Le Royaume de Dieu...3ème Partie.

LA PAIX DU SEIGNEUR SOIT AVEC VOUS, VOTRE FAMILLE ET VOS PROCHES.

LE ROYAUME DE DIEU…3ème Partie.

 

TROISIEME PARTIE.

Le Royaume de Dieu ne se conquiert pas en cherchant à trouver notre bonheur dans les plaisirs de ce monde, dans les facilités que peuvent nous procurer l’argent, les richesses et le pouvoir, mais en vivant du plus profond de nous même (pas de l’extérieur de nous-même pour que les autres voient combien nous sommes chrétiens…et nous comblent d’éloges…ce qui caresserait agréablement notre orgueil !!!) et tel que Dieu nous demande de vivre, en suivant dans une attitude de totale obéissance « amoureuse et confiante » tous les Commandements (sans exception) de Dieu et en prenant Le Chemin que Jésus nous montre et qu’Il a pris en premier…

Celui de L’Amour de Dieu, de La Vérité, de La Pureté, du Don de soi, de la Confiance en Dieu, de L’Amour, de La Miséricorde et de La Compassion envers notre prochain.

C’est un Chemin de souffrance, car il est continuellement attaqué par La Haine et les Ténèbres qui ne supportent pas L’Amour et La Lumière de Dieu.

 

Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 2, chapitre 47 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

Jésus pleure à cause de Judas et Simon le Zélote le réconforte. 

Jésus parle avec un paysan :

Jésus répond : "La bénédiction agit et persiste si les âmes restent fidèles à la Loi de Dieu et à mon enseignement.

Dans le cas contraire, la grâce disparaît. Et c'est juste.

Car s'il est vrai que Dieu donne le soleil et l'air aux bons comme aux méchants, pour qu'ils vivent, et s'ils sont bons deviennent meilleurs, et s'ils sont mauvais se convertissent, il est juste aussi que d'autre part, la protection du Père devienne châtiment pour le méchant afin de le rappeler par des peines au souvenir de Dieu."          

"La
douleur n'est-elle pas toujours un mal ?"     

"Non, ami, c'est un mal du point de vue humain, mais d'un point de vue qui dépasse l'humain, c'est un bien.

Elle augmente les mérites des justes qui la supportent sans désespérer ni se révolter et l'offrent, en s'offrant par leur résignation en sacrifice d'expiation pour leurs propres manquements et pour les fautes du monde.

Elle est rédemption pour ceux qui ne sont pas justes."

"C'est si difficile de souffrir !" dit le paysan auquel se sont joints les membres de sa famille : une dizaine entre adultes et enfants.           

"Je sais que l'homme trouve que c'est difficile. Et sachant comment l'homme l'aurait jugée telle, le Père ne l'avait pas donnée à ses fils.

Elle est venue à la suite de la faute. Mais combien de temps dure la souffrance sur la terre ? Dans la vie d'un homme, peu de temps. Toujours peu, même si elle dure tout la vie.

Maintenant je vous dis : n'est-il pas préférable de souffrir un peu de temps que toujours ? N'est-il pas préférable de souffrir ici qu'auPurgatoire ?

Pensez, là le temps est multiplié par mille.

Oh ! En vérité, je vous le dis qu'on ne devrait pas maudire mais bénir la souffrance et l'appeler "grâce" et l'appeler "pitié".

 

Rechercher Le Royaume de Dieu et vivre, tel que Jésus nous le demande, en prenant le même chemin que Lui…est non seulement un chemin d’Amour, de Vérité, de Pureté, mais c’est aussi un chemin de Souffrance, de Miséricorde et de Compassion.

C’est un chemin qui peut conduire au « martyr ». Mais être martyre, ne veut pas seulement dire, être arrêté, torturé et tué pour ne pas avoir renié Sa Foi en Dieu (comme cela s’est passé au temps des premiers chrétiens, et comme cela se passe encore actuellement dans beaucoup d’endroits à travers le monde).

