Eucharistie du Dimanche 27 Octobre 2013 : 30ème Dimanche du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Dimanche 27 Octobre 2013 : 30ème Dimanche du Temps Ordinaire.
Fête de Saint Évariste, Pape (Ve) et Martyr († 108).
Fête de Saint Frumence, Évêque (IVe siècle).
Fête de la Bienheureuse Emeline, Religieuse (12ème s.).

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Evangile) :
Livre de l'Ecclésiastique 35,12-14.16-18… Psaume 34(33),2-3.16.18.19.23… Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 4,6-8.16-18… Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,9-14.
Commentaire de Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Autre commentaire de Frère Antoine-Marie Leduc (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé Joan Pere PULIDO i Gutiérrez (Sant Feliu de Llobregat, Espagne).
Oraison et Parole de Dieu.

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Dimanche 27 Octobre 2013 : Fête de Saint Évariste, Pape (Ve) et Martyr († 108).
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Saint Évariste, Pape (Ve).

saint-frumence-1.jpgDimanche 27 Octobre 2013 : Fête de Saint Frumence, Évêque (IVe siècle).
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Saint Frumence, Évêque.

beata-emelina-1.jpgDimanche 27 Octobre 2013 : Fête de la Bienheureuse Emeline, Religieuse (12ème s.).
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Bienheureuse Emeline, Religieuse.

didier-1.jpgDimanche 27 Octobre 2013 : Fête de Saint Didier, Évêque d'Auxerre (+ 621).
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Saint Didier, Évêque d'Auxerre.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de l'Ecclésiastique 35,12-14.16-18.
Le Seigneur est un juge qui ne fait pas de différence entre les hommes.
Il ne défavorise pas le pauvre, il écoute la prière de l'opprimé.
Il ne méprise pas la supplication de l'orphelin, ni la plainte répétée de la veuve.
Celui qui sert Dieu de tout son cœur est bien accueilli, et sa prière parvient jusqu'au ciel.
La prière du pauvre traverse les nuées ; tant qu'elle n'a pas atteint son but, il demeure inconsolable.
Il ne s'arrête pas avant que le Très-Haut ait jeté les yeux sur lui, prononcé en faveur des justes et rendu justice.

 

Psaume 34(33),2-3.16.18.19.23.
Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m'entendent et soient en fête !

Le Seigneur regarde les justes,
il écoute, attentif à leurs cris.
Le Seigneur entend ceux qui l'appellent :
de toutes leurs angoisses, il les délivre.

Il est proche du cœur brisé,
il sauve l'esprit abattu.
Le Seigneur rachètera ses serviteurs :
pas de châtiment pour qui trouve en lui son refuge.

 

Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 4,6-8.16-18.
Me voici déjà offert en sacrifice, le moment de mon départ est venu.
Je me suis bien battu, j'ai tenu jusqu'au bout de la course, je suis resté fidèle.
Je n'ai plus qu'à recevoir la récompense du vainqueur : dans sa justice, le Seigneur, le juge impartial, me la remettra en ce jour-là, comme à tous ceux qui auront désiré avec amour sa manifestation dans la gloire.
La première fois que j'ai présenté ma défense, personne ne m'a soutenu : tous m'ont abandonné. Que Dieu ne leur en tienne pas rigueur.
Le Seigneur, lui, m'a assisté. Il m'a rempli de force pour que je puisse annoncer jusqu'au bout l'Évangile et le faire entendre à toutes les nations païennes.
J'ai échappé à la gueule du lion ; le Seigneur me fera encore échapper à tout ce qu'on fait pour me nuire. Il me sauvera et me fera entrer au ciel, dans son Royaume. A lui la gloire pour les siècles des siècles. Amen.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,9-14.
Jésus dit une parabole pour certains hommes qui étaient convaincus d'être justes et qui méprisaient tous les autres :
« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L'un était pharisien, et l'autre, publicain.
Le pharisien se tenait là et priait en lui-même : 'Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes : voleurs, injustes, adultères, ou encore comme ce publicain.
Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne. '
Le publicain, lui, se tenait à distance et n'osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : 'Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis ! '
Quand ce dernier rentra chez lui, c'est lui, je vous le déclare, qui était devenu juste, et non pas l'autre. Qui s'élève sera abaissé ; qui s'abaisse sera élevé. »

 

Commentaire du jour.
Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Les Discours sur les psaumes, Ps 85, 2-3 (trad. Perret, Cerf 1982, p. 129s rev.)

« Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis »

« Tends l'oreille, Seigneur, écoute-moi car je suis pauvre et indigent » (Ps 85,1).
Il ne tend pas l'oreille vers le riche, mais vers le pauvre et l'indigent, vers celui qui est humble et confesse ses fautes, vers celui qui implore la miséricorde, non vers celui qui est rassasié, qui s'élève, qui se vante comme s'il ne lui manquait rien, et qui va dire : « Je te rends grâce de ce que je ne suis pas comme ce publicain. » Car ce pharisien riche exaltait ses mérites ; le pauvre publicain confessait ses péchés...

Tous ceux qui refusent l'orgueil sont pauvres devant Dieu et nous savons qu'il tend son oreille vers les pauvres et les indigents.
Ils ont reconnu que leur espoir ne peut pas reposer sur l'or ni sur l'argent ni sur ces biens qu'ils possèdent en abondance, pour un temps...
Quand quelqu'un méprise en lui-même tout ce dont l'orgueil sait si bien se gonfler, c'est un pauvre de Dieu.
Dieu incline vers lui son oreille car il sait les souffrances de son cœur...

Apprenez donc à être pauvres et indigents, que vous ayez ou non quelque chose en ce monde.
On peut trouver un mendiant orgueilleux et un riche pénétré du sentiment de sa misère.
« Dieu se refuse aux orgueilleux », qu'ils soient vêtus de soie ou couverts de haillons ; « il donne sa grâce aux humbles » (Jc 4,6; Pr 3,34), qu'ils possèdent des biens de ce monde ou qu'ils n'en possèdent pas.
Dieu considère le dedans : c'est là qu'il pèse, là qu'il examine. Tu ne vois pas la balance de Dieu ; tes sentiments, tes projets, tes pensées, voilà ce qu'il met dans le plateau...
S'il y a autour de toi ou en toi quelque chose qui te pousse à la suffisance, rejette-le. Que Dieu soit toute ton assurance. Sois pauvre de Lui, afin qu'il te remplisse de Lui-même.

 

Autre commentaire de Frère Antoine-Marie Leduc (Carmel).
http://www.carmel.asso.fr/30eme-Dimanche-TO-C.html.

‘Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis !’

L’une des particularités de l’Évangile selon saint Luc, par rapport aux 2 autres Évangiles synoptiques de Marc et de Matthieu, est d’insister sur la Prière et la Miséricorde.
Luc, plus que Marc et Matthieu, nous parle de la Prière de Jésus, de ces longs moments qu’il passait auprès de son Père en se retirant de nuit.
De même, Luc développe particulièrement l’appel de Jésus à une Prière fervente, confiante et persévérante en nous offrant 2 paraboles qui ne sont pas reprises par Marc et Matthieu.

Nous avons entendu la première dimanche dernier, celle du juge inique qui, las des prières incessantes d’une veuve opiniâtre, lui rend tout de même justice.
Aujourd’hui, Jésus poursuit son enseignement sur la prière avec cette parabole du pharisien et du publicain.
Cette parabole est bien caractéristique de St Luc, il y joint ses 2 thèmes favoris de la Prière et de la Miséricorde.
Ainsi elle présente le cœur de la Bonne Nouvelle selon St Luc : « Qui s’élève sera abaissé, qui s’abaisse sera élevé ! »
Sentence que nous retrouvons au fronton de notre Basilique Ste Thérèse de l’Enfant Jésus à Lisieux.
Luc nous dévoile que l’œuvre de salut se réalise dans le cœur véritablement humble. Devient juste celui qui sait garder un cœur de pauvre et non celui qui est satisfait de lui-même.

La figure du pharisien symbolise ceux qui pensent que Dieu attend de nous avant tout un comportement irréprochable en pratiquant scrupuleusement ses commandements : la prière, le jeûne et l’aumône.
Et il rend grâce à Dieu non pas de ce qu’il aurait reçu du Seigneur, mais d’être satisfait de lui-même, de ce qu’il a pu réaliser par ses propres forces :
« Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes : voleurs, injustes, adultères, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne. »
Il en est de même pour nous quand nous pensons à Dieu avant tout comme un maître exigeant qui attendrait de nous que nous pratiquions strictement ses commandements.
Être un bon chrétien, ce serait devenir juste par la pratique de la loi nouvelle de l’Évangile, le but serait de pouvoir dire à Dieu que l’on a réussi à faire tout ce qui nous demande.
Ainsi nous pensons que Dieu serait satisfait de nous, et nous serions ainsi satisfaits de nous-mêmes aussi !
Poussée jusqu’au bout, cette attitude vise à vouloir en définitive se passer de la grâce de Dieu, de sa Miséricorde.
Il faudrait utiliser le moins possible cette grâce et cette Miséricorde, essayer et réussir à obéir à Dieu sans avoir besoin de Lui, de son aide, pour lui offrir dans une fausse action de grâce notre obéissance et notre fidélité à ses commandements.

