JESUS-CHRIST, Chemin pour notre Salut, Porte ouverte pour notre Rédemption…4ème Partie.

Or la Religion du Christ devait être universelle. Elle avait été prévue telle par La Pensée Divine depuis l’éternité.

Alors elle devait être appuyée, étayée et reconnue comme étant parfaite dans son unicité, perpétuelle jusqu’à la fin du temps, digne d’être suivie par tout le monde, et pas seulement par les citoyens de Palestine.

Ces derniers étaient reconnus autrefois comme étant « Le Peuple de Dieu », mais au cours des siècles, et surtout dans les trois dernières années de la vie terrestre du Verbe Incarné, ils avaient changé au point de devenir « un Peuple d’anti-Dieu ».

Par conséquent, si L’Immolation du Verbe n’eût pas été totale, il y aurait eu une disproportion beaucoup trop grande entre le péché et l’expiation, entre l’océan des péchés passés, présents et futurs de l’Humanité entière (depuis Adam jusqu’à la dernière personne vivante sur Terre), et la mesure du Sacrifice.

Et donc, pour un nombre excessif d’incroyants, la preuve de la Personnalité véritable de Jésus-Christ aurait été très faible si, après avoir accompli Sa mission comme Maître, Fondateur et Sanctificateur, Le Christ eût regagné Le Ciel sans d’abord avoir été torturé et mis à mort de la façon que l’on connaît (Rédempteur), en la présence de gens convenus de toutes les nations et rassemblés à Jérusalem pour La Pâque.

Il y avait là des Juifs prévaricateurs et déicides, mais aussi des Gentils ignorants du vrai Dieu.

Ils ont tous été spectateurs (pour ensuite agir en témoins) de la Personnalité véritable de Jésus-Christ, Dieu et Homme, qui par son propre pouvoir était sorti vivant du tombeau où on l’avait mis et qui, après cette Résurrection, était apparu à plusieurs personnes.

Cela s’était produit après qu’Il a été arrêté, capturé, crucifié et mis à mort par les gens de Son peuple, et déclaré mort par le coup de lance d’un Romain.

Ensuite Il était monté au Ciel par son propre pouvoir, à la vue d’un grand nombre de témoins venus de nouveau à Jérusalem de chaque partie de la Diaspora à l’occasion de l’imminente Fête des Moissons, appelée aussi des sept semaines, et plus tard Pentecôte.

Et il y avait parmi eux de vrais Juifs, des Prosélytes, et aussi des familles mixtes, composées de Juifs et de Gentils.

Tout a sa raison d’être dans les choses que Dieu décide ou permet, et cette raison est parfaitement bonne.

C’est pour cela que Le Christ a été immolé un vendredi de Pâques. C’est pour cela qu’Il est Ressuscité alors que les gens assemblés pour la même Pâques étaient encore nombreux. C’est pour cela qu’Il est monté au Ciel quarante jours plus tard alors que la ville débordait de pèlerins revenus pour la fête de la Pentecôte, ou y étaient restés sur place pour accomplir le double rituel de la présentation de chaque mâle dans le Temple à l’occasion des deux fêtes du printemps.

Ces pèlerins, en rentrant ensuite chez eux, dans leurs villes respectives de la Diaspora et d’ailleurs ont répandu partout où ils vivaient la nouvelle des prodiges dont ils avaient été témoins.

Sans même s’en rendre compte, ils ont servi à répandre la vérité dans le monde, à propager la nouvelle que Jésus de Nazareth était Le Fils de Dieu, Celui qui avait été préannoncé par les Prophètes, Le Messie attendu, Le Sauveur et Rédempteur.

Ponce Pilate, lui aussi, a servi ce même but dans son rapport à Tibère César sur le procès et la condamnation « d’un Juif nommé Jésus, exécuté par volonté populaire, car accusé de vouloir subvenir la nation en encourageant les gens à ne pas payer les impôts à César, et qui prétendait qu’il n’y avait qu’un roi au monde, et que ce roi était lui : Jésus ».