Cela veut aussi dire : « Vivre à chaque instant de chaque jour et de chaque nuit, en faisant systématiquement La Volonté de Dieu, en Bénissant ceux qui nous font du mal, en Aimant ceux qui nous haïssent, en Aimant notre prochain de L’Amour de Dieu, quel que soit ce que cela nous en coûte en fatigue, en dérangement, voir en souffrance !!! ». 


Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 6, chapitre 115 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

"C'est un martyre de vivre pour instruire les autres quand on aspire à aller au Ciel". 

Jésus parle avec les Apôtres :

"Maître...je pense...Je pense à toutes les paroles de nos psalmistes, au livre de Job, aux paroles des livres sapientiaux, où est célébrée la puissance de Dieu.

Et, je ne sais pourquoi, cette pensée qui me vient de la vue des choses fait naître en moi cette autre pensée que nous serons ainsi élevés à une beauté parfaite sur une pureté azurée et lumineuse, si nous sommes justes jusqu'à la fin, dans le grand rassemblement, dans ton triomphe éternel, dans celui que tu nous décris, et qui sera la fin du Mal…

Et il me semble voir cette immensité céleste peuplée des corps lumineux des ressuscités et Toi, plus resplendissant que mille soleils, au milieu des bienheureux, où il n'y aura plus de douleurs, de larmes, d'insultes, de dénigrements comme ceux d'hier soir...et la paix, la paix, la paix...Mais quand le Mal finira-t-il de nuire ? (Apocalypse 7 9-17)

Peut-être qu'émoussera-t-il ses flèches contre ton Sacrifice ? Se persuadera-t-il qu'il est vaincu ?" dit Jean d'abord souriant et ensuite angoissé.

"Jamais. Il croira toujours triompher malgré les démentis que les justes lui donneront. Et mon Sacrifice n'émoussera pas ses flèches. Mais l'heure finale viendra où le Mal sera vaincu et, dans une beauté plus infinie que celle que ton esprit entrevoyait, les élus seront l'unique Peuple, éternel, saint, le vrai Peuple du vrai Dieu."

"Et nous y serons tous ?" demandent les apôtres.

"Tous."

"Et nous ?" demande le groupe déjà nombreux des disciples.

"Vous aussi y serez tous."

"Tous ceux qui sont présents ou tous les disciples? Nous sommes nombreux désormais malgré ceux qui se sont séparés." 

"Et vous serez de plus en plus nombreux. Mais tous ne seront pas fidèles jusqu'à la fin, pourtant beaucoup seront avec Moi dans le Paradis.

 

Certains auront la récompense après l'expiation, d'autres sitôt après la mort, mais la récompense sera telle que, comme vous oublierez la Terre et ses douleurs, ainsi vous oublierez le Purgatoire avec ses nostalgies pénitentielles d'amour."

 

"Maître, tu nous as dit que nous subirons des persécutions et des martyres. Pourrons-nous alors être pris et tués sans avoir le temps de nous repentir, ou bien notre faiblesse ne nous fera-t-elle pas manquer de résignation à la mort sanglante...Et alors ?" demande Nicolaï d'Antioche qui est parmi les disciples.

"Ne le crois pas. A cause de votre faiblesse d'hommes, vous ne pourriez en effet subir le martyre avec résignation. Mais aux grands esprits qui doivent rendre témoignage au Seigneur, le Seigneur infuse une aide surnaturelle..."

"Quelle aide ? L'insensibilité, peut-être ?"

"Non, Nicolaï. L'amour parfait.Ils arriveront à un amour si complet que les tourments de la torture, ceux des accusations, de la séparation des parents, de la vie, de tout, cesseront d'être chose déprimante mais, au contraire, tout se changera en tremplin pour s'élever vers le Ciel,pour l'accueillir, le voir et par conséquent tendre leurs bras et leur cœur aux tortures, pour aller là où déjà sera leur cœur : dans le Ciel."

 

"A quelqu'un qui meurt ainsi, il sera beaucoup pardonné" dit un disciple âgé dont je ne connais pas le nom.

