Eucharistie du Mardi 26 Juillet 2016 : Mardi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire.

Eucharistie du Mardi 26 Juillet 2016 : Mardi de la 17ème semaine du Temps Ordinaire.

L’Église Célèbre la Fête (au Canada, mémoire obligatoire ailleurs) de Sainte Anne et Saint Joachim, mère et père de la Vierge Marie. Sainte Anne est la patronne de la province de Québec et de la Bretagne…

Au Canada : fête de Sainte Anne, patronne de la province du Québec - lectures propres

Fête de Saint Georges Preca, Prêtre et Fondateur de la Société de la Doctrine Chrétienne (? 1962).
Fête du Bienheureux Titus Brandsma, Prêtre, Carme, Martyr (1881-1942).


Textes du jour (1ère lecture, Psaume, 2ème lecture, Évangile) :
Livre de Jérémie 14,17-22... Psaume 79(78),5a.8.9.11.13ab... Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,36-43.
Commentaire du Catéchisme de l'Église Catholique.
HOMÉLIE DE SAINT JEAN DE DAMAS POUR LA NATIVITÉ DE LA VIERGE MARIE.
Autre commentaire de Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.
Autres commentaires de l’Abbé Iñaki BALLBÉ i Turu (Rubí, Barcelona, Espagne).
Hymne, Oraison et Parole de Dieu.

Icocc82ne de la sainte rencontre de anne et joachimIcône de la Sainte Rencontre d’Anne et Joachim.
Icône réalisée par la main de Michèle Lévesque, art et icônes. Lien du site :
http://www.perichorese-icones.org/
Lien de la photo de l’icône dans le site ci-dessus : http://www.perichorese-icones.org/ALBUM/ImagesAlbumFlickr/2006-2007_AnneJoachim_perichorese.org.jpg

Mardi 26 Juillet 2016 : Fête de Sainte Anne et Saint Joachim, mère et père de la Vierge Marie. Sainte Anne est la patronne de la province de Québec et de la Bretagne…
Pour voir leur vie et en découvrir davantage sur eux, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Sainte Anne et Saint Joachim, mère et père de la Vierge Marie.

78179968 oMardi 26 Juillet 2016 : Fête de Sainte Anne et Saint Joachim, mère et père de la Vierge Marie. Sainte Anne est la patronne de la province de Québec et de la Bretagne…
Pour voir mon commentaire personnel de cette Fête, aller dans le menu déroulant à « Réflexions personnel n°65) ou sur le lien suivant :
Fête de Sainte Anne et Saint Joachim.

39591850Mardi 26 Juillet 2016 : Fête de Saint Georges Preca, Prêtre et Fondateur de la Société de la Doctrine Chrétienne (? 1962).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Saint Georges Preca.

127683titusbrandsma1Mardi 26 Juillet 2016 : Fête du Bienheureux Titus Brandsma, Prêtre, Carme, Martyr (1881-1942).
Pour voir sa vie et en découvrir davantage sur lui, aller dans le menu déroulant à « Vie des Saints » ou sur le lien suivant :
Bienheureux Titus Brandsma.

 

LITURGIE DE LA PAROLE.

Livre de Jérémie 14,17-22.
Que mes yeux ruissellent de larmes nuit et jour, sans s’arrêter ! Elle est blessée d’une grande blessure, la vierge, la fille de mon peuple, meurtrie d’une plaie profonde.
Si je sors dans la campagne, voici les victimes de l’épée ; si j’entre dans la ville, voici les souffrants de la faim. Même le prophète, même le prêtre parcourent le pays sans comprendre.
As-tu donc rejeté Juda ? Es-tu pris de dégoût pour Sion ? Pourquoi nous frapper sans remède ? Nous attendions la paix, et rien de bon ! le temps du remède, et voici l’épouvante !
Seigneur, nous connaissons notre révolte, la faute de nos pères : oui, nous avons péché contre toi !
À cause de ton nom, ne méprise pas, n’humilie pas le trône de ta gloire ! Rappelle-toi : ne romps pas ton alliance avec nous !
Parmi les idoles des nations, en est-il qui fassent pleuvoir ? Est-ce le ciel qui nous donnera les pluies ? N’est-ce pas toi, Seigneur notre Dieu ? Nous espérons en toi, car c’est toi qui as fait tout cela.

