Lundi 29 Juin 2009 (Fête de Saint Pierre et Saint Paul)…2ème Partie

Et ici, dès cet instant, tu es le chef auquel il faut donner l’obéissance et le respect comme à un autre Moi-même !!!

Par la suite, Saint Pierre a trahit Jésus…et beaucoup de nos contemporains (et sans doute des anciens de l’époque) provoqueraient des manifestations et des pétitions pour demander sa démission (voyez son passé…comment peut-on faire confiance à cet homme ???... Comment peut-on laisser cet homme diriger des milliards de Chrétiens, avec un tel passé ???).

Ils en oublient juste qu’en s’attaquant, en critiquant le Pape…c’est Jésus, donc Notre Dieu, qu’ils condamnent !!!... « Tu es le Chef auquel il faut donner obéissance et respect comme à un autre Moi-même !!! ».

Non Jésus a pardonné…et lors d’une rencontre après Sa Résurrection (Jean 21 9-19), après lui avoir demandé par trois fois s’il L’Aimait…Il le re-confirme comme Chef de L’Eglise.

J’aimerais montrer aussi ce passage dans les Révélations à Maria Valtorta où Jésus confirme non seulement la mission de Pierre comme Chef de L’Eglise, mais donne aussi leurs missions aux apôtres…dans La Prière !!!

"Vous avez bien fait. Pourtant, dorénavant, vous, les apôtres, vous resterez sur la montagne en prière pour édifier les disciples par votre exemple. Envoyez ceux-ci à la pêche. Quant à vous, il est bien que vous restiez là en prière et pour écouter ceux qui ont besoin de conseils ou peuvent venir pour vous donner des nouvelles. Tenez-les très unis les disciples. Je viendrai bientôt."

"Nous le ferons, Seigneur."

 Un silence. Puis Jésus, qui était resté un peu la tête penchée pour réfléchir, lève la tête et fixe son regard sur Pierre. Il le regarde avec son regard des heures de plus grand miracle et de plus grand commandement. Pierre en tressaille presque de peur et se rejette un peu en arrière... Mais Jésus, mettant une main sur l’épaule de Pierre, le retient de force et lui demande, en le tenant ainsi : "Simon de Jonas, m’aimes-tu ?"

"Certainement, Seigneur ! Tu sais que je t’aime" répond Pierre avec assurance.

"Pais mes agneaux... Simon de Jonas, m’aimes-tu ?"

"Oui, mon Seigneur. Et tu sais que je t’aime." Sa voix est moins assurée, elle est même un peu étonnée par la répétition de cette question.

"Pais mes agneaux... Simon de Jonas, m’aimes-tu ?"

"Seigneur... Tu sais tout ... Tu sais si moi je t’aime…" la voix de Pierre tremble car s’il est sûr de son amour il a l’impression que Jésus n’en est pas sûr.

"Pais mes brebis. La triple profession d’amour a effacé la triple négation. Tu es entièrement pur, Simon de Jonas et Moi, Je te dis : Prends le vêtement de Pontife et porte la Sainteté du Seigneur au milieu de mon troupeau. Ceins tes vêtements à ta ceinture et garde-les ceints jusqu’à ce que de Pasteur toi aussi tu deviendras agneau. En vérité je te dis que quand tu étais plus jeune tu te ceignais par toi-même et tu allais où tu voulais, mais quand tu auras vieilli tu étendras les mains et un autre te ceindra et te conduira là où tu ne voudrais pas. Maintenant pourtant c’est Moi qui te dis : "Ceins-toi et suis-moi sur ma propre voie". Lève-toi et viens."

Jésus se lève et Pierre se lève pour aller vers la rive et les autres se mettent à éteindre le feu en l’étouffant sous le sable. Mais Jean, après avoir ramassé les restes de pain, suit Jésus. Pierre entend le bruit de ses pas et tourne la tête. Il voit Jean et demande en le montrant à Jésus : “Et de lui qu’arrivera-t-il ?"

"Si je veux qu’il reste jusqu’à ce que je revienne, que t’importe ? Toi, suis-moi."

Ils sont sur la rive. Pierre voudrait encore parler; la majesté de Jésus, les paroles qu’il a entendues le retiennent. Il s’agenouille et adore, imité par les autres. Jésus les bénit et les congédie. Ils montent dans la barque et s’éloignent en ramant. Jésus les regarde partir.

Il est vrai que certains ont toujours pensé que si Jésus avait nommé Pierre comme chef de L’Eglise…Il n’avait nommé que Pierre et aucun successeurs !!!

