FOI, ESPERANCE ET CHARITE…2ème Partie.

L’Amour conduit donc à haïr le péché qui cause tant de dégâts aussi bien dans l’âme de la personne qui est esclave des désirs, des envies et des pulsions de sa chair corrompue que dans l’âme de ses victimes directes (celles qu’elle a blessées directement), de ses victimes indirectes (leurs familles et leurs proches) ou plus lointaines (toutes celles qui en sont scandalisées à travers le monde et se détournent de Dieu).

L’Amour conduit donc à souffrir douloureusement autant pour le coupable qui fait le mal (souvent en ne réalisant pas le mal qu’il fait : « Père, Pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font…car, en fait, c’est Satan qui se sert de lui à son insu grâce à son esclavage pour sa chair corrompue) et détruit son âme la conduisant sur un chemin qui mène vers L’Enfer éternel…que pour toutes les victimes (directes, indirectes et lointaines) qui sont blessées parfois atrocement dans leur être et risquent de prendre un chemin de peur, de révolte, de haine.

L’Amour conduit à La Compassion en voyant toutes ces âmes blessées (autant celles des coupables que des victimes, leurs familles et leurs proches), torturées, qui se perdent par manque d’Amour vrai, pur et sincère, par manque et rejet de Dieu…qui est Le seul qui peut soigner et convertir les âmes qui souffrent et qui se perdent…qui est Le seul qui peut apporter La Paix dans les cœurs blessés qui se tournent vers Lui avec Amour.

Extrait de ma Réflexion n°1 : Qui est Jésus ?

En vérité les choses humaines n'ont pas de remède, si Dieu n'intervient pas. La créature, à cause de cela, a besoin de savoir croire et contempler, d'aimer jusqu'au bout des forces de l'homme tout entier, avec sa pensée, son âme, sa chair, son sang, avec toutes les forces de l'homme, je le répète. Je te veux forte, Marthe. Je te veux parfaite. Tu n'as pas su obéir parce que tu n'as pas su croire et espérer complètement, et tu n'as pas su croire et espérer parce que tu n'as pas su aimer totalement.

L’Amour conduit à La Compassion et notre Compassion nous conduit à désirer nous convertir nous-même toujours plus, découvrir L’Amour de Dieu pour chacun toujours plus, Aimer Dieu toujours plus et Lui offrir en Offrande d’Amour, pour Sa Gloire et pour la rédemption de ceux que nous portons dans notre cœur, toutes nos souffrances et tous nos Sacrifices.

Jésus dit à Marthe : Ne sais-tu pas que ce sont les tortures d'une tierce personne, qui résiste aux assauts parce qu'elle est bonne et fidèle, qui affermissent la guérison d'un autre esprit ? Ne sais-tu pas que rien n'est isolé de tout ce qui arrive et existe dans la création, mais que tout suit une loi éternelle de dépendances et de conséquences qui fait qu'une action de quelqu'un a des répercussions naturelles et surnaturelles très étendues ?  

La justice humaine peut condamner ou innocenter, être juste dans ses décisions ou coupable d’erreurs, être incapable de condamner les coupables fautes de preuves (ou victime de fortes pressions), de protéger les victimes, voir même être capable de condamner des innocents (servant de boucs émissaires)

La Justice de Dieu se fera pour chacun au moment de notre mort et elle sera Juste. Son Jugement sera valable non pas pour quelques années mais pour l’éternité.

Et Chrétiennement personne ne peut souhaiter à une personne quelle qu’elle soit de souffrir éternellement (et donc sans fin, même après des milliards et des milliards de millénaires) et de manière infiniment plus importante que personne ne peut souffrir sur terre.

On ne peut prétendre Aimer si dans son cœur on souhaite qu’une personne aussi horrible soit-elle, puisse « aller rôtir en Enfer »…et ainsi demander à Dieu de condamner un de ses enfants à des souffrances infinies et éternelles…alors que Jésus est mort dans des conditions atroces pour son salut !!!

Bien-sûr il est facile de condamner celui qui fait du mal…mais sommes-nous sans péché pour ne pas risquer d’être condamner à notre tour ???

Pardonnons aussi à notre tour, pour ne pas tomber sous le coup d’un Jugement de Dieu, à la fin de notre vie, qui pourra nous dire :

« Tu as condamné cette personne pour cette faute, alors que toi tu as fait bien pire … Tu te condamnes donc toi-même. »

Lorsque l’on souhaite à quelqu’un de finir sa vie en Enfer…ayons toujours à l’esprit ce qu’est L’Enfer…et sa durée (qui n’est pas d’un jour, d’un mois voir même de quelques années) !!!

