Eucharistie du Dimanche 19 Février 2017 : Septième Dimanche du Temps Ordinaire (Année A).

Eucharistie du Dimanche 19 Février 2017 : Septième Dimanche du Temps Ordinaire (Année A).

Fête de Saint Conrad de Plaisance, Ermite Tertiaire Franciscain en Sicile (? 1351).
Fête de la Bienheureuse Élisabeth Picenardi, Servite de Marie (? 1468).
Fête du Vénérable Romano Bottegal, Moine Cistercien, Ermite italien au Liban (? 1978).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre du Lévitique 19,1-2.17-18... Psaume 103(102),1-2.3-4.8.10.12-13... Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 3,16-23... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,38-48.
Commentaire de Saint Cyprien (v. 200-258), Évêque de Carthage et Martyr.
Autre commentaire de Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).
Autre commentaire de l’Abbé José PLAZA Monárdez (Calama, Chili).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Saint conrad de plaisance 11Dimanche 19 Février 2017 : Fête de Saint Conrad de Plaisance, Ermite Tertiaire Franciscain en Sicile (? 1351).
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Saint Conrad de Plaisance.

Elisabeth picenardi 45 2Dimanche 19 Février 2017 : Fête de la Bienheureuse Élisabeth Picenardi, Servite de Marie (? 1468).
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Bienheureuse Élisabeth Picenardi.

83287811 o 1Dimanche 19 Février 2017 : Fête du Vénérable Romano Bottegal, Moine Cistercien, Ermite italien au Liban (? 1978).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Vénérable Romano Bottegal.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre du Lévitique 19,1-2.17-18.
Le Seigneur parla à Moïse et dit :
« Parle à toute l’assemblée des fils d’Israël. Tu leur diras : Soyez saints, car moi, le Seigneur votre Dieu, je suis saint.
Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur. Mais tu devras réprimander ton compatriote, et tu ne toléreras pas la faute qui est en lui.
Tu ne te vengeras pas. Tu ne garderas pas de rancune contre les fils de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis le Seigneur. »

 

Psaume 103(102),1-2.3-4.8.10.12-13.
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n'oublie aucun de ses bienfaits !

Car il pardonne toutes tes offenses
et te guérit de toute maladie ;
il réclame ta vie à la tombe
et te couronne d'amour et de tendresse.

Le Seigneur est tendresse et pitié,
lent à la colère et plein d'amour ;
Il n'agit pas envers nous selon nos fautes,
ne nous rend pas selon nos offenses.

Aussi loin qu'est l'orient de l'occident,
il met loin de nous nos péchés.
Comme la tendresse du père pour ses fils,
la tendresse du Seigneur pour qui le craint !

 

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 3,16-23.
Frères, ne savez-vous pas que vous êtes un sanctuaire de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ?
Si quelqu’un détruit le sanctuaire de Dieu, cet homme, Dieu le détruira, car le sanctuaire de Dieu est saint, et ce sanctuaire, c’est vous.
Que personne ne s’y trompe : si quelqu’un parmi vous pense être un sage à la manière d’ici-bas, qu’il devienne fou pour devenir sage.
Car la sagesse de ce monde est folie devant Dieu. Il est écrit en effet : ‘C’est lui qui prend les sages au piège de leur propre habileté.’
Il est écrit encore : ‘Le Seigneur le sait : les raisonnements des sages n’ont aucune valeur !’
Ainsi, il ne faut pas mettre sa fierté en tel ou tel homme. Car tout vous appartient,
que ce soit Paul, Apollos, Pierre, le monde, la vie, la mort, le présent, l’avenir : tout est à vous,
mais vous, vous êtes au Christ, et le Christ est à Dieu.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 5,38-48.
En ce temps- là, Jésus disait à ses disciples : « Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Œil pour œil, et dent pour dent’.
Eh bien ! Moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu’un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l’autre.
Et si quelqu’un veut te poursuivre en justice et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau.
Et si quelqu’un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille avec lui.
À qui te demande, donne ; à qui veut t’emprunter, ne tourne pas le dos ! »
Vous avez appris qu’il a été dit : ‘Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi.’
Eh bien ! Moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent,
afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes.
En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ?
Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n’en font-ils pas autant ?
Vous donc, vous serez parfaits comme votre Père céleste est parfait. »