 

Psaume 79(78),5a.8.9.11.13ab.
Combien de temps, Seigneur, durera ta colère ?
Ne retiens pas contre nous les péchés de nos ancêtres :
que nous vienne bientôt ta tendresse,
car nous sommes à bout de force !

Aide-nous, Dieu notre Sauveur,
pour la gloire de ton nom !
Délivre-nous, efface nos fautes,
pour la cause de ton nom !

Que monte en ta présence la plainte du captif !
Ton bras est fort : épargne ceux qui doivent mourir.
Et nous, ton peuple, le troupeau que tu conduis,
sans fin nous pourrons te rendre grâce.

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,36-43.
En ce temps-là, laissant les foules, Jésus vint à la maison. Ses disciples s’approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. »
Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ;
le champ, c’est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais.
L’ennemi qui l’a semée, c’est le diable ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges.
De même que l’on enlève l’ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-t-il à la fin du monde.
Le Fils de l’homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume toutes les causes de chute et ceux qui font le mal ;
ils les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »

 

Commentaire du jour.
Catéchisme de l'Église Catholique.
§ 823 – 827

« Je crois en l'Église une, sainte, catholique et apostolique »

« L'Église est sainte : aux yeux de la Foi, l'Église...est indéfectiblement sainte. En effet Le Christ, Fils de Dieu qui, avec Le Père et L'Esprit, est proclamé « seul saint », a aimé l'Église comme son épouse, il s'est livré pour elle afin de la sanctifier, il se l'est unie comme son Corps et l'a comblée du Don de L'Esprit-Saint pour la Gloire de Dieu. »
L'Église est donc « le peuple saint de Dieu », et ses membres sont appelés « saints » (Lumen gentium, 39,12 ; 1Co 6,1)...
Par Le Christ et en Lui l'Église devient aussi sanctifiante... C'est en elle que « nous acquérons la sainteté par la Grâce de Dieu »...
En ses membres, la sainteté parfaite est encore à acquérir...

« Tandis que Le Christ Saint, innocent, sans tache, venu uniquement pour expier les péchés du peuple, n'a pas connu le péché, l'Église, elle, qui renferme des pécheurs dans son propre sein, est donc à la fois sainte et appelée à se purifier, et poursuit constamment son effort de pénitence et de renouvellement. » (LG 42)
Tous les membres de l'Église, ses ministres y compris, doivent se reconnaître pécheurs. En tous, l'ivraie du péché se trouve encore mêlée au bon grain de l'Évangile jusqu'à la fin des temps.

L'Église rassemble donc des pécheurs saisis par le Salut du Christ mais toujours en voie de sanctification : « L'Église est sainte tout en comprenant en son sein des pécheurs, parce qu'elle n'a elle-même d'autre vie que celle de la Grâce.
C'est en vivant de sa vie que ses membres se sanctifient ; c'est en se soustrayant à sa vie qu'ils tombent dans les péchés et les désordres qui empêchent le rayonnement de sa sainteté.
C'est pourquoi elle souffre et fait pénitence pour ces fautes, dont elle a le pouvoir de guérir ses enfants par le Sang du Christ et le Don de L'Esprit Saint. »

 

HOMÉLIE DE SAINT JEAN DE DAMAS POUR LA NATIVITÉ DE LA VIERGE MARIE

Puisque la Vierge Mère de Dieu devait naître de Sainte Anne, la nature n'a pas osé anticiper sur la grâce : la nature demeura stérile jusqu'à ce que la grâce eût porté son fruit.
Il fallait qu'elle naisse la première, celle qui devait enfanter le premier-né antérieur à toute créature, en qui tout subsiste.