Comment penser que Jésus dont L’Amour est Infini et qui sait que nous avons besoin d’un Chef visible par tous, que Son Eglise a besoin d’un Chef visible sur La Terre…a pris soin de désigner un successeur à Lui-même en vue de son départ (et retour au Père) pour diriger Son Eglise sur Terre…mais que Son Eglise prévu par Jésus pour durer et résister à toutes les attaques de L’Enfer…n’aurait plus de chef visible une fois Pierre venu à son tour rejoindre Le Père !!!

Il est évident qu’en désignant Pierre comme premier Pontife de Son Eglise, Jésus (comme Dieu l’a fait lorsqu’Il a donné des Rois à Son Peuple Juif) désigne aussi tous les successeurs de Saint Pierre sur Le Siège Pontifical de Rome (puisque c’est sur ce Siège de Rome que Saint Pierre a dirigé L’Eglise et est mort en Martyr, Crucifié la tête en bas…Siège de Rome qui a été Baptisé par un nombre immense de Chrétiens massacrés par Rome dont Saint Pierre et Saint Paul font partis…y compris dans les jeux du Cirque).

Dans une Révélation à Maria Valtorta, j’aimerais reprendre un passage où Le Père prend La Parole (Le 9/01/1944) :

Il n’est nul besoin d’avoir un Olympe comme les païens de l’Antiquité pour être idolâtre. Il n’est nul besoin d’avoir de fétiches comme les tribus sauvages pour être idolâtre.

Vous l’êtes vous aussi, et de l’idolâtrie la plus ignominieuse, vous qui adorez ce qui n’est pas vrai, qui rendez un culte qui n’est que le culte de Satan, qui adorez l’Etre des ténèbres parce que vous refusez d’incliner votre tête pervertie et votre cœur, qui l’est plus encore, devant Celui qui fut l’inspirateur et la lumière surnaturelle de milliards d’hommes qui, pourtant, ont également fait partie des grands de la Terre (de cette grandeur véritable qui est celle du génie et du cœur).

Eux, ils ont trouvé dans cette Lumière et dans cet inspirateur le levier de leur élévation, le réconfort de leur vie et la joie de leur éternité.

D’ailleurs, en dépit de sa constante évolution, le monde les considère avec admiration et regrette de ne plus posséder cette Foi qui a fait de ces hommes des grands sur cette Terre et au-delà.

Quant à vous, l’essence de votre âme n’est nourrie ni de vraie Foi, ni de la connaissance de ces vérités éternelles qui font La Vie de L’Esprit.

Vous, vous avez commis envers vous-mêmes le crime de refuser d’accorder à l’âme créée par Dieu la connaissance de La Loi et de La Doctrine données par Dieu.

Vous traitez la religion de superstition et vous qualifiez les formes qu’elle prend d’inutiles.

Vous vous estimez supérieurs même à ces grands hommes que, d’après vous, l’on ne peut absoudre de la faute de s’être abaissés au niveau d’une bonne femme ignorante pour avoir respecté L’Eglise et obéi à La Religion, qui n’est rien d’autre que la substance de Ma Loi et de L’Enseignement de Mon Fils : Un culte véritable rendu à un vrai Dieu dont les manifestations sont indéniables et certaines.

Toutes, du Sinaï au Calvaire, du Sépulcre ouvert par La Force Divine aux milliers de miracles qui, au cours des siècles, ont inscrit dans le temps les Gloires de Dieu et La Vérité de Son Etre comme des paroles de feu (d’un Feu qui ne s’éteint pas), ou d’or fondu, d’or qui ne se ternit pas.

Or comme des fous qui jettent à la mer de superbes joyaux pour recueillir précieusement des cailloux ou qui repoussent de saines nourritures pour s’emplir la bouche d’ordures, vous remplacez La Religion de Dieu que vous refusez sous prétexte que vous la trouvez indigne de vous (pseudo-surhommes à l’esprit devenu démoniaque, au cœur corrompu, à l’esprit vendu, vous qui êtes à votre tour des idoles aux pieds d’argile (Daniel 2 31-36)), vous remplacez la religion que vous refusez pour accueillir le culte démoniaque de L’Ennemi de Dieu, et vous en devenez ministres ou prosélytes.

Les voilà, ceux qui critiquent Mon Culte, jugent Mon Eglise, accusent mes ministres et se moquent de mes fidèles ! Ils ne voient dans le culte, dans l’Eglise, dans les prêtres, dans les fidèles, qu’un objet de dénigrement et un moyen d’avilissement.