 

Commentaire du jour.
Saint Cyprien (v. 200-258), Évêque de Carthage et Martyr.
Les Bienfaits de la patience, 15-16 ; SC 291 (trad. cf SC p. 221)

« Moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant »

« Supportez-vous les uns les autres dans l'Amour, faisant tout ce qui est en votre pouvoir pour garder l'unité de l'esprit dans le lien de la paix » (Ep 4,2).
Il n'est pas possible de maintenir l'unité ni la paix si les frères ne s'encouragent pas les uns les autres par le soutien mutuel, en gardant le lien de la bonne entente grâce à la patience...

Pardonner à ton frère qui commet des fautes à ton égard non seulement soixante-dix fois sept fois, mais absolument toutes ses fautes, aimer tes ennemis, prier pour tes adversaires et tes persécuteurs (Mt 5,39.44; 18,22) – comment y arriver si l'on n'est pas ferme dans la patience et la bienveillance ?
C'est ce que nous voyons chez Étienne... : loin de demander la vengeance, il a demandé le pardon pour ses bourreaux en disant : « Seigneur, ne leur compte pas ce péché » (Ac 7,60).

Voilà ce qu'a fait le premier martyr du Christ..., qui s'est fait non seulement prédicateur de la Passion du Seigneur mais imitateur de sa très patiente douceur.

Que dire de la colère, de la discorde, de la rivalité ? Elles n'ont pas de place chez un Chrétien. La patience doit habiter son cœur ; on n'y trouvera alors aucun de ces maux...
L'apôtre Paul nous en avertit : « Ne contristez pas le Saint-Esprit de Dieu... : faites disparaître de votre vie tout ce qui est amertume, emportement, colère, éclats de voix ou insultes » (Ep 4,30-31).
Si le Chrétien s'échappe aux égarements et aux assauts de notre nature déchue, comme à une mer en furie, s'il s'établit dans le port du Christ, dans la Paix et le calme, il ne doit admettre en son cœur ni colère ni discorde.
Il ne lui est pas permis de rendre le mal pour le mal (Rm 12,17), ni de concevoir de la haine.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.carmel.asso.fr/7eme-Dimanche-T-O-A.html
Frère Jean-Christian Lévêque o.c.d. (Carmel).

Œil pour œil, dent pour dent

Derrière ces pages de catéchèse, très stylisées, de Saint Matthieu, nous retrouvons sans difficulté non seulement toute la pédagogie des premiers prédicateurs Chrétiens, mais toute la force et toute l’exigence du message moral de Jésus.

« Œil pour œil, dent pour dent », cette vieille loi du talion avait fait ses preuves dans les civilisations anciennes du Proche-Orient.
Tantôt elle apparaissait comme une mesure de rigueur, destinée à faire réfléchir les criminels, tantôt elle jouait en fait comme une mesure d’ordre et de modération, qui protégeait les délinquants contre des vengeances aveugles.
De toute façon, pour Jésus, tout cela est radicalement dépassé par la loi nouvelle qu’il promulgue de sa propre autorité de Fils de Dieu : « Je vous dis de ne pas tenir tête, de ne pas riposter aux méchants ».

Et Jésus ajoute quatre exemples, en passant du-« vous » au « tu, pour les personnaliser davantage. »
À celui qui te frappe sur la joue droite, tends l’autre joue" . Ce n’est pas un exemple irréel, car dès que l’on entreprend quelque chose pour Le Seigneur, il faut s’attendre à recevoir des coups, parfois de tous les côtés, et nous savons tous par expérience toutes les petites gifles morales que nous réserve la vie Communautaire, et surtout la vie des petites Fraternités.

Ce n’est pas non plus un exemple irréalisable, et on le déformerait, en y voyant une simple boutade du Seigneur.
Car Jésus, réellement, nous attend là, et sa loi, valable pour chaque personne, l’est aussi pour les Communautés, qui ont, elles aussi, à rejoindre cet idéal de non violence, dans leurs rapports avec les autres groupes humains.
Mais c’est une attitude qui doit jaillir du plus profond de la liberté et qu’on ne saurait imposer à aucun ; et c’est pourquoi Le Seigneur, calmement, déclarait à ceux qui venaient l’arrêter à Gethsémani : « Si c’est Moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir ».