Joachim et Anne, heureux votre couple ! Toute la création est votre débitrice. C'est par vous, en effet, qu'elle a offert au Créateur le don supérieur à tous les dons, une mère toute sainte, seule digne de celui qui l'a créée.

Réjouis-toi, Anne, la stérile, toi qui n'enfantais pas ; éclate en cris de joie, toi qui n'as pas connu les douleurs.
Réjouis-toi, Joachim : par ta fille un enfant nous est né, un fils nous a été donné. On proclame son nom : Messager du grand dessein de Dieu
, qui est le salut de tout l'univers, Dieu fort. Oui, cet enfant est Dieu. ~

Joachim et Anne, heureux votre couple, et parfaitement pur ! On vous a reconnus grâce à votre fruit, selon cette parole du Seigneur : Vous les reconnaîtrez à leurs fruits.
Vous avez eu une conduite agréable à Dieu et digne de celle que vous avez engendrée.

À cause de votre vie chaste et sainte, vous avez produit le joyau de la virginité, celle qui devait être vierge avant l'enfantement, vierge en mettant au monde, vierge après la naissance ; la seule toujours Vierge d'esprit, d'âme et de corps. ~

Joachim et Anne, couple très chaste ! ~ En observant la chasteté, cette loi de la nature, vous avez mérité ce qui dépasse la nature : vous avez engendré pour le monde celle qui sera, sans connaître d'époux, la Mère de Dieu.
En menant une vie pieuse et sainte dans la nature humaine, vous avez engendré une fille supérieure aux anges, qui est maintenant la Souveraine des anges.

Enfant très gracieuse et très douce ! Fille d'Adam et Mère de Dieu ! Heureux ton père et ta mère ! Heureux les bras qui t'ont portée !
Heureuses les lèvres qui, seules, ont reçu tes chastes baisers pour que tu demeures toujours parfaitement vierge.
Acclamez Dieu, terre entière, sonnez, dansez, jouez. Élevez la voix, élevez-la, ne craignez pas.

 

Autre commentaire du jour.
http://www.homelies.fr/homelie,ferie,2857.html
Frère Élie, Moine de la Famille de Saint Joseph.

« Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ. »

Dans l’Évangile de ce jour, Jésus nous donne Lui-même l’interprétation de la parabole du bon grain et de l’ivraie qu’il avait laissée à notre méditation quelques versets plus haut.
Dans le récit parabolique, Jésus s’exprimait ainsi : « Il en est du Royaume des Cieux comme d’un homme qui a semé du bon grain dans son champ. Or, son ennemi est venu, il a semé à son tour l’ivraie, au beau milieu du blé et il s’en est allé ».
Là où le Royaume est à l’œuvre, le démon pointe son nez et entre en action. N’oublions pas qu’il y a deux manières de faire le jeu du démon : trop en parler si bien qu’on ne pense plus qu’à lui en oubliant que Dieu est le centre de notre vie mais aussi croire qu’il n’existe pas, qu’il n’agit pas, si bien qu’on lui laisse les mains libres pour semer l’ivraie dans notre champ : « pendant que les gens dormaient ».

La parabole nous montre que le démon entre en action à deux niveaux. Tout d’abord, directement. Il sème de l’ivraie au milieu du bon grain et crée la confusion entre ce qui est bon et ce qui est mauvais.
Face à cela, les directives de Jésus sont claires : « Laissez-les pousser ensemble, de peur qu’en enlevant l’ivraie vous n’arrachiez le bon grain ».
D’une part, l’ivraie est tellement imbriquée dans le bon grain, qu’en voulant enlever l’un, nous arracherions l’autre.
D’autre part, le bon grain et l’ivraie en herbe se ressemblent tellement que nous risquerions de nous méprendre en croyant arracher de l’ivraie alors qu’il s’agit de bon grain.