Et puis, eux qui prétendent que L’Homme n’a besoin ni de culte, ni de prêtres, ni de cérémonies pour correspondre avec Dieu, les voilà qui se créent un propre culte ténébreux, occulte, chargé de tout un cérémonial secret qui ne soutient même pas la comparaison avec Le Mien, qui est clair, Lumineux.

Ils s’en établissent des ministres, des hommes corrompus et dévoyés autant qu’eux sinon plus, en qui ils croient avec une Foi aveugle, et ils prennent les bouffonneries de ces possédés de Satan pour des voix ou des manifestations de Dieu. Ils deviennent prosélytes (et bien pratiquants !!!) de cette obscène parodie de culte, de ce mensonge sacrilège.

Les voilà, les voilà ceux qui remplacent Le Dieu Saint, Le Sauveur éternel, par L’Etre et les êtres de L’Enfer !

Devant eux, ils baissent la tête et courbent le dos jusqu’à terre, eux qui considèrent comme indignes d’un homme de s’incliner devant un véritable Autel sur lequel Ma Gloire triomphe, où La Miséricorde de Mon Fils resplendit, dont L’Amour Vivifiant de L’Esprit-Saint s’écoule.

La Vie et La Grâce y jaillissent d’un Tabernacle et d’un Confessionnal, non pas parce qu’ un homme, fait tout comme vous de matière mais rendu dépositaire du Pouvoir Divin du Sacerdoce, vous donne une hostie de pain sans levain ou prononce une formule faite de mots humains, mais parce que ce petit morceau de pain est Mon Fils, Vivant et Vrai comme Il l’est au Ciel à Ma Droite avec Son Corps et Son Sang, Son Âme et Sa Divinité…et ces mots font pleuvoir Son Sang (qui a souffert d’avoir été versé pour tant d’entre vous, qui le méprisez de manière sacrilège), comme il pleuvait du haut de Sa Croix que laquelle Mon Amour pour vous l’avait cloué.

Mais ne réfléchissez-vous donc pas à votre incohérence, vous, les pseudo-surhommes, faits de boue putride qu’aucune lumière ne vient élever ???

Vous rejetez Dieu et vous adorez les idoles d’un culte obscène et démoniaque.

Vous prétendez vénérer Le Christ et croire en Lui, puis vous fuyez de Son Eglise Catholique, Apostolique et Romaine. Vous mettez une croix là où vous appelez l’Ennemi de La Croix et du Saint Crucifié.

C’est comme si vous crachiez sur cette Croix ce que vous régurgitez de l’intérieur.

D’ailleurs, que voyez-vous de grand chez vos prêtres de farce ??? Sur la foule des miens, nombreux sont ceux à qui vous pouvez faire des reproches. Mais qu’en est-il des vôtres ???

Lequel est « Saint » ???

Ils mènent une vie luxurieuse, ils font la fête, ils sont menteurs, les meilleurs sont orgueilleux, les pires, délinquants et féroces. Il n’y a rien de mieux chez les vôtres.

D’ailleurs, vous ne pourriez en avoir de meilleurs, car s’ils étaient honnêtes, chastes, sincères, mortifiés et humbles, ce seraient des « saints », autrement dit des Fils de Dieu, et Satan ne pourrait les posséder pour les dévoyer et pour vous dévoyer par leur entremise…

Quant aux devins, aux astrologues, aux savants et aux docteurs du satanisme que Mon Fils condamne, Je les couvre d’une double (et même triple) condamnation.

En effet votre religion satanique, qui se camoufle sous des noms pompeux mais n’est rien d’autre que de satanisme, est péché contre Moi, Le Seigneur du Ciel et de La Terre devant qui il n’y a pas d’autre Dieu. Elle est offense au Fils, Sauveur de L’Homme abîmé par Satan. Elle est offense à L’Esprit-Saint par votre négation de La Vérité connue.

Sachez donc que Je tourne en folie votre science occulte et que Je prépare les rigueurs d’un avenir éternel pour vous, qui n’avez pas voulu Le Ciel mais L’Enfer pour Royaume et qui avez voulu prendre Satan, et non Dieu, pour Grand-Prêtre, Roi et Père. 

Au passage, Saint Paul nous rappelle que La Réincarnation n’existe pas (Révélation du 11/01/1944) !!!

Hommes stupides ! Les morts ne reviennent pas…dans aucun nouveau corps.

Il n’existe qu’une résurrection : La Finale.

