Saint Séraphin de Sarov, Hiéromoine en Russie (✝ 1833). Fête le 02 Janvier.

Mardi 02 Janvier 2024 : Fête de Saint Séraphin (ou Séraphim) de Sarov, Hiéromoine en Russie (1759- ?1833).

La vida de san serafinÉpisodes de la vie de Saint Séraphin de Sarov. (Pour voir en grand format : la-vida-de-san-serafin.jpg la-vida-de-san-serafin.jpg).

http://nominis.cef.fr/contenus/saint/1536/Saint-Seraphin-de-Sarov.html

Saint Séraphin de Sarov

Hiéromoine en Russie (? 1833)

Prokhore Mochnine, fils d'un entrepreneur en bâtiments, est né à Koursk, en Russie.
A dix-huit ans, avec la bénédiction de sa mère qui est veuve, il devient Moine à l'Ermitage de Sarov.

Quelques années plus tard il est ordonné Prêtre. A 35 ans, avec l'accord de ses supérieurs, il choisit la vie solitaire en forêt et s'efforce de revivre la vie de Jésus dans la forêt russe transformée par lui en Terre Sainte.  

Après dix-sept ans de solitude, son supérieur le fait revenir au Monastère où il réintègre son Ermitage, vivant en reclus, mais recevant la visite de la Mère de Dieu "la Joie de toutes les joies".
Ses dons surnaturels sont merveilleux.
Son jugement spirituel lui attire des foules de pèlerins et il fonde un Monastère de femmes à Diveyevo. Il nous a livré son message spirituel dans ses entretiens avec le laïc Motovilov: "Si tu gardes la Paix du cœur, beaucoup autour de toi trouveront la Paix."
L'Église russe le Canonisa en 1903.

Saint Séraphin est l'un des Saints les plus populaires de la Russie d'aujourd'hui et son rayonnement est grand dans l'Église Catholique latine.
Plusieurs paroisses Orthodoxes à travers le monde lui sont dédiées...

A lire aussi: "Saint Séraphim de Sarov est un des Saints russes les plus connus et les plus populaires, non seulement parmi les Orthodoxes, mais aussi parmi beaucoup de Chrétiens d’autres confessions."
(source
pages Saint Séraphin de Sarov).

Seraph3a 11 2Saint Séraphim de Sarov (Icône du Moine Grégoire Krug, Chapelle des Saints-Archanges, Montgeron, France).

http://www.pagesorthodoxes.net/saints/seraphim/seraphim-intro.htm

Saint Séraphim de Sarov

Saint Séraphim de Sarov est un des Saints russes les plus connus et les plus populaires, non seulement parmi les Orthodoxes, mais aussi parmi beaucoup de Chrétiens d’autres confessions.
Il naît en 1759 et entre au Monastère de Sarov à l’âge de vingt ans, où il reste jusqu’à sa naissance au Ciel en 1833.
Pendant quarante-six ans il vit d’abord comme Moine en Communauté, puis, de 1794 à 1810, comme Ermite, et en dernier lieu, comme reclus dans le Monastère de Sarov.
Durant toutes ces longues années il mène le dur combat vers la perfection en Christ, bénéficiant de nombreuses grâces, notamment des apparitions de la Sainte Mère de Dieu.

Les derniers huit ans de sa vie terrestre, il émerge de la solitude pour servir aux nombreux fidèles qui accourent vers lui en tant que starets, père spirituel.
Chacun de ceux qui le visite dans sa petite cellule - Moine, Moniale, Prêtre, laïc, homme, femme, riche, pauvre, empereur... - vient pour être conforté dans les épreuves, pour entendre la parole de Vie, pour recevoir le conseil nécessaire afin d'avancer sur le chemin vers Dieu.

Le saint starets quitte cette vie le 2 Janvier 1833, lorsqu’il prie dans sa cellule, devant l'icône de la Mère de Dieu de Tendresse.
Il a été Canonisé le 19 Juillet 1903 par l’Église russe.