Rappelez-vous la description de L’Enfer donné par Jésus à Maria Valtorta que je redonnais dans ma précédente Réflexion.

Extrait de ma Réflexion : JESUS-CHRIST.

Oh ! Vous ne pouvez imaginer ce qu’est l’enfer.

Prenez tout ce qui tourment l’homme sur terre : le feu, les flammes, le gel, les eaux qui submergent, la faim, le sommeil, la soif, les blessures, les maladies, les plaies, la mort … Additionnez-les et multipliez ce total de millions de fois : Vous n’aurez qu’une pâle image de cette terrible vérité.

Et le péché sous toutes ses formes n’est pas seulement les péchés les plus horribles et médiatisés (qui font des dégâts et des souffrances atroces parmi les victimes directes, comme parmi les victimes indirectes (les familles, les proches) comme parmi les victimes collatérales (par les informations radio, T.V., internet) qui en sont scandalisés et blessés indirectement… mais aussi les péchés légalisés (luxure, adultère, avortement, homosexualité, etc…)…et enfin aussi les péchés invisibles selon la formule pas vu, pas pris (comme l’exemple pris dans ma précédente Réflexion des coups de téléphone personnel faits au travail qui volent deux fois le patron, une fois sur la facture et une fois sur le temps de loisir pris pendant les heures de travail payées), etc…

Pensons toujours à l’iceberg…la partie visible, même si elle est énorme, est toujours infiniment plus petite que la partie immergée et cachée…aussi ne négligeons jamais de combattre nos péchés invisibles aux yeux des hommes…car ils gangrènent notre âme…et Dieu voit jusqu’au plus profond de notre âme.

Rappelons-nous que ce n’est pas parce que les hommes (même s’ils sont tous ensemble à 100%) décident de légaliser un péché en disant que c’est une chose saine, normale et que chacun peut et doit vivre…que Dieu modifie Sa Loi. Une faute reste une faute, un péché reste un péché et nous rend esclave de Satan en nous faisant prendre Le Chemin qui mène à Son Royaume de Souffrances Infinies et éternelles.

Dieu nous a donné Ses Commandements pour ne pas brûler notre âme et lui permettre d’hériter un jour du Royaume de Dieu où ne rentre qu’Amour et Pureté…et ce n’est pas les hommes (même tous réunis ensemble) qui peuvent les changer, car ils ne font que se leurrer, refusent de prendre Le Chemin que nous montre Dieu et prennent Le Chemin que suggère Satan à notre chair corrompue…qui a rendue notre esprit esclave de ses désirs.

Extrait de ma Réflexion n°10 : Etre Fidèle à Dieu.

Ayons toujours La Bible comme livre de chevet, et comme livre de prières.

Aimons L’Eglise que Jésus nous donne, écoutons là. Ce qu’elle nous transmet, ce n’est rien moins que La Parole et l’Enseignement de Dieu.

Peut-être, parfois, aimerions nous que l’Eglise nous enseigne ce que nous aimerions entendre pour qu’elle couvre nos fautes, et les considèrent comme juste, mais, l’Eglise avec à sa tête Jésus, ne le peut pas.

Aucune des lois de l’ancien testament ne sera abolie, jusqu’à la fin du monde, et aucun mot ne sera retiré. Jésus n’est pas venu abolir la loi, mais nous en montrer tout le sens profond.

Je vous conseille, si vous désirez approfondir votre connaissance de Dieu et de ce que Jésus a enseigné durant les 3 ans de Sa Vie Publique, de lire et de relire les révélations reçues par Maria Valtorta.

On y retrouve tout l’évangile, et rien n’est retiré …. Pourtant Jésus fait ces révélations au milieu du siècle dernier …. Il n’a rien changé par rapport à deux mille an plus tôt …. Alors que la société et les hommes ont bien changés !!!

Et dans deux mille ans (si le monde existe encore) rien n’aura changé de La Loi de Dieu.

Un seul chemin conduit au royaume de Dieu.