"Ce n'est pas beaucoup, Papias, mais tout qui lui sera pardonné, car l'amour est absolution, le sacrifice est absolution, et la confession héroïque de la foi est absolution.

Tu vois par conséquent que les martyrs auront une triple purification."

 

"Oh ! Alors,...Moi, j'ai beaucoup péché, Maître, et je les ai suivis pour avoir le pardon, et hier tu me l'as donné et, pour ce motif, tu as été insulté par des gens qui ne pardonnent pas et sont coupables.

Je crois que ton pardon est valide mais, à cause de mes longues années de fautes, donne-moi le martyre qui absout."

"Tu me demandes beaucoup, homme !"

"Jamais autant que ce que je dois donner pour avoir la béatitude que Jean de Zébédée a décrite et que Toi, tu as confirmée. Je t'en supplie, Seigneur, fais que je meure pour Toi, pour ta doctrine... 

 

"Tu me demandes beaucoup, homme ! La vie de l'homme est dans les mains de mon Père..."

"Mais toute prière de Toi est accueillie, comme est accueilli tout jugement qui vient de Toi. Demande à l'Éternel ce pardon pour moi..."

 

L'homme est à genoux aux pieds de Jésus, qui le regarde dans les yeux et lui dit ensuite :

"Et cela ne te paraît-il pas un martyre de vivre quand le monde a perdu tout attrait et que le cœur aspire au Ciel, et de vivre pour apprendre aux autres l'amour, et connaître les déceptions du Maître et persévérer sans lassitude pour donner au Maître des âmes ?

Fais la volonté de Dieu, toujours, même si la tienne te paraît plus héroïque, et tu seras saint...

 

Il est utile de rappeler que Le Royaume de Dieu ne s’acquiert pas à force de nombreuses réincarnations, permettant de devenir meilleurs au fils de celles-ci…et d’accéder, un jour, au Royaume de Dieu.

C’est dès maintenant, et par nos choix de chaque jour, par notre volonté propre, tout au long de notre « unique » vie sur Terre, que nous hériterons du Royaume de Dieu ou de celui de Satan !!!


Extrait des Révélations de Jésus à Maria Valtorta (tome 4, chapitre 135 de L’Evangile tel qu’il m’a été révélé…

En parlant avec un scribe. 

Jésus parle avec un scribe venu le piéger et guéri son fils :

Et Jésus va vers la foule des malades qui l'attendent avec un désir marqué sur leurs figures, et il les guérit l'un après l'autre, bienveillant, patient même à l'égard d'un scribe qui Lui présente son petit enfant malade.

C'est ce scribe qui Lui dit : "Tu le vois ? Tu fuis. Mais c'est inutile. La haine et l'amour sont ingénieux pour te trouver.

Ici, c'est l'amour qui t'a trouvé comme dit le Cantique. Désormais pour trop de gens tu es comme l'Époux des Cantiques et on vient à Toi comme la Sulamite va vers son époux en bravant les gardes de ronde et les quadriges d'Aminadab !" (Cantique des cantiques 6 12-13 à 7 12)  

"Pourquoi dis-tu cela ? Pourquoi ?"

"Parce que c'est vrai. Venir à Toi est dangereux parce qu'on te hait. Ne sais-tu pas que Rome te surveille et que le Temple te hait ?"

"Pourquoi me tentes-tu, homme ? Tes paroles sont des pièges pour porter à Rome et au Temple mes réponses. Je ne t'ai pas tendu un piège en guérissant ton fils..."

 

Le scribe, sous ce doux reproche, baisse la tête, confus, et avoue : "Je vois que réellement tu vois les cœurs des hommes. Pardonne.

Je vois que réellement tu es saint. Pardonne. Oui, j'étais venu alors que fermentait en moi le levain que d'autres y avaient mis..."

"Et qui avait trouvé en toi la chaleur qui convenait pour sa fermentation."

"Oui, c'est vrai...mais maintenant je m'en vais sans levain, ou plutôt avec un levain nouveau."