Vient ensuite l’exemple de la tunique et du manteau. À la surenchère de la haine, il faut répondre par la surenchère de l’amour.
La réquisition pour un mille (c’est-à-dire pour 1.500 m) fait sans doute allusion à des corvées. Les soldats ou les fonctionnaires pouvaient forcer un passant à porter un fardeau ou à les accompagner un instant à titre de guide ou d’otage.
Ainsi, selon Jésus, à tous ceux qui abusent de nos services, qui font de nous leurs esclaves (…ou leurs boniches !), il faut répondre par une surenchère de la disponibilité.
Souvent d’ailleurs, le seul pas qui coûte vraiment, c’est le pas 1001.

Et enfin Jésus dit : « Donne à qui te demande ». Dans ce contexte, il semble bien s’agisse d’une demande agressive ou injuste. Là encore Le Seigneur nous suggère de répondre par un geste d’apaisement ou de patience.

Telles sont les consignes de Jésus, à la fois paradoxales et terriblement réalistes. Au bout du compte, tous les comptes sont faussés, car Dieu est celui qui ne veut pas compter.
À une morale de la juste proportion, Jésus substitue la morale de la douceur volontaire.
Aux pressions de la méchanceté Jésus oppose seulement le dynamisme mystérieux de la non violence.
Il n’approuve pas le mal, mais il refuse de répondre au même niveau que le mal.

Évidemment, suivre Jésus jusque-là, c’est dire adieu à toutes nos sécurités, ces pauvres sécurités que nous appuyons sur des arguments de justice, sur des droits réels à faire valoir, sur des compétences que nous voulons défendre, sur des rôles qui nous flattent et que nous voulons garder.
Ce risque évangélique réclame une force que seul Le Christ peut nous donner, la force de l’Espérance, toujours paradoxale ; un tel renoncement à l’agressivité, véritable folie aux yeux du monde, ne peut être vécu que par Amour, par un amour un peu fou lui aussi, voué à Celui qui est source de tout Amour.

La disproportion grandira forcément dans notre vie évangélique, entre nos droits et nos devoirs, entre ce que nous recevons et ce qu’il faudra donner, disproportion douloureuse, révoltante même à certains jours, disproportion qui ne sera corrigée que par le Cœur de Dieu selon les critères d’une sagesse inaccessible, et qui sont, eux aussi, des critères d’Amour.
Fr. Jean-Christian Lévêque, o.c.d.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_61
Abbé José PLAZA Monárdez (Calama, Chili).

«Soyez parfaits comme Votre Père Céleste est parfait»

Aujourd'hui, la Parole de Dieu nous apprend que la source de sainteté ainsi que sa mesure, demeurent en Dieu seul: «Soyez parfaits comme Votre Père Céleste est parfait» (Mt 5,48). C'est Lui qui nous inspire et c'est vers Lui que nous marchons.
On parcourt le chemin sous l'égide de la nouvelle loi, celle de l'Amour. L'Amour est le véritable guide de nos idéaux, qui sont si bien exprimés dans ce cinquième chapitre de l'Évangile de Saint Matthieu.

La vieille loi du Talion du livre de l'Exode (cf. Ex 21,23-35) —qui se voulait une loi ayant pour but d'éviter les vengeances sans pitié, et restreindre à "l'œil pour œil" le dédommagement querelleur— est définitivement dépassée par la loi de l'Amour.
Dans ces versets on nous donne toute une Magna Carta de la morale Chrétienne: l'Amour de Dieu et du Prochain.

Le Pape Benoît XVI nous dit que: «Seul le service du prochain ouvre mes yeux sur ce que Dieu fait pour moi et sur sa manière à Lui de m’aimer».
Jésus nous présente la loi d'une justice surabondante, car le mal n'est pas vaincu en faisant plus de mal mais en l'expulsant de la vie, coupant court à son efficacité contre nous.

