui, nous nous apercevons qu’Il ne nous l’a pas donné, et nous le lui disons…

Eh ! Eh ! Nous réponds-t-il… Je t’ai menti, mais maintenant tout le monde sait que tu t’es mis à genoux devant moi pour m’Adorer…alors, il ne nous reste plus que le désespoir d’avoir tout perdusauf, si nous nous tournons vers Dieu en regrettant notre faute…car alors Dieu vient à notre secours et nous délivre des griffes de Satan, comme Il a délivré Marie-Magdeleine).  

 

Mais attardons-nous maintenant, sur le chemin que prend Jésus pour aller chercher cette brebis égarée et la ramener au bercail, en l’entourant de tous Ses soins, au travers des révélations de Jésus à Maria Valtorta.

Comme je le disais, au travers de cette parabole, Il veut toucher le cœur de Marie-Magdeleine, mais au travers de Marie-Magdeleine, il veut tous nous toucher.

 

Mais qui était Marie-Magdeleine ???

Marie-Magdeleine (Marie de Magdala) avait tout pour elle (voir ma Réflexion n°11 : Les Dons de Dieu) : Beauté, Puissance, Pouvoir, Argent.

Elle était la sœur de Marthe (Marthe de Béthanie) et de Lazare (Lazare de Béthanie).

Son Père était le gouverneur de Syrie. La famille disposait, entre autre, d’un véritable « palais » (aujourd’hui, on dirait un palace ou une résidence de très grand luxe pour V.I.P.) à Magdala qui a servi à Marie de lieu de perversions pour toutes ses débauches…faisant fuir sa sœur et son frère de ce lieu de débauche.

C’est pourquoi elle était surnommée « la prostituée de Magdala » ou « Marie-Magdala » devenue Marie-Magdeleine.

C’est pourquoi Marthe et Lazare avait fuit cette ville pour Béthanie.

 

Et c’est parce que Marthe et Lazare avaient beaucoup d’Amour, de chagrin, de souffrance et de tristesse qu’ils n’avaient pas condamné leur sœur (ils auraient dut la faire lapider, selon la coutume de l’époque).

Marthe priait jour et nuit pour la conversion de sa sœur.

Lazare, outre sa prière, souffrait d’une très grave maladie aux jambes qui le faisait souffrir horriblement (et qui l’a conduit à la mort…avant d’être ressuscité par Jésus). Il offrait ses souffrances pour la conversion de sa sœur.

Il a connu Jésus dès le début de sa vie publique, grâce à Simon Le Zélote qui était son voisin.

Il a mis toute sa fortune, et ses nombreuses résidences au service de Jésus durant toute sa vie publique…et surtout lorsque Jésus devait se cacher, entre autre dans les derniers temps.

 

"C'est la plus grande ressuscitée de mon Évangile. Âmes qui avez erré, apprenez d'elle la Science qui prépare au Ciel". Portrait spirituel en 5.67 

 

La première vraie rencontre, après celle, furtive, du lac (2.63), a lieu au cours du Sermon sur la montagne (3.34). Au cours de la deuxième, Jésus ressuscite un de ses amants tué par un romain jaloux (3.43).

Progressivement elle se convertit au terme de luttes internes intenses (4.92). La parabole de la brebis perdue et retrouvée est pour elle.

Son chemin de conversion est décrit par Jésus dans son commentaire de 4.95 et dans différents commentaires.

Dans la flamme de sa conversion, se jette au pied de Jésus lors d’un dîner chez Simon le pharisien (Luc 7,36-50).

Bouleversée elle se réfugie à Nazareth chez Marie (4.100) dont elle revient pour rejoindre le groupe des disciples : elle fera désormais partie des femmes qui suivront Jésus. 

 

Marie de Magdala revivra douloureusement son passé, comme une dernière purification, lors de l'agonie de son frère Lazare : son délire fait resurgir un passé honteux devant une Marie effondrée. (8.4).

"Tu es une des âmes que Satan hait le plus, mais tu es aussi une des plus aimées de Dieu" lui dit Jésus (7.180).

"Sais-tu qui, parmi mes plus intimes, confieras Jésus à Lazare, a su changer sa nature pour devenir du Christ, comme le Christ le veut ? Une seule : ta sœur Marie. Elle est partie d'une animalité complète et pervertie pour atteindre une spiritualité angélique.

Et cela par l'unique force de l'amour." (9.6) 

 

Elle sera la première à voir le tombeau vide. -  "Marie-Magdeleine, la ressuscitée à la Grâce, a la première vision de la Grâce Ressuscitée". (10.6) 

Elle est aussi une des premières personnes à aller vénérer le Golgotha après la Passion de Jésus :

J’y suis mort. Et je l’ai sanctifié pour toujours. En vérité je vous dis que jusqu’à la fin des siècles il n’y aura pas de lieu plus saint que celui-là, et il attirera les foules de toute la Terre et de toutes les époques pour baiser cette poussière.