Longin (le centurion Romain qui perça le cœur de Jésus avec sa lance : Jn 19 34) aussi, et d’autres légionnaires, ont vu la douceur du caractère de Jésus et la majesté qui transparaissait du Martyr sous le vêtement de blessures qui le défigurait.

Ces légionnaires ont entendu les mots solennels qu’Il a prononcés lors de l’interrogatoire du Proconsul, puis ceux qu’Il a prononcés le long du chemin douloureux, et enfin sur La Croix. Ils ont été témoins des prodiges qui ont accompagné Sa mort.

Tout et tous ont servi à témoigner que Jésus de Nazareth était Le Fils de Dieu.

Observez, ô hommes, et méditez sur les temps et les circonstances où se produisirent les évènements principaux qui concernent Le Christ.

Sa Naissance (Lc 2 1-7) a eu lieu au moment où un édit de l’empereur Tibère César ordonne aux Juifs des quatre coins du monde d’aller s’enregistrer dans leur ville d’origine.

Sa mort, Sa Résurrection, et Son Ascension surviennent alors que, par ordre de La Loi de Moïse (Ex 12 21-27, 23 14-19), tous les enfants d’Israël se rassemblent autour du Saint du Temple de La Ville Sainte.

C’est l’Humanité qui doit être sauvée par ce Bébé qui repose dans une crèche.

Et l’Humanité, représentée non seulement par des citoyens de la Palestine, mais aussi par des Juifs installés dans d’autres territoires, se rassemble pour cette circonstance dans la nation où ce Bébé naît sur Terre.

C’est l’Humanité qui doit être rachetée par L’Agneau de Dieu, L’Agneau sans tache qui meurt sur La Croix.

Voilà donc que pour l’heure de Son Immolation, cette Humanité se rassemble dans la ville déicide et homicide, de façon à pouvoir constater le crime perpétré dans le temps et selon la manière annoncés par les Prophètes pour Le Roi Messie, pour L’Homme-Dieu (Ps 22 (21), Is 52 13, Is 53 12).

Et c’est encore cette Humanité qui, troublée par l’agitation et le remords, les doutes et les déclarations, a besoin d’être confirmée dans sa Foi.

Elle sera présente quand La Victime, en vain mise à mort, Ressuscite au milieu des secousses du deuxième tremblement de Terre.

Quand le tombeau se vide du Vivant, tous reçoivent la réponse, apaisante ou angoissante de la part du Dieu Un et Trine, aux questions que chacun se posait à propos de l’Homme de Nazareth.

L’Humanité travaillée par le doute, car toujours orgueilleuse et méchante, est présente ensuite en ce matin radieux du mois de Nisan, alors que Celui qu’on n’a pas voulu écouter ni reconnaître pour ce qu’Il était, et qu’on a même tué dans l’espoir d’en faire taire la voix, monte au Ciel, Charité éternelle et Parole qui toujours parlera et toujours allumera d’Amour pour Lui tout homme de bonne volonté.

L’Humanité le voit monter au Ciel en plein jour, plus éclatant que le soleil même, dans l’éclat de beauté resplendissante des corps glorieux.

Et finalement c’est une Humanité encore chancelante, après tant d’épreuves, qui se présente au miracle de la Pentecôte, l’épiphanie de L’Eglise enseignante (Ac 2 1-36).

Cette Eglise débute son magistère remplie de sagesse et infaillible dans les vérités de la Religion.

Non pas en raison de ses capacités, mais parce qu’elle a été remplie de L’Esprit-Saint, L’Immatérielle Troisième Personne de La Triade Eternelle, descendue sur la Terre, ainsi qu’en avait fait promesse La Deuxième Personne avant la consommation de Son Sacrifice et avant Son Ascension au Ciel.

C’est de là que L’Esprit-Saint est descendu par Volonté de La Première Personne et de L’Amour Unique et Trinitaire qui, en Lui-même, veut ce que Les Deux autres veulent, puisqu’Ils sont Une seule Unité en trois Personnes.