Vous qui êtes créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, vous n’êtes pas des graines qui poussent selon des cycles réguliers pour devenir des tiges, des fleurs, des fruits, des graines et, de là, de nouveau des tiges, des fleurs, des fruits.

Vous êtes des hommes, et non de l’herbe des champs. Vous êtes destinés au Ciel, et non à l’étable de la bête de somme.

Vous possédez L’Esprit de Dieu, cet Esprit que Dieu infuse en vous par un engendrement spirituel continuel qui répond à l’engendrement humain d’une nouvelle chair.

Que croyez-vous donc ??? Que Dieu, Notre Dieu tout-puissant, Infini, Eternel, est limité pour engendrer ???

Qu’Il a une limite qui lui impose de créer un certain nombre d’esprits et pas plus, de sorte que, pour que la vie des hommes sur la terre puisse continuer, il doive, tel un vendeur de grand magasin, aller chercher sur les rayons, parmi tous les esprits entassés là, celui qu’il va réutiliser pour cette marchandise spécifique ???

Ou, mieux encore, pensez-vous qu’il est semblable à un scribe qui exhume un dossier donné et cherche un certain rouleau, car le moment est venu de l’utiliser pour faire mémoire d’un évènement ?

Hommes stupides, stupides, stupides !!! Vous n’êtes pas des marchandises, des parchemins ou des semences : Vous êtes des Hommes.

Comme la graine, le corps tombe en décomposition une fois son cycle achevé. L’âme revient à sa Source pour être jugée vivante ou corrompue comme la chair puis, selon son état, elle va vers sa destinée.

Ensuite, elle n’en ressort plus si ce n’est pour appeler le corps qui fut le sien à une unique résurrection.

Par celle-ci, ceux qui ont été « justes » dans la vie ressuscitent Glorieux, incorruptibles, et élèvent leur chair à La Gloire de leur esprit Glorieux, en la spiritualisant, en la divinisant. C’est en effet par elle et avec elle qu’ils ont remporté la victoire, et il est juste qu’ils triomphent avec elle.

Vous êtes ici-bas des animaux raisonnables de par l’esprit que vous possédez, et qui obtient la vie également pour la chair dont il est victorieux.

Dans l’autre vie, vous serez des esprits qui vivifieront la chair qui a remporté la victoire en restant sujette à l’esprit.

La nature animale vient toujours en premier. C’est l’évolution véritable. Mais elle est unique. Ensuite vient la nature spirituelle, à partir de la nature animale qui a su, par les trois vertus, se rendre elle-même légère.

En fonction de la manière dont vous menez cette vie-ci, vous serez tels dans la seconde.

Si ce qui est Céleste a prévalu en vous, vous connaîtrez la Nature de Dieu en vous et vous la posséderez, puisque Dieu sera votre possession éternelle.

Mais si c’est le terrestre qui a prédominé, vous connaîtrez après la mort l’opacité, la mort, le gel, l’horreur, les ténèbres, tout ce qui est commun au corps qui descend dans la fosse.

A cette différence près cependant : la durée de cette seconde et véritable mort est éternelle.

Vous, mes frères, qui êtes héritiers de Dieu par Volonté de Dieu, ne perdez pas cet héritage pour suivre la chair et le sang, ainsi que l’erreur mentale.

Je me suis moi-même trompé et je me suis opposé à la Vérité, j’ai persécuté Le Christ. Mon péché m’est toujours présent, même dans Le Gloire de ce Royaume dont les portes m’ont été ouvertes par mon repentir, ma Foi et mon Martyre pour confesser Le Christ et La Vie Immortelle. Mais quand La Lumière m’a jeté à terre, en se faisant connaître, j’ai abandonné l’erreur pour suivre La Lumière.             

D’ailleurs, lors de ma Réflexion n° 30 : L’Homme, je vous avais mis un passage où Jésus parle de L’Eglise Catholique Romaine et de La Foi…passage que je complète aujourd’hui.

Il s’agit de Révélations faites par Jésus à Maria Valtorta le 17/01/1944.

LA FOI :

Une seule Foi est vraie : La Mienne, telle que Je vous l’ai donnée. C’est une pierre précieuse Divine dont la lumière est Vie.

Il ne suffit pas de se rappeler cette Foi de nom, comme un morceau de marbre resté par hasard dans une pièce. Mais il faut se fonder sur elle et la prendre comme faisant partie de vous-mêmes.