Pour vaincre —nous dit Jésus— il faut avoir une très bonne maîtrise de soi, et assez de clarté d'esprit pour connaitre la loi à laquelle nous obéissons: celle de l'Amour inconditionnel, gratuit et magnanime.
L'Amour, Jésus l'a amené sur la Croix car la Haine est vaincue par l'Amour.
C'est cela le chemin de la victoire, sans violence, avec humilité et avec un amour joyeux, car Dieu est l'Amour fait action.
Et si nos actes proviennent de ce même Amour qui ne déçoit pas, Le Père éternel reconnaîtra en nous ses enfants.
Voilà le chemin parfait, celui de l'Amour surabondant qui nous met sur la route du Royaume des Cieux, et dont l'expression exacte est la sublime manifestation de l'Amour débordant que Dieu a déversé dans nos cœurs par le don de L'Esprit-Saint (cf. Rom 5,5).

 

Hymne : Au commencement

Au commencement
Etait le Verbe !
Il était en Dieu !
Il était Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

Il était la Vie,
Notre lumière.
La lumière luit
Dans notre nuit !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

Qui croit en son nom
A Dieu pour Père !
Qui l'aura reçu
Ne mourra plus !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

Le Verbe fait chair,
Parmi les hommes
A manifesté
La vérité !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

Nous tenons de Lui
Grâce sur grâce !
Il a révélé
Le Dieu caché !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

Et par Jésus Christ,
Le Fils unique,
Un jour, de nos yeux,
Nous verrons Dieu !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !

 

Hymne : N’allons plus nous dérobant

N’allons plus nous dérobant
À l’Esprit qui régénère :
Le Seigneur est ressuscité !
Un sang neuf coule aux artères
Du corps entier.
La nuit du temps
Se change en lumière :
L’homme était mort, il est vivant.

N’allons plus à contre-voie
De Celui qui nous entraîne :
Le Seigneur est ressuscité !
Dans sa chair monte, soudaine,
L’éternité.
Il rend leur poids
Aux jours, aux semaines,
Les achemine vers la joie.

N’allons plus sans feu ni lieu
Quand Jésus nous accompagne :
Le Seigneur est ressuscité !
Le voici pain sur la table
Des baptisés.
Présent de Dieu
Offert en partage :
Christ aujourd’hui ouvre nos yeux.

Nous irons portant plus haut
Notre foi dans la victoire :
Le Seigneur est ressuscité !
L’univers chante la gloire
Des rachetés.
Le feu et l’eau
Emportent l’histoire,
Dieu nous appelle avec l’Agneau

 

Hymne : Reste avec nous, Seigneur Jésus

Reste avec nous, Seigneur Jésus,
Toi, le convive d’Emmaüs ;
Au long des veilles de la nuit,
Ressuscité, tu nous conduis.

Prenant le pain, tu l’as rompu,
Alors nos yeux t’ont reconnu,
Flambée furtive où notre cœur
A pressenti le vrai bonheur.

Le temps est court, nos jours s’en vont,
Mais tu prépares ta maison ;
Tu donnes un sens à nos désirs,
À nos labeurs un avenir.

Toi, le premier des pèlerins,
L’étoile du dernier matin,
Réveille en nous, par ton amour,
L’immense espoir de ton retour.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Accorde-nous, Dieu tout-puissant, de conformer à ta Volonté nos paroles et nos actes dans une inlassable recherche des biens spirituels.

 

Parole de Dieu : (Ez 37, 12b-14)... (Office des Laudes).
Ainsi parle Le Seigneur Dieu : je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai sortir, ô mon peuple, et je vous ramènerai sur la terre d’Israël.
Vous saurez que je suis Le Seigneur, quand j’ouvrirai vos tombeaux et vous en ferai sortir, ô mon peuple !
Je mettrai en vous Mon Esprit, et vous vivrez ; je vous installerai sur votre Terre, et vous saurez que je suis Le Seigneur : je l’ai dit et je le ferai.
Parole du Seigneur.

 

Parole de Dieu : (1 P 1, 3-5)... (Office des Vêpres).
Béni soit Dieu, Le Père de Jésus-Christ, Notre Seigneur : dans sa grande Miséricorde, il nous a fait renaître grâce à la Résurrection de Jésus-Christ pour une vivante Espérance, pour l’héritage qui ne connaîtra ni destruction, ni souillure, ni vieillissement.
Cet héritage vous est réservé dans les Cieux, à vous que la puissance de Dieu garde par la Foi, en vue du Salut qui est prêt à se manifester à la fin des temps.

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