Les œuvres de Dieu sont des œuvres de vérité et de lumière. Elles se réalisent dans la lumière et elles s’affermissent dans la vérité.

La vérité aime et cherche la lumière. La lumière fait resplendir la vérité même aux yeux qui veulent rester aveugles. Et ceci pour qu’on ne puisse pas dire : « Nous n’avons rien vu ».

Et la Condamnation qu’ils recevront par Le Juge Divin sera motivée par leur mauvaise volonté. Ils l’auront méritée pour avoir volontairement et obstinément voulu rester aveugles face à la vérité.

Dieu, dans Sa volonté d’Amour, agit de façon à ce que tous puissent avoir accès à La Vérité, et ainsi parvenir au Salut.

Le désir de Dieu est que tous parviennent au Salut. La Gloire pour tous est Son Soupir éternel.

Le rejet du Salut et de La Gloire pour un trop grand nombre est Sa Douleur Infinie.

Pour que les personnes de bonne volonté soient justifiées, aient Le Salut et La Gloire, Dieu Le Père a envoyé Son Verbe parmi les hommes.

Il l’a vêtu d’un Corps Pur, Saint et Immaculé, pour que La Sagesse Divine parle aux multitudes et les instruise.

Il a envoyé Son Agneau pour qu’Il soit Sacrifié, et qu’Il rachète ainsi l’Humanité du Péché, obstacle qui empêchait l’homme de profiter de La Grâce.

Il a envoyé Son Fils pour que les hommes soient recréés à la vie surnaturelle, en suivant Le Chemin tracé par Son Fils, Le Christ, pour qu’ils atteignent Le Royaume des Cieux, La Connaissance de Dieu, Sa Vision, La Vie éternelle et Glorieuse, La Fin pour laquelle ils ont été créés.

Extraits dans Leçons sur L’Epître de Saint Paul aux Romains (Leçon n°27 du 08 Janvier 1950…Romains 8 5-7).    

L’Esprit-Saint dit :

La Loi de l’esprit vous a libérés du joug du péché et de celui de la chair par le médiateur : Jésus-Christ.

Cette Loi vous a rachetés du péché originel en vous fournissant le moyen de vous laver des marques charnelles laissées par le premier Péché, marques que l’homme ne parvient pas à réprimer par une volonté ferme et héroïque.

Mais La Loi de l’esprit n’a pas supprimé La Loi du libre arbitre. Si tel avait été le cas, aucune justice ne serait praticable pour récompenser les vainqueurs.

Tous auraient été sans péché, mais aussi sans mérite pour avoir refusé le péché.

Le libre arbitre et les penchants laissés par le premier Péché sont un danger mortel pour la créature, créée à l’image et à la ressemblance de Dieu, prédestinée à La Grâce et à La Gloire. Mais c’est un danger qui est saint.

Il vient de La Sainteté Infinie. Il est autorisé par L’Amour Infini qui s’en sert avec Justice pour donner à chaque créature selon ce qu’elle a mérité au temps de sa vie corporelle avec l’aide de ce même corps, selon ce qu’elle a mérité avec son Amour ou avec son manque d’Amour, selon ce qu’elle a mérité par la victoire  de sa volonté Spirituelle sur sa chair par Amour pour Dieu et par Amour du Ciel.

Non pas pour éviter L’Enfer, mais avec plutôt le souci de répondre à un élan d’Amour orienté vers L’Amour inexprimable, inconnaissable, tel que seulement une vie et une mort dans La Grâce vous permettront de comprendre, de connaître et de posséder.

Or, parmi la multitude de Chrétiens et de Chrétiens-Catholiques, nombreux sont ceux qui portent le signe extérieur de Chrétiens, mais ne se conduisent pas comme de vrais Chrétiens. A l’instar des anciens Pharisiens qui portaient leurs phylactères au front et au bras, ils n’ont pas la vraie Loi dans leur cœur.

Or, pour les uns et les autres, c’est elle la règle de la vraie vie des fils de Dieu.

La vie Chrétienne est Amour, seulement Amour. C’est L’Amour qui a donné aux Chrétiens les Commandements..