Rappelons-nous aussi que tout péché, aussi invisible soit-il, aussi petit semble t-il est toujours visible par Dieu, blesse toujours le cœur plein d’Amour de Dieu…et se multipliant à l’infini dans notre vie et dans celle de ceux qui sont autour de nous…conduisent à des drames et aussi sûrement que des gros péchés bien visibles aux yeux de tous, ils nous mènent sur Le Chemin que nous suggère Satan par l’intermédiaire de notre chair corrompue…en ayant éloigné Dieu de notre vie par nos comportements, nos désirs de gloire humaine et d’argent, nos plaisirs souvent immoraux, notre désobéissance aux lois de Dieu, nos condamnations (de notre Prochain, de L’Eglise, de Dieu) et nos manques d’Amour.

Extrait de ma Réflexion n°30 : L’Homme.

Pourquoi Dieu ne punit-Il pas les méchants :

Combien de fois, en particulier ces temps-ci (nous sommes le 26 Février 1944, en pleine guerre mondiale), l’homme ne dit-il pas :

« Mais, Seigneur, pourquoi n’interviens-tu pas pour punir ? Donne ce qu’ils méritent aux orgueilleux et aux mauvais. Si tu es juste, comment peux-tu laisser les méchants triompher pendant que tes fidèles souffrent ? »

Mes enfants, Je vous rappelle une parole de L’Evangile : « Ote d’abord la poutre de ton œil, alors tu verras clair pour ôter la paille de l’œil de ton frère ».

C’est vrai que vous êtes tourmentés par « les grands pécheurs ». Mais vous n’êtes pas vous-mêmes sans péché. Vos péchés, certes bien plus petits que ceux, énormes, des corrupteurs du monde, n’ont cessé de s’accumuler au point de provoquer l’indignation de Dieu.

Il y a les péchés de nations entières. Leurs habitants ont oublié Dieu, ils l’ont remplacé par une multitude d’autres dieux qui vont d’un « homme » issu d’eux à une idée, d’une idée à un ensemble d’habitudes morales (c’est-à-dire amorales) dont aucune n’est approuvée par Dieu.

Que s’est-il donc passé ? Ce qui se produit dans un éboulement de sable. Il existe sur la terre certains lieux où, en raison d’une configuration particulière du sol et de sa composition spéciale, l’ont voit s’accumuler du sable transporté lentement mais continuellement par les vents. Il y faut des siècles, mais il vient un moment où cette accumulation est telle que la dune de terre ne la supporte plus. Elle s’écroule d’elle-même, provoquant ainsi des catastrophes qui engloutissent des villages, quand ce ne sont pas des villes entières.

Si l’homme y était attentif, il veillerait à contrebalancer l’action des vents par quelque ouvrage et il balayerait ces entassements avec une ténacité égale à celle des éléments.

Mais il n’y fait pas attention : au contraire, il se réjouit de ce que ceux-ci apportent des couches de terre là où il n’y avait auparavant que de la roche, ou ensablent un estuaire, augmentant par là, la surface cultivable.

C’est ainsi qu’il exploite le « pseudo-don » du vent traître et du courant sournois en en faisant une source de profit pour jouir et triompher davantage, peut-être même au détriment du village voisin.

Veillez à ce petit grain de poussière ? Mais, non ! Quel tort pourrait-il donc causer ? Un tel tort (malgré sa petitesse qui devient grande grâce à la coopération d’un nombre infini d’autres petitesses) qu’il peut provoquer des catastrophes.

Il n’y a rien de plus petit qu’un grain de sable. Mais rassemblez-en des millions et des milliards, et vous verrez quelle horrible mort ils provoquent.

Quel est ce défaut ? Quelle habitude amorale ? Rien : une vétille. Est-ce un péché grave ! Bien-sûr que non ! Un péché véniel ? Pas même ! Une simple imperfection due à la rapidité de la vie actuelle et à ce que tout un ensemble de circonstances impose.

Vous dites : « Nous ne sommes plus au Moyen-Âge. Il faut être à la hauteur de l’époque moderne, avoir des vues plus larges. Ne pas penser que Dieu est toujours là avec une feuille et un crayon, à noter mes omissions, mes satisfactions, mes transactions.

Aujourd’hui, j’ai préféré traiter une affaire plutôt que d’aller à la messe dominicale, ou même prendre ces dix minutes de dialogue avec Dieu qui forment la prière du matin et du soir.

