Eucharistie du Vendredi 1er Août 2014 : Vendredi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Vendredi 1er Août 2014 : Vendredi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire.

L’Église fait mémoire (obligatoire) de la Fête de Saint Alphonse-Marie de Liguori, Évêque, Docteur de l'Église, Fondateur de la Congrégation des Rédemptoristes (1696-1787).

Fête de Saint Pierre Favre, Jésuite, Cofondateur et 1er Prêtre de la Compagnie de Jésus (✝ 1546).
Fête des Saints Maccabées et de Saint Éléazar dans l’Ancien Testament : Sept frères et leur mère ainsi que le vieux scribe Saint Éléazar, martyrs à Antioche (-166 av JC.).

Textes du jour (1ère lecture, Psaume, Évangile) :
Livre de Jérémie 26,1-9… Psaume 69(68),2.5ab.5cd.8.9-10.14… Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,54-58.
Commentaire de Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
TRAITÉ DE L'AMOUR DE JÉSUS CHRIST PAR SAINT ALPHONSE-MARIE.
Autre commentaire du Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autre commentaire de l’Abbé Jordi POU i Sabater (Sant Jordi Desvalls, Girona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Carlow cathedral st alphonsus kneeling before the most holy sacrament 2009 09 03

Vendredi 01 Août 2014 : Fête de Saint Alphonse-Marie de Liguori, Évêque, Docteur de l'Église, Fondateur de la Congrégation des Rédemptoristes (1696-1787).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Alphonse-Marie de Liguori.

Saint pierre favre theme imageVendredi 01 Août 2014 : Fête de Saint Pierre Favre, Jésuite, Cofondateur et 1er Prêtre de la Compagnie de Jésus (✝ 1546).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Pierre Favre.

Les 7 freres maccabees leur mere solomie et leur maitre eleazar 166 av jc 1Vendredi 01 Août 2014 : Fête des Saints Maccabées et de Saint Éléazar dans l’Ancien Testament : Sept frères et leur mère ainsi que le vieux scribe Saint Éléazar, martyrs à Antioche (-166 av JC.).
Pour voir leur vie et en découvrir davantage sur eux, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saints Maccabées et de Saint Éléazar.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de Jérémie 26,1-9.
Au début du règne de Joakim, fils de Josias, roi de Juda, cette parole fut adressée à Jérémie de la part du Seigneur :
« Ainsi parle le Seigneur : Tiens-toi dans la cour du Temple. Aux gens de toutes les villes de Juda qui viennent se prosterner dans le Temple, tu diras toutes les paroles que je t'ai ordonnées de leur dire ; n'en retranche pas un mot.
Peut-être écouteront-ils, et se détourneront-ils chacun de sa route mauvaise ? Alors je renoncerai au malheur que je prépare contre eux pour châtier le mal qu'ils font.
Tu leur diras donc : Ainsi parle le Seigneur : Si vous ne m'écoutez pas, si vous ne suivez pas la Loi que je vous ai donnée,
si vous n'écoutez pas les paroles de mes serviteurs les prophètes, que je vous envoie inlassablement, et que vous n'avez pas écoutés,
je traiterai ce Temple comme celui de Silo, et ferai de cette ville un exemple de malédiction pour toutes les nations de la terre. »
Les prêtres, les prophètes et tout le peuple entendirent Jérémie prononcer ces paroles dans le temple du Seigneur.
Et quand Jérémie eut fini de dire à tout le peuple tout ce que le Seigneur lui avait ordonné de dire, les prêtres, les prophètes et tout le peuple se saisirent de lui en disant : « Tu vas mourir !
Pourquoi prophétises-tu, au nom du Seigneur, que ce Temple deviendra comme celui de Silo, que cette ville sera dévastée et vidée de ses habitants ? »

 

Psaume 69(68),2.5ab.5cd.8.9-10.14.
Sauve-moi, mon Dieu :
les eaux montent jusqu'à ma gorge !
Plus abondants que les cheveux de ma tête,
ceux qui m'en veulent sans raison.

Ils sont nombreux, mes détracteurs,
à me haïr injustement.
C'est pour toi que j'endure l'insulte,
que la honte me couvre le visage.

Je suis un étranger pour mes frères,
un inconnu pour les fils de ma mère.
L'amour de ta maison m'a perdu ;
on t'insulte, et l'insulte retombe sur moi.