Et L’Amour est ce qui permet aux Chrétiens de vraiment observer ces mêmes Commandements.

L’Amour propose, et L’Amour dispose pour récompenser. Et L’Amour des Chrétiens accueille et accomplit l’inspiration pour mériter la récompense et pour contenter L’Amour.

Mais L’Amour, mouvement qui vient du Générateur de tout, du Dieu-Créateur de tout être créé, de toute créature de Sa Volonté, depuis le fil d’herbe au soleil, depuis le roc opaque et inerte à l’étoile resplendissante qui traverse le firmament, depuis le ver de terre à l’homme divinisé par La Grâce, depuis l’animal à l’ange, cet Amour est un mouvement Spirituel.

De même que très Pur Esprit est Celui qui, étant Amour Infini, a insufflé ce mouvement aux créatures qui habitent Le Royaume des Cieux depuis leur création (les anges fidèles), et à celles qui y sont montées, ou qui y monteront au cours des millénaires à venir (les esprits Bienheureux).

Puisque L’Amour est chose Spirituelle, il ne peut être apprécié et possédé par ceux que domine la chair.

La chair a l’habitude d’appeler « amour » l’appétit concupiscible ressenti pour une autre ou plusieurs autres personnes.

Mais ceci n’est pas amour, c’est la libido, la luxure, la concupiscence de la chair.

L’Amour parfait (pour autant qu’il peut se donner dans la créature) a été vécu par Le Fils de L’Homme, Marie Sa Mère, et Joseph Le Juste.

Ils ont vécu L’Amour le plus parfait possible aux créatures, chacun selon ses mérites et sa sainteté.

Trois degrés différents d’une Perfection insigne, ils resplendirent distincts des autres Perfections des saints.

Mais qu’il s’agisse de Jean, l’apôtre vierge de Jésus, ou de n’importe quel autre saint parmi ceux qui vécurent dans le temps, ils marchèrent tous selon l’esprit.

Et leur esprit, divinisé par La Charité, était, dans leur âme, présence de Dieu Lui-même.

Ces êtres-là, les séparés, les prédestinés, les sacrés aux yeux de Dieu, possèdent et apprécient L’Amour.

Les autres, Chrétiens d’après la lettre mais non d’après l’esprit, possèdent et apprécient la concupiscence de la chair, qui n’est pas Amour mais appétit de plaisir charnel.

Entre les premiers et les seconds, un abîme. Impossibilité d’alliance entre les deux groupes, incompréhensibilité infranchissable.

Et sur l’abîme un pont en montée : Le Nom de Dieu.

Les premiers, c’est-à-dire ceux qui se trouvent à la plus haute limite de ce pont, poussés par un Amour de Compassion à l’égard de leurs pauvres frères, les appellent et leur tendent la main pour les aider à traverser l’abîme.

Pour les conduire sur le chemin de l’esprit, ils se servent de ce Nom dont la sacrée délectation allume des visions de joies inénarrables.

Mais les autres, ou n’acceptent pas l’invitation, ou bien, après une courte montée, alourdis par le poids de la chair, attirés et séduits par ses fruits, se sont placés du côté en déclin de ce pont qui va de la terre au Ciel, et se précipitent de nouveau vers la matière, vers les fruits sensibles et palpables de la chair.

Ce sont ces fruits-là qu’ils absorbent, puisque les mystérieux fruits de l’esprit au goût de Ciel sont devenus insipides à leur palais charnel et corrompu.

Ainsi la corruption entre dans leur esprit, parce que « la sagesse de la chair » conduit à la mort.

Dans cette dernière catégorie, il y en a qui pensent pouvoir servir Dieu et Mammon. Ils contrebalancent et compensent la pratique littérale et les rites religieux aux actions substantielles de la chair.

Ils prennent La Divine Miséricorde pour de la bonté idiote qu’on peut mépriser impunément aussi longtemps que la vie est belle, que la santé est bonne, que les affaires vont bien et que leur richesse les rend prospères.