La grande originalité de l'enseignement de Saint Séraphim est avant tout son insistance que « le but de la Vie Chrétienne est l’acquisition du Saint-Esprit de Dieu ».
De son vivant il a témoigné de la présence de L’Esprit-Saint dans le monde : l’événement le plus remarquable de sa vie s’est produit un jour d’hiver en plein forêt en 1830, lorsqu’il a été transfiguré, devant et avec son disciple Nicolas Motovilov, par la lumière incréée de L’Esprit-Saint.

Voici un aperçu des Pages Saint Séraphim de Sarov :

Le Chemin Spirituel de Saint Séraphim : une biographie spirituel du Saint par Élisabeth Behr-Sigel.
Le But de la Vie Chrétienne : extraits de l’Entretien avec Motovilov, le récit de sa transfiguration en présence de son disciple Motovilov.
La Paix du Christ : extraits des Instructions spirituelles de Saint Séraphim.
Vigiles de Saint Séraphim : les parties variables des offices des Vêpres et des Matines célébrés le 2 Janvier (ou le 19 Juillet, l’anniversaire du jour de sa Canonisation).
Hymne acathiste à Saint Séraphim.
Deux essais sur l'actualité de saint Séraphim, « Saint Séraphim, notre contemporain », par Mgr Antoine (Bloom) et « Actualité du message de Saint Séraphim », par le Père Boris Bobrinskoy.
L'essai Saint Séraphim de Sarov et le saint Curé d'Ars par Valentine Zander.
L'ours de saint Séraphim, une histoire par l'écrivain Ivan Loukach, basée sur la familiarité que Saint Séraphim avec les animaux, notamment un ours qu'il nourrissait. Nous remercions Alexandre Nicolsky de la traduction de ce texte.

Saint seraphim de sarov 1

http://iconesalain.free.fr/Presentations/51.Seraphin.Sarov.Presentation.htm

Vie de Saint Séraphim de SAROV (1759 - 1833)

Prokhore Mochnine et né à KOURSK en Russie centrale le 19.07.1759. Sa mère Agathe, devenue veuve quand il eut 3 ans remplaça son père chargé de la construction de l’église de la ville.
Un « Fol en Christ » (prophète vagabond se faisant passer pour fou par ses excentricités et ses ascèses) prédit à sa mère que son fils deviendra un « homme de prière pour le monde entier ».

A 10 ans, Marie mère de Dieu lui apparût une première fois pour le guérir d’une grave maladie.
A 19 ans, attiré par la Vie Monastique, il se présente au Monastère de Kiev où un « Staretz » (sage et maître spirituel) lui conseille d’entrer au Monastère du « Désert de SAROV » (près de TAMBOV).

En 178O, lors d’une nouvelle maladie grave, le Mère de Dieu lui apparut accompagnée de St. Pierre et de St. Jean, Apôtres et dit : « Celui-ci est de notre race ».

Chargé de quêter pour la construction de l’église du Monastère, il parcourut la Russie profonde.
En 1788 Prokhore prononce ses vœux Monastiques et reçoit le nom de Séraphim (flamboyant en hébreux).

Un jour au cours de la liturgie, une lumière extraordinaire l’enveloppe et Jésus-Christ lui apparut dans toute sa Gloire.
Il se retira dans une cabane à 6 Km du Monastère dans une forêt touffue de pins et de sapins menant une vie ascétique dans le silence et la Prière et récitant sans cesse la prière :
« Seigneur, Jésus-Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi, pécheur ! »

Il était familier avec les bêtes sauvages notamment avec un ours qui lui mangeait dans la main.
Attaqué et battu à mort par des brigands, il revint à la vie en recevant une nouvelle visite de la Mère de Dieu qui lui demande de sortir de son isolement et se mettre au service des autres.

Il reçut alors beaucoup de pèlerins lui demandant conseil et guérison ; faisant preuve de dons de clairvoyance, il prédit beaucoup d’évènements avec une grande précision.