Mais le démon peut aussi intervenir d’une façon moins directe en induisant dans notre cœur l’illusion de croire que nous pouvons par nous-mêmes discerner de façon définitive ce qui est bon de ce qui est mauvais.
Nous nous instaurons alors juges de nos frères et de nous-mêmes, juges de la moisson c’est-à-dire de l’œuvre de Dieu dans les cœurs, autrement dit juges de Dieu puisqu’entre Dieu et son œuvre c’est tout un.

Cela ne signifie pas pour autant qu’il faille relativiser la distinction entre le bien et le mal. En effet, l’ivraie n’est pas du bon grain, et le bon grain ne saurait se confondre avec l’ivraie.
Le bien et le mal s’impose à tous dans les mêmes termes et avec la même exigence et ne sont relatifs en rien aux conditions subjectives de chacun.

En fait, le piège est de prétendre juger du bien et du mal de façon définitive et clôturante à un instant donné en enfermant l’autre ou soi-même dans sa faute et en excluant toute possibilité de changer.
L’impasse est alors faite sur la Miséricorde Divine qui agit dans la durée et ne réduit jamais quelqu’un aux actes qu’il a posés à un moment donné de sa vie.

La Divine Patience est sans conteste un des aspects les plus déconcertants de la Miséricorde. Le Seigneur croit en nous, il espère en nous et nous aime non pas malgré notre malice et notre aveuglement, mais à cause d’eux, c'est-à-dire en proportion de notre misère.

Certes, l’ivraie n’entrera pas dans le Royaume, mais ce n’est qu’à la moisson, c’est-à-dire quand le bon grain sera définitivement à l’abri, qu’elle sera arrachée et brûlée.
Car ce n’est qu’au terme d’une vie qu’on peut en faire le bilan et encore : pas à la lumière de nos critères humains (ce ne sont pas les serviteurs qui moissonnent mais les Anges de Dieu), mais à la lumière de ce que L’Esprit seul peut révéler, lui qui connaît le fond des cœurs.

Laissons donc le temps et la grâce faire leur œuvre. La graine du Royaume, minuscule aux yeux des hommes, à vrai dire à peine perceptible – qu’y a-t-il donc de changé depuis la venue du Christ ? – cette graine pousse dans le secret des cœurs.
Mystérieusement, le levain du Royaume se diffuse dans la pâte humaine et la travaille au plus profond. Même si nous ne percevons pas de changement spectaculaire, il fait pourtant insensiblement lever la pâte.
Voilà le lieu de notre combat : la Foi en l’action cachée du Royaume dans la durée. Ne laissons pas ici sommeiller notre Foi.
Pendant ce sommeil risquerait fort bien d’intervenir le Malin. Notre manière de contribuer à l’avènement du Royaume c’est précisément de rester vigilants dans cette Foi.

« Seigneur, en attendant que tu reviennes pour faire toi-même la moisson, augmente notre Foi et notre Espérance en ta Miséricorde à l’œuvre dans les cœurs pour promouvoir la croissance du bon grain et être jugés digne d’être intégrés dans le Pain Eucharistique du Royaume qui est ton Corps. »
Frère Élie.

 

Autre commentaire de ce jour.
http://evangeli.net/evangile/jour/IV_155
Abbé Iñaki BALLBÉ i Turu (Rubí, Barcelona, Espagne).

«Explique-nous clairement la parabole de l'ivraie dans le champ»

Aujourd'hui, à travers la parabole de l'ivraie et du bon grain, l'Église nous invite à méditer sur le bien et le mal.
Le bien et le mal qui existe dans notre cœur; le bien et le mal que nous voyons dans les autres, et celui que nous voyons dans le monde.