Les habits que vous portez sont-ils vie pour vous ??? Deviennent-ils peut-être votre chair et votre sang ? Non. Ces vêtements vous sont utiles mais, si vous les enlevez pour en endosser d’autres, vous n’enlevez rien d’intime.

Au contraire, la nourriture que vous avalez devient votre chair et votre sang, et vous ne pouvez plus l’ôter de vous. Elle fait partie de vous, elle vous est essentielle car, sans sang et sans chair, vous ne pourriez pas vivre tout comme, sans nourriture, vous n’auriez ni chair ni sang.

Il en va de même de La Foi. Elle ne doit pas vous recouvrir à certains moments, comme un voile, pour vous permettre de paraître plus beaux et de plaire à vos frères. Il faut qu’elle soit une partie intrinsèque de vous-mêmes, inséparable de vous, vitale. La Foi ne consiste pas seulement à espérer ce qu’on croit, elle est réalité de vie. Une vie qui commence ici, dans cette chimère qu’est la vie humaine, pour s’accomplir dans l’au-delà, dans La Vie Eternelle qui vous attend.

Il n’y a qu’un Evangile : Le Mien.

Il n’y a qu’une Eglise : La Mienne, L’Eglise Catholique Romaine.

Il n’y a qu’un Autel : Celui qui est consacré par L’Huile, L’Eau et Le Vin, et fondé sur les ossements d’un Martyr et d’un Saint de Dieu.

Il n’y a qu’une Croix : La Mienne. Celle à laquelle pend Le Corps du Fils de Dieu, Jésus-Christ, Celle qui reproduit La figure du bois que J’ai porté avec Un Infini Amour et Une Immense Fatigue jusqu’au sommet du Calvaire. Il n’est pas d’autres Croix.

Il ne peut exister d’autres signes, des hiéroglyphes semblables à ceux gravés dans les hypogées des pharaons ou des stèles aztèques : ce ne sont là que des signes d’hommes ou de Satan, mais pas des croix, pas Les Symboles de tout un Poème d’Amour, de Rédemption, de Victoire sur toutes les forces du Mal, quelles qu’elles soient.

De l’époque de Moïse à aujourd’hui, et d’aujourd’hui au moment de Jugement, Une sera La Croix : Celle qui ressemble à La Mienne, Celle qui fut portée en premier par le « serpent » (Jean 3 14-15) et (Nombre 21 4-9), ce symbole de Vie Eternelle, Celle que J’ai portée et que Je porterai quand Je viendrai en Juge et en Roi pour tous vous juger : Vous mes bénis qui croyez en Mon Signe et en Mon Nom, et vous aussi, qui êtes maudits, parodistes et sacrilèges, qui avez supprimé Mon Signe et Mon Nom des temples, des états et des consciences pour y substituer votre symbole satanique et votre nom de suppôts de Satan.

Il n’y a qu’un Sacrifice : Celui qui réitère mystiquement Le Mien et, sous l’aspect du pain et du vin, vous donne Mon Corps et Mon Sang immolés pour vous. Il n’est pas d’autre corps et d’autre sang qui puissent remplacer La Grande Victime.      

Restez unis à Moi. C’est en Moi que sont La Justice, La Paix et L’Amour. Ne recherchez pas d’autres doctrines. Vivez L’Evangile. C’est ainsi que vous serez heureux. Vivez en Moi. Vous ne connaîtrez pas de grandes joies corporelles : Ce n’est pas Moi qui vous les procure. Moi, Je donne Les Joies véritables, qui ne sont pas seulement jouissance charnelle mais aussi spirituelle, des joies honnêtes, bénies, saintes, que J’accorde et que Je ratifie, celles auxquelles Je n’ai pas refusé de prendre part.

La Famille, les Enfants, un Bien-être honnête, une Patrie prospère et tranquille, une bonne harmonie entre les frères et les sœurs et entre les nations : voilà ce que Je qualifie de Saint et que Je Bénis.

Le venin de Satan fermente dans votre sang, Je le sais bien, mes pauvres enfants. Mais Je me suis donné Moi-même à vous comme Antidote. Je vous ai appris à graver sur vous, en vous, Mon Signe qui vainc Satan.