Pour faire comprendre à son disciple Nicolas Motoviloff ce qu’est l’acquisition de L’Esprit-Saint, il fut « illuminé » comme transfiguré et fit partager cette expérience de Lumière et de chaleur, de Paix et de Béatitude à son disciple en lui demandant de rapporter cette expérience quand il sera mort.

St. Séraphim avait pris sous sa protection, un Couvent de jeunes filles à DIVEYEVO fondé à la demande de la Mère de Dieu. Il prédit tous les évènements concernant l’avenir orageux de ce Monastère.

Le 2 Janvier 1833, le staretz fut trouvé mort, priant à genoux devant l’icône de la Vierge de Tendresse : il avait vécu 72 ans, 6 mois et 12 jours (marqué par le chiffre 6 de la Vierge Marie et de la plénitude du 12).

Son rayonnement était tel que toute la famille impériale assista à son enterrement et y reçut des prophéties sur sa fin tragique.
Beaucoup de miracles furent constatés à l’invocation de St. Séraphim et il fut officiellement Canonisé le 19.07.1903.
Alain, Septembre 2005.

51 seraphin sarov 11Présentation de l’icône de St. Séraphin de Sarov.

L’icône représente l’Ermite Séraphin priant sur un rocher dans une clairière de la forêt profonde.
Solidement ancré dans sa Foi et plein d’Humilité, les mains tendues il offre sa Prière continue et sa Vie ascétique.

Les Cieux se déchirent pour faire apparaître Jésus-Christ le Bénissant et lui envoyant L’Esprit Saint qui illumine tout son être.

La forêt touffue représente la prison de nos ténèbres intérieures et de celles du monde que la lumière de L’Esprit Saint va éclairer et transfigurer.
Les fleurs dans le pré sont les âmes des imitateurs de St. Séraphin, Moines ou laïcs et en particulier ses chères Moniales de Diveyevo, qui comme lui se sont engagés dans la quête de L’Esprit Saint et la voie de la transfiguration.

« Seigneur Jésus, Lumière intérieure, ne laisse pas mes ténèbres me parler ! Seigneur Jésus, Lumière intérieure, donne-moi d’accueillir Ton Amour. » (chant de Taizé)
Alain, septembre 2005

Cette icône a été Bénie lors de la Messe Célébrée le 27. 09. 2005 sur le bateau MS Surikov en croisière entre Moscou et St. Petersbourg sur le lac Rybinsk par le Père André Gouzes de l’Abbaye de Sylvanès en l’honneur de Saint Séraphin de Sarov.

Serafim and a bear 2Saint Séraphin donnant à manger à un ours à l'extérieur de son Ermitage. Illustration de 1903.

http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9raphin_de_Sarov

Séraphin de Sarov

Séraphin ou Seraphim de Sarov (en russe : ??????? ?????????), né Prokhore Isidorovitch Mochnine (en russe : ??????? ??????????? ???????), né à Koursk le 19 Juillet 1754 (ou 1759) et mort au Monastère de Sarov le 02 Janvier 1833, est un saint Orthodoxe.
Il compte parmi les saints les plus populaires de cette Église, qui le fête 02 Janvier, ainsi que le 19 Juillet.

Biographie

Né le 19 Juillet 1754 ou 1759, Prokhore est le fils d'Isidore Mochnine, un briquetier entrepreneur en bâtiment de Koursk, à 500 km au sud de Moscou.
À dix-sept ans, il rend visite à Dosifeya de Kiev. À dix-neuf ans, il entre comme novice au Monastère de Sarov, à 350 km à l'est de Moscou.
Huit ans plus tard, il reçoit, avec son habit de Moine, un nouveau nom : Seraphim (ce qui signifie « flamboyant », en hébreu – ?????????).
Ordonné diacre, puis Prêtre, il obtient en 1790 de l'higoumène de son Monastère la permission de se retirer en ermite dans la forêt.
Partageant sa vie entre son ermitage et le Monastère de Sarov, il suit une ascèse rigoureuse, faite de jeûne, de solitude, d'humilité et de prière avec, comme objectif permanent, de se « rapprocher du Christ ». Il lit la Bible – il lisait le Nouveau Testament en entier chaque semaine –, ainsi que les Pères de l'Église.
Dans son immense désir de tout rapporter à Jésus, il donne aux environs de son ermitage des noms de lieux bibliques. À « Nazareth », il chante les hymnes akathistes à la Vierge, récite les offices de sexte et none au « Golgotha », lit l'évangile de la Transfiguration au « Mont Thabor », et entonne à « Bethléem » le Gloria.