Si je ne profite pas de cette matinée, je ne trouverai plus tel client ou tel professionnel. Si je perds ces dix minutes, je perds toute possibilité d’arriver à temps. On verra demain… »

Dix minutes ! Vous êtes restés une demi-heure à vous prélasser au lit, une autre à discuter avec votre femme et les domestiques, presque une heure à vous pouponner comme des efféminés. Alors vous ne trouvez pas dix minutes pour votre Dieu.

Vous avez six jours pour traiter de vos affaires et vous traînez sans rien conclure. Et ce n’est que le dimanche matin que vous trouvez que cela doit se faire de toute urgence. Or quel professionnel, quel client est libre uniquement le dimanche ? Pourquoi ? Si personne n’était disponible à cause de ses mauvaises habitudes, il devrait se décider à se consacrer à ses affaires pendant les six autres jours.

Vous êtes amoraux l’un comme l’autre, et vous ne vous souciez pas de Dieu. Voilà tout.

Ou encore : Qu’y a-t-il de répréhensible dans ma petite calomnie ? Ce n’est d’ailleurs pas une calomnie, juste une médisance. Ou pas même : C’est une bonne blague dite dans le dos…pour rire, pour laisser croire que l’on est bien informé, pour se mettre dans les bonnes grâces des supérieurs ou des puissants. Mais au fond, vous estimez cette personne. On sait bien…il faut flatter les supérieurs pour leur soutirer leur protection et de bonnes places. On sait bien…C’est un monde de compétition et tant mieux si je peux prendre ta place, moi qui ai une famille pleine d’exigence. D’ailleurs toi, cher collègue, tu peux vivre plus modestement !

Vous commettez ainsi un vol de réputation et de place. Vous êtes des voleurs, ô hypocrites, pour satisfaire aux exigences, aux caprices de l’épicurisme familial, de la vanité sociale ou féminine.

Ou encore : Qu’est-ce qu’il y a de mal à faire un peu la cour à cette femme et, de son côté, à se laisser faire ? C’est enlever un peu de monotonie à la vie. Ensuite, nous redevenons de simples amis comme auparavant. Ce sont des choses sans conséquence. Il ne faut pas être puritain !

Vous êtes adultères, ô hypocrites ! Vous l’êtes parfois même sous les yeux de vos enfants. Vous croyez qu’ils ne vous voient pas, mais ils voient tout, vous les scandalisez et vous les obligez à vous juger.

Qu’y a-t-il de répréhensible à s’émanciper de ses parents, de son mari, à être indépendant, à mener notre vie comme cela nous plait ?

Quelle importance si l’on fait du mariage un moyen d’avoir, en son épouse, une infirmière et une servante ou, en son mari, quelqu’un qui se fatigue pour nos besoins et nos caprices, et non une mission de procréation et d’éducation ? Il vaut mieux ne pas avoir d’enfants, ou alors en petit nombre. Ils donnent du souci, ils coûtent cher, ils sont source de rancoeurs entre les parents A ou B, ou avec les enfants qui les précèdent. Pas d’autres enfants que les un ou deux qui, on ne sait trop comment, ont voulu naître. Et maintenant qu’ils sont nés, n’allons pas nous fatiguer pour eux : nourrices, gardes d’enfants, institutrices, collège. C’est bien ce que vous dites.

Vous êtes des assassins, ô hypocrites. Vous supprimez des vies ou des âmes. Car sachez-le bien, un collège a beau être bon ou une institutrice parfaite, ce ne seront jamais la mère, le père, la famille. Ces enfants, qui ont été ceux de tous hormis les vôtres, comment peuvent-ils vous aimer de ce grand Amour qui continue à rester uni au plus profond de vous-mêmes comme s’ils avaient leurs racines en vous ? Comment ces enfants peuvent-ils vous comprendre si vous êtes des étrangers pour eux, et réciproquement ? Quelle société peut émaner de peuples dans lesquels la première forme de société, la famille, est aussi aride, morte, démembrée ? Une anarchie dans laquelle chacun ne pense qu’à soi, si encore il ne pense pas à nuire aux autres ?

Quant à cet argent que vous économisez en refusant à un enfant de naître, que croyez-vous avoir dans votre portefeuille ? Un ver qui en détruit la substance, car ce que vous ne déboursez pas pour un enfant, vous le dépensez trois fois plus en divertissements et luxes inutiles et nocifs.

D’ailleurs pourquoi vous mariez-vous si vous ne voulez pas avoir d’enfant ? A quoi réduisez-vous la chambre nuptiale ? Par respect pour mon « porte-parole » (Maria Valtorta), Je tairai la réponse.