Mais tout cela est vain et déforme l’image de Dieu, notre Père. C’est vain parce que personne ne pourra jamais par lui-même accomplir parfaitement la loi de Dieu.
Car toute la loi consiste en l’Amour de Dieu et de notre prochain. Or qui peut aimer parfaitement par lui-même ? Personne.
Alors quelle est l’image de Dieu, si l’on considère qu’il nous oblige à un commandement impossible à réaliser ?
Penser que le commandement de l’Amour est une obligation qui pèse sur nos épaules et que cela nous est imposé par Dieu aboutit à une culpabilisation incessante et à voir en Dieu l’image d’un maître exigeant qui assigne à ses sujets un but impossible à réaliser.

Tous les grands saints reconnaissent au contraire que ce qu’ils sont et ce qu’ils font vient de Dieu, que c’est L’Esprit Saint qui agit à travers eux.
Nous connaissons tous, ici à Lisieux, la petite voie de confiance et d’amour de Ste Thérèse qui reconnaissait son impuissance et qui attend tout de la Miséricorde du Seigneur, même en ce qui concerne la Charité fraternelle.
Ne dit-elle pas dans ses manuscrits autobiographiques : « Seigneur, je sais que vous ne commandez rien d’impossible, vous connaissez mieux que moi ma faiblesse, mon imperfection, vous savez bien que jamais je ne pourrais aimer mes sœurs comme vous les aimez, si vous-même, ô mon Jésus, ne les aimiez encore en moi.
C’est parce que vous voulez m’accorder cette grâce que vous avez fait un commandement nouveau.
Oh ! Que je l’aime puisqu’il me donne l’assurance que votre volonté est d’aimer en moi tous ceux que vous me commandez d’aimer ! » (Ms C 12 v°).
Il en est de même pour St Paul qui reconnaît dans la 1re épître aux Corinthiens : « C’est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis, et sa grâce à mon égard n’a pas été stérile. Loin de là, j’ai travaillé plus qu’eux tous : oh ! Non pas moi, mais la grâce de Dieu qui est avec moi. » (1Co 15,10)
Cette de parabole du pharisien et du publicain est la quintessence de l’Évangile de Luc parce qu’elle nous invite à reconnaître que notre justification aux yeux du Seigneur nait de notre pauvreté, de notre incapacité à réaliser les commandements.
Parce que notre pauvreté, et même notre péché, permet à Dieu d’être véritablement Dieu dans notre vie.
En effet, si nous n’avions pas besoin de son Pardon et de sa Miséricorde ou plutôt si, comme le pharisien, nous pensions n’avoir pas besoin du pardon et de la miséricorde, quelle serait la place de Dieu dans notre vie ? Lui qui n’est qu’Amour et Miséricorde.

Il me semble qu’on pourrait même comprendre que le Seigneur puisse se servir de nos faiblesses et de notre péché pour nous le faire comprendre.
Dans certains cas, particulièrement pour des fautes qui nous humilient et ne cause pas de grands dommages au prochain, en nous laissant nous heurter quotidiennement à nos limites et à nos fautes, Le Seigneur nous invite à comprendre que sans lui nous ne pouvons rien faire (Jean 15,5).
L’incapacité à dépasser par nous-mêmes nos limites et à réaliser la plénitude de la loi de l’amour pourra faire naître un jour en nos cœurs et en notre esprit la Prière du publicain par laquelle nous serons justifiés : « Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis ! ».
Peut-être que Le Seigneur nous donnera de dépasser nos limites, de vaincre notre péché, lorsque nous saurons accueillir ces victoires, non pas en pensant qu’elles viennent de nous, mais en reconnaissant, comme Saint-Paul et Sainte Thérèse, que ce sont là les œuvres de Dieu en nous.
Bienheureuse faute qui nous vaudra de reconnaître notre Sauveur ! Avec St Jean de la Croix nous pouvons dire : « Qui pourra se libérer de ses pauvres manières et de ses pauvres limites, si Toi-même ne l’élèves à Toi en pureté d’Amour, Mon Dieu ? Comment s’élèvera jusqu’à Toi l’homme engendré et créé dans la bassesse, si Toi-même ne l’élèves, Seigneur, de Ta main qui l’a fait ? » (Prière de l’âme énamourée)