Statue st seraphinStatue de Saint Séraphin en Prière sur son rocher, à Sarov.
Téléversé par Croquant.
(Pour voir en grand format : statue-st-seraphin.jpg statue-st-seraphin.jpg).

Il adopte même, pendant un temps, la vie des stylites. Ainsi, durant mille jours et nuits, il passe des heures à prier sur un rocher.
Cependant, comme lui-même le faisait remarquer à un novice qui l'en louait, en comparaison de Syméon l'Ancien, c'était peu de temps.

Un événement, qui faillit lui coûter la vie, illustre bien le caractère du « misérable Séraphin », ainsi qu'il se désignait lui-même.
En septembre 1804, il est agressé dans son Ermitage par trois brigands venus d'un village voisin et qui veulent le voler, lui qui ne possède rien !

N'ayant rien trouvé, ils le battent et le laissent pour mort, avec une fracture du crâne et plusieurs côtes cassées.
Plus tard, les brigands sont retrouvés.
Le père Séraphin, qui entretemps a été ramené au Monastère, s'oppose formellement à ce qu'ils soient châtiés : il leur a pardonné.
Après cet incident, son higoumène ne le laissera plus retourner à son Ermitage, et c'est dans le Monastère de Sarov que Séraphin vivra par la suite.

Même si, comme tout Moine et tout Ermite, il reçoit parfois quelques visites, ce n'est qu'à partir de 1822, alors qu'il est déjà âgé de soixante-trois ans, que sa renommée se répand.
Il est alors continuellement assailli de visiteurs : fermière du voisinage, militaire, moine, pèlerin, prince, Prêtre, femme du monde, haut dignitaire de l'Église, commerçant ; ils viennent tous, par centaines, et se pressent autour de lui, pour le questionner, pour l'entendre, pour le voir.

Et que voient-ils ? Un petit vieux « tout blanc, tout ratatiné, tout sec, aux yeux bleus » et au sourire « incompréhensiblement radieux ».
Un petit vieux qui reçoit chaque visiteur par ces mots : « Bonjour, ma joie », et encore « Christ est ressuscité ! »

Et son accueil, sa sagesse, sa « clairvoyance » – n'accueille-il pas certaines personnes par ces mots : « je sais, je sais », les faisant passer devant tout le monde, leur prodiguant conseils et consolation avant même qu'ils aient dit qui ils étaient ou pourquoi ils venaient ? – apportent encouragement, apaisement à tous ces visiteurs, parfois un peu trop pressants.

Cependant, son empathie – on disait alors : « don de préconnaissance » – et ses conseils ne sont pas les seules raisons de la popularité du père Séraphin : beaucoup de malades viennent le voir et obtiennent par ses prières des guérisons, dont les plus spectaculaires sont celles de Mikhaïl Mantourov, et de Nikolaï Motovilov.

Malgré les tracasseries que lui inflige parfois sa hiérarchie – avait-on déjà vu un Moine aussi « indiscipliné » ? –, il peut, grâce à Mantourov, fonder une Communauté Monastique de femmes à Diveïevo, à quelques kilomètres du Monastère de Sarov.
Et il aura avec Motovilov un long entretien qui, consigné par écrit, est considéré comme l'un des sommets de la spiritualité Orthodoxe.