Ne vous séparez pas de Moi. Oh ! Il est certain que Je vous porterai au Ciel si vous continuez à faire partie de Moi. En outre, comme vous n’êtes pas tout « Ciel » mais qu’il reste toujours en vous un peu de la fange de la Terre, Je vous promets que La Bénédiction du Père ne vous fera pas défaut, même sur cette boue, car Le Père ne pourra que Bénir Son Fils, et Ma Puissance vous recouvrira tellement (Si vous demeurez en Moi et priez avec Moi en disant « Notre Père » comme Je vous l’ai enseigné) que Le Père vous donnera à la fois Le Royaume des Cieux, comme vous le demandez dans la première partie, et le pain quotidien et le Pardon de vos fautes, comme il est demandé dans la seconde.

Si vous demeurez en Moi comme des enfants dans le sein de leur mère, Notre Père ne pourra pas voir d’autre vêtements que celui que vous portez : Moi-même, votre Rédempteur, celui qui vous engendre au Ciel, et Son Fils…Et Il fera pleuvoir Ses Grâces sur Son Fils, l’objet de toute Sa Complaisance pour lequel Il a fait aussi, en plus de toute choses, Le Pardon et La Gloire, pour La Joie de Son Fils qui veut que vous soyez pardonnés et Glorieux.

Votre mort, Je l’ai détruite par La Mienne. Vos fautes, Je les ai annulés par Mon Sang. Je les ai rachetées par anticipation pour vous. J’ai tout rendu impuissant à vous nuire dans la vie future en clouant à Ma Croix votre mal (De celui d’Adam à celui de chacun de vous). Je peux dire que J’ai consommé tout le venin du monde en suçant l’éponge imprégnée de fiel et de vinaigre du Golgotha et que Je vous ai rendu ce mal en Bien.

En effet, par Ma Mort, Je l’ai distillé et J’ai transformé la mixture de La Mort en Eau de Vie, jaillie de Mon Côté transpercé.    

Demeurez en Moi avec Pureté et Force. Ne soyez pas hypocrites mais sincères dans votre Foi. Ce ne sont pas les pratiques extérieures qui constituent La Foi et L’Amour. Celles-là, les sacrilèges les mettent aussi en œuvre et ils s’en servent pour vous tromper et s’attirer des gloires humaines. Vous ne devez pas être ainsi.

Souvenez-vous que, de même que Je vous ai régénérés à La Vie de La Grâce à laquelle vous étiez morts, Je vous ai ressuscités avec Moi à La Vie Eternelle.

Aspirez donc à ce lieu de Vie. Recherchez tout ce qui peut vous servir pour y pénétrer, toutes les choses spirituelles : La Foi, L’Espérance, La Charité, les autres Vertus qui font de L’Homme un enfant de Dieu.

Recherchez la science infaillible, celle que contient Mon Enseignement. C’est elle qui vous rendra à même de vous diriger de telle sorte que Le Ciel soit à vous.

Recherchez La Gloire. Non pas la gloire dérisoire et souvent coupable de la terre, que Je condamne fréquemment. Je Juge toujours qu’elle n’est pas la gloire véritable, mais uniquement une mission que Dieu vous donne pour que vous en fassiez un moyen de parvenir à La Gloire des Cieux.

La Vraie Gloire s’obtient par un renversement des valeurs du monde. Le monde dit : « Jouissez, accumulez, soyez orgueilleux, puissants, sans cœur, haïssez pour vaincre, mentez pour triompher, soyez cruels pour dominer ».

Mais Moi, Je vous dit : « Soyez modérés, continents, sans être avides de chair, d’or ou de puissance, soyez sincères, honnêtes, humbles, aimants, patients, doux, miséricordieux. Pardonnez à ceux qui vous offensent, aimez ceux qui vous haïssent, aidez ceux qui sont moins heureux que vous. Aimez, Aimez, Aimez ».

En vérité, Je vous assure que pas un seul acte d’Amour ne restera sans récompense, fût-il aussi minime qu’un soupir de Compassion envers quelqu’un qui souffre.

Une récompense Infinie au Ciel et, déjà, une grande récompense sur terre, que seul celui qui en fait l’expérience peut comprendre.

La Récompense de La Paix du Christ à tous mes bons enfants, de la limpidité de La Parole aux « très bons » chez qui Je viens trouver Mon Réconfort.

Mes chers enfants que J’Aime d’un Amour bien plus grand que toute La Haine qui circule comme un fluide infernal sur la Terre, Aimez-Moi à votre tour.

Quoi que vous fassiez ou disiez, que ce soit au Nom de Votre Jésus. Par Lui, vous rendrez ainsi Grâces à Dieu Votre Père, et La Grâce du Seigneur demeurera sur vous comme une protection sur la Terre et une Auréole certaine pour Le Ciel.  

EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                          PIERRE

 

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

Ajouter un commentaire