 

"Je le sais et n'ai pas de rancune. Beaucoup sont en faute par leur propre volonté, beaucoup par la volonté d'autrui. Différente sera la mesure dont se servira pour les juger le juste Dieu. Toi., scribe, sois juste, et à l'avenir ne corromps pas comme on t'a corrompu.

Quand le monde exercera sur toi sa pression, regarde la grâce vivante qu'est ton fils, sauvé de la mort, et sois-en reconnaissant à Dieu."

"À Toi."

"A Dieu. A Lui toute gloire et louange. Je suis son Messie et je suis le premier à le louer et à le glorifier. Le premier à Lui obéir.

Car l'homme ne se rabaisse pas en honorant et en servant Dieu avec fidélité, mais il se dégrade en servant le péché."

 

"Tu parles bien. Parles-tu toujours ainsi, à tous ?"

"A tous. Que je parle à Anna ou à Gamaliel, ou que je parle au mendiant lépreux, sur un chemin de campagne, les paroles sont les mêmes,car la Vérité est une."

 

"Parle, alors, car nous sommes tous ici pour mendier une de tes paroles ou l'une de tes grâces."

"Je parlerai, pour qu'on ne dise pas que je suis prévenu contre ceux qui sont honnêtes dans leurs convictions."

"Elles sont mortes, celles que j'avais. Mais c'est vrai. J'étais honnête, je croyais servir Dieu en te combattant."

"Tu es sincère, et pour cela tu mérites de comprendre Dieu qui n'est jamais mensonge. Mais tes convictions ne sont pas encore mortes. C'est Moi qui te le dis.

C'est comme du chiendent qu'on a brûlé. En surface il semble détruit et en vérité il a subi un rude assaut qui l'a affaibli.

Mais les racines sont vivantes, mais le terrain les nourrit, mais la rosée les invite à mettre de nouvelles tiges et celles-ci de nouvelles feuilles.

Il faut surveiller pour que cela n'arrive pas ou tu seras de nouveau envahi par le chiendent. Israël a la vie dure !"

"Israël doit donc mourir ? C'est une plante mauvaise ?"

"Il doit mourir pour ressusciter."

"Une réincarnation spirituelle ?"

"Une évolution spirituelle. Il n 'y a pas de réincarnation d'aucune sorte."

"Il y en a qui y croient."

"Ils sont dans l'erreur."

"L'hellénisme a mis en nous aussi ces croyances. Et les savants s'en repaissent et s'en glorifient comme d'une très noble nourriture."

"Contradiction absurde, pour ceux qui crient à l'anathème pour la négligence de l'un des six cent treize préceptes mineurs."

"C'est vrai. Mais... c'est ainsi. On prend plaisir à imiter ce que pourtant on hait."

 

"Alors imitez Moi, puisque vous me haïssez. Ce sera mieux pour vous."

Le scribe doit par force esquisser un sourire devant cette sortie de Jésus. Les gens sont bouche bée à écouter et ceux qui sont loin se font répéter par les plus proches les paroles des deux.


"Mais Toi, entre nous, que penses-tu de la réincarnation ?"

"C'est une erreur. Je l'ai dit."

"Il y en a qui soutiennent que les vivants proviennent des morts et les morts des vivants, parce que qui existe ne peut se détruire."

"Ce qui est éternel, en effet, ne se détruit pas. Mais, dis-moi. Selon toi le Créateur a t-il des limites à Lui-même ?"

«Non, Maître. Le penser serait l'amoindrir ».

"Tu l'as dit. Et est-il possible alors de penser que Lui permet la réincarnation d'un esprit parce qu'il ne pourrait y avoir qu'un nombre donné d'esprits ?"

"On ne devrait pas le penser, et pourtant il y en a qui le pensent."

 

"Et, ce qui est pire, on le pense en Israël. Cette pensée de l'immortalité de l'esprit qui est déjà grande, même si elle est unie chez un païen à une erreur d'appréciation inexacte sur la façon dont se produit cette immortalité, devrait être parfaite en Israël.

Au contraire, chez ceux qui l'admettent d'après les termes de la thèse païenne, elle devient une pensée amoindrie, rabaissée, coupable.