Et moi, je te prie, Seigneur :
c'est l'heure de ta grâce ;
dans ton grand amour, Dieu, réponds-moi,
par ta vérité sauve-moi.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,54-58.
Jésus alla dans son pays, et il enseignait les gens dans leur synagogue, de telle manière qu'ils étaient frappés d'étonnement et disaient : " D'où lui viennent cette sagesse et ces miracles?
N'est-il pas le fils du charpentier ? Sa mère ne s'appelle-t-elle pas Marie, et ses frères : Jacques, Joseph, Simon et Jude ?
Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes chez nous ? Alors, d'où lui vient tout cela ? »
Et ils étaient profondément choqués à cause de lui. Jésus leur dit : « Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie et dans sa propre maison. »
Et il ne fit pas beaucoup de miracles à cet endroit-là, à cause de leur manque de foi.

 

Commentaire du jour.
Saint Augustin (354-430), Évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et Docteur de l'Église.
Sermon 51, §19.30.

« N’est-il pas le fils du charpentier ? »

La réponse du Seigneur Jésus : « Ne saviez-vous pas que je dois être chez Mon Père ? » (Lc 2,49), n’affirme pas que Dieu est son Père pour signifier que Joseph ne l’est pas.
Comment prouver cela ? Par l’Écriture, qui continue… : « Il descendit avec eux pour rentrer à Nazareth, et il leur était soumis » (v. 51).
À qui était-il soumis ? N’est-ce pas à ses parents ? Tous deux donc étaient ses parents… Ils étaient ses parents dans le temps, et Dieu était Son Père de toute éternité.
Ils étaient les parents du Fils de l’homme ; le Père, de sa Parole, le Verbe, sa Sagesse (1Co 1,24), cette puissance par laquelle il a créé toute chose…

Ne soyons donc pas surpris que les évangélistes nous donnent la généalogie de Jésus par Joseph plutôt que par Marie (Mt 1,1; Lc 3,23).
Si Marie est devenue mère en dehors des désirs de la chair, Joseph est devenu père en dehors de toute union charnelle.
Il peut donc être le terme ou le point de départ de la généalogie du Sauveur, tout en n’étant pas son père selon la chair.
Sa grande pureté confirme sa paternité.
Marie, son épouse, a voulu le nommer en premier : « Vois comme nous avons souffert en te cherchant, ton père et moi » (Lc 2,48)…

Si Marie a enfanté le Sauveur en dehors des lois de la nature, L’Esprit Saint a été à l’œuvre aussi en Joseph, à l’œuvre donc en eux de façon égale. « Joseph était un homme juste », dit l’évangéliste Matthieu (1,19).
Le mari était juste, sa femme était juste : L’Esprit Saint reposait sur ces deux justes et a donné un fils à tous les deux.

 

TRAITÉ DE L'AMOUR DE JÉSUS CHRIST PAR SAINT ALPHONSE-MARIE

Toute la sainteté de l'âme et sa perfection réside dans l'Amour envers Jésus Christ, Notre Dieu, notre Souverain bien et notre Rédempteur. C'est la Charité qui rassemble et protège toutes les vertus qui rendent parfait.

Est-ce que Dieu ne mérite pas tout notre Amour ? Il nous a aimés dès l'éternité. « Considère, nous dit-il, que j'ai été le premier à t'aimer.
Tu n'avais pas encore vu le jour, le monde lui-même n'existait pas, et moi je t'aimais déjà. Je t'aime du fait même que je suis ».

Comme Dieu savait que l'homme se laisse attirer par des bienfaits, il a voulu l'obliger à l'aimer par ses dons :
« Ces filets, auxquels les hommes se laissent prendre, je veux les y attirer pour qu'ils m'aiment, car ce sont des liens d'amour. »
Il lui a donné une âme dotée, à son image, de mémoire, d'intelligence et de volonté ; il lui a donné un corps pourvu d'organes sensibles ; c'est encore pour lui qu'il a créé le Ciel et la Terre avec tout ce qu'ils contiennent.
C'est par Amour de l'homme qu'il a créé tout cela, afin que toutes ces créatures soient au service de l'homme, et que l'homme lui donne son Amour à cause de tant de bienfaits.

Mais il n'a pas voulu nous donner seulement ces belles créatures ; pour obtenir notre amour, il est allé jusqu'à se livrer Lui-même tout entier à nous.
Le Père éternel est allé jusqu'à nous donner Son Fils unique. Nous voyant morts par suite du péché et privés de sa grâce, qu'a-t-il fait ?
Emporté par son immense Amour, ou plutôt, suivant la parole de l'Apôtre, par son trop grand Amour pour nous, il a envoyé Son Fils bien-aimé, afin qu'il satisfasse pour nous et nous rappelle à la Vie que le péché nous avait enlevée.

En livrant Son Fils, qu'il a sacrifié afin de nous pardonner, il nous a prodigué tous les biens ensemble : la Grâce, la Charité, le Paradis ; car tous ces biens sont sans nul doute inférieurs à Son Fils : Celui qui n'a pas refusé même Son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment pourrait-il avec Lui ne pas nous donner tout ?