Nous voici donc ensemble réunis autour de l’autel pour recevoir le don de Dieu les mains ouvertes et vides, le cœur contrit.
Tous rassemblés, pécheurs mais pardonnés, mauvais riches mais qui osons lever les yeux au ciel, pauvres qui n’avons rien n’a donné, ouvriers de la 11e heure et autres voleurs de grâce.

C’est pourquoi de nombreuses fois au cours de l’Eucharistie avant de recevoir le Corps du Seigneur nous aimons implorer sa Miséricorde : « prends pitié de nous ! »
Fr. Antoine-Marie Leduc, o.c.d.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_270.
Abbé Joan Pere PULIDO i Gutiérrez (Sant Feliu de Llobregat, Espagne).

Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis!

Aujourd'hui, nous devons lire très soigneusement cet Évangile de saint Luc. Une parabole adressée à nos cœurs.
Des paroles de vie pour dévoiler notre authenticité humaine et chrétienne, qui se justifie par l'humilité de nous savoir pécheurs («Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis!»: Lc 18,13), et par la Miséricorde et indulgence de notre Dieu («Qui s'élève sera abaissé; qui s'abaisse sera élevé»: Lc 18,14).

De l'authenticité, aujourd'hui, plus que jamais!, nous en avons besoin pour nous découvrir nous mêmes et accentuer la réalité Rédemptrice de Dieu dans nos vies et dans notre société.
C'est l'attitude convenable afin que le Vérité de notre Foi arrive, avec tout son pouvoir, aux hommes et aux femmes d'aujourd'hui.
Trois axes supportent cette authenticité évangélique: la force, l'Amour et la raison (cf. 2Tm 1,7).

La force, pour connaître la Parole de Dieu et pouvoir la garder dans nos vies, malgré les difficultés.
Il faut faire attention à ce point, spécialement de nos jours, car il y a beaucoup d'auto-fraude dans l'ambiance qui nous entoure actuellement.
Saint Vincent de Lérins nous en avertissait déjà: «À peine la putréfaction d'une nouvelle erreur commence à se répandre que celui-ci, pour se justifier, s'empare de quelques strophes des Écritures, lesquelles, en plus, déforme avec fourberie et mystification».

L'amour, pour regarder avec tendresse -c'est-à-dire, avec le regard de Dieu- la personne ou l'événement que nous avons en face.
Jean Paul II nous encourage à «promouvoir une spiritualité de la communion», que -parmi d'autres choses- «consiste avant tout en un regard du cœur porté sur le mystère de la Trinité qui habite en nous, et dont la lumière doit aussi être perçue sur le visage des frères qui sont à nos côtés».

Et, finalement, raison, pour pouvoir transmettre cette Vérité avec le langage d'aujourd'hui, incarnant réellement la Parole de Dieu dans notre vie: «Ils croiront à nos œuvres plus qu'à n'importe quel autre discours» (Saint Jean Chrysostome).

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Dieu éternel et tout-puissant, augmente en nous la Foi, l'Espérance et la Charité ; et pour que nous puissions obtenir ce que tu promets, fais-nous aimer ce que tu commandes.

 

Parole de Dieu : (Ez 36, 25-27)… (Office des Laudes).
Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. De toutes vos souillures, de toutes vos idoles, je vous purifierai. Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau.
J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai en vous mon Esprit : alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes Commandements et vous y serez fidèles.

 

Parole de Dieu : (2 Th 2, 13-14)… (Office des Vêpres).
Nous devons continuellement rendre grâce à Dieu pour vous, frères aimés du Seigneur, car Dieu vous a choisis dès le commencement, pour être sauvés par L’Esprit qui sanctifie et par la Foi en la Vérité.
C’est à cela qu’il vous a appelés par notre Évangile, à posséder la Gloire de Notre Seigneur Jésus Christ.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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