Ce n'est pas la gloire d'une pensée qui se montre digne d'admiration pour avoir frôlé par elle seule la Vérité et qui, par conséquent, témoigne de la nature composite de l'homme comme elle l'est chez le païen à cause de son intuition d'une vie immortelle de la chose mystérieuse qu'on appelle l'âme et qui nous distingue des brutes.

Mais c'est une dégradation de la pensée qui, connaissant la Divine Sagesse et le Dieu Vrai, devient matérialiste, même dans une chose aussi profondément spirituelle.

 

Il n'y a de transmigration de l'esprit que du Créateur à l'être et de l'être au Créateur, auquel on se présente après la vie pour recevoir un jugement de vie ou de mort.

Voilà la vérité. Et là où il est envoyé, il reste, pour toujours."

 

"Tu n'admets pas le Purgatoire ?"

"Si. Pourquoi me le demandes-tu ?"

"Parce que tu dis : "Là où on l'envoie, il reste". Le Purgatoire est temporaire."

"C'est que, dans ma pensée, je l'assimile à la Vie éternelle. Le Purgatoire est déjà "vie". Amoindrie, liée, mais toujours de la vie.

Une fois terminé le séjour temporaire dans le Purgatoire, l'esprit conquiert la Vie parfaite, 1a rejoint sans plus de limites et de liens.

 

Il y aura deux choses qui resteront : le Ciel - l'Abîme. Le Paradis - l'Enfer. Il y aura deux catégories : les bienheureux - les damnés.

Mais, de ces trois royaumes qui existent maintenant, aucun esprit ne reviendra jamais se revêtir de chair.

Et cela jusqu'à la résurrection finale qui terminera pour toujours l'incarnation des esprits dans la chair, de l'immortel dans le mortel."

 

"De l'éternel, non ?"

"Dieu est éternel. L'éternité, c'est de n'avoir ni commencement ni fin. Et cela, c'est Dieu.

 

L'immortalité c'est de continuer à vivre du moment où l'on a commencé à vivre. Et cela c'est pour l'esprit de l'homme. Voilà la différence."

"Tu dis : "Vie éternelle"."

"Oui. Du moment où quelqu'un est créé pour vivre, il peut par l'esprit, par la Grâce et sa volonté, arriver à la Vie éternelle, pas à l'éternité.

La vie suppose un commencement. On ne dit pas "Vie de Dieu" car Dieu n'a pas eu de commencement."

 

"Et Toi ?"

"Moi, je vivrai parce que je suis chair aussi, et à l'esprit divin j'ai uni l'âme du Christ en une chair d'homme."

"Dieu est dit le "Vivant"."

"En effet Il ne connaît pas la mort. Lui est Vie. La Vie inépuisable. Non pas Vie de Dieu, mais Vie. Cela seulement. Ce sont des nuances, ô scribe, mais c'est de nuances que se revêt la Sagesse et la Vérité."

"Parles-tu ainsi aux gentils ?"

"Pas ainsi. Ils ne comprendraient pas, mais je leur montre le Soleil. Mais comme je le montrerais à un enfant jusqu'alors aveugle et idiot, et arrivé par miracle à la vue et à l'intelligence.

Ainsi, comme un astre, sans arriver à en expliquer la composition. Mais vous d'Israël, vous n'êtes ni aveugles ni idiots.

Depuis des siècles, le doigt de Dieu vous a ouvert les yeux et éclairci l'esprit..."

"C'est vrai, Maître. Et pourtant nous sommes aveugles et idiots."

"Vous vous êtes rendus tels. Et vous ne voulez pas du miracle de Celui qui vous aime."

"Maître..."

"C'est la vérité, scribe." Celui-ci baisse la tête et se tait, Jésus le quitte et va plus loin.

 

EN UNION DE CŒUR, D’AMOUR FRATERNEL ET DE PRIERES.

                                 

                               PIERRE

 

POUR LIRE LA SUITE, ALLER DANS LA QUATRIEME PARTIE.

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Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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