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,,3911.html
Père Joseph-Marie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

Jésus alla dans “son” pays

« Jésus alla dans “son” pays » : le possessif témoigne de l’enracinement humain de Notre-Seigneur.
Certes, par sa Résurrection il est « l’Homme Nouveau » (Ep 4, 24), en qui « il n’y a plus ni Juif ni païen, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus l’homme et la femme » (Ga 3, 28) ; mais pour nous élever au-dessus de nos particularismes et faire notre unité sans gommer nos diversités, le Verbe a voulu assumer les conditions de notre humanité : il est né au sein d’une race, d’un peuple, d’une famille bien concrète - « sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie, et ses frères (c’est-à-dire ses cousins) : Jacques, Joseph, Simon et Jude ? Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes chez nous ? »
Il a « planté sa tente parmi nous » (Jn 1, 14) en un lieu précis, sur la terre de Galilée, dans le village de Nazareth, et à une date précise, qui servira de référence pour nos calendriers ultérieurs.
On ne peut dire plus clairement que la Révélation Divine, qui s’accomplit dans l’Incarnation Rédemptrice, s’inscrit au cœur même de notre histoire.

Or c’est cela précisément qui, hier comme aujourd’hui, cause scandale : de quoi Dieu se mêle-t-il ?
« Que nous veux-tu, Fils de Dieu ? Es-tu venu pour nous faire souffrir avant le moment fixé ? » (Mt 8, 29).

Je me souviens d’une émission de radio abordant le « problème » des miracles ; l’intervenant Chrétien avait bien du mal à faire entendre sa voix au milieu des opposants.
Le ton est passé insensiblement de l’ironie au mépris, et du mépris à l’hostilité ouverte, cinglante, à la limite de la colère.
Les participants trouvaient choquant d’envisager une intervention de Dieu dans l’histoire, de quelque nature qu’elle soit : ce serait de la part de Dieu une ingérence intolérable et scandaleuse.

Comment les Chrétiens osent-ils suggérer une telle éventualité ? Heureusement tout le monde sait de nos jours que ce Dieu proposé par la Foi n’est qu’une extériorisation - une projection - de ce que l’homme porte de meilleur en soi.
Pas de danger qu’il intervienne dans l’histoire puisqu’il n’existe pas.

Ce constat permit aux esprits de retrouver leur calme ; mais le débat se déplaça sur un autre terrain : peut-on vraiment tolérer qu’une telle doctrine soit encore diffusée à l’aube du troisième millénaire ?
Le bien commun n’exige-t-il pas que soit dénoncée cette utopie aberrante ? Peut-on laisser dans l’ignorance, dans l’illusion, dans l’aliénation, tant d’hommes et de femmes encore enfermés dans une superstition aussi désuète ?…
D’une interrogation sur les miracles, le débat s’était subtilement transformé en procès du Christianisme.

Rien de nouveau sous le soleil ; Saint Maxime connaissait bien le cœur de l’homme lorsqu’il définissait le péché comme la volonté de conduire sa vie « sans Dieu, malgré Dieu, voire contre Dieu ».
Au scandale d’une ingérence Divine dans l’histoire des hommes, qui aliène leur liberté et menace leur autonomie, s’ajoute celui des conditions de cette intervention inopinée : un Dieu qui se fait homme, et qui après une brève carrière de prédicateur itinérant, termine lamentablement sur une Croix !

Non vraiment, le Christianisme n’est pas crédible. Il est même urgent d’effacer de la mémoire collective de l’humanité cette proposition religieuse doloriste et culpabilisante qui n’a que trop assombri l’existence des générations précédentes. « Dieu est mort » (Nietzsche), place au règne de l’homme !

« “Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie et dans sa propre maison”. Et il ne fit pas beaucoup de miracles à cet endroit-là à cause de leur manque de Foi. »
Aujourd’hui comme hier, « le langage de la Croix est folie pour ceux qui vont vers leur perte, mais pour ceux qui vont vers leur Salut, pour nous, il est puissance de Dieu. Car la folie de Dieu est plus sage que l’homme, et la faiblesse de Dieu est plus forte que l’homme » (1 Co 1, 18.25).

« Seigneur Jésus ne permets pas que les vains discours de notre monde nous ébranlent dans notre Foi.
Ouvre nos yeux, que nous puissions reconnaitre dans le mystère de ton incarnation Rédemptrice, la révélation de ton infinie Miséricorde pour notre pauvre humanité.
Donne-nous l’audace de proclamer ta seigneurie et de confesser ta Divinité, malgré les sarcasmes ; et accorde-nous d’“être toujours prêts à nous expliquer, avec douceur et respect, devant tous ceux qui nous demandent de rendre compte de l’Espérance qui est en nous” (1 P 3, 15-16). »
Père Joseph-Marie

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_158
Abbé Jordi POU i Sabater (Sant Jordi Desvalls, Girona, Espagne).

Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie et dans sa propre maison

Aujourd'hui, comme hier, il nous est difficile de parler de Dieu à ceux qui nous connaissent depuis toujours.
Dans le cas de Jésus, Saint Jean Chrysostome, disait: «Les gens de Nazareth l'admirent, mais cette admiration au lieu de leur inspirer la Foi, leur inspire la jalousie, c'est comme s'ils se disaient ‘pourquoi Lui et pas moi?’».
Jésus connaissait bien ceux qui au lieu de l'écouter se scandalisaient de ses paroles. C'était des parents, des amis, des voisins qui lui étaient chers, mais c'est justement à eux qu'Il ne réussira pas à faire entendre son message de Salut.

Nous, qui ne pouvons pas faire de miracles et qui n'avons pas la sainteté de Jésus, nous ne susciterons pas la jalousie (même si parfois cela peut arriver quand nous nous efforçons réellement de vivre en Chrétien).
Mais quoi qu'il en soit, comme à Jésus, il nous arrivera souvent que ceux que nous aimons et qui nous sont chers ne nous écoutent pas.
Dans ces circonstances, nous devons nous rappeler que ceux qui ont toujours été très proches de nous voient davantage nos défauts que nos vertus et qu'ils peuvent se dire:
—Toi qui faisais ça ou qui fait ça, tu n'as rien à m'apprendre.

Prêcher ou parler de Dieu aux gens de notre entourage ou de notre famille est difficile mais nécessaire.
Il faut dire, tout de même, que lorsque Jésus rentre chez lui, la renommée de ses paroles et de ses miracles le précèdent.
Peut-être que nous aussi nous devrions établir une certaine réputation de sainteté en dehors (et à l'intérieur) de nos maisons avant de prêcher à nos proches.

Sain Jean Chrysostome ajoute ce commentaire: «Je t'en prie, regarde l'amabilité du Maître: il ne les punit pas parce qu'ils ne l'écoutent pas, mais au contraire il leur dit avec douceur: ‘Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie et dans sa propre maison’ (Mt 13,57)».

Il est évident que Jésus s'en alla de là très triste, mais Il continu à prier pour que son message de Salut parvienne à ceux de son village.
Et nous (qui ne devrons rien pardonner ou excuser), nous devrons également prier pour que le message de Jésus parvienne à ceux qui nous sont chers, mais qui ne veulent pas nous écouter.

 

Hymne : Puisqu’il est avec nous

Puisqu’il est avec nous
Tant que dure cet âge,
N’attendons pas la fin des jours
Pour le trouver...
Ouvrons les yeux,
Cherchons sa trace et son visage,
Découvrons-le qui est caché
Au cœur du monde comme un feu !

Puisqu’il est avec nous
Pour ce temps de violence,
Ne rêvons pas qu’il est partout
Sauf où l’on meurt...
Pressons le pas,
Tournons vers lui notre patience,
Allons à l’homme des douleurs
Qui nous fait signe sur la croix !

Puisqu’il est avec nous
Dans nos jours de faiblesse,
N’espérons pas tenir debout
Sans l’appeler...
Tendons la main,
Crions vers lui notre détresse ;
Reconnaissons sur le chemin
Celui qui brûle nos péchés !

Puisqu’il est avec nous
Comme à l’aube de Pâques,
Ne manquons pas le rendez-vous
Du sang versé…
Prenons le pain,
Buvons la coupe du passage :
Accueillons-le qui s’est donné
En nous aimant jusqu’à la fin !

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur qui ne cesses d'éveiller dans ton Église de nouveaux modèles de vertu, fais-nous suivre les exemples de Saint Alphonse de Liguori, remplis-nous d'ardeur pour le Salut de nos frères, et nous obtiendrons comme lui le Bonheur du Ciel.

 

Parole de Dieu : (Sg 7 13-14)… (Office des Laudes).
Ce que j’ai appris avec simplicité, j’en fait part sans réserve, je ne tairais pas sa richesse. Car la Sagesse est pour les hommes un trésor inépuisable.
Ceux qui l’ont exploité se sont concilié l’amitié de Dieu. Nous sommes dans sa main : nous-mêmes, nos paroles, toute notre intelligence et notre savoir faire.

 

Parole de Dieu : (Rm 15, 1-3)… (Office des Vêpres).
C’est un devoir pour nous, les forts, de porter l’infirmité des faibles et de ne pas rechercher ce qui nous plaît. Que chacun de nous cherche à plaire à son prochain, en vue du bien, pour édifier.
Le Christ, en effet, n’a pas recherché ce qui lui plaisait mais, comme il est écrit : « Les insultes de tes insulteurs sont tombées sur moi. »

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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