Ils pensent pouvoir retarder leur contrition jusqu’au dernier moment, juste à temps pour éviter L’Enfer.

Mais Dieu, méprisé pendant une vie entière, n’accorde pas toujours cette contrition.

Ces gens se considèrent sages parce qu’ils savent cueillir les jouissances terrestres, et prier en même temps !!!

Oh, prières souillées, objet de répugnance aux yeux du Très-Pur !!! C’est bien cela la « sagesse de la chair ».

Elle n’est pas la paix, elle n’est pas la vie, elle n’est pas le terrain ni la monnaie qui permettront d’acheter la future Paix éternelle du Paradis.

Ceux-là sont pour Dieu des amis-Judas. Comme le Traître, ils feignent la déférence envers Dieu et envers leur Prochain, les deux étant présents dans L’Homme-Dieu, Jésus.

Ils l’appellent « Ami » (car Il est toujours présent dans ses vrais enfants, en ceux qui vivent selon l’esprit, se nourrissent d’aliments Spirituels, et n’apprécient que ceux-là), mais plus tard, ils trahissent Dieu et deviennent ses ennemis en désobéissant à Sa Loi d’Amour et à l’ensemble du Décalogue, en entravant Sa Divine Volonté, en persécutant et en crucifiant ses serviteurs, ses voix, ses instruments.

Or, la fin de Judas n’a pas été seulement la mort de son corps, mais aussi la mort de son esprit. Lorsqu’il mangeait l’agneau avec L’Agneau, et au moment où Le Pain de Vie descendait en lui, il était déjà un « mort », un « cadavre », une proie de Satan.

Et même ce fut justement à ce moment-là que, par son hypocrisie, Satan est entré en lui comme Patron suprême et éternel.

Dieu est Vérité, par conséquent Il ne peut se tenir là où trônent l’hypocrisie, le mensonge, et le faux témoignage contre un innocent.

Judas était tout cela. En lui, Le Pain de Vie n’eut pas le pouvoir de vaincre la saveur du fruit de la chair, et Judas signa son décret de mort éternelle en mélangeant de façon sacrilège son appétit de la chair concupiscible avec Le Sacrement d’Amour le plus doux et le plus Saint.

Haine et Amour ne peuvent vivre ensemble. Dieu et Satan ne peuvent pas être servis en même temps.

Il n’y a pas de Pardon pour le péché qui tue L’Amour, qui tue Dieu, qui tue le frère. Dans Le Royaume de La Vérité, il n’y a pas de place pour les hypocrites, les menteurs et les calomniateurs.

« Dehors les chiens, les sorciers, les impudiques, les assassins, les idolâtres et tous ceux qui aiment et pratiquent le mensonge !!! Qu’ils soient exclus de La Jérusalem Céleste !!! » (Ap 22 15).

Or il est possible d’empoisonner et de tuer quelqu’un sans faire usage de poisons autres que la calomnie et la douleur infligée à son frère.

On est idolâtre de son propre « moi », quand l’idole est estimé parfait, ou quand on adore le « moi » d’une autre personne.

Je dis qu’il est plus facile que se sauve un Dismas (Le bon larron : Lc 23 39-43), sincère dans sa confession, qu’un faux serviteur de La Loi et du Christ.

Car Dieu Aime paternellement le pécheur qui se repent, mais Sa Bonté repousse ceux qui transforment même Ses Dons Divins en fruits de concupiscence, et trouvent des raisons pour mieux cultiver leurs intérêts charnels là où on ne devrait cultiver que des intérêts Divins.

De même que Jésus a repoussé les faux disciples dont il est question dans L’Evangile de Jean (Jn 6 22-72), de même seront repoussés les faux Chrétiens qui, faisant mine d’honorer Dieu par des formes externes, en réalité le combattent, puisqu’ils critiquent Ses plans et Ses serviteurs, et puisqu’ils jugent sottement ce qui ne pourra s’expliquer qu’avec le temps, et par Dieu Lui-même.

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA CINQUIEME PARTIE.

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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