Dans la nuit du 1er au 2 Janvier 1833, quoique l'on fût dans le « temps de Noël », on l'entend chanter les hymnes de Pâques, notamment le tropaire de la Résurrection.
Ce seront ses dernières paroles. Il est trouvé au petit matin dans sa cellule, agenouillé comme en Prière devant une icône de la Théotokos, mort.

Canonisation

Le 19 Juillet 1903, soixante-dix ans après sa mort, prenant acte de la vénération dont le starets Séraphin était l'objet, « persuadé de l'authenticité des miracles attribués aux prières du starets Seraphim, et rendant grâce à Dieu glorifié dans ses Saints », le Saint-Synode procède à sa Canonisation.
En présence du tsar Nicolas II, d'un clergé nombreux et d'une foule immense eut lieu l'office de Canonisation, au cours duquel on chante le tropaire composé en l'honneur du nouveau saint :

Tu as aimé le Christ dès ta jeunesse
Et tu fus enflammé du désir de le servir, Lui seul.
Tu as vécu dans la solitude
T'adonnant au travail et à la prière incessante.
Par ta tendresse et ta douceur, tu as acquis l'amour du Christ
Et tu as été l'élu de la Mère de Dieu.
Par tes prières, conduis-nous au Salut, bienheureux père Séraphim.

Durant la nuit qui suit, la foule est toujours là, occupée à prier puis, contrairement à l'usage, on entonne les hymnes de Pâques.

Il devient un des Saints les plus populaires de l'Église russe. Il est fêté le 2 Janvier, ainsi que le 19 Juillet.
Plusieurs paroisses de l'émigration russe se sont placées sous le patronage de saint Séraphin. Ainsi en existe-t-il en France, une à Paris et une autre à Chelles (77).

Sa spiritualité

La spiritualité de Séraphin, très ancrée dans la Bible et la tradition Orthodoxe – en particulier la Philocalie –, s'exprime en particulier dans son Entretien avec Motovilov, ainsi que dans les Instructions spirituelles rassemblées par les Moniales de Diveïevo.
On lui attribue un certain nombre de pouvoirs, dont celui de la lévitation

Sa vision prophétique

Homme de Prière, profondément spirituel, le père Séraphin voyait « au-delà des apparences ».
Il est à ce titre, comme à d'autres, à rapprocher de son contemporain français, le Prêtre et Saint Catholique Jean-Marie Vianney.

Outre de nombreuses paroles « personnelles » qu'il prodigua à ses innombrables visiteurs, on rapporte – mais il s'agit d'« ouï-dires » – qu'il annonça des temps de trouble survenant après une grande joie :
« En plein été, on chantera Pâques », mais « cette joie sera de courte durée », « la vie sera courte, alors, les anges auront à peine le temps de ramasser les âmes… », que l'on a identifié, après coup, avec la Révolution russe survenue quelques années après la Canonisation de saint Séraphin, suivie du coup d'État bolchévik, puis de la grande terreur et du stalinisme.

Il aurait également fait des prophéties sur l'avenir de la France qui, « pour son amour pour la Mère de Dieu, la Sainte Notre-Dame, sera donnée aux 17 millions de Français, avec sa capitale dans la ville de Reims, pendant que Paris sera tout détruit ».3

St seraphim de sarovSaint Séraphin (ou Séraphim) de Sarov.

http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Seraphim/table.html

Entretien
de Saint Séraphim de Sarov
avec Motovilov

sur la Lumière
du Saint-Esprit

Titre et Introduction
I     - Le but de la vie chrétienne.
II.   - Notre Seigneur compare notre vie à un marché.
III.  - La prière est supérieure aux autres vertus.
IV.  - Perte de contact avec Dieu.
V.   - La venue du Christ révélée par l'Esprit-Saint.
VI.  - L'action de l'Esprit-Saint et celle de l'ennemi.
VII. - Manifestation de la présence de l'Esprit-Saint.
VIII - La révélation de Saint Séraphim.
        Commentaire de l'archevêque Benjamin

Date de dernière mise à jour : 02/01/2024

Ajouter un commentaire