Dites-la-vous, hommes indignes.

Ce sont beaucoup de petites choses en comparaison des méfaits des grands pécheurs. Mais ils provoquent l’avalanche. Celle qui vous submerge.

Je l’ai dit : Si les grands s’étaient trouvés en face (Je ne dis pas contre, mais bien, en face) d’un peuple moralement sain, solidement obéissant à La Loi de Dieu et de la morale, même humaine, ils n’auraient pu en arriver à commettre leurs crimes. Leur satanisme se serait brisé comme une épée de verre contre un bloc de granit, il se serait pulvérisé.

Et Dieu vous aurait Bénis et protégés.

Au contraire, vous avez admiré les grands criminels, chez qui vous admiriez la perfection de leur délinquance que vous-mêmes ne pouviez pas atteindre, cette perfection dans l’immoralité qui vous plaisait parce qu’elle justifiait la votre.

Vous disiez : Si lui, que nous admirons, agit de la sorte, je peux en faire autant.

Ou encore : Si Dieu le protège, lui qui est comme ça, Il me protègera moi aussi, qui le suis bien moins.

Hommes stupides ! Pensez-vous réellement que Je protège celui qui désire réussir et parvenir à faire d’un autre un complice pour triompher à tout prix, et pour ce faire « égorge la veuve et l’étranger et assassine l’orphelin », qui a trahi la confiance des autres, qui a menti à des peuples entiers, qui n’a pas hésité à mener des peuples entiers à l’abattoir ?

Mais ? Je vois, J’entends et Je note. Je souffre de ne pouvoir intervenir, car lorsque J’interviens, vous neutralisez mon intervention par vos actes mauvais.

Vous êtes si empoisonnés que, d’un bien, vous en faites un mal.

Cependant (C’est votre Dieu qui vous en conjure), revenez à Moi. Veuillez revenir à Moi. Libérez-vous individuellement de vos fautes, de vos manques de Foi, de votre désobéissance morale, de vos vices de toutes sortes, puis Je délivrerai la collectivité de ses fléaux.

(Le débarquement en Normandie à eu lieu 3 mois ½ plus tard, le 06 juin 1944).

Dieu veut en nous une âme Pure, pleine d’Amour et pleine de Sa Présence…ayant rejeté toute forme de péché, ayant supprimé tout notre « moi » qui rêve de prendre la place de Dieu et ayant renvoyé Satan (car Dieu s’en va si nous invitons Satan dans notre âme en la rendant esclave de notre chair corrompue et de nos péchés).

Si Jésus qui était à la fois pleinement Homme et pleinement Dieu, et donc connaissait parfaitement le plus profond des âmes de chacun de ses apôtres, y compris celle de Judas, n’avait pas caché cette vérité aux 11 autres apôtres (et à ceux qu’ils approchaient) cela aurait amené ceux-ci à haïr Judas, voir à vouloir le tuer…et donc à prendre eux aussi le chemin de Satan et non Le Chemin de L’Amour et du Pardon de Jésus, de Dieu.

Si Jésus a voulu volontairement cacher le plus possible le mal qui bouillonnait en Judas, c’était pour ne leur dire qu’une chose qu’ils devaient non seulement savoir, mais vivre aussi : Aimez Judas, aimez-le comme un frère malade, ne le jugez pas, ne le condamnez pas.

Moi, Jésus, Je l’Aime…et vous me faites un énorme chagrin chaque fois que vous pensez du mal de lui. Si vous l’Aimez, il se sentira aimé et soutenu et deviendra bon, si vous le condamnez, il ne peut que devenir mauvais…et cela à cause de votre manque d’Amour pour lui.

Jésus veut que ses apôtres soient aveugles du mal que pourrait faire Judas afin de lui laisser une chance de devenir bon et d’être sauvé…ce qui aurait été la plus grande Gloire de Jésus…d’avoir arraché cette âme aux griffes de Satan.

Lui, Jésus n’a pas un Amour aveugle, car Son Amour n’est pas perverti par le péché… mais nous qui sommes si enclin à condamner alors que nous sommes aussi pécheur que les autres…Il nous demande d’Aimer et de Lui faire confiance…sans chercher à savoir et à connaître…des mystères que nous sommes incapable de comprendre tellement nous sommes limités et pécheurs !!!

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA TROISIEME PARTIE.

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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