Et il y a déjà quelqu’un qui vous y a précédés, sans craindre les moqueries et les vengeances, sans craindre de se contaminer. Et pourtant celle qui vous a précédés avait une double raison de craindre cela.” dira Jésus à ses apôtres craintifs (10.16) 

 

La fin de vie de Marie Madeleine.

On suppose que la fin de sa vie se passera dans la douleur si l’on en croit cette phrase de Jésus à Maria Valtorta : "Puis viendra le jour où je dirai comme à Marie de Magdala mourante : 'Repose-toi. Il est temps pour toi de reposer. Donne-moi tes épines. Il est temps de roses. Repose-toi et attends. Je te bénis, bénie'. (1.22 – p.97)".

Cette douleur sera l'amour qui consume "Il n'y a pas d'autre voie pour toi, Marie, que l'amour. En effet quelle que soit la voie que tu prendras, elle sera toujours amour. Amour si tu rends service en mon nom. Amour si tu évangélises. Amour si tu t'isoles. Amour si tu te martyrises. Amour si tu te fais martyriser.

Tu ne sais qu'aimer, Marie. C'est ta nature" (8.11). A l'instar des grands saints, ce chemin sera celui de la félicité finale :

"Marie, une bonne servante pour Moi. Aujourd'hui plus qu'hier. Demain plus qu'aujourd'hui. Jusqu'à ce que je te dise : 'Cela suffit, Marie. C'est l'heure de ton repos'." 

"C'est dit, Seigneur. Je voudrais que tu m'appelles, alors. Comme tu as appelé mon frère hors du tombeau. Oh ! Appelle-moi, Toi, hors de la vie !" 

"Non, pas hors de la vie. Je t'appellerai à la Vie, à la vraie Vie. Je t'appellerai hors du tombeau que sont la chair et la Terre. Je t'appellerai aux noces de ton âme avec ton Seigneur." (8.11) 

 

Dans ce dialogue sublime avec Jésus, Marie de Magdala demande le martyr par l'amour. Ce martyr lui sera accordé : "Quelle grâce de mourir d'amour pour Toi !" 

 

Les persécutions s'accentuant, la famille de Béthanie choisit de s'expatrier : "On ne peut certainement pas se dire que Lazare, Marie et Marthe ont été des créatures craintives. Tu vois pourtant que, bien qu’avec une extrême douleur, ils se sont éloignés d’ici pour porter ailleurs la Parole divine qui ici aurait été étouffée par les juifs" ( 10.34). Ce qui corrobore la tradition de leur exil en Gaule (voir ci-dessous).

Dans une vision rapportée dans les "Cahiers de 1944", Maria Valtorta voit la mort de Marie Madeleine dans une grotte qui semble être celle de la Sainte Baume.

 

Jésus agit en médecin qui doit soigner une malade.

Réalisons bien deux choses.

La première, c’est que c’est Dieu qui agit et qui sait comment agir en bon médecin de l’esprit et du cœur qu’Il est.

Confions-lui nos prières et Lui agira avec tous les soins dont la personne a besoin.

Ne nous proclamons pas médecin et agissant par nous-même, souvent en allant retirer par la peau du coup ceux qui sont dans le péché, souvent en exigeant d’eux un changement,  en les menaçant d’être condamné éternellement s’ils ne vous suivent pas...et toujours en les jugeant, alors que nous ne connaissons pas le profond de leur cœur.


Laissons le jugement et les soins au Seigneur…et prions, souffrons, faisons de vrais sacrifices pour leurs conversions, Dieu pourra alors agir.


La deuxième chose est que Dieu laisse libre les personnes (voir l’enfant prodique), car Il nous Aime et respecte nos choix.

Il ne vient au milieu de notre pourriture que si quelqu’un le lui demande (soit la personne qui n’en peut plus de sa condition, de sa prison qui l’oppresse, soit parce que ceux qui l’aiment prient, offrent leurs sacrifices et leurs souffrances pour ces personnes).

Pour Marie-Magdeleine, il a été appelé par L’Amour, les prières, les offrandes, les sacrifices et les souffrances de Lazare et de Marthe.


Il a examiné la malade, lors de sa venue pendant son discours du Sermon sur la montagne sur Les Béatitudes.

Il a alors rappelé La Loi…et a commencé la deuxième partie des Béatitudes : Malheur à vous…

Ensuite, Il a appelé au Pardon et à La Miséricorde (aussi bien Lazare que Marthe, mais aussi cette femme dont le fils, client et amant de Marie-Magdeleine, avait été tué par un Romain jaloux, et ensuite ressuscité par Jésus).

Ensuite, Il a fait chanté La Miséricorde et L’Espérance dans le cœur malade et fou de Marie-Magdeleine.

Il lui faudra une très grande lutte interne pour venir vers La Lumière et croire qu’elle ne dégoûte pas Dieu…que Dieu L’Aime, veut son Bonheur et la sauver.


Enfin, Il ne l’a pas condamné, mais lui a montré, au contraire, combien elle était chère à ses yeux, en relatant la parabole de la Brebis perdue.


EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

 

                             PIERRE

 

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA CINQUIEME PARTIE.

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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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