«Explique-nous clairement la parabole» (Mt 13,36), ses disciples demandent-ils à Jésus. Et nous, aujourd'hui, nous pouvons prendre la résolution de prendre soin de notre prière personnelle, de notre relation quotidienne avec Dieu. —Seigneur, pouvons-nous lui dire, explique-moi pourquoi je n'avance pas suffisamment dans ma Vie intérieure. Explique-moi comment je peux t'être plus fidèle, comment je peux te trouver dans mon travail, ou à travers de cette circonstance que je ne comprends pas, ou que je ne veux pas comprendre. Comment puis-je devenir un apôtre qualifié.
La prière consiste à demander «des explications» à Dieu. Comment est ma prière? Est-elle sincère? Est-elle constante? Est-elle pleine de confiance?

Jésus-Christ nous invite à fixer le regard vers le Ciel, notre maison pour l'éternité. Souvent, nous vivons envahis par la presse, et presque jamais prenons le temps de penser qu'un jour —loin ou pas, nous ne le savons pas— nous devrons rendre compte à Dieu de notre Vie, de comment nous avons fait fructifier les qualités qu'il nous a données.
Et Le Seigneur nous dit qu'à la fin du monde, il y a aura un triage. Nous devons gagner le Ciel sur la Terre, dans le quotidien, sans attendre des situations qui n'arriveront peut-être jamais.

Nous devons vivre l'ordinaire et ce qui ne semble avoir aucune transcendance de façon héroïque. Vivre en pensant à l'éternité et aider les autres à penser de cette façon : paradoxalement, «l'homme qui doit mourir tente d'échapper à la mort; et l'homme qui doit vivre éternellement ne tente pas d'échapper au pécher» (Saint Julien de Toledo).

Nous récolterons ce que nous avons semé. Il faut lutter pour donner aujourd'hui 100%. Et que lorsque Dieu nous appelle en sa présence nous puissions lui présenter les mains pleines: d'actes de Foi, d'Espérance, d'Amour.
Qui se concrétisent dans de petites choses, dans de petites batailles qui, vécues dans le quotidien, nous font plus Chrétiens, plus saints, plus humains.

 

Hymne : Dieu s'approchait comme le fruit

Dieu s'approchait comme le fruit
D'un long désir,
Comme le sceau d'une alliance
Dont il était l'avenir.
Il répondait à l'espérance
D'un peuple en marche vers lui.

Toute une race de croyants
Guettait son Jour ;
La foi patiente des pauvres
Tenait la veille d'amour.
Devinaient-ils les feux de l'aube
Dans le regard d'une enfant ?

L'ultime étape commençait
Avec Marie.
La Vierge était l'héritière
De la promesse de vie.
Bienheureux ceux qui façonnèrent
Le cœur que Dieu choisissait.

Ils préparèrent le chemin
Du Dieu Sauveur
Qui changerait en exode
L'ancien exil des pécheurs.
Il s'approchait... Il vient encore,
Nous attendons son matin.

 

Oraison du matin (Office des Laudes).
Seigneur, Toi qui es Le Dieu de nos Pères, tu as donné à Sainte Anne et à Saint Joachim de mettre au monde celle qui deviendrait la mère de Ton Fils ; accorde-nous, à leur commune Prière, le Salut que tu as promis à ton peuple.

 

Parole de Dieu : (Is 55, 3)... (Office des Laudes).
Prêtez l’oreille ! Venez à Moi ! Écoutez et vous vivrez. Je ferai avec vous une Alliance éternelle, qui confirmera ma bienveillance envers David.

 

Parole de Dieu : (Rm 9, 4-5)... (Office des Vêpres).
Les fils d’Israël ont pour eux l’adoption, la gloire, les alliances, la Loi, le culte, les promesses de Dieu ; ils ont les patriarches, et c’est de leur race que Le Christ est né, Lui qui est au-dessus de tout, Dieu Béni éternellement. Amen.

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